Initiation - 04 (la rencontre)

Informations sur Récit
Manon rencontre son futur mari qui apprécie d'être voyeur.
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Partie 4 de la série de 10 pièces

Actualisé 12/26/2023
Créé 09/07/2023
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Initiation - 04 (la rencontre)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Manon est heureuse de la relation de confiance qu'elle a pu établir avec Nathalie, sa mère. Celle-ci lui a même raconté le flirt assez poussé vers lequel son mari, excité par l'idée de devenir un 'cocu volontaire', l'avait entraînée. Cette perversion ne tente pas Manon qui rêve d'une relation bien traditionnelle avec un futur mari. Cette connivence avec sa mère lui a permis de lui avouer ce qui s'était passé avec Eric, son vieux père. Nathalie a été compréhensive et ne l'a pas trop sermonnée, lui demandant seulement de ne pas recommencer une telle relation incestueuse si dangereuse.

Ce matin, Manon vient de quitter ses parents pour revenir à Rennes, dans son studio d'étudiante, dont elle va profiter seule, sa cothurne étant partie pour un stage de deux mois à l'étranger. Ce sera plus facile pour Manon, dans un studio si petit, de communiquer par Internet avec Adrien, sans que quelqu'un puisse voir ce qui s'affiche sur son écran. Cet homme, malgré ses 70 ans, lui plaît beaucoup, ses traits lui rappelant son père. Manon se dit que, si elle finit par le rencontrer dans la vraie vie, elle prendra moins de risques que dans sa relation passée avec son père, car elle a dans son sac une toute nouvelle boîte de pilules contraceptives prescrites par leur médecin de famille.

Après une première journée de reprise de ses études sans problème, Manon trouve dans sa messagerie la procédure à suivre pour se connecter en vidéo avec Adrien. Dans son message, celui-ci lui a donné un rendez-vous à 21 heures. Manon installe son PC portable en faisant plusieurs essais de cadrage. Elle doit savoir où se mettre pour un portait ou une vue en pied et paraître à chaque fois à son avantage. Après un dîner rapide, elle se pose la question de sa tenue. Lors de leur dernier échange, elle s'était laissée aller à lui envoyer, à sa demande, des photos bien trop dénudées. Il faut qu'elle revienne à la normale, se dit-elle, la vidéo lui paraissant encore plus personnelle que des photos. Alors, après trop d'hésitations, Manon garde la tenue très banale qu'elle portait pour aller à ses cours.

Dès la connexion, Manon est surprise de voir Adrien assis devant un bureau dans une très grande pièce couverte de boiseries anciennes, ce qui lui fait dire :

« Bonjour Adrien. Tu m'as l'air bien installé. C'est joli chez toi ! »

« J'habite à Saint-Malo, dans une très belle maison, avec une vue sur la mer », lui répond-il, d'où la remarque de Manon :

« Tu ne dois pas être dans la misère ! »

« On peut dire ça, ma belle », confirme Adrien, « J'avais créé une entreprise d'import-export qui a très bien marché, alors je n'ai pas trop de soucis pour mes vieux jours, ni pour en faire profiter une charmante compagne. »

Voilà une information que Manon ne tardera pas à retransmettre à sa mère, elle qui craint toujours pour l'avenir matériel de sa fille.

Pendant leur communication, Manu regrette de ne pas avoir mis une tenue plus féminine. Son correspondant est, lui, drapé dans un vêtement de nuit, visiblement en soie, ce qui ajoute à sa classe naturelle. Adrien l'interroge sur ses études et, sachant qu'elle s'oriente vers une profession musicale, lui demande si elle peut lui donner un exemple de ses progrès au violon. Manon saute sur l'occasion :

« Je vais te jouer une fugue de Bach que je viens d'apprendre, mais donne-moi un moment. Je préférerais me changer pour une tenue plus adaptée. »

Manon sort du champ de la webcam pour aller chercher la fameuse robe de concert que son père lui a offerte. C'est nue qu'elle l'enfile, car elle n'a pas le temps de faire des essayages de sous-vêtements peu compatibles avec cette robe. De plus, c'était ainsi qu'elle plaisait à son père, aussi pourquoi n'en serait-il pas de même avec Adrien?

Lorsqu'elle revient, se plaçant pour être vue en pied, Manon, commençant à jouer, remarque chez son vis à vis un regard qui ne peut être que du désir. Il apprécie sa tenue et c'est ce qu'elle voulait, aussi fait-elle en jouant des mouvements qui donnent à son correspondant des aperçus furtifs de sa poitrine nue. Manon s'était promise d'être bien sage, ce soir, pour cette première communication par webcam, mais cette humidité qu'elle sent entre ses jambes la pousse à exciter cet homme qu'elle connaît si peu. Elle a l'impression de braver un interdit en se montrant à un quasi inconnu. Manon garde alors une position de biais qui laisse bien voir un sein, surtout lorsqu'elle se penche un peu, mouvement dont elle abuse dans l'exécution de ce morceau. Malgré son excitation, elle ne fait aucune fausse note et pense qu'elle maîtrise mieux son instrument, à moins que ce ne soit un meilleur contrôle de ses émotions. Manon conclut qu'elle a des dons pour être 'coquine' et se réjouit de sortir un peu du carcan de sa timidité et de son éducation 'bien comme il faut'. A la fin de son morceau, alors qu'Adrien applaudit, Manon, se penche pour saluer, comme il convient, mais en exagérant volontairement le mouvement et en restant penchée bien trop longtemps. Ses deux seins sont visibles jusqu'aux pointes. Adrien ne cache pas son plaisir :

« Manon, tu joues déjà très bien et tu le fais avec beaucoup de grâce. Je t'aiderai à poursuivre tes études musicales pour faire de toi une vraie concertiste. J'apprécie ta robe qui met en valeur tes trésors. Si tu me la confies, j'aimerais faire réaliser par une couturière une petite modification. Une fente plus prononcée permettrait de découvrir tes jolies jambes. Qu'en penses-tu? »

Après un moment d'hésitation, Manon répond :

« Je tiens beaucoup à cette robe. C'est un cadeau de mon père. Mais, oui, si ce changement ne la dénature pas, je te la confierai quand ... quand on se verra ... »

Pourquoi a-t-elle dit ça? Adrien n'a rien proposé en ce sens ! Manon pense qu'elle est un peu folle, mais sa chatte ruisselante lui dit qu'elle a besoin d'un homme. Depuis le court instant de plaisir qu'elle a eu avec son père, elle connaît la sensation d'avoir un vrai sexe en elle, chaud, vibrant, et de se faire inonder tout au fond, tellement meilleur que ces ersatz de sexe qu'elle utilisait.

Adrien profite de l'occasion :

« Pourquoi ne viendrais-tu pas passer le prochain week-end avec moi? Je te montrerais ma belle maison et son jardin qui domine la mer. »

« Je ne sais pas », hésite encore Manon, « On verra. Je ne te connais pas encore bien. J'ai plein de questions à te poser. »

A peine Manon a-t-elle dit ça qu'elle se demande quelles sont ces fameuses questions. Les seules qui lui viennent à l'esprit sont d'ordre sexuel. Je deviens complètement obsédée, se dit-elle, sans vraiment le regretter. Manon se surprend à dire :

« Peut-être pourrais-tu rencontrer mes parents? »

« Ma chérie, c'est toi que je devrais rencontrer d'abord ! », répond Adrien dans un grand éclat de rire.

Cette fille naïve lui plaît vraiment beaucoup. Adrien doit prendre le contrôle de cette conversation sans queue ni tête, aussi dit-il :

« Manon, c'est un père que tu cherches, n'est-ce pas? Tu pourrais m'appeler 'papa'. »

« Oh non », s'offusque-t-elle, « c'est réservé à mon père, qui tient une place très ... spéciale ... dans ma vie. »

Puis elle ajoute, pour le contrarier :

« Et tu es plus vieux que lui ... Tu pourrais être ... »

« Ton grand-père, c'est ça », la coupe Adrien, rieur, « Tu pourras m'appeler 'grand-père' dans l'intimité. »

Manon ne sait pas quoi dire. Sur l'écran de son correspondant, la rougeur de son visage est bien visible, et Adrien se rend compte de l'excitation de Manon. Il se lance dans une conversation très orientée :

« Manon, je connais les questions que tu as en tête. Tu aimerais savoir si je vais me comporter comme un gentil grand-père affectueux ou si je vais t'offrir autre chose. Pourrais-je te faire du bien? Pourrais-je te faire jouir? Pourrais-je te pénétrer ... comme un jeune? Pourrais-je te satisfaire aussi souvent que tu en aurais envie? Aurais-je assez de force pour ... arroser ta matrice? Aurais-je encore assez de semence pour te ... féconder? Voilà les questions qui doivent être dans ta petite tête, ma jolie. »

Manon devrait couper toute relation avec ce grossier personnage, mais elle n'a jamais été aussi trempée. Elle est totalement déstabilisée et ne peut que dire :

« Non ! Non ! Oh ... oui ... peut-être. Non ! Non ! ... Oui ... Oh là là ! »

A cela s'ajoute l'image qu'elle voit à l'instant sur son écran : Adrien vient d'écarter les pans de son vêtement de nuit sous lequel il est nu. Sans dire le moindre mot, il astique doucement un membre qui paraît bien dur. Alors, dans une impulsion dont elle se serait crue incapable il y a quelques instants, Manon retire sa robe pour se montrer intégralement nue et s'asseoir dans son fauteuil, face à sa webcam. Un doigt vient caresser son clitoris, naturellement, comme si c'était la seule chose à faire dans ces circonstances. N'est-ce pas la meilleure façon de commencer une conversation intime?

Manon reste silencieuse. Curieusement, elle se sent gênée de se monter dans cette situation, non pas parce qu'elle est nue, mais à visage découvert. Alors, elle fait un zoom sur sa chatte qu'elle caresse, comme si, cachant sa figure, elle pouvait retrouver l'anonymat. Adrien, n'y voyant qu'un acte plus érotique encore, cadre aussi son sexe en gros plan.

Un long silence s'installe, alors que chacun regarde la masturbation de l'autre, faisant ainsi monter leur excitation au plus haut, excitation encore renforcée par le seul son qu'ils entendent, ce clapotis de deux doigts qui plongent dans un vagin trempé, comme le chuintement d'une main qui étale le liquide pré-séminal sur un membre tendu. Ce silence est d'une telle tension pour Manon, qu'il lui faut le rompre, aussi tente-t-elle de lancer une conversation, qu'elle espère érotique, évidemment.

Elle : « Parle-moi, parle-moi, Adrien ... euh ... grand-père ... »

Lui : « Ta chatte est si belle, si tentante. Tout est beau chez toi, ma princesse. Mon sexe est tendu vers toi, pour toi. »

Elle : « Et ... que ... que voudrais-tu faire, ... me faire? »

Lui : « Je frotterais mon gland humide sur les lèvres de ta chatte, pour les écarter légèrement, pour m'enfoncer un peu et sentir ta douceur enivrante. Allez, continue de te fouiller avec tes doigts. Imagine que ce n'est pas ta main qui est là. C'est ma bite qui te pénètre, qui te fouille. »

Elle : « Tu es plus gros que mes deux doigts, alors ... voilà ... j'en enfourne un troisième. Je ferme les yeux. Là ... maintenant ... je te sens en moi. J'écarte mes trois doigts dans ma chatte ... tu me dilates. J'ai envie de ... devines ... grand-père. »

Lui : « Tu as envie ... d'être encore plus écartée. C'est ça? »

Elle : « Oh, oui. J'ai honte mais c'est vrai. Tu es si loin de moi, alors que dois-je faire ici? Dis-moi ! »

Lui : « Tu vas glisser ton quatrième doigt contre les autres et pousser pour dépasser les phalanges, jusqu'au plat de ta main. Seul ton pouce restera en dehors pour titiller ton clitoris. Vas-y, obéis-moi. »

Elle : « Oh, là ... ça y est ! C'est bon ! C'est si bon ! Mais pourquoi fais-je ça? J'ai trop honte ... devant toi, qui ... me voit ... me regarde. Je ne devrais pas faire ça. C'est très mal. Je suis très coquine ... ou plutôt ... cochonne, n'est-ce pas? »

Lui : « Bien sûr, tu es plus que coquine, plus que cochonne. Tu as des dons ... et pas seulement pour la musique ! J'aimerais te faire découvrir plein de plaisirs ... en quelque sorte ... t'initier. »

Elle : « Oh, il ne faut pas ! Si tu ... m'initiais, je deviendrais bien plus qu'une cochonne ! Je serais ... je serais, oh non ... une sa... »

Lui : « Mais, oui, une adorable salope. »

Manon est parcourue par un orgasme qui la traverse toute à cette pensée. Pourquoi une telle jouissance? Ce qu'il lui offre, c'est tout ce qu'elle ne veut pas être. Elle doit être une femme aimante mais raisonnable, comme celles qui vont à la messe tous les dimanches et qui confessent la moindre mauvaise pensée. C'est dans ces dispositions qu'elle va reprend leurs échanges. Mais pourquoi sa main fouille-t-elle toujours son sexe? Manon veut bien être vertueuse mais un petit plaisir ne peut pas faire de mal. C'est avec sa main bien enfoncée en elle que Manon relance leur conversation.

Elle : « J'aimerais que tu m'inities mais sans aller trop loin. Je veux bien être coquine ... même un peu plus, pour te faire plaisir ... mais pas au delà. »

Lui : « Une main qui t'écarte complètement le vagin, ce n'est pas être un peu ... sa..., disons ... très cochonne? As-tu remarqué que ta main est plus large que mon sexe? Tu veux déjà une dilatation plus forte que ce que je peux t'offrir. Peut-être souhaiterais-tu plus encore? »

Elle : « Je ... je ne sais pas ... peut-être? Mais à quoi bon y penser puisque ce n'est pas possible ! »

Lui : « Il y aurait bien une solution ... »

Elle : « Oh non ! Non ! Je ne veux que toi, toi seul ! »

Lui : « Qui te parle d'un autre? N'as-tu pas honte de penser à ça? J'ai chez moi, un gros godemichet noir qui te plairait bien, j'en suis sûr. »

Elle : « Oh ! Et ... il est ... gros? »

Lui : « Une fois et demi mon sexe en longueur comme en épaisseur. Voudrais-tu plus? »

Manon pense immédiatement à ce gros concombre qui lui a fait tant de bien. Cela doit être la même taille. Elle se souvient de la différence si excitante qu'elle a senti en passant du manche de sa brosse à cheveux à ce gros légume. Y aurait-il encore un tel écart si elle essayait plus gros? C'est avec cette idée en tête qu'elle reprend leurs échanges érotiques.

Elle : « Tu n'as que celui-là, bien sûr? »

Lui : « C'est vrai mais on peut faire mieux. »

Elle : « Comment ça? »

Lui : « C'est un gode gonflable, alors, à chacune de mes pressions sur la poire, tu serais un peu plus écartée, jusqu'à ce qu'il remplisse toute ta chatte. »

Elle : « Mais ça pourrait devenir douloureux, n'est-ce pas? »

Lui : « Certainement ! »

Elle : « Si je te demandais d'arrêter, le ferais-tu? »

Lui : « Peut-être. »

Elle : « Comment ça, peut-être? »

Lui : « Je n'écouterais pas tes paroles. Je te regarderais droit dans les yeux pour y lire un désir qui contredirait certainement tes mots. »

Elle : « Et tu appuierais encore une fois sur la poire, n'est-ce pas? »

Lui : « Pourquoi une fois seulement? »

A cet instant, leur jouissance arrive en même temps. Manon, prise de soubresauts voit une tache blanche apparaître sur l'écran. Adrien vient d'éjaculer sur l'objectif de la webcam.

Lorsqu'ils retrouvent leur calme, Adrien demande :

« Alors, viendras-tu passer le week-end avec moi? »

« Euh, euh ... », répond Manon d'une voix hésitante, alors que son sexe a pris pour elle la décision, « Je viendrais, oui ... mais je ne connais même pas ton adresse ... »

« Ne t'inquiète pas, ma jolie », lui dit Adrien, « mon chauffeur passera te chercher chez toi, samedi à 10 heures. »

« A bientôt, mon 'grand-père' adoré », conclut Manon, qui coupe de suite la communication.

Pendant le reste de la semaine, Manon a passé plus de temps dans les boutiques qu'à ses cours. Elle s'est dit qu'elle n'avait pas beaucoup de vêtements qui conviendraient pour ce week-end. Elle veut être la plus séduisante possible. Elle fait avec ses moyens limités mais trouve dans les promotions du moment quelques petits hauts très sexy, deux mini-jupes ou plutôt des micro-jupes, devrait-on dire, ainsi qu'un mini bikini.

Ce samedi matin, elle met tout ça dans sa valise, sans oublier la robe de concert qu'Adrien doit faire modifier et surtout sa nuisette de soie qui a déjà tant servi sa féminité. Ses sous-vêtements trop difficiles à assortir et ses finances, qui ne lui permettent plus le moindre achat, l'on amenée à la conclusion que, puisqu'elle a décidé d'être volage, ils sont inutiles.

A 10 heures précises, un grand noir, qui se présente comme le chauffeur d'Adrien, l'amène vers une superbe Jaguar qui va la conduire à Saint-Malo.

Dès son arrivée, Manon se jette dans les bras d'Adrien et se lance tout de suite dans un baiser passionné. Elle pense immédiatement que le rituel 'baiser du soir', qu'elle partageait avec son père, lui a apporté une compétence qu'ont peu de filles de son âge. Elle veut montrer son savoir-faire à Adrien qui en est très heureusement surpris. Pendant leur long baiser, elle a senti une main de son nouvel ami palper un sein libre sous un fin t-shirt très moulant.

La visite de cette maison ancienne, lui montre la qualité de la décoration comme des agencements. Tout ici respire le luxe. Il y spa, salle de fitness, sauna, piscine. Rien ne manque. Le jardin est aussi une merveille avec une rare vue sur mer. Un major d'homme l'aide à déposer ses bagages et lui montre les commodités. L'homme, d'un âge indéfinissable, paraît très stylé et très attentionné. Il serait parfait ... si il n'était pas tout à fait hideux.

Lorsqu'il est temps d'aller déjeuner, Adrien lui propose un restaurant près de la mer.

« Ne devrais-je pas me changer? Mon t-shirt est si moulant que mes tétons déforment le tissu. Je l'avais mis pour toi seulement », s'inquiète Manon.

« Reste comme ça. Tout le monde en profitera », décide Adrien d'une voix sans appel.

Au restaurant, lorsque Manon s'installe à la table, en angle avec Adrien, elle tire comme elle peut sur sa mini-jupe avec beaucoup d'application, ce qui fait dire à son voisin :

« Que t'arrive-t-il, ma jolie? Aurais-tu un problème? »

« C'est que », répond Manon, « Je n'ai rien sous ma mini-jupe. »

« Mais c'est très bien comme ça », dit Adrien avec un large sourire.

Après leur commande, lorsque le serveur pose le premier plat devant eux, Adrien murmure à l'oreille de Manon :

« Fais tomber ton couteau, tout de suite ! »

Le bruit sur un parquet attire instantanément le serveur qui se baisse pour ramasser le couvert. Évidemment, la vision de cette chatte offerte ne lui a pas échappé. Manon, excitée, dit tout bas à Adrien :

« Qu'est-ce que tu me fais faire, tout de même ! »

Le serveur, quelques secondes plus tard, rapporte un nouveau couteau. Dès son départ, Adrien dit à Manon :

« Tu as vu la bosse dans son pantalon ! C'est toi qui lui a fait ça, ma coquine ! »

« Arrête », intervient-elle, « J'aime me montrer à toi, mais pas aux autres hommes. »

« Pourtant, on ne dirait pas », la contredit Adrien, qui vient de poser sa main sur une chatte bien trop humide.

Pendant tout le repas, ils échangent de petits baisers sur la bouche, à toutes les occasions, ce qui a été remarqué par tout le personnel de l'établissement. A la fin du repas, Manon fait un petit tour aux toilettes pendant qu'Adrien paye l'addition. Lorsqu'elle sort, le maître d'hôtel lui dit :

« Le monsieur ... qui ... »

« Vous voulez dire mon grand-père », l'interrompt Manon.

« Oui, votre ... grand-père, vous attend dehors, sur la plage », poursuit l'homme, visiblement choqué car il avait bien vu les baisers.

« Merci. Au revoir », dit Manon, trop heureuse d'avoir parlé de son grand-père.

Elle n'a pu s'empêcher de faire croire à quelque comportement quasi incestueux. Lorsqu'elle retrouve Adrien, elle lui raconte sa sortie très spéciale et ils partagent alors un grand fou-rire.

Après une visite de la ville et un dîner à la maison, comme en amoureux, Adrien entraîne Manon, dans la chambre. Il n'a pas grand-chose à enlever pour la mettre nue et celle-ci apprécie de se monter à cet homme qui lui plaît tant. C'est elle qui le déshabille, fiévreuse, découvrant un sexe masculin pour la seconde fois. Elle le caresse à peine que, déjà, Adrien la couche sur le lit. Il lui caresse les seins, alternant douceur et fortes pressions. Ses lèvres sucent les tétons tendus. Puis il les flatte seulement du bout de la langue. Manon sursaute lorsque la bouche d'Adrien s'écarte toute grande pour y prendre tout un sein et l'aspirer avec force, presque douloureusement. Puis une paume caresse doucement la poitrine meurtrie. Il n'est plus que gentillesse, douceur. Ce contraste fait mouiller la chatte de Manon. Elle ne sait pas si la prochaine caresse sera très légère ou trop forte et cette incertitude l'excite. Tant que ça n'ira pas plus loin, elle le laissera faire. La bouche descend sur le ventre, contourne le pubis, en léchant l'aine. Des mains écartent largement les cuisses de Manon. Elle laisse faire, attendant ce baiser intime qu'elle espère. Des doigts écartent ses lèvres vulvaires. Une langue passe entre elles, lentement, remontant jusqu'au clitoris excité qu'elle titille. Lorsque cet endroit est bien mouillé de salive, deux doigts, pouce et index, viennent serrer légèrement le capuchon pour le faire coulisser lentement sur un clitoris hyper-sensible. En Manon une tension monte à chaque mouvement des doigts. Cette caresse dure, dure si longtemps que Manon finit par fermer les yeux, profitant ainsi encore mieux des sensations qui envahissent cet endroit précis. Lorsque, proche du plaisir, elle rouvre les yeux, son regard capte, au plafond, le clignotement d'un minuscule point bleu, qui lui fait dire, entre deux soupirs de plaisir :