Initiation - 07 (voyage de noces)

BÊTA PUBLIQUE

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« Pas si fort, Manon, pas si fort. »

« Ne t'inquiète pas. Mon mari doit dormir comme une masse à cette heure », le rassure Manon.

C'est elle qui va rythmer le coït. C'est elle qui a choisi cet homme, pour son plaisir. Cette nuit, il sera son jouet. C'est comme si Albert n'était qu'un sexe, presque un gode tordu, fait pour son plaisir. Manon apprécie la gentillesse de son partenaire d'un soir et même l'amour qu'elle sent bien qu'il a pour elle, mais il n'y aura pas de sentiment de son côté. Les mains d'Albert sont sur elle, sur ses seins, sur ses hanches, sur son flanc. Manon sent bien qu'il est subjugué, qu'il ne veut pas risquer de casser ce moment exceptionnel pour lui par une action trop forte. Il ne sera ce soir que douceur amoureuse.

Alors Manon, qui recherche, elle, des sensations fortes, prend le contrôle. Elle se soulève et se laisse retomber sans ménagement, s'empalant sur cette grosse pine, criant à chaque mouvement. Elle bouge en tous sens. Elle n'a pas envie de faire l'amour car ce serait incongru. Elle veut baiser, c'est ça, baiser. A un moment, en se cambrant dans le mouvement, elle sent le gland presser fortement sur son point G. Cela la fait hurler et Albert est si inquiet qu'il applique sa main sur la bouche de Manon. Elle sent bien que c'est cette courbure anormale du pénis qui provoque cette sensation incroyable à cet endroit si sensible. Elle sait qu'aucun homme normal, quel que soit la taille de son sexe ne pourra la faire jouir comme ça, car c'est une jouissance qui a provoqué son hurlement. Alors, elle recommence son mouvement, se cambrant à l'instant voulu, et son plaisir revient, aussi intense. Et, de nouveau, elle hurle de plaisir dans cette main posée sur sa bouche et qu'elle mord sans même s'en rendre compte. Manon, trop heureuse de cette découverte impensable, recommence, recommence, recommence, criant même plus fort, car Albert a fini par retirer sa main endolorie. Manon fait ça jusqu'à l'épuisement, se couchant alors sur son partenaire pour l'embrasser passionnément, pour le remercier de ces sensations inconnues. C'est alors qu'elle sent le sperme remplir complètement son vagin.

Dans la cabine voisine, son mari n'a rien perdu du spectacle purement sonore. Il a bien failli se laisser aller à jouir et il a dû serrer son sexe à la base pour l'éviter. Il est maintenant cocu, il le sait. Il regrette de ne pas avoir pu être le voyeur de son cocufiage. A cet instant, il pense au fait que les portes des cabines n'ont pas de loquet. Oserait-il? Allez, il va prendre le risque. Adrien va devant la porte de la cabine voisine et l'entrouvre légèrement. Il voit bien le couple sur le lit. L'ouverture de la porte a fait un très léger grincement que seule Manon a entendu. Elle tourne la tête pour voir ce qu'il en est est et découvre son mari, qu'elle rassure d'un grand sourire. Alors, dans l'encoignure de la porte, Adrien sort son sexe tendu et reprend sa masturbation en la regardant.

Manon a senti le membre d'Albert se raidir encore en elle. Elle a envie de retrouver ce plaisir nouveau qui sera décuplé à l'idée d'être vue par son mari. Alors elle reprend ses mouvement, en disant à son partenaire d'un soir :

« Ne bouge surtout pas ! C'est trop bon comme ça ! »

Il est vrai que cela permet à Manon de contrôler complètement son plaisir. Il est vrai également que, dans cette position dominante, elle cache son mari voyeur.

Manon reprend sa chevauchée. Elle maîtrise maintenant parfaitement les mouvements qui permettent au gland de presser sur son point G. Tout à l'heure il s'agissait de pressions à cet endroit sensible, mais Manon a envie de plus encore. En se cambrant très brutalement, elle arrive à donner des coups sur son point G, qui la font hurler si fort que l'on doit pouvoir l'entendre depuis le quai. Dans ces conditions, le coït ne peut durer longtemps. Il se termine comme un feu d'artifice par la jouissance simultanée des deux partenaires, qui s'enlacent alors comme deux amoureux et s'endorment, usés par cet intense plaisir.

Le voyeur retourne sans bruit dans sa chambre, ne laissant comme seule trace de sa présence qu'une traînée de sperme sur la porte de la cabine voisine.

Au petit matin, Manon, consciente qu'elle doit rejoindre son mari, se réveille auprès d'un amant qui dort profondément. Sans bruit, elle attrape ses vêtements et, toute nue, revient dans la cabine voisine.

Elle se couche à côté d'Adrien qu'elle réveille d'un long baiser, comme si c'était sa façon de le remercier de la liberté qu'il lui a offerte.

« Comment te sens-tu, mon cocu chéri? », demande Manon.

« J'en avais envie depuis si longtemps ! Tu as été merveilleuse, mon amour », répond son mari, qui ajoute :

« Cela a été exceptionnellement bon pour toi, si j'en crois tes cris, n'est-ce pas? »

« Ne te vexe pas », répond Manon, « mais c'était bien meilleur qu'avec toi ! Son sexe tout tordu presse à certains endroits comme tu ne pourras jamais le faire. »

« Es-tu accro? Aurais-tu envie de recommencer avec lui? », questionne son mari.

« Au début », répond-elle, « je pensais ne faire l'amour qu'une fois avec Albert, juste pour te faire cocu, mais maintenant ... je ne sais plus ... »

Entendre ça fait encore monter l'excitation d'Adrien qui se couche sur sa femme adultère pour la prendre ... comme s'il voulait réaffirmer ses droits, mais Manon, qui repense à ses lectures sur Internet, l'arrête de suite en disant :

« Oh, là ! Pas sans préservatif. Je t'ai trompé et, à partir de maintenant, tu devras toujours en mettre un. C'est la règle pour les cocus. Baiser à nu est réservé aux amants. Et puis, là, je suis trop fatiguée pour que tu me prennes, même bien équipé. »

-----------

... à suivre ...

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Anonymous
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2 Commentaires
APVapvAPVapvil y a 6 mois

Parfaitement excitant

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Comme toujours excellent récit

j'ai hate de lire la suite

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