Addiction à la Fessée (Suite 01)

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Sophie est incapable de résietr à ses pulsions.
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Ce texte est la traduction française adaptée du récit en anglais de Quin, « A spanking good time, chp.02 ».

Mes visiteurs sont arrivés à l'heure et avant qu'ils ne commencent leur travail, je leur ai proposé de boire un verre. Jacques s'est assis à la table et est resté silencieux tandis que François s'est approché de moi en souriant. J'ai vite compris ses intentions lorsqu'il a commencé à me caresser les fesses pendant que je préparais leurs boissons. Il m'a dit à quel point j'étais jolie et m'a félicité pour mon décolleté en passant ses doigts le long du bord de mon chemisier. Mon soutien-gorge était visible et les deux hommes se sont dit d'accord sur le fait que cela me rendait encore plus excitante. Je n'ai pas protesté lorsque Jacques s'est levé et a rejoint François. A présent, ils jouaient tous deux avec chacun un de mes seins.

"Tous ceux de nos amis qui partagent notre intérêt seraient jaloux s'ils savaient que nous te montrons les délices de la fessée. Je culpabilise un peu de leur faire ses cachotteries. », a dit François.

Un peu choquée, je lui ai demandé :

« Est-ce que vous vous réunissez tous pour en parler? »

« Oui, bien sûr, nous connaissons dans les environs quelques femmes qui se donnent à nous, mais parfois nous devons payer une fille consentante si nous voulons jouir de notre passe-temps. Ce n'est pas très souvent que nous rencontrons quelqu'un comme toi.

J'ai été troublée et j'ai demandé : « Leur avez-vous parlé de moi?

-Non, bien sûr que non. Mais tu ne risquerais rien avec eux tu sais. Ils sont très prudents et ne veulent surtout provoquer aucun scandale. Mais as-tu déjà pensé à l'excitation supplémentaire d'être fessée devant plusieurs témoins?

J'ai toujours été étonnée de voir comment il posait les questions les plus intimes en les faisant paraître tout à fait normales. Quand j'ai répondu que non, il a soupiré, mais sa question m'a taraudée pendant qu'ils jouaient avec mes seins, et je me suis retrouvée excitée à imaginer des inconnus, me voyant recevoir une fessée.

« Est-ce que... est-ce qu'ils habitent le quartier? ai-je demandé en essayant d'adopter un ton détaché et de paraître simplement curieuse.

"Certains oui", a répondu François.

« Ce serait embarrassant si je découvrais que je les connais », ai-je dit en rougissant.

"Pourquoi? Tu nous connais uniquement parce que nous venons faire ton jardin. Ils auraient la même discrétion que nous. Tu crois qu'ils auraient intérêt à se dévoiler eux-mêmes à tout le quartier en leur révélant ta petite obsession? Sans compter qu'ils se priveraient par là même du plaisir que tu leur offrirais.

-Vous... vous les amèneriez? Je n'aurais pas toutes sortes d'étrangers frappant à ma porte? lui ai-je demandé en hésitant.

-On dirait que ça t'intéresse, a-t-il remarqué en souriant.. Non, ils viendraient uniquement sur rendez-vous -- comme nous le faisons -- C'est toi qui décides. Si tu nous avais dit de ne pas venir aujourd'hui, nous ne serions tout simplement pas là. Nous ne te forcerons jamais à rien, et eux non plus. »

Il a attendu une minute puis a demandé :

« Alors? Tu veux essayer en toute confiance sans te mettre en danger? »

Je voulais que François se taise et me laisse le temps de réfléchir. Il l'a senti et pendant un moment nous sommes tous les trois restés là, les deux hommes jouant doucement avec mes tétons dressés. L'image de ces inconnus qui assisteraient à ma fessée ne me quittait pas. J'ai senti mon entrejambes s'humidifier peu à peu et j'ai craqué.

"Eh bien... vous pouvez amener quelques-uns de vos amis avec vous, ai-je dit nerveusement, si... si vous êtes sûrs de pouvoir leur faire confiance."

Je voulais dire qu'ils pourraient les amener lors de leur prochaine visite et je fus surprise lorsque François sortit de sa poche son téléphone portable et passa aussitôt un appel. J'avais pensé, quand j'avais accepté, que je pourrais toujours changer d'avis et je protestai.

"Détends-toi... m'a dit François sur un ton apaisant. Pourquoi attendre? Faisons-le maintenant. »

Et après avoir discuté un moment au téléphone, il m'a dit que nous allions sous peu recevoir de la visite

Sur les charbons ardents, j'ai continué à le questionner : Ces hommes étaient-ils mes voisins? Tout cela avait-il été arrangé auparavant? Comment pouvait-il savoir que j'allais être d'accord? J'avais tellement peur que j'écoutais à peine ses réponses. Qu'avais-je fait? Jacques resta silencieux pendant que son compagnon passait les vingt minutes suivantes à me tranquilliser.

La perspective de ce qui allait suivre les stimulait cependant et ne pouvant plus attendre ses amis, François me murmura soudain :

"Penche-toi sur la table!" J'obéis.

J'étais à peine en position que la sonnette retentit. Mon estomac se noua tandis que Jacques accueillait les nouveaux arrivants et les faisait entrer dans la pièce. Mon coeur battait à tout rompre. Je tournai la tête pour les voir, et là je crus littéralement défaillir!!! L'un des hommes n'était autre que... le père Anselme, le vieux curé de notre paroisse, le prêtre qui m'avait tenu sur les fonts baptismaux et mariée quelques vingt ans plus tard!!! Je le regardai les yeux hagards, paralysée de stupeur. Il souriait d »un air paternel. Ses trois compagnons ne m'étaient pas non plus inconnus. Je reconnus l'épicier de la rue Brancion, un employé municipal préposé à l'état-civil et un homme d'une cinquantaine d'années que j'avais souvent vu dans le quartier promener son chien.

"Voici Sophie", annonça François. Personne ne proposa son nom en retour mais c'était inutile : ils savaient que je les connaissais.

"Cambre toi, Sophie, que ces messieurs puissent t'admirer... » a-t-il ajouté.

J'ai obéi avec anxiété et comme si c'était un signal pour commencer, les hommes ont enlevé leurs manteaux et leurs vestes et ont pris position autour de moi. Lorsque François a relevé ma jupe pour découvrir ma culotte et mon porte-jarretelles, j'entendis leurs premiers halètements, puis la première claque a retenti -- ils ne perdaient pas de temps. J'ai crié. Une deuxième, une troisième ont rapidement suivi, puis un arrêt. Mes fesses, qui s'étaient tendues par anticipation, se détendaient quand une nouvelle série de claques a repris. Je me sentais vulnérable et un peu effrayée par la présence de tous ces hommes dans la maison, quand celui qui se tenait à ma gauche ouvrir lentement sa braguette et mit sa main dans son pantalon! En levant les yeux, j'ai vu François et Jacques debout à mes côtés, ce qui m'a un peu rassurée. Une autre main m'a caressé les fesses, puis d'autres coups, des coups de plus en plus plus durs, m'ont fait me tortiller jusqu'à ce que la sensation de chaleur intime familière commence à m'envahir. Un commentaire a jailli :

« Quel cul elle a! »

L'obscénité du mot m'a électrisée. J'étais une femelle obscène, laissant ces hommes m'utiliser comme une p...., moi une femme mariée mère de faille de réputation honorable aimant son mari et ses enfants! Le bruit de ceintures qu'on débouclait m'a soudain fait frissonner puis j'ai entendu la voix de François :

« Allez-y! »

Courbée sur la table, montrant mes fesses nues à six hommes, j'attendais le cœur battant. J'ai reçu le premier coup de ceinture sur la fesse droite, le second sur la gauche. Modérés au début, ils sont soudain devenus plus intenses. J'ai crié et j'ai essayé de me redresser mais j'ai été maintenue par les bras d'un homme. J'ai commencé à pleurer, à la fois de peur et de douleur et du coin de l'œil, à travers mes larmes, j'ai vu des pantalons jetés sur une chaise -- les hommes se déshabillaient! Le père Anselme, lui, s'est placé devant moi soutane relevée et slip baissé, tenant dans sa main sa bite à demi dressée à quelques centimètres de mon visage. Il a découvert son prépuce et entamé une lente masturbation pendant que les coups continuaient à pleuvoir sur mes fesses. Des doigts rugueux avaient trouvé mon clitoris et à mesure que les coups pleuvaient, je bougeais involontairement les fesses et me tortillais.

J'ai tout à coup entendu une voix impérieuse! :

« Suce-le! »

La pensée que c'était mon vieux confesseur de toujours que j'allais devoir accueillir dans ma bouche m'a à la fois remplie de honte et... galvanisée... J'ai entrouvert mes lèvres en tremblant et sucé le membre turgescent. Mes sanglots se sont peu à peu apaisés. En chaleur désormais, je le branlais maintenant moi-même sans qu'on ait à me le demander..Je mouillais comme jamais.

J'ai appuyé plus fort contre les doigts qui pinçaient mon clitoris. Mes pleurs s'étaient mués en gémissements et en soupirs. En suçant plus fort, j'ai senti que le prêtre était sur le point de jouir, comme les autres que le spectacle faisait haleter de plus en plus rapidement. J''ai tendu ma langue avant d'avaler leurs giclées. Quand une bite avait fusé, je léchais le gland pour y recueillir la dernière goutte. Mon excitation était à la mesure de la honte que je ressentais.

(à suivre)

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 16 jours

Bonjour luc1234 pourquoi ne faites vous pas une suite à cette histoire (en permettant a cette jeune femme de se confesser...)

AnonymousAnonymeil y a 23 jours

Histoire très intéressante . A quand la suite...

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Très bonne histoire, même si tu modifies l'original. Dans la version de Quin, je ne vois pas le père Anselme, l'épicier de la rue Brancion, un employé municipal préposé à l'état-civil et un homme d'une cinquantaine d'années que j'avais souvent vu dans le quartier promener son chien. C'est un petit plus qui ajoute à son humiliation et que j'aime bien.

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