Initiation - 09 (amour bafoué)

Informations sur Récit
Manon est entraînée par son amant dans des orgies risquées.
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Partie 9 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Initiation - 09 (amour bafoué)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Manon, qui vient encore de tromper son vieux mari, Adrien, avec leur chauffeur, est déçue par cette dernière expérience. Alors qu'elle espérait une relation amoureuse avec Mamadou, ce colosse sénégalais, elle a dû se contenter de deux coïts sans tendresse, très excitants, il est vrai, puisqu'elle a joui plusieurs fois. Il faut dire que le risque qu'elle prend depuis qu'elle n'est plus sous contraception ajoute à son excitation. Elle était juste à la limite d'une période dangereuse dans son cycle et, même si son mari a essayé de faire un nettoyage avec ses doigts et sa langue, comme un bon cocu, le danger reste présent.

L'application que lui a donné Roxana, sa gynécologue et amie de sa mère, affiche sur son smartphone les risques du jour dans son cycle, avec une couleur verte, orange ou rouge. Elle rentre aujourd'hui dans une période 'rouge', aussi une grande prudence est-elle nécessaire.

Au lit, ce matin, Manon réveille son mari par une petite branlette qui le fait bien bander, puis, lui montrant l'affichage de son smartphone, elle lui dit :

« Tu vois, dans les jours qui viennent je vais devoir être prudente. Je ne ferai l'amour qu'avec toi pendant cette semaine. Je retrouverai mes amants plus tard. »

« C'est super, ma chérie », répond Adrien qui n'espérait pas être à pareille fête.

Il se couche sur elle pour venir prendre son plaisir, arrêté par sa femme qui lui dit :

« Oh là ! Pas sans préservatif ! »

« Mais puisque ce n'est qu'avec moi, ton mari ... », lui fait remarquer Adrien.

« Justement ! », rétorque Manon, « tu ne voudrais tout de même pas que je me fasse engrosser par mon mari cocu? Ce serait indécent ! Estime-toi heureux de me prendre avec un préservatif. »

Alors, bien équipé et avec le peu de fougue de ses 70 ans, Adrien fait l'amour à sa femme avec beaucoup de tendresse, mais Manon aurait préféré cette attitude amoureuse dans ses rapports avec son amant sénégalais. Peut-être cela arrivera-t-il, se dit-elle, alors que son mari la prend sans lui donner beaucoup de plaisir. L'esprit de Manon est ailleurs et la jouissance reste inaccessible. C'est totalement frustrant pour elle, qui se dit alors qu'elle ne tiendra pas une semaine dans ces conditions.

Curieusement, Mamadou a complètement changé de comportement vis à vis de Manon. Il est plein d'attentions. Ses regards sont différents. On y lit plus qu'un simple désir. Il la frôle et lui vole un petit baiser lorsqu'ils se trouvent seuls. Aurait-il un peu d'amour pour elle? C'est ce que se demande et espère Manon. Plusieurs fois, elle s'est trouvée prête à s'offrir à lui, son amoureux peut-être. A chaque fois, elle s'y est refusée, la période étant beaucoup trop dangereuse.

Pendant toute la semaine, Manon doit se contenter de son mari qui la prend banalement dans la position du missionnaire, avec un préservatif, sans lui donner le moindre plaisir. Pour se sentir moins frustrée, elle tente des approches plus érotiques. Dans la journée, dans une pièce où ils pourraient être surpris, elle ouvre la braguette du pantalon d'Adrien et en sort un sexe qui durcit un peu dans sa main. Elle branle bien son mari jusqu'au moment où elle sent qu'il va jouir. Manon bloque alors l'éjaculation en serrant la petite bite à sa base, puis se place face au gland et relâche sa pression. Les giclées de sperme lui remplissent la bouche. Manon embrasse alors Adrien. Lui faisant pencher la tête en arrière, elle fait tout couler dans la gorge de son mari qui ne peut qu'avaler son propre sperme pour ne pas s'étouffer.

Elle recommence plusieurs fois dans les jours suivants, car cela l'excite beaucoup, mais ne lui apporte malheureusement pas la jouissance qui lui manque, alors que son vieux mari approche de l'épuisement.

Dès la période dangereuse terminée, Manon retourne passer une nuit avec Mamadou, après avoir prévenu son cocu, si fatigué par la semaine passée qu'il la laisse partir sans même demander à être leur voyeur. Mamadou l'accueille par un « je t'aime » qu'elle aurait cru impossible. Il n'est que douceur et tendresse. Manon s'étonne de ce changement. C'est ce qu'elle attendait, mais sa frustration sexuelle lui commande autre chose. Elle veut être traitée ce soir comme la dernière des putains, aussi dit-elle :

« Prend-moi avec ta grosse bite. Baise-moi fort, comme une chienne ! Vas-y ! »

Alors, Mamadou la pénètre sans préliminaires. Son énorme sexe brûle un vagin insuffisamment lubrifié. Manon crie de douleur et de plaisir. C'est ça dont elle avait besoin après sa semaine de frustration. A chaque fois que son amant augmente le rythme du coït, elle lui plante ses ongles dans le dos en le serrant contre elle et l'encourage par :

« Plus fort ! Plus fort ! Vas-y ! Défonce-moi ! »

Lorsque Manon sent le sperme gicler en elle, la jouissance qu'elle attendait depuis une semaine arrive enfin. Puis, tous deux récupèrent dans un grand moment de tendresse. Manon se sent amoureuse et a l'impression qu'il en est de même pour son amant. Ils partagent des baisers et quelques caresses qui vont plus dans ce sens que dans celui de la luxure. Manon se demande si Mamadou est vraiment amoureux d'elle ou si, pour répondre à son attente si visible, il simule seulement. Elle croit avoir la confirmation de l'amour de son amant lorsqu'il lui dit :

« Dans quelques jours, je vais partir au Sénégal pour mes vacances. Pourquoi ne m'accompagnerais-tu pas? Je te ferais découvrir les plaisirs de l'Afrique. »

« Je ne peux pas quitter mon mari comme ça », lui répond Manon, dont les yeux trahissent pourtant son envie.

« Tu pourrais ne rester qu'une petite semaine... », propose Mamadou.

« Bon, je vais en parler à Adrien. On verra bien comment il réagit », conclut Manon avant de le quitter.

Pour en parler, Manon va attendre l'anniversaire d'Adrien, dont les 71 ans tombent deux jours plus tard et qu'ils fêteront à deux seulement. Elle pense qu'il sera en de bonnes dispositions à ce moment là.

Au matin de l'anniversaire, Manon se rend compte qu'elle est indisposée. Cela la rassure, car il y avait tout de même un petit risque dans ses relations sexuelles avec Mamadou. Cela la perturbe cependant car elle avait prévu de se faire prendre aujourd'hui par son mari. C'était son premier cadeau pour lui, si important avant le second. Tant pis pour lui, se dit Manon.

Pour le bon repas d'anniversaire qu'à préparé le majeur d'homme, Manon a choisi une tenue qu'elle vient d'acheter et que son mari ne connaît pas. Elle a choisi une robe longue très couvrante, qu'elle porte sans sous-vêtements. Elle est moulante comme une seconde peau et le tissu est si fin qu'il révèle plus ses formes qu'il ne les cache. Dès son arrivée, Adrien la complimente avant de l'embrasser passionnément. Elle a confirmation d'avoir bien choisi sa tenue en voyant la grosse bosse qui déforme le pantalon du majeur d'homme.

Après le repas, dès qu'Albert les laisse seuls, Manon dit à son mari :

« J'avais deux cadeaux. Je voulais me donner complètement à toi, qui n'a pas eu le droit de me faire l'amour depuis longtemps. Malheureusement c'était compter sans mes règles qui sont arrivées au mauvais moment, mais je vais m'occuper tout de même un peu de toi, avant de te donner ton deuxième cadeau. »

Manon déboutonne le pantalon de son mari et prend en main une petite bite déjà bien dure. Elle branle alors d'une façon très excitante, très lentement, pour faire durer le plaisir. Elle vient par moments soupeser légèrement les couilles avant d'y planter ses ongles. A d'autres instants, c'est le gland qu'elle vient caresser du pouce, étalant le liquide pré-séminal, puis c'est son index qu'elle replie pour presser un ongle pointu juste sur le méat. Entre ces moments qui font sursauter son mari, Manon n'est que douceur dans les mouvements de sa main. Tout en continuant cette branlette, elle ose enfin dire :

« Dans quelques jours Mamadou va partir au Sénégal pour ses vacances. Comme je ne connais pas l'Afrique, j'aimerais l'accompagner. Je ne resterais qu'une petite semaine. Qu'en penses-tu, mon chéri? »

« Je pense que l'Afrique a bon dos », lui répond Adrien, « Je crois surtout que tu es un peu amoureuse. Ça ne m'étonne pas que tu succombes à son charme, mais je te rappelle nos conventions... »

« Oui, je sais », l'interrompt Manon, « mais je reviendrai toujours vers toi... ne t'inquiète pas. »

Après un long moment, pendant lequel sa femme s'active encore plus sur sa pine, Adrien reconnaît sa défaite :

« Bon, c'est d'accord. Je n'aurais jamais cru ça, mais, curieusement, te savoir amoureuse m'excite beaucoup. »

Lorsque Manon lui montre les dates choisies, Adrien demande à consulter l'application puis dit :

« Ton retour tombe dans une période 'orange'. C'est un peu trop risqué, non? »

« Mais non, C'est seulement le jour du retour », rétorque Manon, « Pour un dernier 'au revoir', je ferai attention. »

Manon cèle l'accord de son mari par un long baiser où les langues se mêlent. Puis elle pose un paquet devant son mari, en disant :

« Et voilà ton deuxième cadeau ».

Quelle n'est pas la surprise d'Adrien lorsqu'il ouvre le paquet? Il s'agit d'une cage de chasteté métallique. Cette vue renforce encore son érection, mais ils ne peut cacher sa crainte :

« Merci, ma chérie, mais cette cage est minuscule. Ça n'ira jamais ! »

« Il est vrai que j'ai choisi la plus petite », rétorque Manon, « mais ce n'est pas fait pour un sexe qui bande. Ne t'inquiète pas, je vais t'arranger ça. »

Alors Manon accélère les mouvements de sa main jusqu'à obtenir une copieuse éjaculation qui lui inonde la paume. Au lieu de se nettoyer, elle poursuit alors sa masturbation, utilisant le sperme comme lubrifiant, sans ralentir la cadence. Adrien passe instantanément de la jouissance à la douleur et il crie presque :

« Arrête, arrête ! Tu me fais mal ! »

« Mais je dois te vider complètement avant de mettre la cage », explique-t-elle tout en continuant ses mouvements jusqu'à obtenir une éjaculation bien maigrichonne.

Ce n'est pas cela qui arrête Manon, malgré les cris de son mari qui atteint une hyper-douloureuse troisième jouissance sans la moindre goutte de sperme.

« Voilà, j'ai bien tout vidé ! C'est parfait pour te mettre la cage », conclut Manon dont la chatte se mouille de plus en plus depuis un bon moment.

Une bague sous les testicules, une cage glissée autour d'un sexe tout mou et tout ratatiné, puis un 'clic' du petit cadenas suffisent en quelques secondes à priver Adrien de toute liberté sexuelle.

Manon lui dit alors :

« J'ai choisi une cage en métal, ce qui permet de se laver sans avoir à l'enlever. C'est moi seule qui déciderai du moment de ta libération. Je choisirai probablement une date symbolique comme notre anniversaire de mariage ou la Saint-Valentin. Tu as de la chance parce que certaines femmes ne retirent jamais la cage », avant d'attacher la petite clé sur sa chaîne de cou, ce qui fait s'inquiéter son mari :

« Quand tu vas être au Sénégal, si j'ai un problème, comment ferais-je? »

« Il y a un double », lui répond Manon, « et c'est ma mère qui en a la garde, mais ne t'avise pas de la lui réclamer pour rien ! »

Manon prend un plaisir très cérébral à dominer ainsi son mari, mais elle n'est pas comme ces féministes qui y voient une sorte de revanche sur les hommes, car elle apprécie d'être également dominée par Mamadou. Elle est parfois très excitée d'être quasiment prise de force par son amant, alors qu'à d'autres moments elle apprécie une tendresse amoureuse de ce même homme. Elle est pétrie de contradictions mais ces deux situations l'excitent autant l'une que l'autre.

Quelques jours plus tard, Manon et Mamadou sont prêts au départ. Ce dernier dit alors à son patron:

« Monsieur, je vous remercie de me prêter votre femme pour partager avec moi le début de mes vacances. Ne vous inquiétez pas, elle vous reviendra comme prévu. Nous, les Africains, nous occupons bien d'une femme. »

Entendant cette dernière phrase, Adrien se demande la raison de ce pluriel. Sa femme n'aura-t-elle de relations sexuelles qu'avec son chauffeur ou l'offrira-t-il à d'autres? Cette question angoisse Adrien, pourtant, à cette idée, il sent son sexe presser douloureusement sur les barreaux de sa cage.

Alors que Mamadou part charger leurs bagages, Manon embrasse son mari avant de partir, tout en lui disant à l'oreille :

« Merci pour ces vacances, mon gentil cocu. Tu vas pouvoir imaginer tout ce que je vais faire pendant ces jours ... et ces nuits... avec mon amant. Tu verras, ton imagination remplacera au mieux tes images de voyeur et ça fera bien bander ton petit oiseau en cage. Je ferai certainement tout ce à quoi tu penseras... et probablement beaucoup plus. Pour une fois, je serai dans une relation sexuelle à la fois physique et amoureuse. »

Puis, serrant sa main sur la cage, à travers le pantalon de son mari, elle ajoute :

« Je rentrerai bientôt ... ou ... peut-être pas? »

« Oh, non ! », s'écrie son mari, ce qui fait dire à Manon :

« Mais non ! Je te taquine. Tu sais bien que je suis une femme ... fidèle. »

Arrivés au Sénégal, les deux amoureux s'installent dans l'appartement que Mamadou possède à Dakar, puis ils partent découvrir la ville et les environs. Manon a choisi, avec cette chaleur, de porter un minuscule bustier qui moule bien sa poitrine et une mini-jupe d'un fin tissu sous laquelle elle n'a rien mis, comme à son habitude. Mamadou est très fier de se promener au bras d'un femme blanche aussi sexy, qui attire le regard de tous les hommes qu'ils croisent. Il laisse par moments glisser sa main sur la mini-jupe, voire au-dessous, en particulier lorsqu'ils sont assis à table au restaurant.

Ce premier soir, de retour à l'appartement, ils s'embrassent passionnément et se déshabillent l'un l'autre avec une frénésie qui montre leur envie de faire l'amour. Mamadou entraîne Manon sur la terrasse où il a disposé un matelas au sol. Ils s'y couchent, nus, et chacun se délecte du corps de l'autre, alternant caresses du bout des doigts et baisers à tous les endroits possibles. Puis ils se serrent fortement, dans une étreinte amoureuse, et roulent sur le matelas, Manon refusant à cet instant la pénétration. Mamadou se retrouve sur le dos, son énorme sexe tendu comme un mat. Manon se place tête-bêche avec lui et prend le gland en bouche pour le sucer doucement et l'aspirer légèrement. Sa langue efface un peu de liquide sur le méat.

En même temps, son amant suce une chatte qui est plus qu'humide, avant d'en écarter les lèvres avec ses doigts. Il pousse sa langue dans l'entrée du vagin trempé. Puis, il glisse son index dans l'anus, faisant ainsi sursauter Manon à ce plaisir inattendu. Lorsque la bouche de son amant quitte son sexe, Manon ne se sent frustrée qu'un instant car Mamadou introduit son pouce dans le vagin libéré. La fine peau qui sépare les deux conduits est pincée, malaxée entre pouce et index et cela déclenche chez Manon un premier orgasme, qui s'accompagne d'une grosse giclée de sperme dans sa bouche.

Heureuse, amoureuse, Manon remercie son amant par des caresses affleurantes sur cette peau dont la couleur tranche d'une façon très érotique avec la sienne. Elle caresse doucement ce gros et long sexe qui s'est à peine détendu. Ils échangent quelques mots d'amour, alors que la main de Manon continue de flatter le membre de son amant. Au bout de quelques minutes, l'érection est revenue. Manon s'étonne et se ravit de la vigueur de l'homme qu'elle aime.

Alors, elle se place à califourchon au-dessus de lui, tournée vers lui pour que leurs regards se retrouvent, puis elle se laisse descendre vers ce mandrin bien vertical qui l'attend. Manon, dont le vagin est trempé, s'empale dessus, jusqu'au fond. Cela l'excite de voir que les grosses couilles de Mamadou touchent les lèvres de sa chatte. Alors elle se relève, puis redescend, et recommence, dans un mouvement qu'elle veut lent pour bien en profiter. Elle se délecte ainsi de son amant, sans chercher une étreinte brutale qui trancherait trop avec ces instants d'amour qu'elle apprécie en ce moment.

Leur relation sexuelle a deux témoins sur le balcon de l'appartement d'en face. Manon et Mamadou, bien qu'il fasse nuit, sont un peu visibles. En effet, il y a un léger clair de lune et quelques lumières dans l'appartement en vis à vis. Les deux immeubles sont très voisins, séparés par une ruelle. Dans les pays chauds, les constructions très proches ne sont pas rares pour profiter ainsi d'une ombre rafraîchissante. Manon, tournant la tête, aperçoit les deux voyeurs et s'écrie :

« Oh, Mamadou, on nous regarde ! », tout en essayant de se relever pour quitter le balcon et cacher sa nudité.

C'est sans compter sur la force de son amant qui la maintient alors fermement par les hanches, en disant :

« Donnons-leur du spectacle, ma chérie. Ça n'engage à rien et je suis certain que ça va même t'exciter. »

Manon doit admettre en pensée que Mamadou a raison et elle reprend ses mouvements sur le membre tendu, sur lequel elle s'empale avec plus de vigueur. Le coït qu'elle rythme se poursuit avec encore plus de force. Se sentir regardée fait couler d'avantage la chatte de Manon, qui n'ose cependant pas tourner la tête vers les deux voyeurs. Ce n'est pas le cas de son amant qui voit que des hommes affluent sur le balcon d'en face. L'information de cette aubaine a visiblement fait rapidement le tour du quartier et ils sont maintenant une dizaine.

Alors, Mamadou se dégage rapidement et se relève, tout en serrant fortement le bras de Manon, qui ne comprend pas ce changement brutal. D'une main, il fait faire un quart de tour au matelas, puis fait coucher Manon sur le dos. Lorsqu'il lui écarte largement les cuisses, celle-ci voit la foule des voyeurs et les flashs des smartphones et autres appareils de photo. Elle n'a pas le temps de réagir que Mamadou est déjà couché sur elle et la pénètre d'un coup. Manon se sent honteuse mais aussi très excitée par une situation si érotique, d'autant plus qu'elle entend les voyeurs crier :

« Oui, vas-y, baise-la bien ! »

« Défonce-la, cette salope ! »

« Bourre-la à fond ! », et bien d'autres encouragements plus vulgaires les uns que les autres.

Cela devrait rebuter Manon d'être traitée ainsi, mais elle se délecte d'un plaisir pervers, jusqu'au moment où les exhortations deviennent :

« Vas-y, fais-la jouir ! »

« Décharge dans cette pute ! »

« Vide-toi les couilles tout au fond. Elle n'attend que ça ! »

C'est alors qu'ils atteignent une jouissance parfaitement synchronisée et d'une rare intensité. Manon s'étonne de la quantité de sperme dont son amant l'a remplie.

Après une très courte récupération, Mamadou aide Manon à se relever et, l'entourant d'un bras musclé, l'entraîne vers la balustrade de la terrasse, puis s'adresse aux voyeurs, commençant par :

« Demain soir... », interrompu par Manon qui lui murmure à l'oreille :

« Je veux bien recommencer, mais, demain soir, j'aimerais simplement que tu ne me baises pas mais que tu ne me fasses l'amour, seuls dans notre chambre. »

« Bon, alors, ce sera le lendemain », répond Mamadou, conciliant, avant de dire aux voyeurs d'une voix forte :

« Si ça vous tente, vous pourrez revenir après-demain, pour un autre petit spectacle, vers 17 heures, comme ça vous pourrez mieux voir. »

A l'idée d'une exhibition en plein jour, Manon se sent si excitée que sa petite chatte se mouille de nouveau.

Deux jours plus tard, Manon se laisse entraîner sur la terrasse, où Mamadou a placé le matelas bien en face des voyeurs. Il a envie de l'exhiber, aussi lui enlève-t-il immédiatement le peu de vêtements qu'elle porte et se met nu également. C'est dans une totale nudité qu'ils se placent contre la rambarde. Cette fois le balcon d'en face est noir de monde, rempli d'un grand nombre d'hommes mais aussi de quelques femmes. Un des voyeurs a même placé une caméra sur un trépied pour immortaliser la scène. Manon s'inquiète, se disant qu'un film sur lequel elle sera bien reconnaissable risque de se retrouver su Internet. Cependant, elle n'ose pas en faire part à son amant qui a l'air d'apprécier cette exhibition. Comment pourrait-elle refuser ce plaisir à l'homme qu'elle aime et qui lui a fait l'amour comme un dieu dans leur intimité, la veille au soir? De plus, cette exhibition l'excite, de même que le risque d'être vue sur une vidéo indiscrète rendue publique.