Initiation - 09 (amour bafoué)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Ne le fais pas jouir dans ta bouche, ma chérie. Tu sais où chacun doit déverser sa semence, ce soir. »

Lorsque Ibra éjacule en elle, Cheikh et Haroun prennent le relais sans lui permettre de changer de position. Ils la baisent chacun sans toutefois aller jusqu'au bout, ce qui surprend Manon. Elle est presque déçue de ne pas recevoir leur sperme en elle. Mais ils avaient d'autres idées, car Haroun se couche sur le dos et la fait s'empaler sur lui. Avant même le moindre mouvement en elle, il la serre contre lui, permettant ainsi à Cheikh de presser son sexe contre le sien. Ce second membre force sur les lèvres intimes et pénètre. Les deux sexes sont l'un contre l'autre dans le vagin de Manon. Là, elle se sent dilatée encore plus que par la grosse bite de son amant. Sa jouissance est instantanée et provoque celle de ses deux partenaires.

Après ces efforts, les cinq hommes ont besoin d'un petit traitement buccal pour retrouver un peu de vigueur avant le deuxième tour qu'ils espèrent. Manon, toujours aussi compréhensive, s'active pour les faire tous bander de nouveau. Lorsque Cheikh présente son sexe, Manon, qui ne l'avait pas vu de près jusque là, s'étonne de voir ce méat anormalement gros qu'elle a déjà vu, aussi s'écrit-elle :

« Mamadou, regarde le sexe de Cheikh ! Je l'ai déjà vu l'autre soir, celui-là. Cheikh n'est pas ton frère ... et les autres non plus peut-être? »

Son amant ne trouve qu'à dire :

« En Afrique tous les hommes sont des frères. »

« Tu t'es moqué de moi, gros cochon ! », l'invective Manon, avec un sourire qui montre bien qu'elle n'en veut pas à l'homme qu'elle aime.

Manon n'est pas assez fâchée pour tout arrêter, se disant que Cheikh n'est pour rien dans cette affaire, aussi veut-elle le faire bander pour qu'il puisse encore profiter d'elle. Manon se contente de branler cette bite si spéciale. En regardant ce gros méat, elle a l'idée d'un jeu bien particulier qui fait mouiller sa petite chatte. Elle crache sur le bout du gland et mouille son petit doigt dans sa bouche. Elle fait tourner son ongle sur le bord du méat, puis juste dans le trou. A ce contact le sexe a déjà bien durci. Alors elle fait glisser une première phalange dans l'urètre, ce qui fait soupirer Cheikh. Puis elle pousse lentement jusqu'à faire pénétrer tout son doigt. Cheikh a maintenant une respiration haletante qui s'accélère lorsque Manon fait coulisser son petit doigt plusieurs fois. Elle décide pourtant de le retirer car elle ne veut pas le faire jouir, évitant ainsi de gâcher son sperme.

Pendant ce temps, Mamadou était allé ouvrir la porte de l'appartement, permettant à des visiteurs d'arriver. Manon, plus que surprise, voit arriver une dizaine d'hommes qui se dirigent vers elle en abandonnant au plus vite leurs vêtements sur le parcours. Mamadou, tout sourire, lui dit alors :

« Tous mes frères sont venus pour toi. »

Manon n'a pas le temps de répondre alors que les arrivants sont encore suivis par une autre dizaine d'hommes, qui se déshabillent tous au plus vite. Il y a même deux femmes, dont l'une paraît être celle qui l'a interpellée depuis l'immeuble d'en face. Un coup d'œil vers la terrasse des voyeurs montre à Manon qu'elle est maintenant bien vide. Seuls les deux cameramen sont restés à leur poste. Les voyeurs sont tous là, ici, pour elle. Manon devrait paniquer mais cette affluence fait l'effet inverse : un orgasme purement cérébral la secoue. Loin de la calmer, cette jouissance fait encore monter son excitation. Il lui en faut plus. Elle est prête à tout, aussi se couche-t-elle sur le matelas, cuisses écartées, accueillant le premier des inconnus qui font le file devant elle.

Pendant que ces hommes la baisent, chacun leur tour jusqu'à l'éjaculation au fond de son vagin, les deux femmes sont près d'elle et la caressent avec toute la douceur dont elles sont capables. Elles lui murmurent à l'oreille des phrases comme :

« Allez, cochonne, profites-en bien »,

« Toute l'Afrique va te passer dessus, salope ! »,

« Ils vont tous te remplir de sperme »,

« Ils te traitent comme la pute que tu es »,

« Tous veulent t'engrosser et c'est ça qui t'excite ! »

Pendant qu'un homme redressé sur ses bras tendus la besogne, une des femmes pose sa main sur le ventre de Manon avant de lui dire :

« Ce joli ventre plat va bientôt grossir, c'est sûr. »

L'autre femme lui suce et aspire un téton, puis lui dit :

« Dans neuf mois, si je te suce comme ça, c'est ton lait que j'aurai dans la bouche. »

Cette noria de baiseurs va durer au-delà de la soirée, une bonne partie de la nuit. Chacun veut la prendre au moins deux fois et il en est de même pour les cinq 'frères'. Pour Manon, les orgasmes sont nombreux mais elle s'endort parfois entre deux alors qu'un homme s'agite encore sur elle.

Lorsque tous finissent par partir, seuls son amant et une femme sont encore là. Celle-ci aide Manon a se relever et l'entraîne vers la chambre d'amis, repoussant Mamadou par ces mots :

« Toi, laisse-la tranquille. Elle a besoin de repos jusqu'au matin. »

La femme couche Manon sur le lit et se contente d'essuyer avec sa langue tout le sperme qui a coulé sur ses cuisses. La toilette se limitera à ça. Puis elle s'endorment dans les bras l'une de l'autre.

Le matin, au réveil, Manon se précipite sous la douche. Elle se contente de se laver du sperme qui a encore coulé de sa chatte, mais s'abstient d'une toilette intime complète qui ne lui paraît en rien pouvoir éviter les conséquences de la soirée.

La femme qui s'est bien occupée d'elle est sur le départ et souhaiterait pouvoir rester en contact avec elle. Manon en est d'accord et cherche un papier pour échanger leurs coordonnées respectives. Elle sait dans quel tiroir se trouvent stylos et papiers qu'elle a déjà utilisés. L'ouvrant, elle le trouve complètement rempli à ras bord par de gros billets de banque. Il y en a pour une fortune. La veille ne s'y trouvait que les quelques billets apportés par Abdul. Alors Manon comprend et s'insurge face à son amant :

« Mamadou, salaud, tu m'as prostituée ... et sans même me demander mon avis, à moi qui t'aimais ! Comment as-tu pu me faire ça? »

« Mais ... », bredouille Mamadou, interrompu par Manon :

« Non, je ne veux pas de tes explications. C'est fini entre nous ! Je m'en vais tout de suite. Ne me conduis pas à l'aéroport. Je prendrai un taxi. Adieu. »

Sur le pas de la porte, Mamadou, lui donne une clé USB en disant :

« Prend ça. Ce sont les films pris par les voisins d'en face. »

Elle met la clé dans sa poche, sans un mot, et quitte l'appartement.

Comment a-t-elle pu prendre le risque de tomber enceinte d'inconnus, noirs de surcroît, pour le plaisir, ou plutôt les finances d'un homme qui ne l'aime même pas? C'est la question qui occupe l'esprit de Manon, qui s'en veut de s'être laissée ainsi berner.

------ à suivre ------

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Bravo, je suis impatient de lire la suite. Va-t’ose faire avorter et se contenter de sexe débridé sans risque dorénavant ?

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

A quand la suite !!!

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Satisfaire Mme Martinet Envoyé par mon coach pour aider sa collègue blessée.
Sandra - La Discothèque... Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
L'emménagement en Banlieue Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
Addiction à la Fessée (Suite 01) Sophie est incapable de résietr à ses pulsions.
Maman Fessée Mère fessée par son fils.
Plus d'histoires