Sandra - La Discothèque...

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Petite assistante pulpeuse, je voudrais satisfaire mon Boss.
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 04/06/2024
Créé 02/26/2024
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sandradruuna
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...j'avoue avoir un faible pour mon Boss... il m'a embauchée il y a quelques semaines, prêt à me donner ma chance dans son agence en tant qu'assistante, alors que je suis déjà une femme de quarante ans de petite taille, et que les autres assistantes ont à peine de 25 à 30 ans et des silhouettes de mannequins... mais il m'a dit qu'il me trouvait "charmante", plaisantant sur le fait qu'une assistante brune le changerait des blondes actuelles, et qu'il était sûr que je lui donnerai satisfaction...

ça m'a fait du bien d'entendre ça, tellement j'étais dans une période difficile, avec le chômage pendant quelques semaines, la baisse de revenus, et mes relations avec mon mari devenues plus tendues... mon époux travaille souvent en soirée, voire de nuit, et le fait que je le côtoie toute la journée pendant des semaines a créé des tensions et des disputes entre nous, comme si ma présence dans la journée le gênait... alors j'ai été soulagée de retrouver un emploi...

pourtant, j'aime mon mari, qui a toujours été très "entreprenant" avec moi, à la fois très pervers et très jaloux... il a toujours aimé me donner des petits noms gênants, souvent insultants, surtout quand il me "baise comme une salope", comme il aime me le dire en pleine action... et l'action, avec lui, ça ne manque pas... au moins entre ses bras je ressens très bien son amour pour moi... je le ressens mentalement, et toutes les parties de mon corps le ressentent charnellement, puissamment, et profondément... on aime tous les deux énormément le sexe, presque violemment... du coup, quand je l'ai rencontré après des années d'errance qui m'ont valu une réputation de "pute" et de "suceuse" dès le lycée, je me suis dit qu'avec lui je pouvais envisager de me calmer, et d'essayer de devenir enfin respectable... alors quand il m'a demandée en mariage, j'ai dit "oui"...

mais parfois, j'ai l'impression qu'il me considère plus comme sa propriété que comme son épouse... il aime me voir dans des tenues serrées et courtes, ce qui attire forcément des regards pleins de mauvaises intentions, mais il me rappelle souvent que je suis à lui, sa femme, son épouse et sa "chienne" à lui seul... et c'est vrai que cette situation bizarre me rend dingue de lui... j'aime sa manière de me baiser et de me dominer de cette façon pourtant odieuse...

je pense vraiment que ce qui a attisé sa libido, mais aussi sa jalousie hélas, c'est ma galactorrhée, qui m'a affublée d'une poitrine devenue encore plus volumineuse qu'avant en seulement quelques mois... ça lui fait plaisir d'avoir sa petite "vache à lait" à lui... il m'appelle comme ça exprès pour me gêner car il sait que c'était un surnom méchant que des filles m'avaient donnée au lycée... c'était avant que les mecs de la fac m'appellent systématiquement "druuna", surnom que je trouvais très gênant en apprenant son origine, mais quand même plus flatteur...

...mais s'il me taquine avec mon surnom "vache à lait", il ne cache pas qu'il apprécie encore plus mes seins paraissant énormes sur ma petite taille, et mes coulées de lait dont il raffole, et qu'il aime déclencher dès qu'il me baise... il dit que maintenant, mes seins paraissent presque aussi gros que mes fesses, pourtant charnues, et qu'il adore ça... j'avoue que ce trouble hormonal est à la fois très gênant et... assez excitant, dans certains contextes...

je perçois encore plus qu'avant le regard insistant de beaucoup d'hommes sur moi, que je sois seule ou avec mon mari... il adore me voir "matée" par tous ces inconnus, je sais que ça le rend fier même s'il ne me le dit pas... je le sais car il aime que je m'habille sexy, non seulement pour ma lingerie quand nous sommes dans l'intimité, mais aussi pour ma garde-robe quand je sors avec lui... il choisit souvent pour moi des vêtements et bikinis que je trouve assez osés, et qui me font sentir très exposée quand je les porte pour lui faire plaisir....et j'avoue que moi aussi j'aime les porter... je me sens désirée par mon homme, et aussi par tous ces hommes qui caressent mes formes du regard, et au fond de moi ça me fait plaisir... mais le gabarit de mon époux dissuade mes "admirateurs" de m'approcher, et il se ferait une joie d'éliminer rapidement la "concurrence" avec sa façon musclée... il aime qu'on me mate, mais il ne supporterait pas qu'on me touche...

ce vendredi soir, pour nous récompenser d'une dure semaine de travail, mon Boss m'a invitée, avec cinq autres collègues, à une "sortie détente" en boîte...

il nous a prévenus au dernier moment, et a précisé que comme les autres assistantes n'étaient pas disponibles, j'aurai l'honneur d'être la seule femme de l'agence à profiter de cette soirée... en me voyant très surprise et décontenancée par cette invitation surprise, il m'a dit de ne pas m'inquiéter, que j'étais "parfaite" pour sortir ce soir, même dans ma tenue de bureau (un tailleur-jupe courte devenu trop serré, mais qui m'allait comme un gant avant ma galactorrhée et mes petits kilos de plus)...

j'avoue que je me sens flattée de l'invitation et de son appréciation sur ma personne, alors que je manque souvent de confiance en moi, surtout par rapport à mes jeunes collègues assistantes...

entre autres, je me dis que sortir avec eux en discothèque me rendrait peut-être plus "cool" et agréable à leurs yeux, car je voudrais tourner la page d'un incident...

il se trouve hélas que mon Boss et mes collègues connaissent mes problèmes de prolactine, à cause d'une importante réunion la semaine dernière... j'étais, comme souvent depuis que mon Boss m'a recrutée, la seule assistante, et la seule femme, présente à cette réunion, pour lui "faire le plaisir d'être à sa disposition", comme il dit... mais comme d'habitude, j'étais très consciente des regards appuyés de tous les participants sur mes cuisses gainées de bas, bien visibles à travers le plateau de verre de la table de réunion, et sur le volume de ma poitrine, mise en évidence par le large décolleté de mon chemisier... et son galbe était d'autant plus saillant qu'elle était appuyée sur la table, car ma petite taille fait qu'elle était littéralement posée dessus, telle une paire de gros melons offerts sur un plateau... bref, en prenant de plus en plus conscience de ça je ne savais plus où me mettre... je commençais à m'agiter nerveusement sur mon siège, croisant et décroissant mes jambes sous la grande table en verre, tout en sentant une moiteur de plus en plus abondante entre mes cuisses que je serrais sur mon string détrempé... et là, comme pour me calmer, mon Boss placé à ma gauche a posé sa grande main toute chaude sur une de me cuisses, en faisant "shhhh, petite Sandra"... là, en sursautant avec un gémissement de surprise, j'ai clairement senti une coulée de cyprine m'inonder l'entrejambe... le cœur battant la chamade, j'ai rougis encore plus, sous tous leurs regards envieux et coquins....

...ce geste totalement inattendu de mon Boss, et tous ces visages me dévorant des yeux, m'ont tellement émue que le relief de mes mamelons est devenu encore plus visible sous le tissu hyper tenu de mon chemisier... surtout que la main de mon Boss, toujours posée sur ma cuisse, me caressait (involontairement?) à chacun de mes croisements de jambe...

...alors j'ai fini par croiser mes bras par dessus mes seins, en les comprimant un peu pour essayer de me rendre plus "modeste"... mauvaise idée... mes bras pressaient ma poitrine depuis quelques minutes, la massant presque à chacun de mes changements de position, ce qui me stimulait malgré moi et me rendais encore plus nerveuse... et trempée...

et c'est ainsi que je me suis laissée surprendre par une montée de lait qui a commencé à souiller mon soutien-gorge carmin et mon chemisier blanc, détrempés et devenus visqueux sous mes avant-bras... ça m'a obligée à quitter rapidement la salle de réunion, me levant sans prévenir, le bras croisés sous ma poitrine en essayant de cacher mes gros seins avec mes petites mains, alors qu'on était en plein échange avec ces importants clients... en revenant des toilettes, toute rouge de honte, j'avais remis ma veste de tailleur sans la boutonner (je ne peux plus fermer mes vestes, mais je ne peux pas encore toutes les remplacer), et je marchais en gardant mes fesses vers le mur pour cacher mon postérieur... en effet, j'avais vu dans le miroir des toilettes que ma courte jupe beige étaient clairement tachée par mes abondantes fuites de cyprine... mais on pouvait encore voir entre les pans de veste que mon chemisier était trempé et collait à ma peau, à cause des éclaboussures de ma maladroite tentative de nettoyage... mon Boss, de son air sévère qui le rend étrangement beau, m'a demandé de me justifier de ce départ très malpoli et de cette "tenue négligée", et a exigé que je présente mes excuses à nos clients, à mes collègues, et bien sûr à lui-même... après les avoir priés d'accepter mes plus plates excuses, j'ai bien été obligée de leur expliquer que j'étais sortie si précipitamment à cause d'un trouble hormonal ayant souillé mon chemisier... mon Boss, très perplexe, m'a ordonné d'être plus explicite... prise de court, j'ai soulevé les pans de ma veste pour leur montrer mon chemisier que j'avais nettoyé à l'eau savonneuse pour diluer mes taches de lait... mais en baissant les yeux devant leurs visages ahuris, j'ai vu que mon chemisier mouillé adhérait tellement à ma poitrine opulente qu'on voyait très clairement la forme de mes mamelons, dressés et encore gorgés de lait, à travers la fine dentelle de mon soutien-gorge carmin devenu partiellement visible... j'ai rougi à en avoir les oreilles brulantes en voyant leurs regards étranges, presque malsains... j'ai baissé les yeux, au bord des larmes... mais mon Boss a détendu l'atmosphère en plaisantant sur le fait qu'ils avaient finalement de la chance, car "certaines choses ne sont pas aussi plates que les excuses de notre petite Sandra", tout en me tapotant la cuisse de sa grande main... ils ont tous ri, trop fort, et je me suis sentie très humiliée, mais en même temps un peu soulagée qu'ils aient l'air de me pardonner, surtout quand mon Boss m'a caressé les cheveux pour les dégager de mon visage...

depuis cet incident, donc, je ne sais vraiment plus où me mettre dans l'agence quand je croise mon Boss et mes collègues, dont les regards insistants me semblent énigmatiques, mais surtout lubriques...

...je me fais peut-être des idées, mais parfois j'ai l'impression qu'ils lisent en moi, comme s'ils savaient quel genre de fantasmes érotiques inavouables je cachais au fond de moi... pourtant, quand je vais sur des sites pour adultes avec mon ordinateur portable professionnel, j'utilise toujours la navigation privée...

...alors finalement, sur un coup de tête, pour essayer de faire oublier cet incident humiliant et me rendre plus sympathique à leurs yeux, j'accepte d'accompagner mon Boss et mes cinq collègues... par contre, c'est évidement un drame pour moi quand je m'isole dans un bureau vide pour téléphoner à mon mari, lui racontant que je suis retenue toute la soirée, pour une durée indéterminée, à cause d'un dossier hyper sensible et très urgent... mais je lui promets, pour l'amadouer, qu'à mon retour il pourra me prendre la bouche de façon "extrême", comme il aime, mes bras croisés dans le dos, totalement soumise à son rythme quand il me ravage la gorge... sentant qu'il doute de mon prétexte, j'en rajoute encore, en minaudant comme une bimbo stupide, lui assurant que je suis et reste sa salope à lui, et qu'il pourra se venger de mon absence dès demain en me sodomisant comme la pire des chiennes, comme il aime vraiment, en m'attachant les bras dans le dos... mais même cette promesse ne parvient pas à le calmer, et on s'énerve tous les deux... je sais que je suis obligée de lui mentir à cause de sa jalousie, mais je me sens quand même très coupable et honteuse une fois que je lui raccroche au nez, en rage et trop éprouvée par ses propos hargneux... surtout après qu'il m'ait dit, pour la dixième fois au moins, qu'il espère que je n'allais pas "faire ma salope" avec un autre, et que je ne dois pas oublier que je suis sa "vache à lait" et sa "salope" à lui seul... je mets mon téléphone en silencieux pour ne pas qu'il me harcèle en me rappelant, et je rejoins mon Boss et mes collègues, les yeux encore humides suite à cette dispute téléphonique...

...en sortant du bureau et en les voyant tous les six sur le seuil, avec des sourires énigmatiques, je réalise qu'ils ont probablement tout entendu, y compris mon mensonge et mes promesses obscènes, et je tremble et rougis... alors mon Boss m'entoure doucement mais fermement les épaules de son bras (comme je me sens petite et fragile contre son grand corps presque aussi musclé que celui de mon mari!), et il me murmure à l'oreille : "Ne t'en fais pas ma petite Sandra, tu mérites bien mieux dans ta vie, et je vais te le prouver dès ce soir."

...et son souffle chaud, caressant mon oreille et mon cou, me donne des frissons...

...au fond de moi, sans me l'avouer, je vois aussi dans cette sortie en boîte le meilleur moyen de passer un peu de temps avec mon Boss en dehors du bureau, dans un contexte où j'aimerais lui paraître aussi intéressante, et peut-être même désirable, que les jeunes femmes de l'agence, même si au lieu d'une vraie tenue de soirée, je reste habillée avec mon tailleur-jupe de bureau, heureusement assez sexy...

mais une fois arrivée avec eux à cette discothèque dont je n'avais jamais entendu parler, tandis que je me vois offrir un verre de vodka au bar par mon Boss pour me "détendre" après ma dispute, je constate qu'à part les hôtesses à l'entrée, il n'y a bizarrement aucune femme, ni sur la piste de danse, ni au bar, ni dans les fauteuils... il n'y a que de grands gaillards, apparemment de toutes origines et couleurs de peau, dont certains ont même l'air de gangsters... du coup je me sens très gênée, habillée si court et si serrée dans mon tailleur-jupe courte, avec mon corps de petite femme pulpeuse juchée sur mes hauts talons... mais mon Boss et mes cinq collègues, qui ont l'air très détendu, continuent de bavarder avec moi au bar, tout en m'offrant d'autres verres de vodka, toujours selon eux pour me "réconforter" de ma dispute avec mon mari... puis, tous les six m'entraînent sur la piste, et m'encerclent pour danser autour de moi...

...alors, me sentant désormais bien plus détendue et un peu "pompette", moi aussi je commence à danser au milieu d'eux, les yeux fermés, comme abandonnée, en me déhanchant lascivement sur les beats de la musique electro, hip-hop et reggaeton... parfois, je sens des mains qui me frôlent, ou peut-être qui me caressent, mais je me sens trop bien sur le coup pour rechigner et gâcher cet agréable et rare moment de détente totale... au bout de quelques dizaines de minutes, je suis déjà en sueur... et soudain, en réalisant qu'au moins quatre à cinq mains différentes me caressent maintenant avec bien plus d'insistance, jusque sur ma poitrine et mes fesses, je rouvre les yeux pour voir d'où vient l'attention qu'on me porte, et rappeler que je suis mariée...

...horreur... prise dans mon délire de danseuse invétérée, je n'ai pas remarqué que tous les autres types de la boîte, atour de nous, ont cessé de danser, et se sont attroupés autour de notre groupe... pire encore, la plupart ont extrait leur sexe de leur pantalon, et se masturbent en me regardant danser... je voulais bien sûr me sentir "cool", attrayante et même désirable pour mon Boss en venant ici, mais je ne veux pas être l'objet de la convoitise malsaine d'autant de grandes brutes inconnues... je me tourne vers mon Boss et mes collègues, les questionnant et les implorant des yeux, mais ils se contentent de sourire en défaisant leurs ceintures...

essayant de me ressaisir malgré les brumes d'alcool qui me rendent un peu lente d'esprit, je décide donc d'arrêter l'expérience ici et de quitter la piste de danse... mais trop tard... sur un signe de mon Boss, comme s'ils s'étaient mis d'accord avant, mes cinq collègues m'attrapent fermement et me retiennent... certains me tirent les cheveux, d'autres me tiennent les bras... je sens soudain d'autres mains qui commencent à courir le long de mon corps et qui soulèvent ma jupe serrée, qui finit par glisser avec difficulté sur mes fesses rebondies et reste enroulée sur ma taille... horrifiée, j'entends leurs exclamations et leurs commentaires quand ils voient mes fesses, exposées entre ma jupe relevée et les jarretières élastiques de mes bas dim-up, et enserrant la dentelle noire de mon string... ils saisissent alors le haut de mon chemisier et en font sauter tous les boutons, exposant mon soutien-gorge de dentelle noire lui aussi, dont déborde presque ma poitrine... d'autres mains le baissent rageusement et le calent sous mes seins, qui se retrouvent ainsi totalement exposés de manière obscène, avec mes mamelons dressés par l'extrême tension qui m'habite maintenant... tension aggravée par leurs mains qui commencent à triturer et pétrir toutes les parties de ma poitrine, ce qui me fait ressentir un début de montée de lait... leurs terribles massages se poursuivent inlassablement, ma chair mammaire est continuellement pressée et malaxée... mes mamelons sont pincés, léchés, vrillés, sucés, mordillés et aspirés... je me sens vraiment comme une vache en train de se faire traire les mamelles... ou comme la victime de vampires vicieux assoiffés de lactose... et bientôt ce traitement épouvantable me déclenche une éruption incontrôlable de lait épais... sous la pression continue et intense de toutes ces mains avides, mon lait devenu plus fluide commence à gicler par jets, dont une bonne partie éclabousse mon corps... je deviens rapidement couverte de mon propre lait de la tête aux pieds...

...tout en essayant de me débattre contre cette horde sauvage, je sens des bras puissants qui m'attrapent les cuisses et les écartent au-dessus d'un homme qui vient de s'allonger... il est immense, très costaud, et son sexe ne cesse de gonfler à vue d'œil, tel un pilier d'ébène... je n'en crois pas mes yeux... je suppose alors, dans un bref éclair, que ces hommes doivent tous être des acteurs de porno tellement leurs sexes paraissent gigantesques...malgré la musique qui continue, je réalise soudain que je profère des cris... insultes, demandes de pitié... tout y passe, mais rien n'y fait, au contraire... il semble même que cela les rend encore plus hargneux... ils me forcent à m'agenouiller au-dessus du colosse allongé, tout en me tenant les bras écartés, ce qui met mes seins poisseux de lait et rougis par leur traite encore plus en évidence... j'ai l'impression d'être victime d'une crucifixion obscène...

... c'est à ce moment je repense à mes lectures honteuses et secrètes, qui semblent se concrétiser comme jamais je n'aurais cru possible... les scènes horribles du Marquis de Sade, les passages les plus crus de Virginie Despentes, les innombrables histoires de Literotica... un instant, j'ai comme l'impression d'être prise dans un cauchemar où se réalisent mes fantasmes les plus inavouables...

...je sens maintenant de nombreuses langues lécher mon lait sur les parties dénudées de mon corps, y compris la peau de me cuisses là où ils ont déjà déchiré mes bas... des mains continuent à malaxer mes seins devenus glissants de lait et de salive, des doigts et des bouches continuent de me triturer et traire les mamelons pour me faire gicler encore plus de lait, d'autres me caressent ou me claquent les fesses... et je me rends compte que mon vagin, très humide, commence à dégouliner de cyprine... j'en suis abasourdie... soudain je sens le tissu de mon string s'enfoncer entre mes lèvres trempées malgré moi, me soulevant presque du sol, puis je le sens et l'entend se déchirer dans un craquement prolongé... les larmes aux yeux, je commence à hurler de plus belle...

...des hommes placés près de mon visage viennent le fouetter de leurs queues rigides et lourdes, et l'un d'eux profite de ma bouche ouverte sur mes cris pour s'y introduire sans ménagement, tandis que des mains m'agrippent les cheveux et le visage pour me forcer à ne pas tourner la tête... je sens ma bouche envahie par ce gland très large, suivi de cette colonne de chair dure, longue et épaisse, qui bientôt heurte l'entrée de ma gorge tel un bélier défonçant la porte d'un château... ces poussées finissent par me forcer le passage, ce qui me provoque des spasmes qui me font dégurgiter des flots de salive visqueuse... ce monstre me pilonne la bouche et la gorge avec hargne, et je ne peux respirer que quand il sort partiellement pour y replonger, laissant à chaque fois ma salive me jaillir de la bouche en flots épais et gluants...

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