Initiation - 07 (voyage de noces)

Informations sur Récit
Manon cocufie son mari pendant leur voyage de noces.
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Partie 7 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Manon commence sa vie de couple avec Adrien, son mari, qu'elle a choisi parce qu'il ressemblait à son vieux père, Eric, avec qui elle a découvert sa sexualité et eu une relation incestueuse. Son époux est riche et peut lui offrir une belle vie. Cependant tout n'est pas idéal. Manon s'en est rendue compte pendant cette nuit de noces qui l'a laissée extrêmement frustrée. Entre ses 19 ans et les 70 d'Adrien la différence est telle que le plaisir sexuel ne sera pas au rendez-vous aussi souvent qu'elle le voudrait.

Il est vrai qu'elle est curieusement excitée en permanence. Elle ne sait pas que cela n'est par dû qu'à sa jeunesse mais aussi au comprimé qu'elle prend tous les matins en même temps que sa pilule contraceptive. C'est Roxana, la gynécologue et amie de sa mère, Nathalie, qui lui a prescrit ce médicament comme anxiolytique alors qu'il s'agit d'un puissant aphrodisiaque. En dehors de cette perverse Roxana, Nathalie et Adrien sont également au courant.

Au lendemain de sa nuit de noces, son mari a pratiqué sur elle un acte assez sadique, probablement pour lui faire payer l'humiliation qu'elle lui a fait subir en mettant en évidence son insuffisance sexuelle. Manon a été très excitée par cette pratique SM, mais elle espère qu'il ne recommencera pas, car cela lui fait un peu peur.

Elle pourrait bien trouver, au plan sexuel, des compensations dans son entourage immédiat. Il y a en effet Mamadou, un colosse sénégalais, qui est leur chauffeur et Albert, le majeur d'homme, avec qui elle a déjà eu quelques libertés bien qu'il soit hideux. Manon sait que son mari est un peu voyeur et prêt à lui laisser quelques libertés. Sa mère n'a de cesse de lui dire de profiter de la vie, mais elle ne veut pas devenir une femme infidèle. Tout au plus s'autorisera-t-elle quelques flirts un peu poussés si sa libido la travaille trop.

Adrien et Manon partent aujourd'hui pour un court voyage de noces d'une semaine. Adrien a choisi de louer un voilier de 12 mètres en Grèce pour faire le tour des îles des Cyclades. Ce sera lui le skipper car il pratique la voile depuis bien longtemps. Albert, son majeur d'homme, les accompagnera pour faire la cuisine et prendre en charge toutes les tâches de ravitaillement et autres, car il souhaite que Manon profite au maximum du voyage et sois ... disponible.

Mamadou vient de les déposer à l'aéroport, leur souhaitant bon voyage. Il est un peu déçu de ne pas avoir été choisi pour les accompagner, mais il sait que ses qualités de cuisinier n'atteignent pas celles d'Albert. Ce grand gaillard, comme beaucoup de sénégalais, a une attirance particulière pour les jeunes blanches. Il regrette de ne pas profiter plus longtemps de la vue de la femme de son patron, qui est particulièrement excitante aujourd'hui. Manon porte une courte jupe plissée et un tee-shirt très ajusté sous lequel elle n'a pas jugé bon de mettre un soutien-gorge. Les pointes de ses seins, qui paraissent percer le fin tissu, sont une telle invite que le gros sexe de Mamadou manque de place dans son pantalon.

Dans l'avion, des trois sièges réservés côte à côte, Manon a choisi celui du milieu entre son mari à sa gauche et Albert à sa droite. Peu après le décollage, Adrien commande des whisky qui leur sont servis bien tassés. Manon, qui est assez sensible à l'alcool, se sent assez 'à l'aise' lorsqu'elle termine son verre, aussi ne s'offusque-t-elle pas lorsque son mari pose une main sur sa cuisse, un peu plus haut que le genou. Le petit frisson qui la parcourt, lorsque la main remonte sous la jupe, n'est pas désagréable. Un doigt se glisse sous l'entre-jambes de sa culotte, pour venir caresser une petite lèvre déjà bien humide. Ce n'est pas très discret car le mouvement de la main de son mari fait bouger un peu le tissu de la jupette. Manon a bien vu qu'Albert a remarqué, comme en témoignent les coups d'œil qu'il essaie de jeter discrètement et la bosse qui grossit dans son pantalon. Alors Manon se contorsionne un peu pour glisser vivement ses mains sous sa jupe, faire glisser sa petite culotte jusqu'à ses pieds et la prendre en main. Elle a fait si vite que seuls ses deux voisins immédiats l'ont remarqué. Manon tend alors la culotte à son voisin de droite en disant :

« Débarrassez-moi de ça, s'il vous plaît, Albert. »

Celui-ci pique un fard et fourre rapidement le sous-vêtement dans sa poche.

Adrien profite maintenant du champ libre pour titiller le clitoris, caresser les petites lèvres et même finir par glisser un doigt entre elle. Il réitère ce mouvement de nombreuses fois, ce qui conduit sa femme a gigoter un peu sur son siège et à tenter d'étouffer quelques soupirs difficiles à éviter. Lorsqu'un mini-orgasme arrive, Manon, essayant de le masquer, crispe sa main gauche sur la cuisse de son mari et s'aperçoit avec horreur que son autre main vient de faire de même à sa droite.

Peu de temps après, Albert bouge un peu pour sortir avec difficulté quelque chose de sa poche. Ils sont un peu serrés sur ces sièges, mais Manon s'étonne qu'Albert mette tant de temps à y arriver. Celui-ci finit par sortir un grand mouchoir qu'il approche précautionneusement de son nez, comme s'il devait se moucher. Manon voit que ce n'est pas le cas et qu'il se contente de passer le mouchoir sur son nez et sa bouche. C'est alors qu'elle aperçoit un petit coin de dentelle blanche dépassant un peu du mouchoir, qui ne servait donc qu'à cacher sa petite culotte. Manon se penche vers son voisin de droite pour lui chuchoter à l'oreille :

« J'irai aux toilettes pour la remettre. Ça sera plus discret, mais vous me la donnerez là-bas », ajoutant toujours aussi discrètement :

« Quand vous n'en aurez plus besoin, évidemment. »

Manon a terminé cette dernière phrase par un petit sourire de connivence qui n'a pas échappé à son voisin. Pensait-elle qu'il voulait encore la renifler, voire la lécher un peu, ou ... autre chose? C'est la question sans réponse que se pose Albert. Elle avait un regard bien coquin, se dit-il. A moins que mon interprétation de sa remarque ne soit due qu'à mon excitation, s'interroge-t-il. Une telle erreur pourrait le faire congédier. Cependant, son envie est trop forte, aussi Albert va-t-il s'enfermer dans les toilettes. Il sort son sexe tendu qu'il masturbe frénétiquement d'une main, alors que, de l'autre, il maintient l'entre-jambes de la culotte contre son gland. Tout d'un coup, son sperme gicle plusieurs fois, noyant complètement l'endroit visé. Il en a mis partout dans l'entre-jambes. Albert place la culotte au creux de sa main, cherchant à éviter ainsi les coulées, tout en remettant son sexe dans son pantalon et fermant sa braguette d'une seule main. Comment va-t-il faire pour sortir en tenant sa main ainsi? Ce serait comme s'il présentait son forfait sur un plateau !

Quelqu'un toque légèrement à la porte. Est-il resté trop longtemps et quelqu'un s'impatiente-t-il, ou est-ce Manon? C'est ce que se demande Albert qui ouvre alors la porte comme on se jette à l'eau. C'est Manon qui le croise rapidement dans l'ouverture, tout en attrapant le sous-vêtement souillé. Albert n'a rien pu voir sur le visage de Manon, aussi retourne-t-il s'asseoir à sa place avec la même inquiétude.

Manon, dans les toilettes, pose avec précaution la culotte sur le lavabo. Elle s'étonne de la quantité de sperme qui la nappe. Elle passe le bout de son index à cet endroit, puis suce son doigt, se délectant d'un goût qui fait encore plus mouiller sa chatte. Je suis vraiment une cochonne, se dit-elle, sans pourtant culpabiliser. Puis, en faisant toujours aussi attention, elle enfile la petite culotte qu'elle tire bien vers le haut. Lorsqu'elle sent le sperme se coller sur sa chatte, elle tire encore plus, faisant glisser le tissu entre ses lèvres vulvaires, poussant ainsi un peu de cette semence dans l'entrée de son vagin. C'est alors qu'une pensée perverse la traverse : pourrait-elle faire ça si elle était sans contraception? Pensant qu'elle oserait le faire, tant ce serait excitant, elle reste la main sur la poignée de la porte, sans ouvrir, laissant passer un orgasme qui la fait toute trembler.

Lorsque Manon, rejoint sa place, Albert, se levant pour la laisser passer, croise son regard. Rassuré, il n'y voit aucune réprobation, bien au contraire. Cela se confirme lorsqu'elle lui dit de nouveau à l'oreille :

« Vous vous souvenez : le jour de mon mariage je vous avais rappelé que l'on ne doit jamais dire jamais, n'est-ce pas? »

« Oui. Et ... merci, Madame », lui répond discrètement le majeur d'homme.

Lorsqu'ils arrivent au port et s'installent sur le bateau loué pour la semaine, Albert dépose les bagages du couple dans une cabine presque spacieuse, si l'on tient compte de la taille limitée du voilier. Il y a une seconde cabine, à peine plus petite, juste à côté. Manon s'attend à ce qu'Albert s'y installe mais celui-ci dit alors :

« Je vais prendre la couchette de la proue. Comme cela vous aurez votre intimité. »

Cette fameuse couchette est un espace exigu, coincé sous le pont. Cet endroit correspond bien à son nom de 'couchette cercueil'. Un jeune marin aurait du mal à s'y installer, alors, pour un homme dans la cinquantaine, c'est presque mission impossible. Cette éventualité paraît inconcevable à Manon, qui réagit alors :

« Vous plaisantez, Albert ! Il n'en est pas question ! Vous allez prendre la seconde cabine et cela ne se discute pas. »

« Merci Madame de votre gentillesse », répond le majeur d'homme, avant de les quitter pour aller faire le ravitaillement.

Manon et son mari savent bien que, avec la fine cloison qui sépare les deux cabines, Albert pourra tout entendre. Adrien se sent très libre vis à vis de son employé et Manon lui dit même qu'elle trouve ça assez excitant. Cela fait dire à son mari :

« Tu es vraiment une adorable petite vicieuse. »

« Et toi », réplique Manon, « tu n'es qu'un gros cochon. »

Après un dîner de qualité préparé par Albert, il est temps de se coucher pour récupérer des fatigues du voyage. Dans leur cabine, le couple se prépare pour le coucher. Adrien est surpris de voir que sa femme, au lieu de mettre un pyjama ou une chemise de nuit, s'est allongée sur le lit, quasiment nue, ne portant que sa petite culotte de dentelle. Adrien ne peu résister à l'invite et vient embrasser son épouse, lui caresser les seins, en titiller les pointes, puis passer le bout de sa langue sur le nombril, avant de descendre plus bas. Lorsqu'il fait glisser la culotte le long des jambes, il découvre une chatte couverte de sperme.

« Oh, », s'écrit-il, « tu m'as encore trompé, salope ! »

« D'abord, ce n'est pas vrai », rectifie Manon, « ce n'est que superficiel, comme la dernière fois avec mon papa chéri. C'est un petit cadeau que m'a donné un monsieur dans l'avion. »

Pour son mari, l'identité de l'homme est évidente. Il se sent excité de penser qu'elle a osé faire ça dans ces circonstances et, de plus, avec quelqu'un de si moche, aussi dit-il :

« Ce n'est peut-être pas tromper, selon tes critères bizarres, mais tu reste tout de même une belle salope. »

L'un comme l'autre ont parlé à haute voix. C'était plus que suffisant pour qu'Albert entende tout, d'autant plus qu'il a appuyé l'oreille contre la fine cloison. Il a bien l'intention de rester ainsi jusqu'à ce que le couple s'endorme. Il a sorti son sexe par la braguette de son pyjama et il s'astique doucement pour bien faire durer le plaisir. Albert se dit que, en lui proposant de prendre la cabine contiguë, Madame a certainement imaginé ce qu'il pourrait entendre et ... faire.

Manon, repensant aux recherches qu'elles avait faites sur Internet au sujet des femmes libérées et des maris cocus, taquine son mari en disant :

« Tu vois, c'est bien de ne pas t'avoir trompé. Sinon tu aurais dû faire un travail de cocu en me nettoyant. »

Adrien se jette alors sur elle, engluant son visage de sperme, trop heureux de sucer, aspirer, avaler tout ce qui lui cache la jolie chatte de sa jeune femme. Lorsqu'il ne reste plus rien, il continue de lécher les lèvres, de pousser sa langue entre elles, puis de remonter plus haut pour sucer le clitoris. Les soupirs de Manon sont tout sauf discrets et font s'activer encore plus vite une main de l'autre côté de la cloison. Puis Adrien écarte les jambes de sa femme et se place entre elles. Pour une fois, son sexe est en totale érection. Il la pénètre sans ménagement et entame un coït effréné. Au contact excitant des chairs s'ajoute chez Adrien la pensée qu'il va progressivement amener sa femme à être beaucoup plus coquine. Pourquoi pas jusqu'à le tromper vraiment? Manon, de son côté, se dit qu'elle a encore beaucoup de possibilités érotiques à expérimenter sans devenir une femme adultère.

Leur excitation commune les pousse tous deux à dire leur plaisir. Pour Adrien, c'est :

« Je vais te baiser comme une pute. Je vais te défoncer. Je vais te remplir de sperme. J'aimerais t'engrosser, salope ! »             

Entre deux halètements, Manon lui répond :

« Oui, vas-y, bien à fond. J'ai envie de recevoir ta semence en moi. Je suis sous contraception, mais je pense à ce petit risque qui reste en prenant mes mini-pilules et ça m'excite. »

Entendant cela, Adrien se vide en elle, criant sa jouissance. Manon, bien qu'excitée au plus haut point, n'a pas pu atteindre l'orgasme. Alors, elle pose sa main sur le sexe tout ramolli de son mari et le caresse légèrement. Elle sait bien qu'elle ne pourra pas le faire bander pour un deuxième tour, mais elle se sent bien ainsi, excitée par l'érotisme de leurs échanges précédents. Son autre main est venue d'elle-même se placer sur une chatte mouillée de sécrétions et de sperme, pour venir caresser doucement les petites lèvres et le clitoris. Ces attouchements intimes lui donnent envie de poursuivre leurs échanges excitants, aussi dit-elle, sans le moins du monde baisser la voix :

« Adrien, j'aime que tu me fasses découvrir des recoins cachés de mes envies érotiques. Un jour peut-être me laisserai-je emporter trop loin? Peut-être ma raison ne pourra-t-elle plus me permettre de contrôler mon excitation? Peut-être me pousseras-tu un peu trop loin ... jusqu'à ... te faire cocu? Serais-je alors une vilaine femme adultère ou m'aimerais-tu encore? »

« Je t'adorerais comme ça ... et plus encore ! », répond son mari dont le membre semble avoir durci de nouveau.

Le gonflement au creux de la main de Manon la conduit à poursuivre dans une direction encore plus coquine :

« Peut-être oserai-je un jour arrêter de prendre la pilule? Peut-être continuerai-je à faire l'amour avec mon ou mes amants dans les moments les moins dangereux? Peut-être l'excitation du risque accru me poussera-t-il à le faire plus près d'une période féconde? Qu'en penses-tu? »

« Oh oui, ma chérie, ce serait si excitant ! » répond son mari, « puis je te baiserai au moment de ton ovulation, n'est-ce pas?»

« Évidemment , mon amour », confirme Manon, « mais, comme un bon cocu, ce sera avec un préservatif. Ce jour-là, tu ne pourras le retirer que pour te masturber en me regardant baiser à nu avec mon amant du moment. »

Cette dernière phrase de Manon provoque deux fortes éjaculations, l'une dans sa main et l'autre dans la cabine voisine.

Le lendemain matin, ils prennent le large pour rejoindre les Cyclades. Adrien a pris la barre. Sous un soleil radieux, Manon vient de déposer un matelas sur le pont avant pour s'y coucher sur le dos. C'est l'endroit idéal pour faire du bronzage intégral. Seul son mari la voit de loin depuis l'arrière du bateau et Albert est encore occupé à l'intérieur. Manon appelle alors son mari, en criant fort :

« Adrien, il faudrait me mettre de la crème à bronzer. Peux-tu t'en occuper? »

« C'est impossible », crie son mari, « je ne peux pas lâcher la barre ! »

« Albert, Albert », hurle-t-elle, « la crème à bronzer s'il vous plaît. »

Le majeur d'homme, vêtu d'un short et d'un tee-shirt, s'approche sans bruit, pieds nus, et lui tend le tube demandé. Manon sursaute mais ne cherche pas à se couvrir. Sachant que son mari ne peux pas les entendre de si loin et avec le bruit du vent, elle passe au tutoiement :

« Albert, c'est toi qui va me mettre la crème. Je suis trop bien pour avoir envie de bouger. Tu en mettras partout, car le soleil est très fort. »

Albert s'exécute, profitant bien de la situation, d'autant plus que, lorsque ses mains approchent du ventre, Manon écarte largement les cuisses. Les doigts s'attardent dans l'ente-jambes plus longtemps qu'il serait nécessaire. Il semblerait même qu'un index ait déposé de la crème solaire à un endroit que les rayons ne peuvent atteindre. S'attarder plus serait inconvenant aussi Albert s'arrête, disant :

« J'ai terminé, Madame. Auriez-vous besoin d'autre chose? »

Albert, bien que tutoyé par Manon lorsqu'ils sont seuls, n'a jamais pu se résoudre à faire de même, comme si cela n'était pas convenable dans sa position d'employé de maison.

« J'ai la nuque un peu cassée, dans cette position, et je ne vois pas bien le paysage. Pourrais-tu t'asseoir derrière moi, jambes écartées? », demande Manon.

Albert s'installe comme demandé et Manon pose sa tête sur sur la bosse dure que cache le short. Elle bouge un peu, plusieurs fois, comme si elle cherchait la position la plus confortable, ce qui fait encore plus durcir l'endroit, puis elle lance une conversation :

« Albert nous as-tu entendus cette nuit? Je l'espère, car c'est pour toi que je ne me suis pas faite discrète. As-tu aimé ça?»

« Oui, beaucoup », répond-il, n'osant pas en dire plus.

« J'espère que tu as pu ... te faire plaisir en nous écoutant », ajoute-t-elle.

« Oui, vraiment », dit Albert, qui ose poursuivre timidement, à voix basse, par :

« J'ai même fini par ... exploser de plaisir ... en entendant ... votre dernière phrase ... »

« Tu sais », corrige Manon, « ce n'était qu'un fantasme ... rien d'autre. Penser que je pourrais me faire engrosser par un autre homme que mon mari était hyper excitant. As-tu imaginé, à ce moment, que ... l'amant ... c'était toi? »

Sans attendre une réponse, Manon se lève en disant qu'elle a eu assez de soleil et qu'elle va prendre une douche, laissant un Albert très excité et qui n'a pas pu se soulager.

La journée se passe en découvrant des îles plus belles les unes que les autres et en profitant de mouillages dans des petites criques désertes, où il fait bon se baigner nu. Seul Albert garde pudiquement un maillot de bain.

Après le dîner, le couple regagne leur cabine et Adrien s'endort immédiatement, laissant deux frustrés, sa femme qui espérait une nuit de plaisir et Albert qui n'a rien entendu d'excitant. Manon s'est dit à un moment qu'elle pourrait se glisser dans l'autre cabine, mais elle n'a pas osé se lancer dans l'adultère, surtout avec un homme qui lui déplaît physiquement. Alors, elle reste éveillée dans son lit, se demandant pourquoi elle cherche en permanence à exciter cet homme repoussant. Est-ce son sexe difforme mais si gros? Ou simplement le fait de braver un interdit, d'oser ce qu'aucune femme raisonnable ne ferait? La question reste sans réponse lorsqu'elle finit par trouver le sommeil.

La brise du lendemain les conduit vers une autre île, cette fois habitée. Ils mouillent devant une grande plage qui est visiblement occupée par des nudistes. Adrien et Manon confient la garde du bateau à Albert, puis plongent, nus, pour nager vers la plage, tirant un sac étanche contenant leurs serviettes et produits nécessaires. Voyant la fréquentation de l'endroit, ils préfèrent s'éloigner un peu vers l'intérieur où sable et herbage sont mêlés.

Une fois bien installés côte à côte, Adrien tire un magasine du sac et commence sa lecture. C'est sans compter sur la frustration sexuelle de Manon depuis la nuit dernière. Celle-ci pose alors sa main sur le sexe de son mari et entame une branlette qui finit par le faire bien bander. Il n'est pas question de faire l'amour dans cet endroit public, mais quelques caresses leurs paraissent acceptables. Aussi une main d'Adrien vient-elle caresser une chatte bien humide, y glissant par moments un doigt.