Initiation - 03 (connivence mère-fille)

Informations sur Récit
Manon et sa mère peuvent parler de tout, même d'inceste,
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Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Initiation - 03 (connivence mère-fille)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Eric est encore très mal à l'aise, ce matin. Il est resté dans la chambre, évitant un petit-déjeuner qui serait une confrontation avec Manon, sa fille. Comment a-t-il pu se laisser à aller à abuser de sa fille, si gentille, allant même jusqu'à jouir en elle au risque de l'engrosser.

Aujourd'hui, il va aussi revoir Nathalie, sa femme, qui doit rentrer d'une visite de deux jours chez une copine. Cette absence, idée de Nathalie pour lui permettre des 'libertés' avec sa fille, aurait dû lui permettre un flirt, même très poussé, mais pas ça ! Nathalie et lui étaient convenus de ne pas aller jusque là.

Manon s'est retrouvée seule pour le petit-déjeuner. Elle a remis sa nuisette, parce qu'elle sait que cela excite son père, mais avec une culotte cette fois. Sa mère devant rentrer ce matin de bonne heure, elle voulait aussi lui montrer qu'elle apprécie ce vêtement qu'elle lui a offert. Ne voyant pas son père, elle a hésité à aller le voir, mais elle s'est abstenue. Elle sait qu'il n'est pas malade, mais totalement perturbé par ce qu'ils ont fait hier soir. Elle pourrait libérer son père de sa crainte des conséquences, puisque ses règles sont arrivées à son réveil, mais cela l'amuse de le faire 'mariner' un peu.

Lorsque Nathalie arrive, posant son sac de voyage dans la cuisine, elle vient embrasser sa fille :

« Comment vas-tu, Manon? »

« J'ai un début de migraine, mais ça va. Cela doit venir de mon indisposition », répond sa fille qui poursuit :

« Ta copine a-t-elle retrouvé le moral grâce à ta visite? »

« Oui, Martha a repris goût à la vie. Je suis heureuse d'avoir réussi à si bien l'aider », lui répond sa mère qui sourit en pensant à ce pieu mensonge qu'elle a raconté en deux versions différentes.

Pour sa fille, cela a été la dépression de son amie, et pour Martha le besoin d'un petit week-end entre filles. Les deux copines ont donc fait chauffer les cartes bleues, dévalisant les boutiques, et ont, le soir, écumé les boîtes de nuit comme à vingt ans.

Nathalie s'inquiète tout de même de l'absence de son mari :

« Ton père n'est pas descendu prendre son petit-déjeuner ! Est-il malade? »

« Non, je ne crois pas », lui répond sa fille, qui ne donne pas l'impression de trop savoir, « euh ... papa avait l'air un peu fatigué, hier soir ... Ce matin, je l'ai appelé pour le petit-déjeuner et il m'a dit qu'il restait couché. »

« Tu l'as épuisé, ma fille ! », dit Nathalie avec un grand sourire.

« Oh ! Maman ! », s'exclame Manon, outrée.

« Mais je te taquine, ma fille ! », lui répond Nathalie.

Elle soupçonne quelque chose d'anormal, cette femme dont le mari ne daigne même pas venir l'embrasser après un week-end d'absence, d'autant plus qu'il ne l'a pas appelée au téléphone pour partager avec elle le récit de son flirt incestueux.

« Bon ! », dit Nathalie, « Puisque ton père boudeur n'a visiblement pas besoin de nous, je te propose une journée entre filles. On fait les boutiques, puis je t'invite à déjeuner au restaurant. Après, on verra. »

« Oh, merci maman », répond une Manon heureuse de ce partage avec sa mère.

C'est les bras pleins de paquets que les deux femmes rentrent au restaurant. Il y a peu de monde, aujourd'hui, aussi trouvent-elles une petite table qui a l'avantage d'être près d'une cheminée et un peu séparée du reste de la salle, idéale pour des confidences.

Tout de suite, Nathalie interroge sa fille :

« As-tu trouvé un petit ami, ma chérie? »

« Oui ... non ... enfin, pas tout à fait », répond Manon, « J'ai communiqué avec lui sur un site Internet, mais je ne l'ai pas encore rencontré. Nos échanges ont été agréables et je crois qu'il me plaît bien. Mais ... c'est le tout début, tu vois. »

« As-tu une photo à me montrer? », dit Nathalie, curieuse.

« Là, non », répond Manon, « je n'en ai pas transféré sur mon smartphone. Je te le monterai sur le site en rentrant ... mais ... il est ... »

« C'est quoi ce 'mais', Manon? », s'inquiète sa mère.

« Il n'est pas de mon âge », répond Manon, mal à l'aise, « Il est ... un peu ... plus vieux ... oui, c'est ça ... plus vieux. »

« Comme ton père? Non ! », devine Nathalie.

« Euh ... on peut dire ça », confirme Manon.

Pour Nathalie, il est évident que sa fille cherche à revivre avec un homme de cet âge ses envies incestueuses. Elle se doute que quelque chose de vraiment excitant a dû se passer entre son mari et Manon, la nuit dernière, d'autant plus qu'Eric n'a pas partagé avec elle le récit de leur flirt comme ils en étaient convenus. Peut-être sa fille sera-t-elle moins secrète, d'où sa question :

« Qu'avez-vous fait pendant le week-end, papa et toi? »

« Rien de spécial : des petites balades », lui répond Manon.

« OK », lui dit Nathalie, « mais il a fait un temps pourri, hier, pas fait pour des balades, alors? »

« Hier après-midi, ça a été devant la télé, pour regarder un film que vous avez enregistré sur une clé... » répond Manon, qui sent qu'elle en a trop dit en voyant le regard étonné de sa mère.

Nathalie sait très bien que, sur cette clé, il n'y a que des films pornographiques, aussi dit-elle :

« Je connais le genre de films que ton père enregistre ! Tu n'as pas été choquée? »

« Non », répond Manon, rougissante, « J'ai découvert des choses ... c'était assez excitant. »

« Ton père a dû être aussi excité, j'imagine. Il ne t'as pas embêtée, j'espère ! », s'inquiète Nathalie.

« Non », répond Manon, qui ajoute :

« Euh ... enfin ... pas trop », ce qui lui vaut de sa mère un :

« Comment ça, pas trop? »

Manon, très gênée par la question, finit par lâcher :

« Disons que papa avait les mains un peu ... baladeuses ... », ajoutant dans un murmure :

« Et ... moi aussi ... un peu ... »

Nathalie sait très bien qu'elle ne saura rien de plus et, dès ce soir, c'est son mari qu'elle va 'passer à la question'. Elle est donc très surprise d'entendre sa fille, relancer le sujet :

« Le film montrait un homme noir prenant une femme blanche devant son mari, voyeur. Papa m'a dit que le mari était un 'cocu volontaire', excité d'offrir sa femme à un autre homme. Il a même ajouté qu'il avait eu ce genre d'envie, à un moment, et que ... tu étais ... disons ... un peu allée dans ce sens. Est-ce vrai, maman? »

Nathalie ne veut pas cacher la vérité à sa fille, même dans un domaine si intime. C'est peut-être important pour permettre à sa fille de forger sa vie sexuelle en toute connaissance? C'est également un moyen d'obtenir, en retour, plus de confidences. Aussi ose-telle avouer :

« Voilà ! Quelques mois après notre mariage, en faisant l'amour, ton père m'a dit d'imaginer que je flirtais avec un inconnu et qu'il m'encourageait à le faire, que ça l'excitait de me regarder. Honnêtement, ma chérie, cela faisait bien plus monter mon excitation que dans une relation normale. De soir en soir, ses récits imaginaires devenaient de plus en plus poussés. A la fin, l'inconnu ne se contentait plus de me caresser mais me pénétrait. Puis, un soir, dans le récit de ton père, l'inconnu est devenu un grand noir. Je devais sentir sa grosse bite ... excuse-moi, ma fille, mais c'est le mot qu'il a employé. Oui, donc, je devais sentir sa grosse bite me dilater le vagin, me défoncer ... ce sont ses mots. Puis ton père m'a dit que l'homme me remplissait de sperme. C'est en disant ça qu'il a joui ... et ... moi aussi. Nous avons rejoué ce rôle plusieurs fois, avec toujours le même résultat. Puis, un soir, alors que nous récupérions après notre plaisir, ton père m'a dit qu'il aimerait que j'essaye. Je n'ai répondu ni oui, ni non, le laissant dans une incertitude si excitante pour nous deux. »

Manon est si excitée qu'elle en gigote sur sa chaise et renverse même un peu de son dessert, avant de réclamer la suite du récit :

« Mais tu l'a un peu fait, m'a dit papa ... n'est-ce pas? »

Nathalie, qui en a déjà beaucoup dit et se sent très excitée elle-même, sait qu'elle ne pourra que répondre à la demande de sa fille :

« Nous sommes allés, ton père et moi, plusieurs fois danser dans un night-club. Nous faisions comme si nous n'étions pas ensemble. Je portais des tenues assez sexy et j'étais souvent invitée à danser. Cela finissait pas des baisers et des petites caresses qui excitaient beaucoup ton père. Au début, je ne flirtais qu'avec des hommes de mon âge et qui étaient à mon goût. Puis, j'ai trouvé plus excitant de le faire avec n'importe quel homme qui m'invitait, jeune ou vieux, beau ou moche. Pendant de nombreuses soirées, je me suis contentée de caresses sur la piste de danse, la décence limitant les risques d'aller trop loin. »

« Cela n'a pas été plus loin? », questionne Manon, un peu déçue.

Alors Nathalie poursuit :

« Si, un peu. Un soir, après une danse, un de mes flirts m'a entraîné dans une petite alcôve bien sombre. Il a tout de suite passé sa main sous ma jupe pour me caresser à travers ma petite culotte trempée. Il a fini pas passer ses doigts au-dessous, mais ce n'était pas très confortable. Alors, je suis allée aux toilettes pour retirer mon sous-vêtement, puis, en passant devant ton père, qui m'épiait depuis le bar, je lui ai donné ma petite culotte. Tu aurais vu sa surprise ! Ça faisait plaisir à voir ! Retrouvant mon inconnu, j'ai été fouillée jusqu'à l'orgasme. L'homme voulait m'emmener chez lui, mais j'ai refusé. Pour toutes les sorties suivantes, il n'a plus été question de mettre le moindre sous-vêtement. A chaque fois, fouillée par les doigts d'un inconnu, j'avais droit à un ou plusieurs orgasmes et ton père, dès notre retour, me faisait l'amour comme un fou. »

« Avez-vous continué longtemps? », questionne Manon.

« Nous avons fait ça pendant un peu moins d'un an », répond Nathalie, « et ça s'est arrêté après une soirée mémorable. Ce soir là, ton père a voulu essayer une autre discothèque, située assez loin de chez nous. En fait, il l'avait sélectionnée pour sa fréquentation quasi exclusive par des hommes noirs ... et ... des femmes blanches. J'ai été un peu choquée, mais je savais que c'était un fort fantasme de ton père et je voulais lui faire plaisir, aussi suis-je tout de suite allée sur la piste de danse. Je plaisais visiblement à ces hommes qui, se pressaient à plusieurs contre moi, m'embrassant tour à tour. Des mains caressaient mes seins, d'autres mes fesses. Par moment ils faisaient voler ma jupe qui dévoilait ma nudité, heureusement cachée par ceux qui m'entouraient. Puis, le plus grand de tous m'a soulevée dans ses bras et entraînée vers une alcôve sans que mes pieds ne touchent le sol. J'ai eu l'impression inquiétante mais excitante d'être sa proie. Les caresses se sont faites très poussées. Lorsque j'ai posé ma main sur l'entre-jambes de ce grand noir, j'ai été stupéfaite par la taille de l'engin qui déformait son pantalon. Il fallait que je puisse voir ça ! »

« Et ... tu as trouvé un moyen? », questionne Manon, dont la chatte est complètement trempée.

« Évidemment, ma fille », répond Nathalie, « Je me suis excusée pour aller aux toilettes, puis je suis passée devant le bar pour demander à ton père les clés de notre voiture. Avec mon grand noir, nous y sommes montés. J'ai pu tout de suite ouvrir la pantalon et faire apparaître un énorme sexe, que j'ai branlé pendant quelques secondes avant de le prendre en bouche. Tout à coup, j'ai pensé à ton père qui nous avait sûrement suivis dans ce coin complètement sombre, aussi ai-je allumé le plafonnier pour qu'il puisse profiter des aventures de sa femme. J'ai sucé cette grosse bite comme une folle. J'en avais envie en moi, mais je savais que c'était bien trop dangereux, car j'étais au milieu de mon cycle. Je n'avais pas de contraception car nous voulions un enfant, toi, ma fille. Je n'avais pas non plus de préservatif. Si ça avait été le cas, le plaisir aurait été beaucoup moins bon et très souvent les noirs n'en veulent pas. J'ai donc pris mon plaisir dans une fellation complète, gardant une grosse dose de sperme en bouche. Dès que j'ai réussi à me débarrasser de ce partenaire d'un soir, qui aurait voulu beaucoup plus, ton père est rentré dans la voiture et j'ai partagé avec lui, dans un baiser passionné, tout le sperme que j'avais en bouche. »

« Tu n'aurais pas voulu prendre le risque d'aller plus loin avec ce noir ... pour te sentir 'défoncée', comme disait papa? », questionne Manon, visiblement un peu déçue.

« Oh là, ma fille ! », s'exclame Nathalie, « C'était le jour de mon ovulation et tu as été conçue cette nuit là, quand ton père, fou d'excitation, m'a fait l'amour. Aurais-tu préféré être toute bronzée? »

« Oh ! Maman ! », s'écrit Manon.

Lorsqu'elles quittent le restaurant et montent dans la voiture pour rentrer, la discussion reprend pendant le trajet, Nathalie disant :

« Tu vois, ma fille, je ne t'ai rien caché. J'espère que tu seras aussi libre avec moi », espérant évidemment en savoir plus sur ce qui a dû se passer entre sa fille et son mari.

Manon n'est pas prête à rentrer dans de confidences qui lui paraissent trop tabous, aussi reste-t-elle sur le sujet précédent :

« Tout ce que tu m'as raconté était très excitant, mais je me vois mal faire ça. Je suis dans l'idée de tout centrer sur une relation amoureuse entre mari et femme, dans une fidélité réciproque. Si mon futur mari me poussait dans cette direction, comme papa avec toi, j'essaierai de lui faire plaisir, bien sûr, mais ça me coûterait beaucoup, même si je faisais peu de choses dans ce sens. »

« Tu verras à l'usage, ma chérie » , lui répond sa mère.

Dès leur retour, Manon se connecte sur son site de rencontres. C'est avec plaisir qu'elle s'aperçoit que son correspondant habituel est en ligne. Comme elle, il a plusieurs heures à perdre. Ils commencent alors à échanger des messages. Se sentant en confiance, ils décident de se tutoyer. Des pseudos, ils passent aux vrais prénoms. Lui s'appelle Adrien. Leurs messages s'enchaînent :

Lui : 'Quel âge as-tu?'

Elle : '18 ans.'

Lui : 'C'est bien jeune, ça, mais j'ai un faible pour les jeunes femmes.'

Elle : 'Moi, je n'aime pas les garçons de mon âge. Je voudrais, comme ma mère, vivre avec un homme mûr, de 20 ans plus vieux que moi, par exemple. Mais quel âge as-tu?'

Lui : '70 ans.'

Elle : 'Oh ! C'est vraiment très vieux, là ! ... Euh... excuse-moi.'

Lui : 'C'est vrai mais je reste bien en forme. Je m'entretiens. Je t'envoie une photo.'

La photo reçue montre un homme qui ne porte qu'un short de sport. Sa peau est parfois un peu fripée, moins que son visage, mais les muscles de son torse et de ses bras sont encore bien saillants. Il paraît à Manon en meilleure forme, aux rides près, que son père qu'elle aime tant.

Elle : 'Tu n'es pas mal, mais je ne sais même pas si je te plais !'

Lui : 'Une petite photo serait bien utile.'

Elle : 'Attend quelques minutes. Je n'en ai pas de toutes prêtes pour ça.'

Sans grande hésitation, Manon se met nue et enfile la fameuse nuisette. Une photo debout et de face fera l'affaire. Elle presse 'send' et l'image part sans message.

Lui : 'Tu es très belle, un vrai mannequin de mode, avec en plus un je ne sais quoi de ... sexy, oui, c'est ça, sexy.'

Là, le complexe de Manon revient devant cet inconnu :

Elle : 'Ma poitrine n'est pas belle. Elle est un peu ... tombante.'

Lui : 'Montre-moi ça.'

Alors Manon ose prend une autre photo, cette fois à moitié de profil, cadrant en coupant la photo à la taille. On y voit bien son visage et sa poitrine presque découverte jusqu'aux pointes dans l'ombre du tissu de la nuisette. Elle l'envoie tout de suite :

Lui : 'Elle m'a l'air très belle, mais un peu dans l'ombre du vêtement.'

Elle : 'Je ne sais pas si je peux m'exposer vraiment. C'est délicat.'

La conscience de Manon lui dit que montrer ses seins à un inconnu est indécent. Sa chatte lui dit le contraire en se mouillant instantanément. Alors, courageuse, elle fait glisser les deux bretelles de la nuisette, qui la découvre maintenant jusqu'à la taille, et prend la photo avec le même cadrage. A peine la photo partie, Manon se dit qu'elle aurait du en prendre une sans visage, l'homme pouvant l'envoyer à n'importe qui via Internet. Tant pis, c'est trop tard.

Lui : 'Oh...'

Elle : 'Que se passe-t-il? Que penses-tu? Vite, ta réponse !'

Aucune réponse ne venant, Manon s'inquiète ou plutôt s'angoisse. C'est ça ... il est parti ... il m'a trouvée trop moche. Les larmes lui viennent aux yeux, quand, tout à coup, un message arrive.

Lui : 'Excuse-moi. Je n'ai pas pu te répondre tout de suite. Tes seins sont magnifiques. J'adore leur forme. J'aurais aimé une vidéo pour les voir bouger. Ils sont si beaux que j'ai dû m'absenter un moment.'

Elle : 'Comment ça, t'absenter? Je ne comprend rien.'

Lui : 'Si tu veux vraiment savoir, je vais être très franc, au risque de te choquer.'

Elle : 'Dis-moi.'

Lui : 'Bon, dans ma longue vie je n'avais jamais vu des seins aussi beaux, aussi tentants, aussi excitants. J'avais envie de les soupeser, de les palper, de les pétrir, d'en sucer les tétons. Alors, sans même me toucher, j'ai ... j'ai ... éjaculé. J'en avais plein le pantalon. Voilà, tu sais tout.'

Elle : 'Oh, je suis si heureuse ! ... Et tant pis pour ton pantalon.'

Lui : 'Ce serait bien si on essayait de communiquer en vidéo. Tu trouveras la procédure dans un mail que je vais t'envoyer, si tu me donnes ton adresse.

Ceci fait, ils se quittent sans avoir pu convenir d'un créneau pour cette communication, car, étant chez ses parents, Manon ne sait pas quand elle pourra trouver la discrétion nécessaire.

Quelques minutes plus tard, Nathalie frappe à la porte de la chambre sa fille qui l'accueille.

« Alors, montre-moi ce copain, Manon !', lui dit sa mère.

Manon se reconnecte sur le site. Heureusement, l'homme n'est plus en ligne. Manon se contente de montrer à sa mère le portrait de son nouveau copain, d'où sa réaction :

« Oh, on dirait ton père ... et, en plus vieux ! Tu ne vas pas me dire que ton choix est une coïncidence, ma fille ! »

Manon ne sait que réponde et se contente de rougir, alors que sa mère poursuit :

« Au moins, ça t'évitera de faire, comme en ce moment, des cochonneries avec mon mari, petite coquine. »

« Oh, Maman, que vas-tu penser? », se défend Manon, qui rougit encore plus.

Nathalie met les choses au point :

« Manon, j'ai répondu aujourd'hui à tes questions très intimes, sans rien te cacher. Ne crois-tu pas que tu devrais faire de même avec moi? De toutes façons, il me sera très facile de faire parler ton père, donc je saurai tout ... »

Alors, toute tremblante, Manon se décide :

« Bon, ça a commencé par notre 'baiser du soir', une sorte de rituel pour que nous fassions de beaux rêves. C'était un vrai baiser sur la bouche, complet ... tu vois ce que je veux dire? »

« Bien sûr, ma chérie », répond sa mère, « Ce n'est pas bien grave. »

« C'est que, je portais alors la nuisette que tu m'as offerte ... euh ... sans rien au-dessous ! », s'inquiète Manon.

« Pourquoi crois-tu que je te l'ai offerte? », la rassure sa mère.

Manon ajoute :

« Et puis, il y a eu le film cochon. C'était tellement excitant que je me suis un peu caressée et papa m'a touchée au même endroit. Puis je l'ai caressé aussi et je suis allée ... jusqu'au bout. Nous étions tous deux bouleversés d'être allés si loin. Papa était honteux et je lui ai refusé notre baiser du soir. »

« C'est vrai que vous n'étiez pas loin de la limite », commente Nathalie, « mais cela aurait pu être pire. »

Manon, hésitante, finit par avouer :

« Il y a eu une suite ... mais papa n'y est pour rien. C'est de ma faute. »

« Allez, raconte, ma fille. »

Manon est surprise de voir que sa mère a glissé sa main sous sa jupe et le mouvement de la main est révélateur : elle se caresse furieusement, excitée par ce que lui dit sa fille. Alors, n'y tenant plus, Manon ose faire la même chose que sa mère, tout en reprenant son récit :

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