Initiation - 04 (la rencontre)

Manon reste allongée, reprenant lentement ses esprits, alors qu'une main d'Albert repose en haut de sa cuisse, comme pour l'apaiser. Son bras allongé le long d'elle lui fait sentir une humidité au bout de ses doigts. Un coup d'œil lui montre que, sous l'excitation, le bout du sexe d'Albert a débordé du boxer. Alors qu'elle laisse échapper un « oh », Albert veut se réajuster mais Manon l'en empêche par :

« Non, reste comme ça, ou plutôt retire ton boxer. J'ai envie de te voir. »

Elle est passée naturellement au tutoiement de cet homme qui vient de lui faire tant de bien.

Albert s'exécute et Manon découvre un très gros sexe, un peu déformé, tordu, surmontant d'énormes testicules. Il bande toujours autant, alors Manon l'encourage :

« Vas-y, branle-toi sur moi. Je sais que tu en as envie. »

L'homme se masturbe frénétiquement au-dessus du pubis de Manon. Le résultat n'est pas long à arriver. Le sperme gicle abondamment, recouvrant les poils pubiens. Il y en a partout. Combien de temps cet homme frustré avait-il attendu pour se libérer? C'est la question sans réponse que se pose Manon, avant de dire :

« Là, tu m'en as mis partout ! »

Le major d'homme se précipite pour prendre une serviette, mais Manon l'arrête :

« Non, on ne va pas cochonner une belle serviette comme ça ! »

Entendant cela, Albert reste interdit. Manon vient d'avoir une idée diabolique. Elle se dit que, là, elle n'est plus la coquine, la cochonne ... mais une vraie salope. Pourtant elle en a trop envie, aussi dit-elle :

« Albert, c'est facile, avec ta main, tu vas tout prendre ... et tout cacher. »

« Mais, où ça? », interroge Albert, complètement perdu, avant d'entendre Manon lui répondre :

« A l'intérieur, gros malin », alors qu'elle écarte de nouveau grandement ses cuisses.

Alors Albert, excité comme jamais, enfourne le sperme dans le vagin offert. Il le pousse bien au fond. Il y en a tant qu'il lui faut cinq minutes pour arriver au bout de sa tâche, qu'il termine par un traditionnel :

« Madame est servie », auquel Manon répond, espiègle :

« Merci, Albert. Vous pouvez disposer. »

Manon se contente de remettre son slip de bain, le tirant bien haut pour éviter des coulées sur ses jambes, et se précipite vers la maison, oubliant même son soutien-gorge.

La voyant dans cette tenue, Adrien la serre dans ses bras et cherche à la renverser sur le lit.

« Attend, j'ai besoin de me doucher », dit Manon, qui se demande comment réagirait Adrien en découvrant sa chatte dans cet état, puis, prise d'un doute, elle sent le besoin de le questionner :

« Qu'est-ce qui te rend si entreprenant, mon amour? »

« C'est le spectacle », lui répond Adrien, lui montrant la longue vue sur son trépied près de la fenêtre.

« Et bien, mon cochon, puisque tu as tout vu, je vais me passer de ma douche. »

Alors, Manon retire son slip de bain et se couche sur le lit, cuisses écartées. Adrien place sa bouche sur la chatte de Manon, y pousse sa langue, suce et surtout aspire. Il va si vite dans son excitation qu'il s'étrangle presque. Lorsque plus rien ne reste en elle, Manon apprécie le baiser au goût spécial que lui offre Adrien. Elle est aussi heureuse de se rendre compte du rare pouvoir qu'elle a sur lui. Puis, son homme la pénètre et elle sent bientôt une giclée de sperme, petite, il est vrai, au fond de son vagin.

Tous deux usés par l'excitation, ils s'endorment, oubliant même le dîner.

Au réveil, le lendemain matin, Adrien questionne :

« Alors, ma chérie, quel est le résultat de notre rencontre, de ce week-end? »

« Si tu veux bien de moi... », commence-t-elle, interrompue par Adrien :

« J'aimerais que tu sois ma femme... celle d'un vieux bonhomme, c'est vrai, mais qui pourra t'apprendre beaucoup de choses de la vie. »

« C'est cela, tu pourras ... comment dire ... m'initier », dit Manon, qui clarifie ensuite :

« J'aurais un gentil mari pour s'occuper de moi, me rendre la vie agréable, et aussi un ... 'grand-père', très expérimenté, pour m'initier, pour me faire découvrir des choses coquines. J'essaierai de lui être obéissante. Je serai son élève et peut-être fera-t-il de moi une petite cochonne. Ou peut-être je me rebellerai et chercherai à lui imposer ma propre volonté. Ou peut-être le laisserai-je me conduire sur le chemin de la perversité, pour faire de moi une vraie salope. Je ne sais pas, mais je suis certaine que je serai bien avec mon gentil mari et mon 'grand-père', si vilain soit-il. »

Au moment de se quitter, après un baiser passionné, Manon dit à Adrien :

« Tu vas devoir rencontre mes parents très bientôt ... pour préparer notre mariage. »

Le chauffeur conduit ensuite Manon chez elle. Sortant de la voiture, elle se permet d'embrasser le grand noir sur la joue, pour le remercier, alors, à sa grande surprise, l'homme lui prend la main et la pose sur l'énorme bosse bien dure qui gonfle son pantalon, en lui disant :

« Au cas où vous seriez un jour intéressée, Madame. »

C'est sans un mot, mais pas sans y penser, que Manon regagne son studio.

----------

... à suivre ...