C'est Le Plombier

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Laurent et Gabrielle sont mariés depuis cinq ans. Lui, 32 ans, programmeur devenu après quelques investissements heureux, cofondateur d'une startup de batteries bas carbone, plutôt pas mal, blond tendant vers le chatain, de beaux yeux verts derrière de fines lunettes, taille moyenne, 1,77 m, pas très costaud voire un peu fluet, mais très charmeur dans le genre geek. Elle, 27 ans, analyste de tendances dans un groupe spécialisé dans le luxe, très jolie, brune, chevelure épaisse et longue, un charmant cou de cygne sur des épaules assez larges, des seins très gros, assez lourds et bien fermes. Sans oublier une croupe rebondie, un poil trop grosse selon Gabrielle, mais vraiment un beau cul ferme et presque callipyge. Ils s'entendent généralement bien sur tous les plans même si sexuellement ce n'était pas toujours l'éclate depuis quelques mois

Voilà cinq ans qu'ils ont emménagé dans un joli duplex en rdc et 1er étage d'un bel immeuble des années trente dans le 5 eme arrondissement parisien. Ils ont eu leur lot de problèmes de copropriété, mais ce qui agaçe Gabrielle plus que tout, ce sont les fuites. Celles des voisins du second (trois fois depuis leur emménagement) et les leurs en propre quand un joint ou un autre finit par céder. Dans ce cas là, et quasiment depuis leur emménagement, ils font appel à un plombier recommandé par leur assurance. Un franco-marocain jovial, la cinquantaine bien tassée et corpulente, le bide un peu marqué, cheveux courts et nez busqué. Super artisan, assez drôle, tchatcheur, mais un peu intrusif, selon Gabrielle et pas les yeux dans sa poche. Au cours des années, Dragui était devenu malgré tout un personnage familier, indispensable sauveur en cas de tuyauterie défectueuse.

Lors de sa dernière intervention à leur domicile, pendant le traditionnel café qu'ils lui avaient offert en préambule, la conversation avait glissé vers les vacances, vu le teint exceptionnellement hâlé de Dragui. Lequel avait expliqué, à leur grande stupéfaction, qu'il adorait les beaux hotels, et les belles plages exotiques autour du monde.

- Avec ma femme, on adore les voyages, la baignade et se balader à poil sur la plage. On est allé partout, à Goa, à Bali, en Thailande et même en Australie, mais je recommencerai pas, c'est trop loin. Il y a toujours des plages natures disait-il, on peut se baigner nu, c'est comme le paradis, expliquait-il avec un gros rire.

- Ah bon, avait dit Laurent qui ne s'en remettait pas que son plombier aille passer des vacances de luxe dont il n'osait pas rêver. Ce n'est pas génant?

- Ben, y a pas de honte!

- C'est vrai que des vacances ça nous ferait du bien, avait reconnu Laurent, mais avec mon boulot, c'est compliqué.

- Ah oui, ton boulot, ton boulot, tu penses qu'à ça, avait ajouté Gabrielle en faisant la moue.

- Oh ben qu'à ça ne tienne, laissez le travailler et venez avec nous la prochaine fois, avait plaisanté Dragui, vous passerez des vacances de rêve.

Gabrielle avait froncé le sourcil. Pour qui il se prenait ce gros plouc, comme si une femme comme elle pouvait fréquenter un simple artisan et sa femme. Elle s'était levée un peu brutalement laissant les deux hommes assis l'un à côté de l'autre.

- Bon, il faut que j'y aille, au revoir Mr Dragui, chéri, tu n'oublie pas le dîner chez mes parents ce soir.

Et après avoir farfouillé un instant dans son sac à la recherche de son téléphone, elle avait quitté la cuisine pour prendre son manteau et s'en aller.

Tout en matant le cul de Gabrielle qui s'éloignait, Dragui avait pris un air désolé,

- Oh ben, j'espère que mes blagues ont pas géné votre dame. Moi je suis nature mais pas méchant vous me connaissez!

- Non, non, vous inquiétez pas Mr Dragui, répondit lâchement Laurent, on sait bien que vous pensez pas à mal.

- ah bon, vous me rassurez, mais au fait, appelez moi Mario, depuis le temps qu'on se connait.

- Ah oui bien sur et appelez moi Laurent bien sur, c'est plus simple

- Alors, Laurent, entre nous, je peux vous le dire, votre femme, elle est canon, sur une plage c'est de la bombe, je suis sûr.

Le fait est que Laurent le savait bien. Il s 'en rendait compte chaque année en allant en vacance dans la propriété de ses beaux parents vers Porto Vecchio : sur la plage Gabrielle faisait un effet boeuf. Juste en dessous de la propriété, à 200 mètres par un sentier pentu du maquis, il y avait une jolie plage mi sable, mi rochers souvent fréquentée par des nudistes à l'extrémité droite. Gabrielle préférait le centre mais en l'absence de ses parents, se mettait volontiers seins à l'air avec un bas minimaliste qui soulignait la courbure de ses fesses. Laurent notait du coin de l'oeil les hommes et les femmes aussi d'ailleurs, dont le regard s'attardait plus que raisonnable sur son épouse ;. En général, ça lui mettait une gaule d'enfer et le soir, après un verre ou deux, et lorsqu'ils étaient seuls, il la prenait en levrette sur la terrasse vue imprenable face au golfe.. Après deux verres, elle était généralement très réceptive à ses assauts et proférait des grossieretés qui au début l'avait choqué mais l'excitait encore plus aujourd'hui : "prends moi comme une pute", "défonce moi comme une petite salope" et autres classiques. Dans ces cas là, elle avait le minou trempé et Laurent était trop heureux d'y plonger sa bite en espérant qu'il se contiendrait suffisamment longtemps avant d'envoyer la purée.

Rien que de penser à la scène, il eut un début d'érection et se reprit un peu géné en voyant que Dragui le regardait bizarre.

- La votre, elle est comment, avait demandé Laurent pour dériver vers un sujet moins chaud, sans se rendre compte du caractère insolite de sa question.

Mais il en fallait plus pour choquer Dragui.

- Oh, ben c'est une belle femme, mais elle est comme moi, elle a quelques heures de vol. Tenez, regardez, je vous montre une photo de nous en vacances.

Après avoir farfouillé, un instant sur son portable Dragui lui montra une photo où l'on voyait à ses côtés une accorte femme brune souriante, avec des mamelles débordant d'un bikini, sur une plage quelconque face à la mer.

- Ça c'était en Languedoc, elle a ce qui faut où il faut, comme votre dame, mais avec deux bonnes décennies de plus!

- En effet, dit Laurent un peu géné, mais en notant que la femme de Dragui était encore appétissante.

Dragui s'était remis à scroller son portable

- On est entre nous, je vous montre une photo de Phuket, et il tendit son appareil à Laurent qui put observer sur l'écran un Dragui souriant, mains sur les hanches, nu comme un ver, devant une eau turquoise et en arrière plan Mme Dragui, son ample cul à l'air, qui regardait la mer

Laurent ne put s'empêcher de noter que la Dragui avait un beau cul, et surtout, difficile d'y échapper vu le gros plan, l'énormité de l'engin du plombier. Une sorte de gros boudin marronasse et circoncis avec un gland plus gros qu'un abricot.

- Ah, oui, c'est beau en effet, dit Laurent, qui était devenu tout rouge et avait senti son pénis se raidir de plus belle.

- C'est la grosse différence avec nous les hommes, on vieillit pas pareil, et quand on a un gros engin, avait poursuivi Dragui dans un gros rire salace, on a de gros besoins!

Laurent s'était marré un peu gêné, ce que Dragui remarqua immédiatemment.

- Bah, on est fait comme dieu a voulu! Et puis les femmes, ça dépend des modèles, la mienne elle aime bien en avoir une bien grosse qui coulisse entre ses cuisses. Je vous choque pas Laurent. On peut se dire des choses comme ça entre hommes, non?

- Oui, bien sûr, avait bredouillé Laurent encore troublé par le spectacle et pour se donner une contenance, s'était levé pour refaire un café à Dragui. Lequel, après avoir avalé une gorgée, avait alors demandé :

- Et vous Laurent, je suis sur que vous connaissez des plages splendides? Vous travaillez pas tout le temps quand même!

Laurent qui était resté debout à côté de la chaise de Dragui avait répondu un peu dérouté :

- Ah, euh, oui quelques unes, au Costa Rica par exemple

Génial, avait dit Dragui, vous m'en montrez une ou deux? Je cherche des idées de voyage

- Ah, oui pourquoi pas, répondit mollement Laurent qui farfouilla dans l'album photo de son Iphone et finit par dégoter la photo d'une baie splendide, sable blanc étincelant et eau turquoise, qu'il montra à Dragui

- Magnifique dit l'artisan, ça fait envie, et vous en avez d'autres?

- Oui, mais c'est des photos moins intéressantes, on est dessus avec des amis, alors on voit moins le paysage

- Bah, rigola Dragui, montrez quand même, après tout je vous ai montré mon intimité, et c'est entre nous d'ailleurs, hein, promis! sinon ma femme me tue!!

- Cher Mario, j'ai déjà oublié, mentit Laurent qui tendit l'écran à Dragui : on le voyait au bord d'une très jolie piscine avec en fond la forêt tropicale et lui dans un transat avec lunettes noires et un verre à la main et debout à ses côtés, sa femme, souriante qui portait juste un paréo sous lequel se distinguait très nettement ses gros tétons.

- Extra, dit Dragui en prenant l'appareil des mains de Laurent, c'est que vous êtes beau gosse, et votre femme j'en parle pas! Tous les deux vous êtes vraiment bandants, pardon my french, Laurent, et pas d'offense, hein ajouta-t-il en riant. En tous cas, ça donne envie, envie d'y aller Laurent! allez, vous en avez d'autres, je suis sûr, avait-il dit en passant rapidement son doigt sur l'écran. Et à la grande honte de Laurent, Dragui vit une photo de Gabrielle tenant ses grosses loches entre les mains en mimant un baiser à avec sa jolie bouche pulpeuse.

- Oh pardon Laurent, je voulais pas être indiscret, avait dit Dragui tout en louchant avec avidité les beaux nénés de Mme Miremont.

Laurent avait récupéré son portable en bredouillant :

- Désolé Mario..

- Mais y a pas de mal Laurent, vous avez vu la mienne, j'ai vu la votre, l'important c'est qu'elles nous fassent bien triquer!

Et joignant le geste à la parole il avait soupesé son entrejambe avec la mine de circonstance.

Laurent n'avait pu s'empecher de jeter rapidement un oeil sur la déformation du pantalon de Dragui au niveau de la braguette.

Dragui qui avait noté son coup d'oeil, eut un petit rire bonasse.

- Y'en a là ou il faut Laurent et je peux vous dire que personne s'est jamais plaint de mon engin. Tenez, je vous confie un truc. Là-bas, je veux dire à Phuket, on a rencontré un jeune couple supersympa, un peu comme vous, sauf que la femme avait des nichons plutôt petits, ajouta-t-il en rigolant. Et bien on a tellement sympathisé qu'un soir on s'est retrouvé dans leur chambre, on avait picolé et bref, je vous fais pas un dessin!! Sauf que vous me croirez si vous voudrez Laurent, mais le mari suçait mieux que sa femme! ajouta-t-il dans un rire tonitruant.

Laurent avait rougi de plus belle ce qui avait fait encore plus se marrer son interlocuteur.

- Sur ce, Laurent, faut que je vous laisse, j'ai un autre chantier qui m'attends.

Ce soir là, Laurent avait baisé Gabrielle en se remémorant leur conversation, tandis que sa femme s'agitait sur lui en faisant balloter ses nibards, il avait empoigné ses fesses pour les écarter au maximum, et lui avait sussurré :

- Imagine, ma jolie petite pute, une énorme pine qui se frotte à ton petit trou pendant que je te baise et met tes belles loches à traire.

Quasi instantanément, Gabrielle, les yeux révulsés s'était mise à jouir comme une folle.

Trois mois s'étaient écoulés depuis cette visite, lorsqu'il fut de nouveau nécessaire de faire appel au plombier.

La soirée avait commencé paisiblement pour Laurent qui depuis leur chambre du haut, regardait tranquillement du foot à la télé. Après un bain long et parfumé, Gabrielle qui détestait le foot, était descendue au rez de chaussée lancer une machine à laver, non sans avoir endossé une robe de chambre ultra-sexy qui lui laissait espérer une séance de baise après le match. Tout-à-coup, il l'entendit qui le hélait.

- Laurent, Laurent, viens vite, il y a encore une fuite! Et cette fois dans le faux plafond, pestait Gabrielle. C'est la cata. Le mur de la chambre du bas est trempé et ça dure depuis longtemps. Je te l'avais dit que cette humidité n'est pas dûe à des remontées capillaires!

- Merde, dit Laurent en se levant précipitamment pour descendre l'escalier et rejoindre sa femme dans la chambre. Merde, répéta-t-il en regardant la fuite, effectivement assez forte, tout en matant du coin de l'oeil sa femme.

- Et au lieu de me regarder comme un porc en rut, bouge-toi et appelle Dragui. Qu'il vienne en urgence. Regarde donc, ajouta-t-elle en se retournant vers l'angle du mur et du plafond effectivement trempé.

Ce faisant, son peignoir de soie parme s'ouvrit un peu plus laissant osciller une mamelle joufflue dotée d'un petit mamelon ornant une belle aréole rose.

Putain qu'elle est bandante cette salope, se dit Laurent. Mais vu son humeur, pas question de sortir popaul.

Après avoir observé la fuite comme une poule une fourchette, Laurent donna son verdict

- Bon, c'est franchement pas dans mes cordes, je lui envoie un sms, avec un peu de pot il répondra vite.

- Et tant qu'à faire, il pourra aussi réparer la fuite de la buanderie que tu as laissé traîner depuis deux semaines!

Laurent leva intérieurement les yeux au ciel, c'est vrai qu'il avait tendance à laisser traîner ce genre d'emmerdes. Mais bon, c'est pas comme s'il n'était pas débordé de travail. Il écrivit rapidement son message. Miracle, 10 mn plus tard, ils recevaient un sms de Dragui disant qu'il ferait son max pour passer vers 9h le lendemain matin.

- Ouf, il est sympa, dit Laurent tout fier en lisant le sms ; le seul problème c'est que j'ai un rendez-vous, ultra touchy demain matin, je peux pas être là. Et ensuite j'ai réu objectifs toute la sainte journée et encore celle d'après. Toi tu peux?

- Ooohh, tu es pénible, oui, je peux, mais tu sais que ce type, il déborde de partout. Il ne sait pas se tenir à sa place, il me drague et toi tu dis rien!

- Ben non, il fait des blagues lourdes, c'est vrai, mais primo c'est un super artisan, secundo, il apprécie les jolies femmes, y-a-pas mort d'homme et tertio la dernière fois t'as vu le décolleté que tu avais?, on voyait même tes aréoles tellement il était open bar!

- Peut-être, mais quand même il est un peu insistant et j'aimerais bien que tu lui dises de se calmer la prochaine fois. Tu aimerais que je me laisse draguer par ce porc à qui tu as offert une bière la dernière fois, et puis quoi encore. Sois un peu jaloux merde!

- Attends, jaloux de quoi! Dragui, je sais pas à quoi ressemble sa femme, mentit Laurent mais lui, c'est un peu Frankenstein.

- Bah, oui, avec son mètre 90, son gros ventre et sa moustache, c'est pas un prix de beauté, mais je suis sur que c'est un vicelard et un macho.

- Bon, je te l'accorde mais demain je peux vraiment pas et puis c'est une urgence

- d'accord, d'accord, mais t'étonne pas si je l'envoie chier!

- Ahh, j'espère bien, mais après qu'il ait réparé!

- Pff, fit Gabrielle, c'est nul comme blague.

Là-dessus, ils s'étaient couchés, mais les travaux d'approche de Laurent s'étaient soldés par une fin de non-recevoir.

- Je suis fatiguée, pas maintenant, avait dit Gabrielle d'une voix endormie tandis qu'il commençait de frotter sa pine contre sa cuisse en palpant doucement ses fesses.

Laurent savait quand il ne fallait pas insister. Il s'était endormi avec la gaule.

Le lendemain matin, Laurent prit rapidement sa douche et partit se faire un café dans la cuisine tandis que Gabrielle se faisait couler son bain. Il passa une tête par la porte de la salle de bain, contempla avec un peu de frustration les beaux nibards de sa femme qui émergeaient plein de mousse. Avant de s'éclipser en lui envoyant un baiser.

- Je file Gabrielle, je suis à la bourre, please, il est 8h15, je te rappelle que Dragui va arriver dans moins d'une heure

- Oui, oui, ben il arrive à 9h tu m'as dit, ç'est bon..

En sortant dans la rue Laurent tomba nez à nez avec Dragui. Le marocain le dépassait d'une tête sans parler de ses épaules énormes et l'homme le toisait en souriant.

- Ah Mario, déjà, mais on vous attendais pas si tôt.

- Mon rendez-vous de 8h a été annulé, alors je m'occupe de vous plus vite, vous devriez être content, ajouta-t-il avec un grand rire. Mais qui va m'ouvrir?

- Ah, ben c'est Gabrielle, je suis hyper à la bourre, allez-y et tapez à la porte.

- Vous inquiétez pas, je connais le chemin, bonne journée Laurent

Quelques instants plus tard, Dragui avait traversé la cour et frappait à la porte du rez de chaussée. Personne ne venant, il se posta à la fenêtre jouxtant la porte et toqua à nouveau ; à cet instant, la porte s'entrebailla et Dragui vit le visage ébahi de Gabrielle Miramont. Pour autant qu'il puisse en juger, elle avait une serviette nouée sur la tête et une autre qu'elle drapait sur son corps sans grand succès vu la grosseur de ses nichons. Visiblement, elle était sortie en trombe de sa salle de bain.

- Mais Mr Dragui, Laurent m'avait dit 9h, excusez moi, je suis confuse, je suis sortie en catastrophe de la baignoire, je vous laisse la porte ouverte, asseyez vous dans la cuisine, vous connaissez le chemin.

En entrant, Dragui eut la vision fugace des jolies fesses bien rondelettes de Mme Miremont , à peine masquées par la serviette, disparaissant dans l'escalier.

Putain quel beau cul, constata Dragui tout emoustillé. Son pénis avait instanément durci. Il s'installa dans la cuisine américaine, bouche ouverte, en palpant doucement la grosse barre qui déformait son froc.

Quelques minutes plus tard il entendit le claquement précipité des talons de Mme Miramont et elle apparut dans la cuisine, les cheveux encore mouillés toujours retenus dans une serviette mais son corps pulpeux moulé dans une robe cachemire Bompard Cranberry qui lui arrivait à mi cuisses, le tout sur des escarpins Louboutin noir et gris avec le fameux talon rouge.

En la voyant débarquer dans la cuisine, le sexe de Dragui se mit carrément à l'horizontale. Il avait les yeux exorbités et dans sa tête il s'imagina la troussant et la prenant comme une pute sur le plan de travail.

- Mr Dragui, dit Gabrielle d'un ton affairé, je vous fais un café ou on va directement voir la fuite? En fait j'ai un rendez-vous important et je dois partir dans une heure. J'espère que vous aurez terminé!

- Ah, Mme Miremont, on peut pas toujours prévoir mais, montrez moi le chemin, le café attendra, enfin, je suppose que c'est en bas comme d'habitude!

- Comme d'habitude, dit Gabrielle en haussant les épaules et elle se dirigea vers le sous sol de l'atelier, suivi par Dragui qui avait placé sa mallette de plombier devant lui pour masquer son érection. Putain qu'elle roule bien du cul la salope, se dit Dragui en observant la silhouette de Mme Miramont qui descendait prudemment les marches.

Parvenu dans le couloir qui menait à la chambre, Gabrielle s'arrêta pour indiquer le faux plafond sur lequel une tâche d'humidité apparaissait clairement autour d'une trappe qui était ouverte et dévoilait un goutte à goutte en provenance d'un tuyau de cuivre.

- C'est là, Laurent a essayé de réparer mais sans succès comme vous pouvez en juger

- Humm, attendez un peu Mme Miremont, j'installe l'escabeau qui est là et je regarde. Tandis qu'il inspectait la tuyauterie, Gabrielle nota l'énormité de la bosse qui déformait le pantalon du plombier. Elle détourna les yeux en rougissant légèrement.

- Regardez Mme Miremont, dit Dragui du haut de l'escabeau, je vous montre. Il éclaira avec sa lampe un endroit que Gabrielle ne voyait pas bien autour d'un tuyau de cuivre. Déjà va falloir souder ici, c'est pas bien grave, mais faudra d'abord purger les radiateurs ça prend au moins une matinée. Et ensuite il me faut un chalumeau. Regardez-donc.

- Mais je vois rien dit Gabrielle toute rouge, le visage à hauteur de la bosse et bizarrement excitée par la situation.

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