Initiation - 05 (les préparatifs)

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Nathalie s'assure que le futur mari pourra satisfaire Manon.
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Partie 5 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Initiation - 05 (les préparatifs)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Dans son studio de Rennes, Manon vient de se réveiller au milieu de la nuit, perturbée par les moments passés avec son nouvel ami. Tout a été trop vite, de quelques échanges via Internet à ce week-end passé dans sa belle maison de Saint-Malo. Emportée par la relation avec cet homme qui ressemble tant à son père, Manon a fini par céder à son envie de l'avoir pour mari. Évidemment, entre ses 18 ans et les 70 de cet homme qu'elle appelle 'grand-père' dans l'intimité, il y a un monde. Nathalie, sa mère, s'était bien mariée avec Eric, de 20 ans son aîné, et ses parents paraissent s'entendre parfaitement, mais, là, la différence d'âge est énorme. Son futur mari, si riche, lui offrira une vie facile, c'est certain, mais ce n'est pas ce qui la motive, Manon n'étant pas vénale.

Ce qui la pousse à prendre le risque de vivre avec un si vieil homme, à part cette ressemblance qui rappelle à Manon son expérience incestueuse, c'est sa façon de l'initier à des plaisirs, un peu pervers, qui lui étaient inconnus. Elle a l'impression d'être libérée progressivement d'un carcan de bienséance, sans toutefois vouloir s'en échapper, tant son éducation l'y a formatée. Manon se rend compte qu'elle n'est que contradiction, mais elle se dit que les femmes sont peut-être toutes comme ça, faisant ainsi leur charme.

Doit-elle revenir sur sa décision de mariage ou poursuivre dans cette voie? Adrien pourra-t-il la satisfaire sexuellement, vu son âge? Et, pour la même raison, pendant combien de temps? Manon n'a pas envie d'être mère si jeune, mais qu'en sera-t-il après quelques années? Dans ce cas, sera-t-il encore capable de ...?

La richesse d'Adrien permettra de répondre facilement à beaucoup de problèmes de la vie, mais pas à tous. Manon pourrait demander l'avis de ses parents mais elle s'y refuse car ce serait une trop lourde responsabilité pour eux. Manon est dans l'indécision totale.

Pour se faire une idée de la vie qu'elle pourrait avoir avec Adrien concrètement, Manon n'a comme exemple que ce week-end qu'elle vient de passer avec lui. Alors, elle revoit dans sa tête tous les instants, dans le moindre détail. La main de Manon, qui est descendue quasiment d'elle-même entre ses cuisses, accompagne naturellement ses pensées. Son index touche doucement son clitoris, dont la sensibilité augmente à chaque caresse et à chaque souvenir de ces deux journées. Alors Manon, un peu honteuse de penser cela, se dit que c'est lui, son clitoris, qui risque de décider encore pour elle. Si je jouis ... , se dit-elle. Et la jouissance arrive, inévitable : c'est décidé, c'est oui ! Elle va appeler ses parents pour leur faire rencontrer son futur mari.

Ce matin, dès leur réveil, les parents de Manon, Eric et Nathalie, viennent de faire l'amour. Eric, regardant le préservatif qui pend encore au bout de son sexe, ne peut s'empêcher de dire à sa femme :

« Ce truc gâche une bonne partie du plaisir et, en plus, des moments comme ça sont de moins en moins fréquents. »

« Mais tu sais bien, mon chéri », lui dit Nathalie, « que c'est la gynécologue qui m'a dit d'arrêter cette prise de pilule qui a duré une quinzaine d'années. Elle m'a dit que, à 39 ans, j'étais probablement moins fertile mais pas ménopausée. Ma mère ne l'a été qu'à 50 ans, alors je suis peut-être sur la même voie. Comme il reste un risque, elle m'a proposé un stérilet, mais je n'ai pas envie d'avoir quelque chose en moi en permanence. Alors, pour toi, maintenant, ça va être le préservatif. »

La frustration d'Eric est évidente lorsqu'il dit :

« ... et en plus pour des coups qui sont si rares. »

« Bon, je vais faire un effort », dit Nathalie, conciliante, « On garde le préservatif, mais on fera l'amour à chaque fois que tu en auras envie. D'ailleurs, notre croisière dans les Bermudes, qui commence demain, sera l'occasion de nous retrouver comme deux amoureux. Ce sera comme un deuxième voyage de noces. Tu es content comme ça? »

L'accord est scellé par un baiser passionné comme ils n'en avaient pas partagé depuis longtemps.

A cet instant, Nathalie reçoit un appel sur son smartphone. C'est sa fille :

« Maman, j'aimerais vous présenter, à papa et toi, Adrien, cet homme que j'ai rencontré via Internet. Je crois, non, je suis certaine que c'est l'homme de ma vie. J'aimerais vous le présenter demain. »

« Oh, ma petite fille chérie », répond sa mère, « nous serions heureux de le rencontrer, mais nous partons demain de très bonne heure, pour notre croisière. Tu ne t'en souvenais plus? »

« Désolée, Maman, j'avais oublié », convient Manon, « alors, ce sera dès votre retour ! Je vous laisse faire vos bagages. Plein de bisous pour toi et pour mon papa chéri. »

Nathalie remplit sa valise avec des vêtements qu'elle vient d'acheter et qu'elle n'a pas montrés à son mari. Elle a choisi des tops très moulants qui se portent sans soutien-gorge et des mini-jupes très courtes ... trop courtes. Ce sont des vêtements que l'on porte entre 18 et 20 ans et certainement pas à 39. A cela s'ajoutent des sous-vêtements minimalistes et des maillots de bain deux pièces qui le sont encore plus.

Le lendemain, après un vol sans problème, un taxi les amène au port et ils montent dans le paquebot qui doit leur faire découvrir toutes les îles. Dès leurs bagages rangés dans la cabine, Nathalie se précipite chez le coiffeur du bord. Eric ne comprend pas pourquoi une coupe de cheveux s'impose maintenant. Si elle voulait changer de coiffure, elle aurait eu tout le temps d'aller voir son coiffeur habituel avant de partir, se dit-il.

Pour occuper son temps libre, Eric monte sur le pont pour assister à la manœuvre d'appareillage, puis il s'attarde pour profiter du beau temps, de la vue sur une mer turquoise et de la fraîcheur du vent apparent qu'apporte la vitesse du bateau. Cela a laissé le temps au coiffeur de terminer d'apprêter Nathalie. Celle-ci vient de rentrer dans la cabine et a choisi une tenue hyper sexy pour surprendre son mari.

Eric rentre sans frapper dans la cabine, croyant toujours sa femme absente. Quelle n'est pas sa surprise de la voir dans des vêtements qu'il ne lui connaissait pas ! Dans cette tenue, il lui donnerait 15 ans de moins. C'est à cet instant qu'il remarque la nouvelle coiffure : c'est une copie conforme de celle de sa fille. Malgré la différence d'âge, la ressemblance est frappante. Le sexe d'Eric vient de bander instantanément, durement, grâce à la vue qu'il a devant lui, mais aussi à ce que Nathalie vient de dire :

« Mon amour, pendant cette croisière, tu pourras m'appeler Manon. »

Fou de désir, Eric se jette sur elle, malaxant ses seins à travers le tissu, retroussant la mini-jupe et retirant le string. Il est tout de suite braguette ouverte et sexe sorti. Sa femme le repousse un instant, disant :

« Tu as oublié le préservatif. Tu pourrais engrosser ta fille ! »

C'est avec un sexe encapuchonné qu'il la pénètre alors, criant :

« Ah, Manon, Manon, c'est si bon. »

Bien qu'il ne soit pas habituellement un éjaculateur précoce, Eric est si excité que sa jouissance arrive très vite, trop vite. Nathalie n'a pas pu atteindre l'orgasme mais elle est tout de même contente d'avoir réussi une surprise si érotique. Elle se rattrapera bientôt, car elle sait que son mari sera insatiable pendant toute cette croisière, ne voyant en elle que sa petite Manon.

Au cours de la semaine, Nathalie, avec ses tenues hyper-sexy n'attire pas que les regards de son mari, qui repense à cette expérience de 'cocu volontaire' qu'il avait essayé de vivre alors avec sa jeune femme. Elle était allée assez loin mais pas jusqu'au bout, comme il l'aurait voulu. Cette croisière sera-t-elle l'occasion? Cette idée envahit l'esprit d'Eric, qui cherche alors toutes les situations qui pourraient aller dans ce sens. Cependant, malgré quelques discussions au bar avec des inconnus, dont les mains sont parfois baladeuses, rien n'amène sa femme à aller plus loin, au grand regret d'Eric.

Lors de la dernière soirée à bord, le couple se décide à aller au night-club. Pour exciter son mari, Nathalie a choisi une tenue, fin chemisier et courte jupette plissée, qui lui donne l'allure d'une écolière. Aussi lui dit-elle :

« Comment trouves-tu ta petite Manon? »

« Tu es superbe, ma fille », répond Eric, « mais tu pourrais bien faire tourner d'autres têtes que celle de ton papa. »

Ils descendent quasiment à fond de cale pour trouver ce night-club vraiment surchauffé. Ils dansent tous deux très longtemps. Eric a l'occasion de sentir, en se pressant contre Nathalie, ou en laissant ses mains vagabonder, qu'elle ne porte aucun sous-vêtement, aussi dit-il :

« Ma fille aurait-elle oublié ses sous-vêtements ou serait-elle un peu coquine? »

« Ta Manon est une fille ... très ... coquine. Mais tu n'as pas le droit de toucher. C'est juste pour que tu y penses. »

« Personne n'a ce droit ou suis-je le seul dans ce cas? », questionne Eric, doublement excité.

« Je ne sais pas. Ce sera à toi de le découvrir », répond Nathalie, qui entrevoit déjà où son mari veut l'amener, « Moi, je retourne danser », ce qu'elle fait avec une sensualité propre à attirer les hommes.

A cette heure avancée, il y a encore quelques couples sur la piste de danse, mais Nathalie, alias Manon, est la seule femme dansant seule. Plusieurs hommes, qui étaient près de bar, viennent l'entourer. Le rythme rapide de la musique permet à chacun d'attraper Nathalie par une main, de la faire tourner et de l'envoyer vers un autre. Les mouvements se font volontairement moins précis et des mains frôlent la poitrine moulée par un fin tissu ou les fesses que seule la mini-jupe protège. Eric profite de ce spectacle qui le fait bien bander.

Tout à coup, un des hommes, un grand noir, attire Nathalie contre lui et l'entraîne dans un mouvement lent qui ne correspond même plus au rythme de la musique. Au milieu de la piste de danse, il l'embrasse sur la bouche dans un long baiser, alors que sa main se crispe sur la mini-jupe qui remonte, découvrant le bord des fesses nues. Les autres hommes laissent échapper des « Oh ! » et leurs regards sont tous dirigés vers le couple, espérant voir une suite intéressante, mais le partenaire de Nathalie l'entraîne dans un coin sombre du night-club, montrant d'un geste qu'il ne veut pas être suivi. La carrure de l'homme dissuade les autres de s'approcher.

De sa place, Eric ne peut voir que deux silhouettes qui restent serrées. Il devine, plus qu'il ne le voit, que les baisers continuent et que les corps se frottent. Cela dure un bon moment, mais tout à coup Nathalie s'échappe et attrape la main d'Eric en disant :

« Allez, on s'en va ! »

De retour dans leur cabine, Eric embrasse fougueusement sa femme, puis lui dit :

« Tu as été super excitante, mais j'aurais aimé que tu ailles plus loin pour cette dernière soirée. »

« Sans contraception, ce n'était pas le moment », lui répond Nathalie, « Je serai au milieu de mon cycle dans un ou deux jours. Je ne suis pas allée jusqu'au bout, mais plus loin que la dernière fois. J'ai été cochonne, pour toi, même si tu n'as rien pu voir. En se plaquant contre moi, l'homme avait relevé le devant de ma mini-jupe et sorti un sexe énorme. Alors je n'ai pu résister à l'envie. J'ai pris son sexe en main, écarté un peu les jambes et ai frotté le gland sur ma chatte, allant des lèvres au clitoris. Évidemment, il a voulu me pénétrer mais j'ai resserré mes cuisses pour l'en empêcher. Il a essayé de me forcer, mais il n'a pas réussi car il fallait rester discret, même dans ce coin sombre. Il a pressé son sexe contre moi et ... »

Nathalie, plutôt que de terminer sa phrase, se débarrasse de sa mini-jupe, montrant ainsi les poils de son pubis englués d'un sperme abondant.

Eric se jette sur elle, la couchant sur le lit tout en l'embrassant fougueusement. Sans même se déshabiller, il sort son sexe et s'apprête à pénétrer sa femme, qui lui rappelle :

« Avec un préservatif ! »

Eric met la protection demandée puis tire les pieds de sa femme pour que sa chatte soit juste au bord de la couchette et se met à genoux entre les cuisses bien écartées. Il a envie de la prendre comme ça pour ne pas quitter des yeux ce pubis souillé par un autre homme. Alors, il la pénètre avec une force, une vigueur dont il ne se serait pas cru capable à son âge, puis, pour retarder sa jouissance, il ralentit ses mouvements, les faisant plus lents mais plus profonds. Traversé par une idée perverse, il se retire complètement. Il vient poser son sexe tendu sur le pubis de sa femme et le fait passer un peu partout pour bien engluer le bout du préservatif avec le sperme du noir.

« Que fais-tu? » , s'exclame Nathalie.

« Mais tu le vois bien ! », répond son mari.

Nathalie devrait réagir, s'opposer, mais c'est si excitant qu'elle le laisse continuer. Lorsque le sexe de son mari s'enfonce jusqu'au bout en elle, Nathalie crie un orgasme violent. Au même instant, le sperme d'Eric gicle dans le préservatif. Aucun de ses spermatozoïdes ne pourra rencontrer un ovule, contrairement à ...

« C'était bon, très bon, mais nous ne devrions jamais prendre de tels risques, mon chéri », dit Nathalie, ajoutant :

« Je devrais me laver ... »

« Le mal est peut-être déjà fait, alors ...? », répond Eric.

« Bon, ... tu l'auras voulu ... », dit Nathalie, avant de sombrer dans un sommeil réparateur.

Dès leur retour de croisière, Manon a appelé sa mère, car elle ne pouvait pas attendre un jour de plus avant de présenter son futur mari à ses parents. Rendez-vous est pris dans l'après-midi même.

Manon a choisi une tenue très banale, pas du tout sexy, qui lui paraît convenir pour ces circonstances. Adrien a choisi de s'habiller de façon décontractée, pantalon et pull. Le chauffeur vient de les déposer. Nathalie et Eric les accueillent. Son père n'a pas fait de frais de toilette, mais sa mère a choisi une tenue qui paraît à Manon trop habillée. Elle porte un chemisier un peu trop déboutonné et une jupe longue fendue très haut sur la jambe, ou plutôt sur la cuisse. Lorsqu'ils passent au salon, Manon remarque les changements dans le mobilier. Sa mère lui en avait parlé, mais elle avait oublié. Il y a un petit canapé à deux places seulement, très étroit, faisant face à deux fauteuils modernes devant une table basse en verre.

Manon n'est pas seulement surprise par le nouveau mobilier mais surtout par l'attitude de sa mère qui vient de s'asseoir sur le canapé, invitant Adrien à se placer à côté d'elle. Son père s'est assis, en face, dans un des fauteuils. Il ne reste que le deuxième fauteuil pour Manon. Elle est plus que contrariée par le choix de sa mère. Il est évident que les deux futurs mariés auraient dû s'installer ensemble sur le canapé. Alors, pour montrer son mécontentement à sa mère, Manon choisit de négliger le fauteuil libre et va s'asseoir sur les genoux de son père. Elle regrette même à cet instant de ne pas avoir mis une tenue sexy, comme une mini-jupe, avec ... ou sans petite culotte. Pendant leur conversation, Manon va prendre plaisir à gigoter, remuant des fesses sur la bosse qu'elle sent durcir dans le pantalon de son papa chéri. Elle voudrait arriver à le faire jouir pour qu'une belle tache sur son pantalon donne la honte à ses parents.

Les présentations sont faites et Nathalie semble apprécier son voisin qui ressemble tant à son mari. Les questions délicates concernant les ressources du futur couple sont abordés. Adrien est très clair :

« Je ferai en sorte que Manon n'aie nullement besoin de travailler. En fait, ce sera son choix. »

« J'aimerais profiter des plaisirs de la vie », dit la future épouse, « mais je voudrais avoir des activités. Je pourrais, par exemple, être bénévole dans des associations caritatives. »

« Tu feras comme tu voudras », conclut Adrien.

Lorsque vient le sujet de l'organisation du mariage, prévu au printemps, Nathalie suggère de choisir la date des 19 ans de Manon, et tous conviennent que l'idée est bonne. Adrien propose de tout prendre à sa charge, hormis la robe de mariée qui doit rester une surprise. Il leur présente les photos d'un magnifique château, qu'il pourrait louer pour l'occasion et qu'ils trouvent parfait.

« J'ai une vielle Bentley qui conviendrait pour cette journée et Mamadou, mon chauffeur sénégalais, pourrait s'en occuper », propose Adrien, qui ajoute :

« Mamadou est également capable de participer au service de restauration avec les extras que je réserverai. Il y a aussi Alfred, une perle rare, qui sera capable de diriger le service. Cet homme n'est pas très beau, mais il sait se montrer très stylé. Qu'en penses-tu, ma chérie, toi qui le connais bien? »

« On ne lui demande pas d'être beau mais de bien organiser le service. Il sera parfait », répond Manon.

C'est à ce moment que sonne le téléphone de Manon, qui dit alors :

« Oh, c'est Clara, qui m'appelle depuis les USA. Elle pourrait être témoin pour moi. Excusez-moi, je vais prendre la communication dans ma chambre. »

Dès le départ de Manon, Eric dit :

« Ça tombe bien. Il y a des points dont nous aimerions parler sans sa présence. Ça nous laisse un peu de temps, n'est-ce pas, ma chérie? »

« Connaissant ces deux là, cela nous laisse beaucoup de temps, crois-moi ! », répond Nathalie, qui engage de nouveau la conversation :

« Adrien, ne vous vexez pas, mais vous avez une certaine ressemblance avec mon mari et cela ne doit pas être indifférent au choix de notre fille ... »

« Oui », dit Adrien, « j'ai compris que Manon et son père ont une relation très fusionnelle, très particulière. »

« En fait », poursuit Nathalie, « ma fille a ... comment dire ... testé ... oui, c'est cela, ... testé sa nouvelle féminité grâce à son père. C'était l'homme de la maison ... accessible. Il m'a paru normal que Manon découvre ainsi son pouvoir. Je n'ai pas été jalouse de ma fille et j'ai même encouragé mon mari à entrer dans ce jeu, ne fixant que des limites assez extrêmes, mais ce cochon a fini par faire des bêtises ! »

Eric ne trouve rien a dire mais son visage tout rouge le trahit.

Adrien se veut rassurant :

« Ne vous inquiétez pas, Eric. Je sais rester muet lorsque c'est nécessaire. De plus, je m'en voudrais de priver Manon de la relation privilégiée qu'elle a avec son père. »

« Bon, j'ai un autre sujet délicat à aborder », poursuit Nathalie, qui vient de croiser ses jambes, que la longue fente de la jupe découvre alors très haut, « Notre fille est très jeune et, de ce fait, ses besoins ... sexuels ... seront certainement importants. Votre âge, excusez-moi ... disons ... avancé, ne risque-t-il pas de la priver des plaisirs qu'elle aurait avec un mari de sa génération? »

Le futur mari, loin d'être déstabilisé par la question, répond :

« Je ne suis pas encore impuissant, croyez-moi, mais j'ai aussi beaucoup d'idées pour faire découvrir à Manon des plaisirs auxquels elle ne pense même pas. »

« J'entends bien », réplique Nathalie, « et j'imagine les ... accessoires ... que vous pourriez utiliser avec elle, mais ... cela ne remplace pas un homme. Si Manon avait besoin de plus que ce que vous pourriez lui donner, la laisseriez-vous ... disons ... flirter un peu? »

« Oui ... et même bien plus que ça ! », répond Adrien sans hésiter.

« Seriez-vous ... un peu voyeur, comme mon mari? », questionne Nathalie.

« On peut dire ça », répond Adrien.

Cette conversation a un effet certain sur la chatte de Nathalie qui est maintenant bien trempée. Cela l'aide peut-être à poursuivre sur un terrain glissant :

« Comme vous avez beaucoup de points communs avec mon mari, j'aimerais voir si ce que vous avez à offrir est comparable ... »

« Oh, Nathalie ! », s'exclame son mari, scandalisé par la question, alors que la bosse qui grossit encore dans son pantalon le contredit.

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