Satisfaire Mme Martinet

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Envoyé par mon coach pour aider sa collègue blessée.
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Rainett
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Mme Martinet était une vraie terreur. C'est tout ce que je savais d'elle. Elle dirigeait l'équipe féminine universitaire. Sous sa direction, l'équipe avait été 4 fois championne universitaire. Elle était adorée par la direction de l'école. Mais c'était une véritable garce. Elle terrorisait tout le monde, filles et garçons. Elle avait un très fort caractère, un regard glacial, mais surtout, tout le monde redoutait sa langue de vipère. Ses remarques désobligeantes, son ironie méprisante, ses réparties cinglantes qui nous laissaient pantois en nous faisant passer pour des idiots. Chaque étudiant sain d'esprit faisait tout son possible pour éviter de se trouver sur sa route.

Pas seulement les filles de son équipe. Malgré sa taille moyenne, assez svelte, les étudiants les plus costauds s'écartent prudemment quand ils la croisent dans les couloirs. Je pense que même ses collègues professeurs la craignent un peu. Je pense qu'elle serait capable de dépecer un étudiant vivant, et de le regarder souffrir avec délectation, comme on le fait avec l'observation de la grenouille épinglée sur une planchette.

« Emerson ! » Mon coach a hurlé lorsqu'on se dirigeait vers les douches. « Tu passeras à mon bureau après la douche »

« Vous ne pouvez pas trouver quelqu'un d'autre, coach? » J'ai plaidé après qu'il m'ait expliqué ma mission.

« Bien sûr que je pourrais, mais c'est toi que j'ai choisi ! » Il me fixait de son regard d'acier.

« Bien, coach ! » J'ai immédiatement cédé.

« Samedi matin à 9 heures précises. Voici son adresse » Il me tendait un morceau de papier froissé. J'ai lu l'adresse griffonnée sur le morceau de papier déchiré.

« Ne me mets pas dans la merde, Pierre » ajouta le coach d'un ton plus aimable. « L'université a besoin de Mme Martinet en pleine forme cette saison si l'équipe veut gagner cinq trophées de suite. Ce sera assez compliqué pour quiconque d'égaler ce record »

« Je ferai de mon mieux, coach » ai-je promis.

« Surtout, qu'elle n'ait pas à se plaindre de toi ! » son avertissement sonnait comme un ultimatum.

Avant que j'atteigne la porte, il a ajouté : « Elle n'est pas aussi mauvaise qu'on le prétend »

Je n'y ai pas cru une seconde et la grimace du coach, en guise de sourire, n'était pas non plus encourageante. J'ai ouvert la porte et j'ai remonté le couloir, le cœur rempli de glace.

En marchant dans l'avenue bordée d'arbres, j'observe les numéros de chaque maison. Les feuilles changent déjà de couleur malgré le soleil encore présent. J'y suis presque chez Mme Martinet. Elle se blesse, et je dois faire des corvées chez elle? Ce n'est pas juste. Je sais qu'on ne peut pas me forcer, mais si je veux garder ma place dans l'équipe, je dois obéir aux ordres de l'entraîneur, et garder le silence à ce sujet. C'est là, le numéro 2709, un bâtiment bas, un grand terrain avec des arbustes bordant l'allée menant à la porte d'entrée, avec des parterres fleuris bordant la maison elle-même.

Je me dirige vers la porte en faisant attention à ne pas marcher dans l'herbe, hésitant entre sonner et frapper à la porte. Qu'est-ce qui sera le moins dérangeant? J'appuie sur la sonnette et je grimace en entendant le carillon sonore que j'ai déclenché. La porte s'ouvre et elle se dresse devant moi, parvenant à paraître hautaine malgré sa silhouette fluette.

« Oui? » demande-t-elle, le regard scrutateur.

« Je suis Pierre » J'attends qu'elle réagisse, en espérant qu'elle me reconnaisse et qu'elle sache pourquoi je suis là, mais son expression ne change pas.

« Euh... Le coach m'envoie »

« Ah, oui, bien sûr. Je te retrouve dans la cour arrière. Passe par là. Il y a une porte sur le côté » Mme Martinet agita sa main libre avec dédain pour me montrer la direction, puis me claqua la porte au nez. Je suis resté comme un idiot, les bras ballants, planté devant la porte fermée, en ruminant mon ressentiment.

Puis je me calme en respirant un grand coup, je contourne la maison, je déverrouille le portail, et j'entre dans la cour arrière. Il y a une piscine au centre d'une grande cour bordée de hautes haies, des massifs fleuris, un grand saule pleureur avec une table de pique-nique installée à l'ombre de l'arbre.

J'admire la beauté de l'ensemble. La façade de la propriété, bien que jolie, ne laissait pas deviner un endroit aussi charmant. Mme Martinet apparaît et traverse avec précaution le patio en protégeant son talon droit. C'est la seule preuve visible de sa blessure. Elle contourne la piscine et s'arrête, ignorant ma présence tandis qu'elle examine ses fleurs. Je m'approche d'elle, et j'attends tranquillement qu'elle se souvienne de ma présence.

« Penses-tu être capable de tondre la pelouse sans souffler de l'herbe sur les allées, ni abîmer mes fleurs? »

« Je ferai très attention » La dernière chose dont j'ai besoin, c'est qu'elle se plaigne de moi auprès du coach. Je prends un air compétent pour essayer de lui donner l'assurance que je suis la personne adéquate.

« Je ne peux pas laisser mon mari faire cela. Pas assez appliqué, ni assez minutieux. J'espère que si tu ne t'en sens pas capable, tu auras l'honnêteté de me le dire avant de tout massacrer »

Mme Martinet fixe son regard scrutateur sur moi. Elle me semble à présent plus grande que moi. Je baisse les yeux.

« J'en suis capable »

« Très bien, mais rappelle-toi qu'il vaut mieux un travail bien fait qu'un travail rapide. Tu trouveras tout ce dont tu as besoin dans ce hangar » elle agite sa main avec mépris vers le coin de la cour, et s'éloigne en me frôlant.

Je me tourne pour la regarder s'éloigner. Je voulais lui jeter un regard mauvais pendant qu'elle me tourne le dos, mais sa silhouette me fait changer d'avis. Même avec sa légère claudication, ses jambes galbées sont attirantes. Mme Martinet est peut-être un chameau, mais c'est une belle femme. Malgré son âge, son corps porte les traces d'années d'exercice physique. Les rides de son visage indiquent son âge véritable, mais son corps tonique est parfaitement attrayant.

Mes yeux sont restés braqués sur le galbe de ses fesses et de ses cuisses jusqu'à ce que vois mon reflet dans la porte fenêtre, et son regard scrutateur qui m'épiait.

Il m'a fallu beaucoup plus de temps que je ne le pensais pour tondre la pelouse. J'étais pétrifié à l'idée de commettre une irréparable erreur. Heureusement, je m'en suis bien sorti. Dès que j'ai arrêté la tondeuse, Mme Martinet est apparue. Elle a fait le tour de ses massifs, examinant mon travail avec soin.

Pendant que je nettoie et range la tondeuse, j'admire son corps svelte et ses formes délicieuses. C'est une folie. Que Dieu me vienne en aide si elle me surprend une nouvelle fois en train de regarder ses fesses. Le coach me comprendra, mais il aura mon scalp de toute façon.

Mme Martinet contourne la cour. J'ai rangé la tondeuse, et je la suis sur la dernière moitié de la cour, un mètre derrière elle. Tandis qu'elle scrute les bords de la pelouse, je scrute ses fesses agréablement fendues. Arrivée au bout, et pas avant, Mme Martinet s'est tournée vers moi et m'a souri.

« Tu as fait du bon travail. Reviens après le diner, et je te donnerai une autre tâche »

Je suppose que je n'aurai pas de récompense, ni boisson fraîche, encore moins un déjeuner, ni même un merci. Tant pis. Je ferais mieux de partir au plus tôt. Je la regarde s'éloigner, mais je détourne le regard avant de me faire surprendre. Je me sens ridicule en rentrant chez moi parce que je suis à l'étroit dans mon short. Allez, mec, arrête tes conneries. Elle a plus de quarante ans. Encore heureux que je n'ai pas eu une érection devant elle, pendant que je matais ses fesses galbées.

Après le déjeuner, j'ai fait directement le tour sans sonner à la porte d'entrée. Mme Martinet était allongée dans un transat dans la cour arrière, près de la piscine. Je m'approche paisiblement et je me tiens près d'elle, derrière et un peu sur le côté. J'attends qu'elle remarque que je suis là, mais j'ai vite réalisé qu'elle doit dormir. Sur le point de toussoter pour annoncer ma présence, je m'arrête, craignant sa colère si elle ne voulait pas être dérangée. J'ai pensé à ressortir pour aller sonner à la porte, mais je suis resté là.

Mme Martinet porte un débardeur et un short qui sont assez révélateurs. Son ventre bronzé est plat. Elle n'a jamais eu d'enfants. Ses seins ronds remplissent son débardeur d'une manière très agréable. Son bras gauche est replié pour soutenir sa tête, une posture qui fait saillir le mamelon malgré le soutien-gorge dont je peux discerner le contour. La jambe droite de Mme Martinet est repliée, et ses cuisses écartées au soleil dessinent le short gonflé par le pubis de Mme Martinet.

« Je ne dors pas »

« Oh, euh, je ... »

« Viens ici, devant moi, que je te vois »

Mme Martinet me regarde avec son sourire malicieux pendant de longues secondes, et je rougis en réalisant qu'elle était consciente de ma présence depuis un certain temps, et qu'elle savait que je la regardais. Heureusement, elle détourne son regard vers le jardin au moment où mes joues commencent à rougir.

« Je pense que tu devrais commencer par ce coin, là, au cas où tu te tromperais »

Mme Martinet se lève maladroitement et titube en protégeant davantage son talon que ce matin. Elle boite vers le coin de la cour, et je la suis. Elle me dit quoi faire. Il y a un sac d'outils de jardinage. Elle se penche et me tend l'outil approprié, puis elle retourne vers son transat, mais trébuche. Rapidement, je m'avance pour la soutenir, une main attrape son bras et l'autre sa taille pour l'empêcher de tomber. Mais elle me repousse avec colère.

« Je peux me débrouiller toute seule »

Mme Martinet fait encore deux pas et retombe. Je reste immobile. A genoux, elle me tend son bras.

« Aide-moi, s'il te plaît »

J'ai pris son bras pour l'emmener vers son transat. Mais elle s'arrête.

« En fait, amène ma chaise ici. Je vais devoir te donner des instructions »

J'ai apporté la chaise longue et Mme Martinet s'est assise, gardant soigneusement son talon droit surélevé du sol. Je me retourne et je me mets au travail. L'après-midi se passe avec moi travaillant et Mme Martinet donnant périodiquement ses instructions, mais de moins en moins souvent à mesure que le temps s'écoule. Je suis lucide, et son attention me prouve sa défiance à mon égard. Je fais de mon mieux pour contourner les fleurs sans casser un seul pétale.

De temps en temps, Mme Martinet se lève, et j'avance sa chaise de quelques mètres pour qu'elle soit près de moi. Au troisième mouvement, elle s'est assoupie, et un léger ronflement s'échappe de ses lèvres. A genoux devant elle, je prends le temps de la regarder. Ses genoux relevés et étroitement serrés me bloquent la vue vers son visage et l'empêchent de voir le mien, ce qui est une bonne chose si elle ouvre les yeux. Cependant, ses pieds espacés m'offrent une vue dégagée sur l'ensemble de ses cuisses musclées et de son short plaqué contre son pubis, dessinant avec une précision chirurgicale son anatomie.

Quelque chose dans mon short a commencé à bouger, et ce n'était pas une souris. Mme Martinet a glissé dans le transat, pressant son short contre son entrejambe. Malgré sa culotte, la forme de sa chatte mature se voit clairement. Ma bouche se dessèche et j'humecte mes lèvres avec le bout de ma langue. Je m'imagine déjà, allongé sur elle, entre ses jambes écartées, plantant mon sceptre vainqueur entre ses lèvres accueillantes. Mon sexe est se plus en plus à l'étroit dans mon short.

« Cela devrait suffire pour aujourd'hui. Tu as fait du bon travail »

Sa voix me ramène à la réalité. Mme Martinet me regarde à travers ses jambes écartées. Ma rêverie m'a empêché de m'apercevoir de son changement de position. Mon visage devient cramoisi.

« Je peux finir, si vous le souhaitez »

« Ne sois pas absurde. Tu as travaillé dur, et ton visage est tout rouge »

Mme Martinet a du mal à se relever, et je bondis pour l'aider.

« Merci, Pierre »

Sa façon de prononcer mon prénom me fait frissonner.

« Aide-moi à rentrer dans la maison »

Cette fois, Mme Martinet ne s'oppose pas lorsque mon bras entoure sa taille. Je m'arrête devant la baie coulissante mais elle me demande de l'aider pour rentrer dans la maison. Elle me guide vers son fauteuil dans le salon. C'est élégamment meublé. De très bon goût, même à mes yeux ignares.

« Peux-tu revenir la semaine prochaine? »

« Je peux venir demain, si vous le voulez » J'espère ne pas lui paraître trop impatient.

« Non, non, mon mari est à la maison, demain ! »

Je suis étrangement déçu de devoir attendre une semaine entière pour revoir cette soi-disant « terreur ».

« Eh bien, je pourrais revenir mercredi après-midi. Mes cours se terminent à midi, et le coach ne dira rien si je fais sauter l'entraînement »

« Tu ne dois pas faire sauter l'entraînement »

« Le coach m'a dit qu'il me donnait mon après-midi pour mon excellent travail » dis-je fièrement.

Mme Martinet me sourit, mais son sourire est étrange. Un sourire carnassier.

« Bien, je suis d'accord, Pierre »

Cette fois, mon prénom a une sonorité différente. Pendant tout le trajet du retour, j'ai rejoué ce son, encore et encore, dans ma tête. J'ai dû ajuster mon short, mais j'ai finalement laissé mon érection se gonfler comme une saucisse le long de ma jambe droite. Pourquoi tout le monde pense que c'est une garce? D'ailleurs, pourquoi l'avais-je pensé moi-même?

À l'université, c'est une petite femme sévère qui terrorise les étudiants. Dans son éternel survêtement, elle a un air sportif. Mais à la maison, elle est douce et féminine, presque sexy. J'attends mercredi avec impatience.

Le mercredi arrive enfin. J'ai usé mon pénis en imaginant Mme Martinet succombant sous mes assauts virils. Mme Martinet m'attend sur sa chaise longue. A côté d'elle, une petite table supporte une cruche contenant ce qui semble être une limonade, avec deux verres et des morceaux de citron.

Mme Martinet porte un débardeur à dos nu en haut, et une jupette en bas, le tout dans un camaïeu de vert qui sied à son teint. La jambe droite est étendue, l'autre est croisée sur son genou, soutenant le magazine qu'elle lit.

« Bonjour, Pierre »

J'ai répondu à son salut, mais sans m'attarder pour lui faire la conversation. Je m'agenouille rapidement pour commencer à jardiner. Après un moment, je pense être dans l'axe de ses jambes, alors je me retourne pour la regarder. Perdu ! Avec sa jambe tendue, l'exposition tant convoitée n'est pas disponible et de toute façon, elle peut me voir regarder sous sa jupette.

Déçu, je me remets au jardinage. Cinq minutes plus tard, je tente de nouveau ma chance. Bingo ! Elle a changé de position. Les jambes relevées, les genoux joints, les pieds écartés, même le magazine étalé sur ses cuisses m'offre une protection. Seule déception, sa culotte bleu pâle jure avec son ensemble vert.

Reprenant une contenance, je déplace mon outil dans la terre pour lui donner l'impression que je travaille toujours, mais je fixe mon regard sur sa petite culotte. Pendant que je la regarde, Mme Martinet déplace sa main pour venir gratter sa cuisse, tout en haut, près de sa fesse. Je regarde sa chair trembler sous l'action de ses doigts, sa culotte dessine clairement la fente de sa chatte, j'imagine son orifice, là au milieu. Lorsque sa main a caressé sa cuisse, j'ai failli avoir une attaque.

Je suis fasciné. Sa main continue de caresser sa cuisse, et j'en oublie de gratter la terre avec mon outil pour donner l'impression de travailler. Je n'ai pas réussi à détourner mon regard à temps lorsqu'elle a abaissé ses genoux. Je dois affronter son regard. Elle ne semble pas en colère.

« Veux-tu une pause? Tu as l'air tout rouge, et tout essoufflé ! »

Se peut-il que mon regard vide paraisse suffisamment stupide pour la leurrer?

« Oh, oui » je balbutie en fixant mon regard sur le pichet.

« Alors, verse-nous un verre » dit-elle en continuant de gratter le côté de la cuisse. Je rampe à quatre pattes pour contourner le transat. Je sers deux verres, et je lui en tends un. J'ai failli m'étouffer avec ma première gorgée. C'est du gin tonic !

Mme Martinet se soulève légèrement pour boire, c'est alors que je remarque qu'elle le porte pas de soutien-gorge. Elle a déposé son magazine entre ses jambes. Elle ne me prête aucune attention. Elle tient son verre d'une main, et caresse sa cuisse de l'autre. Ce mouvement agite son mamelon sous le tissu. Mon regard avide ne peut se détacher de son téton qui pointe sous le coton.

Mme Martinet, regarde sa jambe, la cuisse qu'elle continue de caresser, et commente :

« Ça fait du bien. Avec ma blessure, je ne fais plus d'exercice et mes muscles s'ankylosent. Cela m'aide »

Je hoche la tête et je regarde sa jambe.

« Mes doigts ne sont pas assez forts pour bien pétrir mes muscles, surtout ceux des mollets »

Je regarde le mollet musclé de Mme Martinet. Je ne peux pas croire que ses doigts ne sont pas assez forts. Quand je croise son regard, Mme Martinet me scrute attentivement.

« Penses-tu pouvoir m'aider? »

« Aider? » je répète stupidement.

« Oui. Serais-tu capable de masser mes jambes? »

Je regarde ses jambes, puis mes mains pleines de la terre du jardin.

« Ne t'inquiète pas pour tes mains terreuses. Je ne suis pas une princesse fragile »

Mme Martinet a mis à plat le dossier de sa chaise longue, puis elle s'est tournée sur le ventre, avant de poser sa tête sur ses avant-bras croisés.

« Quand tu auras fini ton verre, tu pourras me masser les jambes »

« Et le jardin? »

« Tu pourras finir plus tard. Il vaut mieux que tu t'occupes de mes jambes avant que mon mari revienne »

Donc, j'ai rapidement avalé le reste de la boisson, et je me suis déplacé près d'elle. Immédiatement, je pose ma main sur sa cheville. Je frotte son pied et sa cheville en remontant jusqu'à mi-mollet.

« Masse-moi tout le mollet. Appuie bien sur le muscle »

J'ai donc massé la jambe de Mme Martinet, du pied jusqu'au genou, en repoussant bien le muscle. Mme Martinet m'a récompensé avec des commentaires encourageants, et c'est avec confiance que je me suis déplacé vers sa jambe gauche sans y être invité.

Mme Martinet garde le visage appuyé sur ses avant-bras et ses yeux fermés tout le temps que je travaille sur ses jambes, alors je jette un regard furtif au-dessus de ses genoux pour admirer l'arrière de ses cuisses musclées.

Pendant que je travaille sur le bas de ses jambes, j'essaye de les écarter un peu. Je réussi à écarter ses chevilles et le bas de ses jambes, mais à partir des genoux tout reste hermétiquement clos. Je rêvasse et je pétris moins fort, caressant plus que massant. Mon esprit s'égare sous la jupette de Mme Martinet, imaginant des merveilles. Mon massage se mue en caresse. Je suis surpris par son intervention.

« Va plus haut » murmure-t-elle.

Mes mains glissent au-dessus des genoux de Mme Martinet, jusqu'à mi-cuisses. Elle détend ses jambes en laissant un espace. Une étroite bande de culotte bleu pâle apparaît sous sa jupe. Je masse les muscles des cuisses de Mme Martinet, en prenant mon temps pour progresser, craignant de commettre une erreur, et d'aller au-delà de ce qui est toléré.

J'essaye encore d'écarter davantage ses jambes et cette fois, elle se laisse faire. Devant mes yeux ravis, j'ai le panorama complet de ma conquête, ses jambes toniques, ses fesses dissimulées sous un voile de coton bleu pâle, son dos nu, sa nuque rousse.

Mes yeux ne cessent de parcourir son corps avec envie, mais surtout la partie désirable de ses cuisses, souvent cachée sous sa jupette. Mes doigts pétrissent les chairs tendres, à l'intérieur des cuisses. Ils s'aventurent dans ce périmètre que l'on pourrait qualifier de zone interdite, sous sa jupette, tout près de sa culotte bleue, répondant dans mon esprit à une invitation muette.

Soudain, Mme Martinet se relève sur ses coudes, me regarde par-dessus son épaule, et cambre son dos pour regarder ses fesses. Mes mains se statufient à proximité de sa culotte.

Rainett
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