Initiation - 06 (le mariage)

Manon va s'endormir apaisée en se disant : ce n'était qu'un fantasme, mais c'était si bon !

Le lendemain, pendant une matinée déjà bien avancée, Manon se réveille alors que son mari dort toujours. Doit-elle passer à la salle de bains? Manon se dit que ce ne sera pas bien utile car elle a encore des projets coquins pour sauver sa nuit de noces. Elle se contente de prendre ses médicaments du matin. Après la prise de sa pilule contraceptive, au moment de prendre son comprimé miracle, elle décide d'en prendre deux. Elle a été tellement frustrée par sa première nuit de femme mariée qu'elle a besoin de se sentir vraiment mieux.

C'est en posant sa main au bas du ventre de son vieux mari qu'elle le réveille. Conscient de son échec de la veille, Adrien se jette sur elle et la pénètre. Son sexe est bien dur, mais un coït d'emblée trop rapide provoque une éjaculation prématurée. Manon a reçu beaucoup de sperme en elle, mais n'a pas eu le temps d'atteindre le plaisir attendu. Elle est de nouveau si frustrée qu'elle cherche à 'ranimer la flamme'. Tout est bon, ses doigts, sa langue, sa bouche, mais rien n'y fait. Elle n'a en face d'elle qu'une petite nouille molle, dont elle place le gland entre les lèvres de sa vulve, sans qu'aucune pénétration ne soit possible avec un membre aussi flasque. Même si elle ne peut être prise, elle aimerait réussir à le faire encore éjaculer. Manon se lance cela comme un défi. Adrien, dont la gêne est immense, n'ose dire le moindre mot.

Manon se remémore tout à coup un film pornographique qu'elle avait regardé. On y voyait une femme faire jouir un homme sans toucher son sexe ni le sucer, par un simple massage de la prostate. Manon avait trouvé la technique très sale et avait alors été dégoûtée. A l'inverse, aujourd'hui, faire ça lui paraît extrêmement érotique. Alors elle introduit son majeur dans l'anus de son mari, qui sursaute mais la laisse faire. A chaque fois qu'elle replie son doigt, quelques gouttes de sperme s'écoulent du méat. Cela n'a pas la force d'une éjaculation mais Manon trouve cela très excitant, car elle a l'impression de faire quelque chose de sale, d'interdit. Elle a également une sensation de pouvoir sur son mari. Alors elle continue, tenant le sexe mou dans son autre main, le plaçant bien pour que le sperme coule peu à peu dans son vagin. Manon se voudrait complètement remplie, mais elle sait que c'est impossible. Cependant elle va aller jusqu'au bout, jusqu'à la dernière goutte, sans tenir compte des gémissements de son mari qui ne fait que lui demander d'arrêter. Pendant tout ce massage intime, Manon a senti son excitation monter, une excitation plus cérébrale que physique, mais l'orgasme est resté inaccessible.

Adrien a bien senti la frustration de sa femme dont il sait porter la responsabilité, aussi dit-il :

« Je suis désolé, ma chérie, de n'avoir pas pu répondre à tes envies. Un vieux bonhomme comme moi ne peut se rajeunir, mais il y a quelques aides possibles, si tu le souhaites. »

Sans attendre une réponse de sa femme, il sort du tiroir de la table de nuit un gros godemichet noir. Manon est surprise par la taille de l'engin dont la longueur comme l'épaisseur font presque deux fois la taille de ce qu'elle connaît. Y est raccordé un tuyau au bout duquel se trouve une grosse poire, dont Manon imagine l'usage. Elle est aussi intriguée par un second équipement de même nature mais plus petit.

Son excitation est telle que Manon, ouvre largement les cuisses et, de ses doigts, écarte bien ses lèvres vulvaires. Adrien enfonce le gros gode en forçant un peu mais tout le sperme qui est déjà dans le vagin facilite cette pénétration. Manon se sent complètement remplie : le gros gland la touche bien au fond et son vagin est écarté au maximum. Alors la main de son mari, qui contrôle le gode, commence un mouvement de va et vient, d'abord lent puis de plus en plus rapide. Manon sent que, lorsque le vitesse augmente, la force s'accroît également. Elle commence à soupirer et son front se couvre de sueur. Son vagin est maintenant lubrifié par un mélange de sperme et de sécrétions féminines. Tout à coup, dans un mouvement d'une extrême violence, Adrien enfonce le gros godemichet de toutes ses forces, faisant durement buter le gros gland de caoutchouc sur le col de l'utérus. Manon lâche un cri de surprise et de douleur. Elle pense à cet instant que son mari veut certainement lui faire payer ainsi l'humiliation qu'elle lui a fait subir.

Le gode est resté planté en elle et Manon s'y est habituée, la douleur s'étant résorbée. Elle apprécie même de se sentir si complètement remplie. C'est alors qu'elle entend un petit 'pchouf', alors qu'elle ressent une pression sur les parois de son vagin. Son mari vient de presser sur la poire, gonflant ainsi le gode.

'Pchouf, pchouf' et cette fois, c'est douloureux. Trop c'est trop se dit Manon, mais la douleur s'estompe rapidement et seule l'excitation subsiste. Que pourrai-je supporter, se demande-t-elle? Elle se dit qu'elle ferai mieux de ne pas chercher à le savoir et d'arrêter tout de suite, mais une envie perverse la conduit à attendre encore un peu.

'Pchouf, pchouf, pchouf' et la douleur est si forte que les parois de son vagin sont en feu, aussi crie-t-elle presque :

« Arrête, arrête ! »

« Voudrais-tu que je l'enlève, mon amour? », demande Adrien.

« Oui, oui, tout de suite », répond Manon.

Alors Adrien commence à tirer et le retrait devient insupportable, aussi sa femme crie-t-elle :

« Oh, non, pas comme ça ! »

« Mais tu n'avais demandé de le retirer, pas de le dégonfler, ma chérie », dit son mari avec un petit sourie narquois.

Alors que Manon reste silencieuse, Adrien repousse le gros gode pour lui faire reprendre sa place en elle, qui finit par s'habituer à cette dilatation hors norme. Elle est bien aise de constater que son mari ne touche plus à l'engin ni à sa poire. Bien qu'aucun mouvement ne persiste, des ondes de plaisir traversent son bas ventre. Son excitation reste au sommet. Il lui vient l'idée de poser la question qui l'intrigue depuis le début :

« Mon chéri, à quoi sert l'autre petite poire? »

« Tu veux vraiment le savoir? », questionne Adrien.

« Évidemment. Quelle question ! », répond-elle.

« Si tu veux le savoir, ma petite femme, il va te falloir payer pour ça. Cela coûte trois coups sur la grosse poire », dit son mari pervers.

Après un moment d'hésitation, Manon confirme :

« Tu es vraiment un salaud ... mais ... vas-y. »

Trois 'pchouf' provoquent les cris de Manon, qui tremble et bouge de tous côtés, ce qui accroît sa douleur. Elle finit par se calmer, s'habituant à cette pression en elle, insupportable eu début, puis elle dit :

« Je veux savoir, mais attend avant de me le dire. Laisse-moi d'abord retrouver mon calme. Je n'aurais jamais pensé pouvoir aimer un tortionnaire. Comme quoi je ne me connais pas bien. Mais, il ne faudra pas recommencer souvent. C'est trop dur. Tu trouveras bien d'autres moyens de me faire du bien. »

Manon reste un bon moment sans bouger, récupérant de ses aventures, puis sa main vient se poser sur le gode, tout près de ses lèvres vulvaires, comme si elle voulait caresser un sexe pour le remercier du plaisir qu'il vient de lui offrir. Adrien s'en étonne intérieurement puis se dit que sa jeune femme n'est que contradictions et que cela la rend adorable. Lorsqu'il voit la main de Manon quitter un peu l'endroit pour venir caresser son clitoris, il sait que c'est le moment de répondre à sa question.

« Il y a un petit réservoir qui contient un liquide imitant bien le sperme et la petite poire simule l'éjaculation par un petit trou dans l'extrémité du gros gland en caoutchouc », dit-il, puis il ajoute avec un petit sourire en coin :

« On pourrait aussi y mettre du vrai sperme. »

« Ce ne serait pas grave pour moi, qui suis sous contraception », dit-elle.

« Peut-être, peut-être, ma chérie », corrige Adrien, « J'ai regardé ta boîte de pilules et trouvé sur Internet les caractéristiques de ce médicament. Ces pilules sont les moins dosées. Cela évite absolument tout effet secondaire, mais il y a une contre-partie. L'efficacité est plus faible et il reste 3 % de risque. C'est peu, mais tu peux tomber dans ce créneau. »

« Ah, je ne le savais pas », dit Manon, « mais le liquide que tu as mis dedans n'est qu'un ersatz de sperme. »

« Oui, mais ce n'est pas moi qui l'y ai mis », précise Adrien, « J'ai demandé à Arthur de le préparer. »

« Peux-tu me montrer à quoi ressemble ce liquide? », questionne Manon, curieuse.

« C'est facile », répond son mari, « le flacon ne peut être que dans la table de nuit. »

Après avoir inspecté le tiroir, Adrien s'étonne :

« C'est curieux, il n'y a rien ! »

A cet instant, Adrien presse sur la petite poire, baignant ainsi le col de l'utérus de sa jeune épouse, tout en disant :

« Arthur a certainement trouver un autre moyen de le remplir. »

En se sentant inondée et entendant cela en même temps, Manon entre dans un orgasme foudroyant, alors que son mari, quasi impuissant jusqu'ici, éjacule sur le pubis de sa femme.

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... à suivre ...