Maman Fessée

MAMAN FESSEE

Ce texte est la traduction adapatée en français de celui rédigé en anglais de Waltzer et intitulé « Spanking my mother ».

Ma femme était absente et ma mère commençait à vraiment m'énerver. Elle vivait avec nous depuis près d'un an maintenant, et même si au début elle s'était bien comportée elle avait peu à peu empiété sur notre vie privée et semblait prendre un malin plaisir à provoquer ma colère. En outre, ma femme apprécie les fessées occasionnelles, mais avec ma mère à la maison, la pratique devenait difficile -- les murs n'étaient pas si épais.

Quoi qu'il en soit, comme je l'ai dit, ma femme était absente pendant une semaine pour un stage de perfectionnement dans le cadre de son travail. Maman venait de réussir à casser une assiette et semblait trouver cela amusant. Elle me regarda d'un air provocant et elle s'apprêtait à en faire tomber une autre. J'en avais assez pour une journée.

"Ne fais pas l'enfant, Maman. Tu n'es pas trop vieille pour une fessée", lui dis-je.

Elle m'a regardé, les yeux légèrement baissés, dans une attitude qui me surprit. J'aurais juré que mes paroles avaient atteint le but qu'elle s'était fixé sans que je m'en doute.

"Tu n'oserais pas, je suis ta mère" répondit-elle. Mais son ton était rien moins que virulent. On aurait dit qu'elle attendait cet instant.

J'ai hésité une seconde, puis mon agacement a atteint son paroxysme. J'étais debout dans la salle à manger, elle était dans la cuisine.

"Viens ici maintenant!"

Etonnamment, ma mère obéit sur le champ et me rejoignit dans la salle à manger. J'ai approché une chaise de la table avec mon pied --

« Viens ici!" lui ai-je ordonné.

Elle a obéi le rose aux joues.

"Marc, à quoi joues-tu? Tu ne peux pas vouloir ça..."

Je lui ai pris le bras et me suis assis sur la chaise, d'un seul mouvement. Elle a été déséquilibrée et a vacillé. J'en ai profité pour la coucher sur mes genoux et lui ai claqué les fesses. Elle a crié ( un mince « ooh ») et elle a couvert ses fesses de ses mains dans un mouvement instinctif. J'ai encore hésité; pouvais-je faire ça? J'ai vite pris ma décision :

"Enlève tes mains. Maintenant! »

Mère a laissa échapper sur le ton de la supplique :

"Marc, tu ne peux pas faire ça!".

Ignorant ses paroles, j'ai regardé ses fesses dodues. La jupe était d'un tissu ample et lourd, très incommode pour une fessée. J'en ai saisi l'ourlet et l'ai retroussée. Elle a à nouveau crié, et à nouveau ses mains se sont portées sur ses fesses, cette fois pour essayer de cacher sa culotte blanche.

"Maintenant, écoute bien, Maman, ai-je dit. Je t'ai demandé d'enlever tes mains. Je vais te donner une fessée et si tu oses encore essayer de te protéger les fesses, la fessée je la double! »

Elle a gardé le silence mais sa respiration s'est faite lourde

"Tu m'entends?"

Elle a hésité puis a répondu un timide « Oui, Marc ».

-Bien."

J'ai alors remonté sa culotte jusqu'à la faire entrer dans sa raie puis j'ai levé la main et j'ai commencé à la fesser. Elle a gémi et s'est tortillée. Ma bite, sous son ventre, a commencé à se dresser.

Cette fois, elle a crié :

"Oh, Marc, je suis désolée. Je vais... être gentille."

Elle implorait mais quelque chose, une sorte d'excitation dans sa voix me disait qu'elle avait recherché ce qui lui arrivait et qu'elle en jouissait..

"Trop tard, Maman!"

Ma main commençait à me faire mal. Je me suis arrêté et j'ai regardé sa culotte. Ses fesses en débordaient, devenues rouges. Puis j'ai regardé de plus près, presque incapable d'en croire mes yeux : l'entrejambe de sa culotte commençait à s'assombrir! Elle mouillait! J'ai hésité une seconde, puis j'ai pris ma décision.

"Quand je t'en donnerai la permission, tu te lèveras. Tu te tiendras debout devant moi, face à moi, et tu garderas ta jupe relevée comme maintenant. Tu as compris?"

Elle a émis un « oui » étouffé. Je lui ai claqué les fesses par deux fois ;

"Je suis désolé, je n'ai pas entendu.

-Oui! a-t-elle dit, plus fort cette fois.

-D'accord, lève-toi."

Elle a eu du mal à se relever, s'est tournée vers moi et a remonté sa jupe. Juste devant mon visage, la tache s'élargissait sur sa culotte blanche. Devant la fixité de mon regard, son visage est devenu encore plus rouge qu'il ne l'était déjà. Je me suis levé et j'ai reculé d'un pas.

"Voici ce qui va se passer à partir d'aujourd'hui, Maman. Nous sommes lundi et je vais te donner une fessée tous les soirs de cette semaine. Samedi, quand Françoise reviendra, je vous fesserai toutes les deux ensemble. Maintenant, nous n'en avons pas encore fini pour ce soir. Puisque tu sembles sensible à mes petites attentions, si j'en juge par l'état de ta culotte, tu vas te finir devant moi. Allez-branle-toi, salope! »

Elle a frémi, a fermé les yeux et, sans rien dire, a descendu sa main vers sa chatte....

(à suivre)