Initiation - 09 (amour bafoué)

BÊTA PUBLIQUE

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Mamadou a envie de faire monter leur excitation en communiquant d'une voix forte avec les voyeurs qui ne sont qu'à quelques mètres :

« Qu'est-ce qui vous ferait plaisir, les gars? »

« Que tu la prennes à nu, sans préservatif et que tu jouisses en elle », lance l'un d'eux.

« C'est ce que j'ai fait la dernière fois. Vous n'aviez pas bien vu dans la pénombre. Je ne baise jamais encapuchonné. Ça gâche trop le plaisir et cette cochonne n'aime pas ça non plus », répond Mamadou.

« Est-ce qu'elle prend la pilule? », questionne une femme.

« Allez, dis-leur », dit Mamadou à Manon, qui répond alors timidement :

« Non, je n'ai pas de contraception. »

« Et tu baises toujours sans protection avec ton mari? », questionne encore la femme.

« Oui, mais ce n'est pas mon mari, c'est mon amant », répond Manon, « mon mari, lui, n'a plus le droit de me prendre. »

Un « Oh » d'excitation s'élève dans l'assistance, alors que la même femme questionne de nouveau Manon :

« Ton amant risque-t-il de te mettre enceinte? »

« Il y a un risque, c'est vrai, mais pas très important. La période la plus dangereuse commencera demain, mais ce sera le jour de mon retour, alors je ferai attention pour ne pas revenir vers mon mari avec un cadeau embarrassant », répond Manon en riant.

Un « oh », cette fois de déception parcourt la foule des voyeurs.

Mamadou met fin aux échanges en attirant Manon sur le matelas. Il lui suce les seins, puis la chatte. Manon réagit avec encore plus d'intensité que la veille, tant son exhibition est évidente. Elle pense à la caméra qui la filme et s'excite à l'idée de se comporter comme une actrice porno. Alors, Manon a envie d'en rajouter pour se complaire dans ce rôle nouveau pour elle. Elle prend le relais en faisant se relever son amant avant de se mettre à genoux devant lui et de lui faire une fellation. Elle veut le faire à fond, comme elle n'a jamais réussi jusqu'ici. Elle veut prendre tout ce membre énorme dans sa gorge, jusqu'au bout. Elle hoquette, force, jusqu'à en perdre le souffle. Elle en pleure, mais elle veut y arriver. Elle se sent encouragée par les cris des voyeurs qui sont pourtant injurieux pour elle avec des :

« Suce, cochonne ! »

« Vas-y, salope ! »

« Oh, la pute ! »

Au moment du contact des gros testicules sur ses lèvres, Manon lance vers l'assistance un regard où s'exprime sa fierté du devoir accompli. Elle est l'égale des meilleures actrices porno. Aussi continue-t-elle dans la même voie, en se mettant à quatre pattes, les jambes écartées et le postérieur cambré face à ses spectateurs. Mamadou rentre dans le jeu en l'attrapant par les hanches et la pénétrant sans ménagement. Il se met à la besogner comme un fou, à une cadence quasi animale, tant il est excité par cette situation. Ils crient tous deux un plaisir augmenté par ce qu'ils entendent dans la foule :

« Vas-y, baise-la à fond, défonce-la ! »

« Allez, salope, pousse sur sa grosse bite ! »

Mamadou se retire un instant pour déplacer le matelas qu'il vient placer le long des barreaux qui séparent les deux terrasses voisines dans leur immeuble. Manon voit tout de suite la raison de ce déplacement : deux Sénégalais sont quasiment collés aux barreaux et ne ratent rien du spectacle. Manon, qui a compris ce que son amant attend d'elle, se place en position sur le matelas. Mamadou va la prendre encore en levrette, mais le corps de Manon touchera les barreaux. Alors, lorsque son amant reprend possession de sa chatte en y enfonçant son sexe toujours aussi dur, Manon sent des mains caresser son dos puis descendre sous elle pour palper sa poitrine pendante. Les doigts pincent les pointes et les tirent durement vers le bas. Dans l'assistance, ce nouveau partage avec deux inconnus n'est pas passé inaperçu et plusieurs voyeurs crient ensemble :

« Oh, la pute ! »

Entendre ça encourage Manon à aller encore plus loin lorsqu'elle voit qu'un des voisins vient de se baisser, de sortir son sexe bandé et de le glisser entre les barreaux. Elle a instantanément envie de le sucer mais seul le gland lui est accessible. Manon, y fait passer le bout de sa langue, tout autour. Le faire est difficile car elle est poussée en avant par les coups de boutoir de son amant, dont le sexe frappe le fond de son vagin. Mamadou, qui a vu ce qu'elle a entrepris, reste alors planté en elle sans bouger, pour la laisser opérer.

Alors Manon passe une main entre les barreaux pour venir serrer les testicules et les tirer vers elle, ce qui rend le sexe de l'inconnu encore plus accessible. Elle s'aperçoit que le gland a une particularité étonnante qui l'excite : le méat est énorme, comme si le gland n'était que la gaine d'un gros trou. Alors, excitée comme jamais, Manon s'évertue à y faire rentrer la pointe de sa langue. Les voyeurs sont trop loin pour profiter de ces détails érotiques, mais Mamadou ne peut quitter la scène des yeux. Lorsque Manon atteint enfin son objectif, une forte pression sur le bout de sa langue la fait reculer sans avoir le temps de refermer sa bouche, qui reçoit de grosses giclées d'un sperme abondant qu'elle est obligée d'avaler. Au même instant, son vagin est repli d'un foutre épais par son amant qui vient de jouir juste après le voisin. Tout cela suffit à Manon pour atteindre un orgasme dévastateur.

Lorsque les deux amants s'apprêtent à renter dans leur appartement, un voyeur d'en face interpelle Mamadou :

« Essaye de la retenir un peu, pour refaire ça dans les jours qui viennent, lorsqu'elle sera bien fertile. On veut tous te voir l'engrosser. Ce sera le plus beau souvenir qu'elle pourra rapporter d'Afrique. »

« Je vais voir, mais elle part demain... », répond un Mamadou indécis.

« Au moins, pas de douche intime avant qu'elle ne parte », ajoute l'homme.

« Là, c'est d'accord », répond Mamadou.

Lorsqu'ils quittent la terrasse, Manon se précipite vers la salle de bain et se retrouve bloquée par son amant, qui lui dit :

« Non, pas de ça ! J'ai donné mon accord, alors tu ne peux pas aller contre ! »

Manon se résigne. Cela a d'autant moins d'importance que, le soir même, au lit, un petit câlin s'impose avant leurs adieux du lendemain. Cet homme est vraiment insatiable, se dit Manon, qui est heureuse d'avoir trouvé un amant infatigable, qui finit par rajouter en elle une deuxième dose de semence.

Après l'amour, Mamadou tente sa chance en disant :

« Mon frère, Abdoul, doit venir me voir ici demain. J'aimerais que tu le rencontres. Tu pourrais décaler ton vol d'un jour. »

« C'est difficile, mon amour. Je m'étais engagée auprès de mon mari pour rentrer à cette date et je sais que la période l'inquiétait déjà... si tu vois ce que je veux dire », répond Manon, hésitante.

« Nous sommes très proches, tous les deux, alors, si nous allons plus loin ensemble, ce serait bien que tu connaisses mon frère. En Afrique, la famille, c'est hyper important ! »

Après quelques secondes d'hésitation, Manon finit par dire :

« Bon, c'est d'accord. »

Dès le lendemain matin, Manon s'occupe du changement de son vol. Malheureusement, tout est complet, aussi ne peut-elle obtenir une place que deux jours plus tard, mais c'est ce qu'elle choisit, ne pouvant revenir sur l'accord qu'elle a passé avec son amant. Elle téléphone immédiatement à son mari, pour le mettre au courant en lui expliquant qu'elle ne peut pas refuser de rencontrer le frère de Mamadou. Adrien réagit en lui disant :

« Mais, ma chérie, tu seras dans une période dangereuse ! »

« Ne t'inquiète pas, je me tiendrai tranquille », rétorque Manon, qui sait très bien que ce ne sera pas le cas.

Son mari n'est pas dupe non plus et ne peut que lui dire :

« Surtout, sois bien prudente. »

« Évidemment », répond Manon, qui ajoute :

« Comme tu es compréhensif, mon gentil cocu, en rentrant, pour te remercier, je te libérerai ... peut-être. »

Après le déjeuner, Abdoul arrive à l'appartement. Mamadou lui serre la main, ce qui surprend beaucoup Manon, alors que ce frère l'embrasse, elle, dès qu'il lui est présenté. Peut-être les Africains ont-ils, dans leur famille, une coutume entre hommes différente des nôtres, s'étonne Manon. Elle trouve aussi que les deux frères sont bien dissemblables. Abdul est grand et très mince, sans la stature athlétique de Mamadou et les visages ne se ressemblent pas. Sa peau est un peu plus claire que celle de son frère. Discrètement, Manon le fait remarquer à son amant qui lui dit que c'est son demi-frère, d'un autre père que le sien. Elle lui demande également pourquoi son frère vient de lui donner une grosse liasse de billets dès son arrivée et Mamadou lui explique qu'il le rembourse d'un prêt qu'il lui avait fait.

Pendant le reste de la journée, Abdul n'a d'yeux que pour Manon. Celle-ci voit bien qu'elle excite le frère de son amant, dont le sexe gonfle bien le pantalon. Elle est flattée de se sentir ainsi désirée et elle en rajoute un peu. Manon se veut aguicheuse sans toutefois rechercher plus que cela, car elle ressent un amour exclusif pour Mamadou. Aussi quelle n'est pas sa surprise, lorsque, au moment du coucher, son amant lui dit :

« Ma chérie, tu vas aller dans la chambre d'amis et coucher avec mon frère, cette nuit. »

« Mais non ! Tu es fou ! C'est toi que j'aime », rétorque Manon.

« C'est important pour moi », insiste Mamadou, « Ici, entre frères, on partage tout. Fais-le pour moi. »

Manon est si amoureuse qu'elle ne peut rien refuser à son amant, aussi ira-t-elle rejoindre Abdul, mais, auparavant, s'inquiétant des risques qu'elle va prendre, elle demande un préservatif à son amant, qui lui répond :

« Je n'en ai pas. Ici, ce n'est pas apprécié. Ça gâche le plaisir des hommes comme des femmes. »

Résignée mais aussi excitée par le risque qu'elle va prendre, Manon va dans la chambre et se déshabille. Elle se couche nue dans le lit, cachée sous les draps. Malgré son excitation, Manon ne veut que subir, sans rechercher le moindre plaisir, comme pour accomplir une corvée. L'homme qu'elle n'aime pas se met nu et rejette les draps pour découvrir ce corps féminin qui l'excite tant. Abdul caresse doucement, lentement du bout des doigts, puis c'est sa langue qui refait les mêmes trajets. Il va prendre son temps. Il a toute la nuit pour lui. Sous des caresses si sensuelles Manon ne peut empêcher sa chatte de se mouiller.

Elle se dit bientôt que ce pauvre garçon n'a pas à subir son mécontentement. S'il est habituel de partager les femmes entre frères, comment pourrait-il comprendre sa passivité? Alors, Manon se décide à participer pour ne pas contrevenir à cette 'hospitalité' familiale, mais peut-être aussi pour répondre au plaisir qui commence à l'envahir.

Manon laisse glisser sa main entre eux et caresse un sexe fin mais très long. Elle pense à cet instant aux sensations qu'elle aura lorsqu'il va la pénétrer, sensations si différentes de celles ressenties avec le gros sexe de Mamadou. Elle branle doucement ce long membre puis en frotte le gland sur sa vulve trempée. C'est elle qui tire sur ce sexe pour le faire rentrer en elle. Il est si fin que, dès qu'Abdul pousse en avant, la pénétration est tout de suite profonde. Manon sent le contact au fond du vagin. Les longs mouvement d'aller et retour sont d'abord très lents, puis le rythme s'accélère pour devenir endiablé. Maintenant, le gland frappe fortement le col de l'utérus. A chaque fois, Manon se dit que, si Abdul éjaculait juste à cet endroit, elle serait en grand danger. Il serait plus prudent de le repousser avant la jouissance, mais Manon ne peut s'y résoudre, comme si ce risque était devenu indispensable à son plaisir. Alors, lorsque l'homme qui la baise s'arrête, plaquant son gland sur l'ouverture du col, Manon se met à jouir, provoquant ainsi l'éjaculation redoutée.

Dans la nuit, Abdoul la réveillera deux fois pour la prendre de nouveau, jusqu'à un denier coït au réveil qui fait dire à Manon :

« Mais tu es insatiable! »

« C'est vrai », explique Abdul, « Il faut bien que je fasse honneur au ... euh ... cadeau de mon ... euh ... frère. Il me doit bien ça, d'ailleurs, avec ... tout ce que je lui ai donné. »

Pour Manon, cette explication est incompréhensible. Elle avait l'impression que c'était Abdul qui était redevable à Mamadou, mais elle se dit qu'elle n'a pas de raison de rentrer dans des histoires de famille qui ne la concernent pas. Elle va plutôt aller à la salle de bain pour faire la toilette intime qui s'impose en ce moment critique pour un vagin copieusement rempli de sperme.

Dans la matinée, les deux frères emmènent Manon visiter l'arrière pays. Ils sont tous deux très attentionnés, ce qu'elle apprécie. Elle se sent bien avec ces hommes qui ne l'agressent pas pour chercher leur plaisir. Elle se contente de ressentir leur désir, ce que toute femme apprécie.

Au déjeuner dans un restaurant dont la terrasse ombragée est accueillante, ils s'installent à une petite table ronde. Pendant le repas ses cuisses sont discrètement caressées par une main de chaque frère de chaque côté. Manon se laisse faire et accepte même de laisser ces mains remonter sous sa mini-jupe jusqu'à sa petite culotte. Deux doigts se glissent au-dessous du fin tissu et pénètrent en elle. Lorsqu'elle sent que sa jouissance va arriver et qu'elle sera bien difficile à cacher, Manon repousse ces mains trop envahissantes, mais elle sait déjà qu'elle se donnera à eux deux, ce soir.

De retour à l'appartement au milieu de l'après-midi, ils s'installent tous trois sur le canapé, pour prendre un rafraîchissement et quelques friandises.

« Il faut prendre des forces avant notre petite fête sur la terrasse », dit Mamadou.

Manon ne peut s'empêcher de rougir à cette idée, mais elle s'en réjouit à l'avance. Son exhibition avec les deux frères sera encore plus intense et le risque de se faire engrosser n'est pas pour rien dans son excitation qui a rarement été aussi forte.

C'est alors qu'un bruit de sonnette retentit et fait dire à Manon :

« Mamadou, tu attendais quelqu'un? »

« Ce sont probablement mes trois autres frères qui viennent nous rejoindre », répond-il.

« Mais, tu ne m'en avais jamais parlé. Combien d'autres frères as-tu? », questionne Manon.

« Ces trois là seulement, ma chérie », précise-t-il, « mais en Afrique les grandes familles sont nombreuses, tu sais. »

Manon reste avec Abdul pendant que Mamadou va les accueillir. Lorsque Manon découvre les frères, elle trouve que la seule ressemblance avec les deux autres se limite à la couleur de peau, et encore ! La mère de Mamadou se serait-elle faite engrossée par tous les hommes du coin? C'est ce que se demande Manon sans rien oser dire. Elle est encore plus surprise lorsque Mamadou, au lieu de faire les présentations, leur dit :

« Présentez-vous, les gars ! »

Il y a là Ibra, Cheikh et Haroun. Chacun vient serrer la main des deux frères et embrasser Manon. Lorsqu'ils s'installent tous au salon, aucune conversation ne prend un tour familial. Tous se concentrent sur des actualités sportives, comme le feraient des copains. Dans leurs discussions, parlant à l'un d'eux, Abdul se trompe de prénom et se rattrape comme il peut en disant que ce n'était pas à lui qu'il voulait s'adresser. Manon n'y a pas fait trop attention car Haroun la complimentait à ce moment. Chacun des trois a un mot gentil pour elle et elle apprécie de se sentir désirée par ces jeunes hommes. Manon se dit qu'elle risque bien d'être encore l'objet d'un partage entre frères pendant cette soirée, mais cela ne lui déplaît finalement pas.

A 17 heures, leurs conversations sont interrompues par des appels venant de l'immeuble d'en face :

« Allez, venez, venez, venez ! »

Jetant un coup d'œil à l'extérieur, Manon voit bien qu'il y a foule sur la terrasse d'en face, avec même une seconde caméra en position. Alors, tournant le dos aux voyeurs, Manon fait face aux cinq frères et retire son bustier, découvrant un soutien-gorge pigeonnant qui met bien en valeur ses beaux seins, et leur dit :

« Mettons-nous en tenue pour la fête ! »

Manon n'a même pas à retirer sa mini-jupe et ses sous-vêtements car les trois nouveaux frères s'en chargent. Mamadou et Abdul, quasi instantanément nus, entraînent Manon sur la terrasse où elle est accueillie par un « Hourra ! » venant d'en face.

Mamadou la présente à la foule, fier de la montrer. La femme qui avait déjà pris la parole la dernière fois, crie :

« Merci de l'avoir retenue jusqu'à aujourd'hui. Devant nous, vous allez baiser tous les deux cette femme fertile, n'est-ce pas? »

« Non, pas tous les deux », crie Mamadou en retour, « mais tous les cinq, avec tous mes frères ! »

S'adressant cette fois à Manon, la femme questionne encore :

« Et toi, ma salope, vas-tu les laisser jouir en toi, tous? »

Manon répond un « oui » si timide que personne n'a pu entendre en face, aussi lui demande-t-on des deux côtés de la rue de s'exprimer plus fort. Alors Manon, dont l'excitation est à son comble, ose enfin dire :

« Ce soir, j'ai très peur des conséquences, mais je suis très excitée à l'idée de ce que je pourrais faire devant vous. Je n'arrive pas à fixer la limite à ne pas dépasser, alors je ferai ce que vous déciderez. Dites-moi tous ce que vous voulez. »

« Fais-toi engrosser ! Fais-toi engrosser ! », hurle la foule d'une seule voix.

C'est plus qu'il n'en fallait pour faire bander durement les cinq hommes et faire tremper encore plus la chatte de Manon. Mamadou se couche sur le dos, branlant d'une main son sexe gigantesque. C'est une claire invite pour Manon qui s'empale sur ce membre qui lui dilate le vagin. Elle tourne le dos aux voyeurs, car elle veut pouvoir se pencher vers son amant pour l'embrasser. Elle ne peut s'empêcher d'associer l'amour à la luxure. Elle veut lui faire ainsi comprendre que c'est pour lui, pour son plaisir, qu'elle va s'offrir à ses frères. Aux vas et viens qu'elle pourrait faire, Manon préfère un mouvement de rotation de son ventre, très lent et tout en force. Elle masse ainsi le gland avec le col de son utérus. En faisant cela, ce n'est pas que son plaisir qui la guide. Si elle doit se retrouver enceinte, il faut que ce soit au moins de son amant chéri. C'est sa semence qui doit arriver en elle en premier et au meilleur endroit, à l'ouverture du col.

Manon, est toute à cette pensée lorsqu'elle sent un sexe presser sur son anus. C'est Abdul qui a décidé de la sodomiser. Le membre fin pénètre facilement et sa longueur lui permet d'aller très loin dans le fondement de Manon. Depuis le début Mamadou n'a pas bougé. Il se contente du frottement du col de l'utérus sur son gland auquel se rajoute le frottement du sexe d'Abdul à travers la fine peau qui sépare les deux conduits intimes. Quand Abdul accélère son coït anal, Manon en suit le rythme dans la rotation de son ventre. Cela suffit à déclencher la jouissance de Mamadou dont le sperme gicle abondamment, tout au fond. Manon pense instantanément qu'un orgasme féminin a tendance à faire ouvrir plus largement l'ouverture du col et cette pensée suffit à lui faire dépasser la limite. Un jouissance qu'elle crie la traverse alors. A l'entendre, Abdul ne peut lui aussi se retenir plus longtemps et jouit dans le fondement de Manon.

Lorsque Manon se dégage, du sperme coule de ses deux orifices et cette vue enchante les voyeurs qui sont nombreux à crier :

« Oh, elle l'a fait, la salope ! »

Ibra se saisit alors de Manon et la fait mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette. Le sexe qui la pénètre est presque aussi long que celui d'Abdul, mais plus gros. Manon apprécie ce traitement mais, après l'énorme membre de son amant, il lui manque quelque chose. Mamadou, qui est resté allongé sur le matelas à côté d'elle, pour récupérer un peu, lui tient amoureusement la main lorsqu'elle subit les assauts du frère. Pendant qu'Ibra la lime furieusement, Abdul vient se placer à genoux devant le visage de Manon, lui présentant une pine à demi débandée. Elle sait ce qu'il attend et elle hésite à sucer ce sexe qui vient de la sodomiser. Puis Manon se lance dans la fellation attendue, se disant qu'elle ne doit rien leur refuser, ce soir, pour sa dernière fête africaine. Mamadou, murmure alors à l'oreille de Manon :