Initiation - 10 (extrême perversion)

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Le summum de la perversion pour l'anniversaire de Manon.
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Partie 10 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Initiation - 10 (extrême perversion)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Dans le taxi qui la conduit à l'aéroport de Dakar, Manon ne décolère pas. Comment a-t-elle pu être si naïve? Elle était partie pour partager des vacances avec l'homme qu'elle aime, Mamadou, leur chauffeur sénégalais, laissant seul son mari dont elle a placé le petit sexe en cage de chasteté. Elle avait pris beaucoup de plaisir avec son amant en faisant l'amour devant de nombreux voyeurs. Elle avait accepté de retarder son départ pour accueillir des frères, qui en fait n'en étaient pas. Ce faisant, n'étant pas sous contraception, elle avait pris le risque de rapports sexuels non protégés pendant une période très dangereuse. Elle avait cru se donner à des dizaines d'inconnus pour son seul plaisir, alors que son amant la prostituait sans qu'elle le sache. Manon est furieuse contre Mamadou, passant de l'amour à la détestation, mais elle s'en veut aussi de sa naïveté.

Lorsqu'elle se présente à l'embarquement, un employé lui dit qu'il y a un problème et la conduit auprès de son responsable. Celui-ci, très gêné, lui dit alors :

« Madame, suite à un piratage de notre système informatique, votre place a été annulée et reprise immédiatement. J'ai personnellement cherché à trouver un passager de ce vol qui accepterait, moyennant compensation, de vous laisser sa place, mais personne n'a accepté. La première place disponible est dans deux jours. Notre compagnie est vraiment désolée et ... »

Manon, angoissée, l'interrompt en disant :

« Mais, Monsieur, comment vais-je faire ici? »

« Ne vous inquiétez pas, vous logerez dans un hôtel 4 étoiles très proche et un taxi assurera vos trajets, le tout à nos frais, évidemment. »

Arrivée à l'hôtel, Manon découvre une chambre fastueuse. Sur un guéridon, se trouvent un mot d'excuse de la compagnie aérienne, une trousse de toilette garnie et une bouteille de champagne au frais.

Manon ne sort de sa chambre que pour les repas. Elle a placé à sa porte la pancarte pour ne pas être dérangée, comme si elle était malade. Elle commence par pleurer pendant un long moment. Elle se sent désespérée. L'amour avec un grand 'A' n'est visiblement pas pour elle.

Puis elle repense a tout ce qu'elle avait fait avant de tomber amoureuse. Manon se dit qu'elle y avait pris beaucoup de plaisir. Pourquoi ne pas revenir à cette façon de vivre, sans se prendre la tête, sans penser au lendemain? Elle a cependant l'impression de passer à côté de l'essentiel en refusant toute relation amoureuse. Bon, il lui faut tout de même sortir de sa déprime si inhabituelle. Elle va essayer de revenir à ses envies et retrouver les plaisirs qui lui ont fait tant de bien jusqu'ici.

Manon commence alors à visionner le premier film, puis les autres, jusqu'à celui où elle se fait prendre plusieurs fois par une vingtaine d'hommes qui ont payé pour ça. Elle se sent incroyablement excitée. Est-ce parce qu'elle se caresse en même temps ou est-ce dû à sa situation dans le film? Elle ne sait pas mais se fait jouir fortement avant d'appuyer sur 'replay' pour regarder de nouveau et jouir encore, encore plus.

Penser qu'elle s'est prostituée, même sans l'avoir voulu, l'excite énormément. Penser que l'un de ces inconnus peut l'avoir mise enceinte l'excite encore plus. Je dois être folle, se dit-elle. Cependant, elle va passer l'après-midi de la même façon, recherchant sans discontinuer cette jouissance qui la libère.

Dans la matinée du lendemain, Manon décide de téléphoner à sa mère, à qui elle pourra se confier. Celle-ci la rassure : un chagrin d'amour, ça passe. Sa mère lui dit qu'elle doit surtout capitaliser sur l'incroyable plaisir qu'elle a pris, ajoutant même qu'elle est envieuse d'elle. Lorsque Manon lui parle des films, sa mère, dont la voix montre alors toute l'excitation, lui demande de lui en envoyer copie. Elle va les regarder et la rappellera ce soir. Manon s'acquitte sans problème de cette tâche en utilisant sa messagerie sur un ordinateur en libre service de l'hôtel.

Le soir, lorsque Manon reçoit l'appel de sa mère, celle-ci est dans une folle exubérance :

« Ma chérie. C'est merveilleux ce que tu as vécu. Je ne te dis pas le nombre de fois où je me suis faite jouir en regardant tes films. Ton amant ne t'a pas apporté l'amour que tu attendais, mais il t'a fait connaître des plaisirs que peu de femmes ont eu, crois-moi ! »

« Mais, il m'a prostituée sans me le dire ! », s'insurge encore Manon.

« Tu ne le savais pas », répond Nathalie, « et tu en as bien profité, ça se voit sur le film ! Alors, pourquoi la vénalité de la chose changerait cela du tout au tout? Ne refuse pas ton plaisir, ma fille. »

« Un de ces inconnus m'a sûrement engrossée », s'angoisse Manon, « et, en plus, ils étaient tous noirs... imagine ... »

« Il y a des moyens d'éviter ça. Nous en reparlerons quand tu seras rentrée. Ne t'inquiète pas. »

Puis sa mère, terminant la conversation, lui dit :

« Bon, je vais raccrocher, ma chérie. J'ai encore des films à voir, ce soir ... ou plutôt à revoir. Tu devrais les regarder de nouveau, en même temps que moi. Ne serait-ce pas érotique? Je vais penser à toi ma chérie. Fais de beaux rêves ... »

Manon suit si bien les conseils de sa mère qu'elle ne s'endort que très tard dans la nuit, après des orgasmes qui ont ponctué chaque scène des films.

Le lendemain matin, Manon reçoit un long SMS de sa mère qui lui raconte la folle nuit qu'elle a passé en visionnant les films. Cela conduit Manon a les revoir encore, plusieurs fois dans cette journée, avec à chaque fois un orgasme à la clé. Elle ne s'arrête dans cet enchaînement érotique que lorsque son clitoris devient si sensible qu'elle ne peut plus le toucher.

Ce soir, Manon peut enfin embarquer pour un vol de nuit. Elle a choisi une tenue assez confortable, pensant dormir un peu dans l'avion. Une tunique et un leggins feront l'affaire, rien de bien sexy évidemment. Sa place est près du hublot et celle côté couloir est occupée par un très vieil homme, qui a placé une couverture sur lui et s'est endormi peu après le décollage. Beaucoup d'autres passagers dorment également. Manon voudrait bien faire de même, mais ses aventures récentes lui occupent trop l'esprit. Elle regarde sur l'écran face à son siège quelques vidéos. L'hôtesse a oublié de lui fournir les écouteurs, mais le son ne lui manque pas. En fait, rien ne l'intéresse vraiment dans le programme de bord. Manon se rend compte qu'une prise USB est prévue à côté de l'écran. Osera-t-elle y placer sa clé pour regarder ses films qui seront très bien sans le son?

Manon regarde son voisin. Il lui paraît être dans un sommeil profond. De plus, il est un peu tourné vers le couloir. Alors elle n'hésite plus et enfiche sa clé. Manon, visionnant un premier film, est vite gagnée par l'excitation. Malheureusement sa tenue ne lui permet pas de se caresser comme elle le voudrait et les circonstances ne s'y prêtent pas trop non plus. Elle frotte ses cuisses l'une contre l'autre et place par moments sa main sur son entre-jambes, mais c'est tout ce qu'elle peut faire pour accompagner son envie.

En dormant, son voisin vient de se tourner vers elle, mais Manon n'y a pas prêté attention. Dans sa nouvelle position, le visage du vieil homme est tourné vers l'écran de Manon. Peut-être gêné par la luminosité de l'appareil qui contraste nettement avec la pénombre de la cabine, l'homme se réveille à moitié. Ce qu'il aperçoit à demi finit par bien le réveiller. Il n'en revient pas et laisse échapper un « Oh » de surprise que Manon a bien entendu. Elle arrête le film bien maladroitement, tout en se disant que c'est trop tard. Son voisin lui dit alors :

« Excusez mon indiscrétion, Madame. Je suis vraiment désolé d'avoir interrompu votre film... », puis il ajoute :

« J'ai été surpris que vous regardiez un film pornographique... C'est tellement inhabituel chez une femme ... enfin, c'est ce que je croyais ... »

Manon, que la situation amuse, se veut coquine. Cela la changera des tristes pensées de son amour déçu. Aussi dit-elle :

« Et vous, cher Monsieur, n'aimez-vous pas ce type de film? », accompagnant sa question d'un grand sourire charmeur.

Après un moment d'hésitation, son voisin répond dans un murmure :

« J'aime ça, bien sûr ... vous savez ... à mon âge, il n'y a plus que ça pour se faire du bien. »

« Alors, pourquoi ne regarderions-nous pas la suite ensemble? », ose dire Manon, dont la chatte se mouille encore plus à cette idée.

« Je n'osais pas vous le demander », répond timidement le vieil homme.

Manon relance la suite du film. L'homme a les yeux rivés sur l'écran et sa respiration s'accélère, trahissant son excitation.

« J'aime beaucoup ce film », dit-il alors, « Quel est son titre? J'aimerais l'acheter. »

« Ça ne va pas être possible », lui répond Manon, « C'est un film d'amateur qui ne date que de quelques jours. »

Manon voit bien la surprise de son voisin, qui regarde alors le film avec encore plus d'attention. Elle remarque aussi un mouvement sous la couverture qui recouvre l'homme du torse jusqu'aux pieds. Manon se dit qu'il vient peut-être d'ouvrir sa braguette et de sortir son sexe et cette hypothèse l'excite. Sur le film, dans une scène d'une rare intensité, un zoom fait apparaître le visage de Manon en gros plan, ce qui fait dire au vieil homme :

« Oh ! C'est incroyable comme cette femme vous ressemble ! »

« C'est normal, cher Monsieur », lui murmure Manon à l'oreille, qui voit alors, sous la couverture, un mouvement de main qui ne peut laisser aucun doute.

« On dirait que me voir sur ce film vous fait beaucoup d'effet, semble-t-il? », fait-elle remarquer.

L'homme reste muet et Manon glisse alors une main sous la couverture et la pose sur un sexe à demi bandé et tout chaud, en disant :

« N'est-ce pas mieux comme ça? »

« Oui, oui », répond l'homme dans un souffle.

« Attention », précise Manon, « il faudra savoir vous retenir ... »

Dans un murmure, son voisin répond :

« Vous ne craignez rien, à mon âge. Cela fait des années que je n'ai pas réussi à jouir. »

Tout en regardant le film, ils sont tous deux de plus en plus excités. Manon sent bien sous ses doigts que le sexe qu'elle branle doucement a bien durci. Elle repousse une main de son voisin qui s'était aventurée sur sa cuisse. Manon veut être elle seule à la manœuvre. Ce qu'elle fait dans ces circonstances suffit à son excitation. Lorsque le film se termine, elle voit bien la déception de son voisin qui se demande cependant pourquoi la main reste encore sur son sexe.

« Un second film ... qui va encore plus loin, cela vous tente-t-il? », questionne Manon, qui obtient sa réponse par la voix tremblante de son voisin :

« Oh oui, bien sûr ! »

Le regard rivé sur le second film, l'homme n'en croit pas ses yeux lorsque les images montrent les sénégalais qui pénètrent le vagin de sa voisine, l'un après l'autre, sans discontinuer. Un gros plan sur l'entre-jambes de Manon, montre une grosse coulée de sperme sortant du vagin inondé par l'éjaculation de tant d'hommes. Le vieillard, dont le sexe se tend encore plus sous les doigts de sa voisine, laisse échapper une remarque :

« Vous prenez la pilule, évidemment ! »

Manon, avec un sourie espiègle, répond sur le ton de la confidence :

« Mais non, pas du tout ! J'étais sans aucune protection, cher Monsieur », ponctuant sa phrase par un mouvement plus rapide de sa main sur le membre tendu.

« Oh ! Un tel risque avec des inconnus, tous noirs ! C'est incroyable ! », dit l'homme tout bas, « Mais je suppose que vous avez choisi une bonne période, n'est-ce pas? »

Alors Manon se penche vers lui et lui murmure à l'oreille :

« Bien évidemment... au moment de mon ovulation. »

Manon s'amuse de voir la stupeur sur le visage de son voisin, alors qu'une bonne dose de sperme se répand au creux de sa main qu'elle retire vivement. N'ayant pas de mouchoir à sa disposition à ce moment, elle fait le nettoyage de sa paume avec sa langue, tout en regardant l'homme droit dans les yeux.

C'est l'instant où l'avion amorce sa descente.

Après l'atterrissage, au moment de quitter leurs sièges, Manon demande son adresse de messagerie à son voisin, disant avant leur séparation :

« C'est pour vous envoyer une copie de ces deux films que vous avez eu l'air d'apprécier. »

« Merci, vraiment merci ! », lui répond le vieil homme, « Dans ma longue vie, je n'ai jamais fait un aussi merveilleux voyage. »

A la sortie de l'avion, Manon adresse un petit signe d'adieu à son voisin, puis s'engage dans les couloirs à la recherche de la station de taxis. Ce périple tortueux la fait passer devant la pharmacie de l'aéroport. Bien sûr, se dit-elle, j'allais oublier ! Elle y fait l'achat d'une 'pilule du lendemain' dont elle met la boîte dans son sac. Dans le taxi qui la conduit à une gare parisienne pour y prendre le train qui la conduira chez elle, à Saint-Malo, Manon a tout le temps de lire la notice du produit. Il y est conseillé de le prendre le plus tôt possible après les rapports sexuels, son efficacité baissant rapidement avec le temps. Elle lit que cette pilule n'a plus d'effet après 72 heures. Si elle se réfère à l'orgie finale, l'écart est de près de 70 heures. Quant aux relations précédentes avec son amant et ses pseudo-frères, le délai est bien dépassé. Elle prend donc sa pilule dès son arrivée à la gare.

De retour à la maison, Manon retrouve un mari attentionné qui la serre dans ses bras et lui rappelle l'amour qu'il a pour elle. Il lui dit l'inquiétude qu'il a eu suite à ses deux retards. Manon se rend compte alors qu'elle avait même oublié de le prévenir lorsque sa place d'avion avait été annulée par erreur. Comment a-t-elle pu oublier ainsi son mari?

« Je suis là maintenant, mon chéri, je vais m'occuper de toi », dit-elle en l'entraînant vers le canapé.

Assise à son côté, Manon raconte à son mari ses aventures, dans les grandes lignes : sa relation amoureuse, son plaisir avec les 'faux' frères, son exhibition devant les voyeurs, son orgie avec des inconnus et sa découverte de sa prostitution contre son gré. Son mari ne lui reproche rien et met tout sur le compte de son chauffeur. Adrien lui dit alors :

« Dès que Mamadou sera rentré de ses vacances, je vais le congédier. Je ne veux plus le voir ! »

« C'est un peu dur, ne trouves-tu pas? », lui dit Manon.

« Qu'as-tu à le défendre comme ça? Qu'attends-tu de lui après ce qu'il t'a fait? », s'insurge Adrien.

« Lui, je ne l'aime plus, c'est certain », lui répond Manon, « mais ... j'aime encore ... sa grosse queue. »

« Bon, c'est ton choix », accepte Adrien, qui aimerait en savoir plus sur ses aventures dont le récit lui a paru vraiment trop succin.

« Raconte-moi en détail, ma chérie. Je suis certain que tes aventures vont m'exciter », dit-il.

« J'ai mieux », lui répond sa femme, « car j'ai des films, mais je vais d'abord te mettre en tenue en te libérant comme promis. »

Alors Manon déshabille complètement son mari et lui enlève la cage de chasteté. Elle se sent un peu honteuse lorsqu'elle voit les marques que les barreaux ont laissé sur son sexe. Elle se dit qu'il a dû bander trop souvent à l'étroit en pensant à elle. Manon se met nue également puis lance le premier film. En regardant, ils se caressent l'un l'autre. La main de Manon coulisse sur la petite bite déjà bien dure de son mari, alors qu'il lui fouille la chatte de deux doigts.

A la fin de ce premier film, Adrien se jette sur sa femme avec l'envie de la pénétrer, mais Manon le repousse en disant :

« Pas de ça, mon chéri ! Ce n'est pas le moment ! J'ai déjà eu assez de sperme en moi pendant une période très dangereuse. Je vais continuer de te branler pendant que nous regarderons le deuxième film qui est encore plus chaud, tu verras ! »

Le second film fait encore monter l'excitation d'Adrien d'un cran. La noria des inconnus qui baisent Manon l'un après l'autre est bien au-delà de ce qu'il pouvait imaginer. Adrien se tourne vers elle, la regardant comme s'il voulait être certain qu'il s'agissait bien d'elle sur le film. Lorsqu'un gros plan montre le sperme qui dégorge du vagin de sa femme, c'est trop pour Adrien, dont l'éjaculation arrose non seulement les doigts qui branlaient son sexe mais aussi le ventre nu vers lequel il est tourné. Adrien n'a jamais joui autant, aussi copieusement. Le pubis de sa femme en est complètement recouvert. Manon a retiré sa main du sexe qu'elle vient de faire jouir et elle repousse maintenant la main de son mari qui lui caressait la chatte. Adrien ne comprend pas ce qu'elle fait lorsqu'elle essuie sa main avec celle de son mari, comme si il s'agissait d'un torchon. Puis elle pose la main souillée de son mari sur son pubis, dans la grosse flaque de sperme qui englue encore plus les doigts. Adrien ne comprend que lorsque Manon guide cette main vers sa vulve et la presse à cet endroit. Alors, excité, son mari fouille le vagin de sa femme avec ses doigts englués pour les essuyer en elle, avant de revenir chercher une nouvelle dose de sperme sur le pubis et recommencer. Lorsque Manon découvre que toute cette semence a été transférée en elle, elle se met à jouir bruyamment, en pensant que c'est la seule dose légitime en elle depuis des jours.

Dès qu'elle a récupéré, Manon remet en cage la petite bite de son mari, en disant :

« Après toutes ces bêtises, ton petit oiseau mérite bien la prison ! »

Plus sérieusement, son mari s'inquiète de tout le sperme que sa femme a reçu pendant une période fertile. Manon le rassure à moitié en disant qu'elle vient de prendre la 'pilule du lendemain', ajoutant cependant qu'elle l'a prise un peu tard, même peut-être trop tard. Elle se contente de lui dire qu'elle croise les doigts.

Dans les jours qui suivent, Manon est toujours aussi excitée pour une raison qu'elle ne connaît pas, puisque le comprimé que Roxana, sa gynécologue, amie de sa mère, lui a prescrit n'est pas un anti-dépresseur comme elle le lui a dit mais un puissant aphrodisiaque. Son amant sénégalais n'est pas rentré de vacances et, de plus, elle veut d'abord lui montrer son mécontentement pendant un bon moment. Son gentil cocu est un peu disqualifié sur le plan sexuel pour assouvir les besoins qu'elle ressent si souvent. Il lui reste Albert, le majeur d'homme.

Ce soir, elle va passer la nuit avec lui, après avoir interdit à son mari de la suivre. Elle sait bien qu'Albert ne se sentirait pas à l'aise si son patron était là comme voyeur. Ce n'est juste pas possible pour lui qui n'a appris qu'à être au service des autres. Manon sait qu'Albert est amoureux d'elle. Avec lui, la sincérité est évidente, mais Manon ne pourrait jamais être amoureuse d'un homme aussi moche. Ses qualités sexuelles étonnantes ne suffisent pas à le qualifier comme amoureux.

Lorsque Manon rejoint Albert dans sa chambre et l'embrasse, elle est heureuse de voir sur ce visage hideux l'apparence du bonheur. Elle se dit qu'elle peut bien prendre du plaisir avec cet homme malgré sa laideur, puisqu'elle n'a pas fait le tri lorsque les inconnus sénégalais l'ont prise. Ils se déshabillent fébrilement devant le lit avant de s'y jeter. Manon se place sur le dos, cuisses écartées, offerte. Cette position a un avantage certain pour atteindre son plaisir car le sexe tordu d'Albert presse bien sur son point G, dans cette position, à chaque mouvement en arrière. Évidemment, en missionnaire, leurs visages sont face à face, alors Manon reste les yeux fermés, imaginant un autre homme sur elle.

Albert est si heureux de ces retrouvailles qu'il s'agite comme un forcené. Manon en est toute tremblante de plaisir. Lorsque sa jouissance est proche, Albert interroge sa compagne :