L'emménagement en Banlieue

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Mère de famille baisée devant son mari et son fils.
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L'EMMENAGEMENT EN BANLIEUE

Le jour où nous avons emménagé mes parents et moi dans ce quartier ghetto de la périphérie parisienne restera à jamais gravé dans ma mémoire. J'avais 18 ans et mon récent échec au baccalauréat m'obligeait à demeurer dans le giron familial. A ma courte honte, je dois dire aussi que cet effet Tanguy s'expliquait grandement par le manque d'assurance pathologique que j'avais hérité de mon père. Celui-ci m'était toujours apparu comme un être falot incapable de résister à quelque autorité que ce soit et je lui ressemblais hélas. Il allait cependant ce jour-là se montrer cent fois plus veule que je le croyais.

Ma mère, elle, en bonne épouse chrétienne pénétrée du sens du devoir que son éducation religieuse lui avait inculqué, n'aurait jamais eu l'idée de s'opposer à lui. Le pater familias avait beau faire piètre figure, il restait à ses yeux le chef de famille. Il venait pourtant, le chef de famille, de se faire licencier de son emploi de comptable au profit d'un collègue plus jeune et nouvellement arrivé dans son entreprise. Un simple recours aux prud'hommes lui aurait donné gain de cause du simple fait de son ancienneté, mais le courage lui avait manqué de contester la décision de son patron.

Nous avions donc été obligés de quitter l'appartement modeste mais confortable que nous occupions en plein Paris pour déménager dans celui, minable, au 5eme étage sans ascenseur de cet HLM de banlieue.

Nous venions de passer la journée à nous installer et, vers la fin de l'après-midi, nous étions descendus pour faire quelques courses au supermarché à proximité. A peine avions-nous franchi le seuil de l'immeuble qu'un groupe de quatre jeunes manifestement désoeuvrés nous apostropha. Ou plutôt prit pour cible ma mère.

« Ouah! Mais c'est qu'elle serait bandante, la nouvelle voisine! Regardez-moi ce cul! »

Et le plus arrogant, qui semblait être le chef, lui mit la main aux fesses. Elle sursauta et essaya de l'écarter, mais il eut le temps de la palper ouvertement avant qu'elle réussisse à se dégager, rouge d'émotion.

Je n'avais rien osé dire, les yeux rivés sur cette main qui s'enfonçait entre les globes de la croupe maternelle.

Mon père avait tout juste bégayé un dérisoire :

« Vous... vous n'avez pas le droit... « auquel le jeune répondit en riant :

« On n'a pas le droit mais on le prend, Dugland! T'es sur notre territoire, Papa, t'as pas l'air de comprendre! Tu cherches à ce qu'on te mette à l'amende? On va commencer par fêter bien gentiment votre arrivée. Vous allez aux courses, hein? Alors t'oublie pas la Kro! »

Nous sommes repartis tous les trois sans nous parler ni nous regarder..

Dès notre entrée dans le supermarché, mon père nous a entraînés vers le rayon des boissons et, à notre grande surprise à ma mère et à moi, s'est saisi de deux packs de bière. Nous ne buvions jamais de bière à la maison et il a cru bon de se justifier, en détournant toutefois le regard, comme embarrassé :

« C'est vrai que ça se fait de pendre la crémaillère quand on emménage. »

Nous nous sommes regardés sans rien dire Maman et moi, et c'est dans une sorte de gêne que nous avons continué tous les trois à faire le reste des courses.

Quand nous sommes rentrés, la même bande de jeunes se tenait toujours devant l'immeuble.

« Pas trop tôt, a dit le chef. Allez, on monte! »

Et il a ajouté quand nous sommes arrivés devant les escaliers :

« Honneur aux dames! »

Ma mère a baissé la tête et a commencé à gravir les marches. Il lui a emboîté le pas et palpé à nouveau ses fesses, ses amis ricanant derrière lui. Papa et moi fermions la marche.

Aussitôt que nous sommes entrés, le meneur s'est assis sur la canapé sans y être invité tandis que ses copains, à mon étonnement, se contentaient des chaises sans prendre place à ses côtés. Ma mère s'apprêtait à se rendre à la cuisine quand il dit en s'adressant à mon père :

« Tss, tss, tss... Et la galanterie, bonhomme? Tu vas pas laisser Madame faite le service? Allez, occupe-toi des bières! »

Et, se tournant vers ma mère, il a poursuivi :

« Viens ici, toi, qu'on fasse connaissance! »

Le tutoiement autant que le ton impératif nous fit sursauter. Je pensai aussitôt : « Cette fois, Papa va réagir! ». Mais déjà il s'était détourné et entrait dans la cuisine. Je réalisai à ma courte honte que moi non plus je n'avais pas eu la moindre velléité de protéger Maman. Elle me lança un regard paniqué puis, voyant que je ne pipais mot, se dirigea vers le canapé d'in air résigné et s'assit à côté de son occupant.

« A la bonne heure! » ricana celui-ci en posant sur sa cuisse une main possessive. Puis, d'un geste brusque, il releva sa jupe jusqu'à la fourche. Maman était tétanisée. Je déglutis en voyant son intimité pour la première fois de ma vie.

Comment ai-je pu accepter sans réagir ce qui se passait? Le fait est que j'en étais bien incapable, autant que Papa qui revenait avec les bières et voyait lui aussi sa femme cuisses à l'air et son « invité » fouillant sans vergogne dans sa culotte. La vue de cette dernière avait mis ce dernier en joie :

« Ouh la! T'as hérité ça de ta grand-mère? Va falloir que tes hommes te trouvent du plus bandant! Ta taille, ma cocotte?»

Ma mère a jeté à mon père un regard éperdu, mais celui-ci a baissé les yeux. Elle a alors répondu d'une voix étranglée :

« Qua... quarante deux... »

Le voyou s'est tourné alors vers moi :

«J'ai l'impression que le jeune homme aimerait bien aussi voir sa maman un peu plus sexy, pas vrai les gars? A voir sa mignonne petite gueule, il doit se branler en cachette en y pensant très fort à sa man, à sa chatte, à ses nichons, à son cul, hein, le jeune homme? Alors le jeune homme, il va illico retourner au supermarché, rayon lingerie des dames cette fois... T'oublieras pas, taille quarante deux, bas et porte-jarretelles. Pas la peine de prendre de culotte. Elle va plus en avoir besoin maintenant... »

Je regardai mon père, qui rougit en ouvrant son portefeuille d'une main tremblante et me tendit un billet de vingt euros et je me dirigeai à reculons vers la porte. La dernière vision que j'eus avant de sortir fut celle de la toison intime de ma mère à qui le voyou venait d'arracher sa culotte cependant que ses copains se déboutonnaient...

(à suivre)

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8 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 1 minute

Tres bon début , par contre avec 20 euros ça va être compliqué peut-être va-t-il devoir faire de choses pour avoir la lingerie

Genco22000Genco22000il y a 5 jours

Début bien intéressant !

geror64geror64il y a 19 jours

Excellente histoire vivement la suite de cette soumission pour cette ménagère qui promet beaucoup de directives je pense

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Pas mal comme début à voir la suite !

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