Initiation - 06 (le mariage)

BÊTA PUBLIQUE

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Épuisée mais heureuse de cette dernière soirée coquine, Manon se rhabille et Clara la reconduit chez elle. Manon n'aura que quelques heures de sommeil avant une journée de mariage qui la sollicitera beaucoup. A 19 ans, on doit tenir la distance, se dit-elle avant de s'endormir en un instant.

A son réveil, le lendemain, Manon repense à sa soirée de la veille. Elle a peut-être été un peu trop loin. A-t-elle vraiment trompé son futur mari? Oui, car il y a eu pénétration, se dit-elle. Mais, non, car c'était juste le gland, veut-elle se convaincre. C'est vrai qu'il y a eu un peu de sperme d'un autre homme en elle, mais si peu ! Manon repense à ce que lui a dit sa mère : ce ne serait vraiment tromper qu'avec un risque de fécondation, or elle prend la pilule. Manon n'arrive ni à se trouver coupable, ni à se sentir dans son plein droit. De toutes façons, son futur mari n'en saura rien, conclut-elle.

Il est temps pour Manon d'oublier tout ça et de s'apprêter. Clara l'aide à mettre sa robe de mariée. Sous-vêtement ou pas? Finalement, Manon se dit que ne rien porter au-dessous ferait trop 'femme de mauvaise vie'. Elle choisit un petit string blanc qui couvre à peine l'entre-jambes et dont la marque, certes visible, reste cependant très discrète.

Mamadou, le chauffeur de son futur mari vient la chercher et l'aide à monter à l'arrière de la vieille Bentley pour éviter de froisser sa belle robe. Eric, son père, qui doit l'accompagner pour son entrée à l'église, est déjà sur la banquette. Il accueille sa fille avec un petit baiser sur la joue ou plutôt au coin des lèvres. A peine la voiture a-t-elle démarré qu'Eric dit à sa fille :

« Ma chérie, je suis heureux pour toi, pour ta vie heureuse qui va commencer, une vie de femme choyée par un mari qui ne te refusera rien, j'en suis certain. »

Manon voit bien dans le regard de son père une certaine tristesse qui ne colle pas avec son discours. Aussi le questionne-t-elle :

« Quelque chose t'inquiète, papa? »

Eric laisse passer un long moment avant de répondre :

« J'ai l'impression ... de te perdre. »

« Mais non », répond Manon, « je serai toujours là pour mon papa chéri. Pour te le prouver, je vais te donner notre 'baiser du soir', dont tu te souviens, j'espère. »

Comment Eric aurait-il pu l'oublier, ce baiser passionné qui l'avait conduit jusqu'à l'inceste?

Alors ils s'embrassent comme deux amants, langues mêlées, dans un long baiser à en perdre le souffle. Manon a bien vu que le chauffeur, tout en conduisant lentement, avait modifié la position du rétroviseur pour avoir une vue sur eux. Cela ne l'inquiète pas car elle sait qu'il saura garder le secret. Lorsqu'ils approchent de l'église, Manon dit :

« Mamadou, pourriez-vous faire un petit détour? On m'a toujours dit qu'une femme devait se faire un peu attendre. Cinq ou dix minutes de retard, ça serait bien. »

En fait de petit tour, le chauffeur dirige la voiture vers une impasse qui, passées les dernières maisons, se termine par un bosquet. C'est l'endroit idéal pour la suite qu'il imagine. Mamadou a bien vu que la future mariée avait remarqué qu'ils les regardait dans le rétroviseur. Comme elle n'avait alors rien dit, il peut maintenant continuer. Le spectacle est de suite intéressant car Manon pose sa main sur le pantalon de son père, en ouvre la braguette et en sort un sexe bien dur. Tout en le caressant de ses doigts, Manon dit :

« Tu vois, je serai toujours prête à donner du plaisir à mon papa chéri. »

Cette phrase n'a pas été chuchotée mais énoncée très nettement, car Manon voulait qu'elle soit bien entendue par le chauffeur. Elle branle maintenant le sexe de son père si rapidement que du méat coule du liquide pré-séminal. Les caresses deviennent ainsi plus que bruyantes. Manon est heureuse d'exciter son père et probablement le chauffeur. Elle en a la confirmation lorsqu'elle voit l'épaule droite de Mamadou se soulever légèrement en un rythme rapide. Manon sait ce qu'il est en train de faire et cela l'excite encore plus. Eric vient de faire passer sa main par la fente de la robe et ses doigts cherchent à se glisser sous le string de Manon, qui l'arrête en disant :

« Pas de ça, Monsieur. D'abord un père ne fait pas ça à sa fille et puis je ne voudrais pas tacher ma robe avant la cérémonie. Peut-être trouverons-nous un petit moment tous les deux avant que mon mari ne m'emmène. »

Là encore, Manon, excitée et espiègle, a tout fait pour que cela soit entendu par Mamadou, auquel elle dit alors :

« En route, chauffeur ! »

Les quelques centaines de mètres du trajet suffisent à chacun pour remettre de l'ordre dans leur tenue.

Tout se passe au mieux à l'église et à la mairie. Les invités complimentent les époux et tout le monde s'extasie devant la beauté de la si jeune mariée. Ceux qui ne connaissaient pas le mari sont étonnés par la différence d'âge et surtout par cette ressemblance avec le père de Manon. Tout cela fait évidemment jaser dans de discrets chuchotements.

Buffets, cocktail et soirée sont prévus dans ce grand et magnifique château loué pour l'occasion. Les mariés y auront leur chambre nuptiale et les invités de marque pourront loger également au château.

Le cocktail et la soirée dansante ont lieu dans une grande grange aménagée à cet effet, située à quelques centaines de mètres du château. Le Champagne coule à flots. Alfred, le major d'homme du marié, organise parfaitement le service et personne ne manque de rien.

Tous les hommes invitent la mariée à danser. Les garçons de la veille sont parmi les invités. Ils ne se permettent pas de familiarités avec Manon, qui craignait un peu leur possible comportement. Dans une danse lente, son père serre sa fille d'un peu trop près, mais Manon est seule à s'en apercevoir, lui semble-t-il.

Adrien, en marié respectant les convenances, invite tour à tour toutes les femmes présentes. Lorsqu'il danse avec Roxana, que Nathalie lui a présentée, il se sent en confiance avec cette femme de vingt ans plus jeune que lui et qui lance tout de suite la conversation :

« Adrien, vous avez de la chance d'épouser une si jeune et si belle femme. Vous allez la choyer, j'en suis certaine. J'espère que vous pourrez lui apporter tout ce qu'elle attend. Comme vous le savez peut-être, je suis la gynécologue de votre femme. J'ai aussi des compétences en sexologie, aussi ne vous étonnez pas des sujets que je pourrais aborder. Je ne vous choque pas en disant cela, j'espère? »

« Pas du tout, Roxana », répond-il, « J'ai d'ailleurs plein de projets pour Manon dans ce domaine. Je ne suis pas un mari très jaloux, voyez-vous. »

« Votre expérience pourrait m'être utile, si vous ne me faites pas payer trop cher », ajoute-il en riant.

« Pour vous, ce sera gratuit, Adrien. Vous guider dans ce domaine m'apportera ... comment dire ... un plaisir très cérébral », lui dit Roxana, ce qui fait ressentir à Adrien une certaine proximité avec elle, qu'il exprime ainsi :

« Roxana, je suis comme vous. Le plaisir de l'esprit dépasse souvent tous les autres. Mettre au point, avec vos conseils, le chemin que j'aimerais faire suivre à Manon me ravirait. Nous pourrons en parler lors d'une prochaine danse, car je dois maintenant rejoindre mon épouse. »

Adrien, en dansant avec sa femme, la questionne à propos de Roxana. Manon lui dit qu'elle paraît très compétente et que c'est une amie de sa mère, aussi lui fait-elle vraiment confiance.

Un peu plus tard dans la soirée, Adrien invite de nouveau Roxana à danser, mais, avant de reprendre leur conversation et de rentrer dans le vif du sujet, celle-ci lui propose le tutoiement qui lui paraît convenir lorsque l'on va partager des choses si intimes. Adrien ne peut être que d'accord. Roxana relance leurs échanges :

« Adrien, je t'imagine un peu voyeur de certains plaisirs de ta femme, mais es-tu prêt à être un cocu volontaire? »

« Bien sûr », répond-il, « et j'ai envie d'aller assez loin dans cette voie. »

Roxana se veut précise :

« Il faut que tu saches que, par l'intermédiaire de sa mère, j'ai fait prendre à Manon, chaque jour, un comprimé qui est un puissant aphrodisiaque. Comme elle se questionnait beaucoup à propos de sa nouvelle vie, nous lui avons présenté ce médicament comme un antidépresseur sans accoutumance, permettant donc une prise régulière. Ce produit l'excite en permanence et il faut t'attendre à te trouver en face d'une vraie nymphomane. Seul, tu ne pourras pas la satisfaire. »

« Que me conseilles-tu? », questionne Adrien.

« Tu peux commencer par quelques gadgets pornographiques, mais ça ne la satisfera qu'un temps. Tu pourras donc commencer par lui faire apprécier l'exhibition, puis la pousser à des contacts avec un autre homme, contacts de plus en plus poussés, jusqu'à ce qu'elle se fasse prendre. Tu pourras l'amener à envisager des rapports avec plusieurs hommes, d'abord à la suite puis en même temps. Une étape importante serait, si tu en es d'accord, de lui faire abandonner toute contraception. Je pourrais d'ailleurs, de par ma profession, l'aider à passer ce cap. Manon devrait se sentir encore plus excitée du fait du risque. Au début, tu lui feras choisir des périodes peu dangereuses, puis tu l'amèneras vers des moments plus risqués. Tu verras que, plus le danger sera grand, plus ses orgasmes seront forts. Et puis, si tu en es d'accord, on pourra aller plus loin. J'ai en tête un scénario qui devrait te plaire, si tu es l'homme pervers que j'imagine. »

« Et quel est-il? », questionne un Adrien, dont le sexe est devenu dur comme de l'acier.

Alors, Roxana le lui décrit en murmurant à l'oreille. En l'écoutant, Adrien vient d'éjaculer dans son slip sans même se toucher, lui qui voulait se garder au mieux de sa forme pour sa nuit de noces. Il dit alors, à l'oreille de Roxana :

« Tu es vraiment beaucoup plus perverse que moi, mais j'adore ça. Nous irons jusqu'au bout, ensemble, tous les deux. »

« Pas seulement nous deux. Sa mère sera dans le secret. J'ai déjà évoqué avec elle ce que je viens de te dire et elle a autant que toi l'envie de pervertir sa fille. »

Manon et Adrien passent encore un long moment, se partageant entre tous les invités qui commencent à remercier et à partir lorsque la nuit est très avancée. C'est à ce moment que Nathalie dit à sa fille qu'elle se sent très fatiguée et va rejoindre sa chambre, mais elle ajoute :

« Mais ton père restera jusqu'à la fin. »

A l'aube, ne se trouvent plus là que les deux époux et le père de la mariée. Les extras on terminé le rangement et sont partis. Ne restent qu'Alfred et Mamadou. Ce dernier vient féliciter la mariée, disant :

«Madame, je vous souhaite beaucoup de bonheur. Vous étiez magnifique, ce soir. Si vous souhaitez que je fasse quelque chose pour vous ... dans n'importe quel domaine ... ce sera un grand plaisir pour moi. »

Manon remercie et ne peut s'empêcher d'imaginer quel domaine le chauffeur a en tête ... ou ailleurs.

Puis c'est au tour d'Alfred de venir la complimenter. Manon voit bien le désir dans les yeux de cet homme hideux, qui lui dit :

« Je serai toujours votre dévoué serviteur, Madame », avant d'oser enfin dire :

« Je n'oublierai jamais la ... gentillesse ... que vous avez eu pour moi pendant votre premier week-end à Saint-Malo. Je sais que cela ne se reproduira jamais plus, mais je vous en serai toujours reconnaissant. »

Manon, touchée par ces mots, reprend Alfred :

« On ne vous a pas appris qu'on ne doit jamais dire jamais ! »

Le regard de son vis à vis montre à la fois surprise et espoir. Cela touche tant Manon, qu'elle pose un baiser rapide sur la bouche d'Alfred avant de s'éloigner.

Comment a-t-elle pu faire ça? Comment a-t-elle pu embrasser cet homme affreux? Elle aurait eu bien plus envie d'un baiser de Mamadou, dont l'attirent la magnifique peau d'ébène, la musculature d'athlète, la taille de colosse et peut-être même d'autres choses encore, qu'elle ne peut qu'imaginer. A-t-elle embrassé Alfred par pitié ou pour le remercier de ses gentilles paroles? C'est probablement ça, se dit-elle, mais il y a peut-être une autre raison, plus perverse : serait-elle attirée par ce qui la repousse? Manon est extraite de ses pensées par son mari qui lui dit :

« Je vais t'emmener au château pour y finir une nuit si bien commencée, mais, excuse-moi, je dois d'abord passer aux toilettes. »

C'est l'occasion qu'attendait Manon, aussi dit-elle :

« Je vais faire comme toi. Attend-moi quelques instants. »

Dès que son mari l'a quittée, Manon attrape son père par la main et l'entraîne avec elle dans les toilettes de femmes.

« Voilà le moment que je t'avais promis, mon petit papa », dit-elle.

Elle déboutonne la braguette de son père et en sort un sexe bien dur, puis, d'une main, elle relève sa robe et, de l'autre, tire bien son string vers l'avant, découvrant sa chatte.

« Branle-toi, mais fais vite et sans bruit ! », commande-t-elle.

Eric a bien compris ce que souhaite sa fille. Alors il s'approche, son gland touchant presque la chatte offerte. Des mouvements frénétiques de sa main provoquent bientôt une éjaculation qui paraît ne devoir jamais s'arrêter, tant cette situation l'excite. Vulve et pubis sont couverts de gros flocons blancs. La dernière giclée à peine terminée, Manon plaque son string à cet endroit, le relevant bien pour ne rien perdre, avant de partir en disant :

« Attend un peu avant de sortir et fais bien attention à ce que personne ne t'aperçoive. »

Lorsque les mariés rejoignent la chambre nuptiale pour leur nuit de noces, après un baiser passionné qui leur fait presque perdre le souffle, Manon, debout devant son mari, passe ses mains dans le dos pour dégrafer habilement cette belle robe, qui tombe alors à ses pieds. Pour Adrien, voir ainsi sa femme si belle et si excitante, ne portant qu'un petit string blanc et perchée sus ses hauts talons, fait durement durcir son sexe malgré une éjaculation récente.

Manon, déshabille son mari, doucement mais complètement. Elle s'assied au bord du lit, son visage tout près de ce membre qui bande pour elle. Manon le touche légèrement du bout des doigts, soupèse les testicules, puis passe le bout de sa langue sur un gland déjà humide. Elle s'interdit d'aller plus loin dans une fellation qui la priverait peut-être de la pénétration qu'elle attend. Manon, de sa position assise, laisse simplement son dos basculer sur le lit. Cette posture lui donne l'impression de s'offrir à cet homme, son mari, qui n'aura plus qu'à lui retirer son string.

Lorsque Manon sent les mains de son mari se saisir des bords de cette petite culotte, elle sait très bien ce qu'Adrien va découvrir, cette surprise érotique qu'elle a préparé pour lui. Son mari fait rapidement descendre le string jusqu'aux pieds et Manon s'en débarrasse d'un mouvement rapide. Pendant ce mouvement, Adrien n'a suivi que cette petite culotte des yeux, sans s'apercevoir des traces blanches qui souillent l'entre-jambes de même couleur. C'est lorsqu'il relève la tête qu'il découvre le sperme abondant qui recouvre les lèvres de la chatte et englue les poils du pubis.

« Oh, mon dieu ! », s'écrit-il, avant d'ajouter dans un chuchotement :

« Tu m'as déjà trompé ... salope ! »

Avec un grand sourire enjôleur, Manon se défend :

« Ce n'est pas 'tromper', mon amour. Il n'y a pas eu de pénétration et, de plus, c'est resté dans la famille. C'est un cadeau de mon papa chéri. »

Plutôt que de dire son contentement, Adrien vient chercher du bout la langue les flocons blancs dans les poils pubiens. Il nettoie tout, prenant bien son temps. Manon ne sent les contacts que par l'intermédiaire des poils et cela la fait frissonner. Lorsque qu'il ne reste plus rien à cet endroit, Adrien place un oreiller, replié en deux, sous les fesses de sa femme. Il a envie de la voir ainsi, encore plus offerte, presque obscène. Puis il s'attaque à tout le sperme qui recouvre les lèvres. Alors, là, il suce, aspire, avale, pour redécouvrir cette chatte magnifique que lui cache le sperme paternel. Manon est au bord de l'orgasme, car la pensée de ce que fait son mari compte autant que les caresses buccales qu'elle reçoit.

Lors d'une ultime aspiration, Adrien garde le sperme en bouche. Il écarte alors largement les lèvres vulvaires, pose sa bouche sur l'ouverture et laisse couler le sperme. La position de Manon fait que tout coule bien jusqu'au fond du vagin. Pour Adrien, c'est pratiquement un moyen d'assurer un peu de lubrification avant une pénétration qui sera difficile, son sexe n'étant pas un mieux de sa forme. Mais c'est surtout pour un plaisir cérébral : il a ainsi l'impression de faire un inceste par procuration. Peut-être Manon a-t-elle eu la même pensée, car un mini-orgasme la traverse alors.

La pénétration qui suit est frustrante pour la jeune mariée car, après quelques mouvements en elle, elle sent le membre se ramollir sans la moindre éjaculation. Son vieux mari se retire alors pour plonger, sans dire un mot, dans un sommeil profond.

Manon n'a eu qu'un petit plaisir alors qu'elle s'attendait à enchaîner les fortes jouissances. Frustrée, elle laisse sa main descendre vers son ventre et glisse son index entre les lèves de sa chatte pour le lubrifier un peu avant de venir caresser doucement son clitoris en feu. Elle pense à ces jeunes hommes avec qui elle a passé son enterrement de vie de jeune fille. Même mariée, elle pourrait revoir l'un d'eux et se faire baiser plusieurs fois de suite. Elle pourrait tous les 'essayer', l'un après l'autre, pour choisir le meilleur amant, ou, pourquoi pas, le accueillir ensemble. Elle se voit prise par l'un alors qu'un autre la sodomiserait et elle pourrait même faire une fellation à un troisième. C'est un premier orgasme qui l'envahit alors.

Elle ne trouvera pas encore le sommeil, tant elle reste excitée. Alors Manon replonge dans ses pensées comme deux doigts replongent dans son vagin pour le pistonner. Elle aurait besoin d'un homme viril avec un sexe endurant, mais s'en satisferait-elle? Peut-être aurait-elle envie d'une bite plus longue, plus grosse qui la remplirait complètement, la dilaterait même? Lorsque sa main s'active, Manon pense évidemment au chauffeur, Mamadou, ce colosse sénégalais dont tous les aspects physiques sont peut-être en rapport. Elle s'imagine défoncée par lui et ce que pourraient contenir ses grosses bourses. Un second orgasme la traverse alors.

Les jouissances ne la calment pas, bien au contraire. C'est comme si chacune relançait sa libido un cran plus loin. Elle repense à Mamadou, qu'elle vient d'imaginer dans ses fantasmes. Manon se dit que, amants, ils formeraient un couple vraiment très beau. Cette mention de beauté, par opposition, lui fait alors penser à Alfred. Pourquoi pense-t-elle, dans un moment si érotique, à cet homme hideux? Manon ne le comprend pas, mais n'arrive pas à l'évacuer de son esprit. Elle se voit l'embrasser alors qu'il lui palpe durement les seins. Elle se voit sucer cette grosse pine qui lui mouille la langue. Elle imagine la sensation du mouvement dans son vagin de cette bite tordue dont la déformation fait presser le gland contre son point G. C'est cette pensée qui déclenche son troisième orgasme.

Toujours insatisfaite? Manon se contorsionne pour faire rentrer toute sa main en elle. Alors elle sent que ses doigts trempent dans un peu de sperme paternel que son mari a poussé en elle. Du bout de son index, elle masse lentement le col de son utérus avec cette semence. Puis, elle ne peut s'empêcher de penser que c'est peut-être la grosse bite noire de Mamadou qui a déposé ce sperme à cet endroit ou bien même que la pine difforme d'Alfred l'a remplie ainsi. Alors elle continue de masser l'ouverture du col avec un plaisir décuplé. Toujours enlisée dans ce fantasme, Manon se dit que, heureusement, elle est sous contraception, car elle se voit faire ça un jour d'ovulation. Mais pourquoi n'aurait-elle pas oublié de reprendre la pilule après la fin de sa précédente indisposition? Cette pensée provoque une jouissance qui fait hurler Manon. Heureusement, son cri de plaisir n'a pas réveillé son mari.