Initiation - 06 (le mariage)

Informations sur Récit
Enterrement de vie de jeune fille, mariage et nuit de noces.
8.6k mots
4.75
5.1k
1

Partie 6 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Manon est perdue dans ses pensées qui ne tournent qu'autour de son futur mariage, lorsqu'elle reçoit un appel téléphonique de sa mère. Nathalie lui annonce une mauvaise nouvelle : lors d'une première visite de contrôle, sa gynécologue a vu qu'elle venait de faire une fausse couche sans s'en être rendue compte. Lorsque Manon lui fait part de sa tristesse, sa mère lui dit :

« A l'approche de la quarantaine, c'était déjà très tard. Alors, Manon, n'attend pas trop longtemps avant de me faire grand-mère. »

« Oui, maman », lui répond sa fille, qui ne veut pas contrarier sa mère dans ces circonstances.

Manon se dit cependant qu'elle a tout son temps et veut profiter un peu de la vie sans les contraintes d'une progéniture alors qu'elle n'a pas encore 19 ans !

Dans les mois qui suivent, pour oublier, Nathalie s'investit encore plus dans la préparation du mariage de sa fille, l'aidant à choisir un modèle original de robe et à la faire retoucher par une couturière après chaque essayage. Elle s'occupe aussi du choix de décoration florale de la salle de réception et de tous les détails qui permettent d'approcher la perfection pour la cérémonie et la soirée.

A deux semaines de la date fatidique, Manon vient chez ses parents pour un dernier essayage de sa robe de mariée. Nathalie tient à partager ce moment avec sa fille et elle l'aide donc à ajuster la robe. Dans cette tenue, Manon est plus que parfaite. Ses seins sont bien mis en valeur par la forme bustier du haut de la robe qui se révèle un excellent 'push-up'. Seuls les longs cheveux bruns, légèrement bouclés, pourront dans certains mouvements de tête cacher la vue de cette poitrine très découverte, avant de la faire paraître encore plus offerte. Le bas de la robe moule les formes de Manon comme une seconde peau. Une très longue fente laisse apercevoir par moments une jambe finement galbée. La traîne n'est pas très longue, pour ne pas entraver les mouvements, mais son frottement au sol est suffisant pour tirer un peu la robe vers l'arrière, faisant ainsi, lors de la marche, ouvrir la fente jusqu'à découvrir presque complètement une cuisse. L'ensemble donne à Manon une certaine classe, tout en étant très sexy.

Elle devrait être comblée mais son visage n'est pas radieux et Nathalie s'en inquiète :

« Quelque chose te déplairait-il, ma fille? Tu est pourtant magnifique dans cette robe. »

« Maman, ce n'est pas la robe », lui répond Manon, « je me demande si je ne vais pas faire une erreur. »

« Mais quelle erreur, ma chérie? », s'étonne Nathalie.

« Dans deux semaines », explique Manon, « je vais me marier avec Adrien... un homme de 70 ans... et le jour de mes 19 ans ! Alors je me demande... si la différence d'âge ... »

Manon ne sait comment terminer sa phrase, comment faire part à sa mère de toutes ses inquiétudes, alors Nathalie vient à son secours :

« Je comprend que tu puisses t'inquiéter, que tu puisses craindre que ton futur mari ne soit pas ... comment dire ... à la hauteur des besoins d'une jeune femme. Déjà, pense à la vie facile que tu auras, une vie de loisirs que t'offrira un homme riche et fou de toi, une si belle et si jeune femme dont il n'aurait jamais pensé partager la vie à son âge. Évidemment, sur le plan sexuel, il sera loin de pouvoir t'apporter les mêmes plaisirs qu'un homme jeune, mais j'ai compris, en parlant très librement avec Adrien, qu'il te fera découvrir des choses inconnues de toi dans ce domaine. Il est prêt à te donner une très grande liberté. »

« Oui, j'ai compris qu'il pouvait prendre plaisir à être un peu voyeur, comme papa, mais », rétorque Manon, « je serais vraiment mal à l'aise de ne pas respecter mes vœux. Je ne veux pas tromper mon mari. »

« Lorsqu'il y a permission, il n'y a pas tromperie », lui explique sa mère, « et puis tu peux prendre du plaisir dans des flirts ... même très poussés. »

« Oui, je comprends », dit Manon, « des petits flirts ne sont pas bien graves, mais ... qu'entends-tu par 'très poussés'? Qu'est-ce qui ne serait pas 'tromper'? »

Après un instant d'hésitation, Nathalie trouve la formule qui convient :

« Je vais te répondre dans l'autre sens : pour moi, seule la pénétration serait 'tromper', et encore ... »

« Tu es certaine, Maman? », s'inquiète toujours Manon.

« Bien sûr, ma chérie », répond-elle, « Certaines femmes disent même qu'elles n'ont pas l'impression de tromper leur mari si elles ne reçoivent pas en elles le sperme d'un autre homme. D'autres disent même qu'il n'y a tromperie qu'en cas de risque de grossesse. »

« Oh, là, elles vont trop loin ! », répond Manon, qui est toutefois surprise de sentir qu'elle vient de tremper sa petite culotte, tant cette conversation l'a excitée.

Nathalie, se sentant obligée de bien conseiller sa fille, renchérit :

« Ma chérie, tu feras comme tu voudras, mais essaie de ne pas passer à côté de tous les plaisirs de la vie. Je m'aperçois, à bientôt 40 ans, que je n'en ai pas bien profité et je découvre maintenant, comme je te l'avais raconté, des plaisirs que ton père espérait me voir prendre depuis le début de notre vie commune. La vie est courte ... alors ... »

La moue dubitative qui s'affiche sur le visage de Manon montre qu'elle n'est pas convaincue.

Quelle surprise lorsque sa mère lui dit :

« Tu devrais retirer ta petite culotte, ma chérie. »

C'est vrai, elle est trempée, se dit Manon, mais comment sa mère peut-elle s'en être rendue compte? Aussi dit-elle :

« Mais ... pourquoi? »

« Parce que, sous une robe de mariée si ajustée, on en voit trop la marque », lui répond sa mère. »

« C'est peut-être indécent, pour un mariage? », s'inquiète Manon.

« Au diable les convenances ! L'essentiel est que tu sois la plus belle ce jour-là », conclut sa mère.

Le lendemain, Nathalie reçoit son amie, Roxana, qui vient prendre un thé. Les deux femmes sont très proches et partagent beaucoup de petits secrets féminins. Roxana lui avait dit un jour que, dans son pays d'origine, la Roumanie, où elle avait fait ses études de médecine, elle avait appris deux spécialités, la gynécologie et la sexologie. Bien que Roxana ne pratique plus que la première en France, cette seconde spécialité a très intéressé Nathalie, qui s'est bientôt permise des confidences très personnelles, comme ses expériences de candaulisme. Elle s'est vite rendue compte que, loin d'être choquée, Roxana semblait apprécier et pouvait même suggérer des choses encore plus perverses. En confiance, Nathalie avait fini par avouer l'origine de sa grossesse, malheureusement terminée, et même l'inceste de son mari.

Aujourd'hui, la conversation des deux amies tourne autour du futur mariage de Manon.

« Tu vois, Roxana, je m'inquiète pour ma fille », dit Nathalie, « Elle a des doutes sur la possibilité de son futur mari de la satisfaire au plan sexuel. Il est prêt à lui laisser toute liberté et même à la pousser sur une voie un peu perverse, mais elle est coincée par ses principes moraux ! Peut-être l'ai-je mal élevée? Je voudrais tant qu'elle profite de la vie, comme moi ... non, mieux que moi ! »

« Ne t'inquiète pas », lui répond Roxana, « laisse-lui le temps. Elle y viendra d'elle-même, si on l'aide un peu, sans la brusquer. »

« Mais, comment faire? », interroge Nathalie.

« Déjà, je vais te donner des comprimés pour elle. J'en ai une boîte dans mon sac et je t'en fournirai ensuite. C'est un aphrodisiaque très puissant que je me procure à l'étranger. Tu lui en fais prendre un par jour. Elle va être excitée en permanence. Et, à l'occasion, tu lui proposeras de venir me voir pour la prescription de sa contraception ... ça sera utile à un moment ... », répond Roxana.

Nathalie remercie et prend la boîte de comprimés. Elle n'a pas bien compris la dernière phrase de son amie, mais elle lui fait confiance.

Après le départ de Roxana, Nathalie ne peut résister à l'envie d'essayer et elle prend un comprimé.

Le soir même, au lit, Nathalie se jette sur son mari, branlant et suçant son sexe. Quand Eric lui rend la pareille, cela ne lui suffit pas. Après une pénétration vaginale qui provoque leurs jouissances simultanées, elle offre son anus à son mari, qui n'en revient pas. Pendant ces deux rapports Nathalie a même oublié de lui imposer le préservatif qui convient à son statut de cocu. Elle enchaîne deux forts orgasmes pendant la sodomie. Au milieu de la nuit, Nathalie réveille Eric pour un deuxième tour qui lui fait autant de bien. Au petit matin, elle lui suce le sexe pour lui donner un peu de vigueur, alors que son mari n'est pas complètement éveillé. C'est elle qui se place à califourchon au-dessus de lui et guide le sexe dans un vagin trempé. Nathalie finit par hurler de jouissance lorsque le sperme gicle une dernière fois en elle, vidant jusqu'à la dernière goutte les testicules de son mari, qui ne peut que replonger dans le sommeil tant il est épuisé.

Nathalie ne reprendra plus de comprimé mais elle est heureuse de voir que cette drogue ne pourra que faire beaucoup de bien à sa fille.

Quelques jours plus tard, Manon revient voir sa mère pour un dernier essayage. Nathalie en profite pour lui parler de la proposition de sa gynécologue, ce qui lui convient. Elle lui dit aussi :

« Ma chérie, je me suis permise de parler à Roxana de ton problème d'anxiété à propos de ton futur mariage. Elle pense que tu fais un peu de dépression et elle m'a donné cette boîte de comprimés qui doivent te faire voir la vie en rose. Tu en prends un par jour et tu peux continuer même lorsque tu te sentiras mieux car il n'y a pas d'accoutumance. J'ai testé moi-même en en prenant un et, crois-moi, on se sent tout de suite bien. »

Manon remercie sa mère, prend la boîte et avale immédiatement un comprimé, avant de la questionner :

« Je suis un peu embêtée par la proposition de ma copine Clara. Elle me propose, la veille de mon mariage, une soirée d'enterrement de vie de jeune-fille. Ça se fait beaucoup aux USA d'où elle revient. Je ne sais pas si je dois accepter. »

« Pourquoi pas, ma chérie? Cela doit être une belle fête ! », répond sa mère.

« C'est que », ajoute Manon, « connaissant Clara et ses copains et copines, ça risque d'être un peu coquin. Juste avant le mariage, ce n'est pas ce que devrait faire une future épouse. »

Nathalie pense instantanément au fait que, avec les comprimés qu'elle a donné à Manon, cela risque d'être plus que coquin, mais c'est ce qu'elle souhaite ardemment pour sa fille, comme en témoigne une chatte qui se mouille à cette pensée, aussi dit-elle :

« Arrête de tout t'interdire pour je ne sais quelle bienséance ! Profite de la vie, ma chérie. »

« Si tu penses que c'est bien, alors je vais accepter », conclut Manon.

De retour chez elle, dans les heures qui suivent, Manon sent tout de suite l'effet du comprimé. Ses inquiétudes sont toujours là, mais elle est si envahie par une excitation permanente qu'elles deviennent secondaires. Elle cherche toutes les occasions pour provoquer une relation sexuelle avec son futur mari. Manon s'était pourtant dit qu'elle devrait un peu se garder pour sa nuit de noces. Aussi essaie-t-elle de se limiter à quelques caresses manuelles et buccales, qui conviennent bien à son futur mari, qui ne paraît pas apte à tenir la distance. Manon n'attribue évidemment pas son excitation au nouveau médicament mais pense que celui-ci lui permet de retrouver le moral et donc de profiter de la vie. C'est décidé, tous les matins elle va prendre ce comprimé en même temps que sa pilule contraceptive.

La veille du mariage, Manon s'apprête pour sa soirée. Sachant qu'elle sera tout en blanc le lendemain, elle a décidé de s'habiller de noir uniquement. N'est-ce pas un enterrement, même si c'est celui d'une vie de jeune fille? Son soutien-gorge est à peine caché par un chemisier en voile transparent. Elle a mis, sous une courte jupe de cuir, un string ainsi qu'un porte-jarretelles. Les fins bas noirs n'étaient pas indispensables en cette saison déjà bien chaude, mais Manon avait envie d'une tenue assez sexy pour cette soirée. Les chaussures à talons hauts lui donnent une allure un peu trop provocante. Manon se dit qu'elle fait un peu pute, habillée comme ça, mais cela l'amuse. C'est bien adapté à cette soirée un peu coquine, se dit-elle. Elle va en profiter ce soir, car ensuite elle sera une femme mariée, fidèle et bien comme il faut. A 19 ans, on peut s'amuser un peu tout de même, pense-t-elle.

Clara a tout organisé. Elle passe la prendre et elles rejoignent un groupe qui les attend dans la maison des parents de Hugo qui sont absents. Hugo est le copain actuel de Clara et Manon l'a déjà vu une ou deux fois. Il y a là aussi trois autres garçons. Manon connaît à peine ces trois là, qui sont tous des 'ex' de son amie. Elles les a parfois croisés à l'université ou lorsqu'elle partageait avec Clara leur studio de Rennes. Il y a aussi deux filles, copines de Clara, que Manon n'avait jamais vues. Hugo a décoré la pièce avec des éclairages flashy et quelques ampoules de lumière noire qui font de Manon la reine de la soirée. La musique est à fond et tous et toutes dansent avec une frénésie augmentée par des boissons alcoolisées à profusion. Manon tente de rester raisonnable, mais il est difficile de résister à ces cocktails à base de rhum. La danse est l'occasion de caresses furtives et de petits baisers volés.

A une heure assez avancée dans la nuit, Clara propose un jeu un peu coquin, centré évidemment sur Manon :

« Ma belle », dit Clara, « on va te bander les yeux, puis les garçons vont commencer par t'embrasser une première fois. Je te les ferai connaître seulement par un numéro. Puis ils recommenceront et tu devras dire à chaque fois s'il s'agit du numéro 1, 2, 3 ou 4. Tu devras donner une pièce de vêtement pour chaque garçon que tu n'auras pas reconnu. Tu garderas ton bandeau tout le temps. »

Manon se prête au jeu. Les baisers sur la bouche durent longtemps et les langues se cherchent pour faciliter la reconnaissance ultérieure. Lors de la deuxième série de baisers, Manon n'en reconnaît qu'un. Elle va donc devoir retirer trois pièces de vêtement. Lorsqu'elle commence par enlever ses chaussures, Clara s'insurge :

« Ah, non, ma chérie, tu dois les garder car elles ne comptent pas ! Maintenant, c'est moi qui vais te déshabiller. Ce sera plus sûr ! »

Clara s'empare du chemisier, du soutien-gorge et de la mini-jupe. Manon, seins nus, ne porte plus qu'un string, son porte-jarretelles et une paire de bas. Elle paraît d'autant plus excitante qu'elle reste perchée sur ses chaussures à talons hauts. Manon, les yeux bandés, ne voit rien, mais, comme avec un sixième sens, elle sent sur elle le regard des hommes. Avec cette pensée, sa chatte se mouille et Manon craint que son string ne la trahisse. Elle se sent d'autant plus excitée qu'elle entend les deux copines de Clara crier :

« Allez ! La suite, la suite ! »

Clara prend alors la main de Manon, la guide vers un sexe tendu qu'un des garçons vient de sortir et dit alors :

« Celui-là c'est le numéro 1. Prend ton temps pour bien le toucher si tu veux réussir, cette fois ! »

Manon s'attarde, longeant la hampe avec sa main, palpant les testicules, caressant le bout du gland qui lui mouille un peu les doigts. Puis elle continue avec les deux autres garçons. Là, il lui devient difficile de cacher l'humidité qui s'étale sur l'entre-jambes de son string. Au deuxième tour, Manon en a cette fois reconnu deux. C'est un progrès, mais elle va encore perdre deux pièces de vêtement. Les deux bas disparaissent, la laissant seulement avec son string et son porte-jarretelles. C'est alors qu'elle entend Clara dire :

« Met-toi à genoux, Manon. Je place un coussin, comme ça tu pourras bien prendre ton temps. »

Agenouillée, Manon sent que Clara lui lie les mains derrière le dos et comprend qu'elle n'aura que sa bouche pour tenter de reconnaître les sexes. Alors Manon suce longuement les membres tendus, les uns après les autres. C'est plus difficile de mémoriser ainsi mais, au second tour, elle arrive tout de même à en reconnaître deux. Manon se retrouve donc complètement nue, aussi dit-elle :

« On arrête, puisque je n'ai plus de vêtement », phrase qui déclenche la désapprobation de tous :

« Ah non, maintenant les vêtements sont remplacés par des gages. »

« Ça dépend de quel gage il s'agit », s'inquiète Manon, « je veux le connaître avant. »

« Sûrement pas, ma chérie », corrige Clara, « Ça perdrait tout son charme. Allons, ne fais pas ta bêcheuse. Reste à genoux et ouvre bien ta bouche. On va voir si ton sens du goût est meilleur que ton toucher ! »

Alors que le garçon numéro 1 s'approche, se masturbant juste en face de la bouche ouverte de Manon, Clara donne ses recommandations :

« Les gars, il va falloir vous contrôler. Ne laissez pas tout partir d'un coup. Comme je ne vous fait pas confiance, je vais serrer avec ma main à la base, au moment voulu. Au deuxième tour, je vous aiderai par une bonne petite branlette. »

Des la première giclée de sperme dans sa bouche, Manon est si excitée qu'elle sent sa liqueur féminine couler le long d'une jambe. Ça ne s'améliore pas lorsqu'elle fait longuement tourner la semence dans sa bouche pour en mémoriser le goût, avant d'avaler pour laisser la place au suivant. Clara avait bien réalisé son blocage car il y en avait peu. Au second tour, la main de Clara fait merveille et chaque garçon vide totalement ses couilles, obligeant Manon à déglutir trop tôt pour ne pas s'étouffer, ce qui ne facilite pas son travail de comparaison. Elle réussit cependant à en reconnaître deux.

« Le gage, le gage ! », crient les filles.

« Manon, les deux que tu n'as pas découverts vont te baiser. C'est ton gage », décide Clara.

« Non, non ! », crie Manon, « Ce serait tromper mon futur mari juste avant le mariage. Pas ça ! »

« Bon », concède Clara, bonne fille, « Chacun va frotter son gland sur les lèvres de ta chatte et sur ton clitoris jusqu'à ce que tu jouisses. Et ça ne se discute pas ! »

Clara fait alors coucher Manon sur le dos, sur un canapé, les jambes bien écartées. Elle se sent obligée, pour protéger sa copine, de dire :

« Les garçons, cela m'étonnerait que vous ayez encore des 'munitions' après la séance précédente, mais ne vous avisez pas d'arroser Manon. C'est interdit. »

« Oh, c'est dommage ! », s'écrient ensemble les deux autres filles.

Le premier garçon commence alors à frotter son gland sur les lèvres de la chatte. Manon, toujours privée de vision, est toute à ses sensations. Elle écarte même encore plus largement ses jambes pour faciliter le passage du sexe dont l'extrémité vient par moments toucher un clitoris qu'il électrise. Quelques minutes de ce traitement suffisent à faire atteindre l'orgasme à la future mariée.

Lorsque le deuxième garçon se présente, Manon implore Clara de lui détacher les poignets, ce que celle-ci fait immédiatement. Alors, Manon écarte largement sa vulve avec ses deux mains et la maintient ainsi bien ouverte. Cette fois, ce n'est plus le contact du gland sur son clitoris qui lui fait le plus de bien, mais son passage entre les lèvres vulvaires, sur lesquelles il dépose un peu de liquide pré-séminal. La lubrification aidant, le garçon concentre ses mouvements à cet endroit, poussant légèrement son gland dans l'ouverture. A cet instant, Manon, emportée par une trop forte excitation, prend le sexe en main pour en frotter le gland entre ses lèvres intimes avec vigueur. Elle se sent au bord de la jouissance. Alors Manon saisit les deux testicules et tire d'un coup sec vers elle, faisant ainsi pénétrer le gland dans son vagin, ce qui déclenche un orgasme encore plus fort que le précédent, d'autant plus intense qu'elle vient de sentir un petite giclée de sperme à cet endroit. Manon se réjouit de voir que personne n'a remarqué la chose, à l'exception de son partenaire, qui avait visiblement encore quelques ressources. Dès que le garçon se retire, Manon, pour qu'aucune tache blanche suspecte ne soit visible, pousse vivement en elle les gouttes de sperme avec deux doigts. Aux yeux des autres cela devrait passer pour des caresses finales après une telle jouissance.