Châtiment Extrême

A chaque fois le corps du malheureux se cambrait et son gigantesque pénis se dressait. Elle s'adressait à lui, ironique « Alors mon chéri, tu ne sembles pas apprécier! Pourtant je suis aux petits soins avec toi Ah! Ah! » Puis elle remettait le courant en augmentant encore la puissance. La vision qu'offrait le pauvre homme était apocalyptique et insoutenable par sa cruauté. Les commandes de l'appareil étant doubles, Jean se défoulait sur la femme qui subissait un sort aussi peu enviable. Sous les impulsions électriques répétées, le corps des deux suppliciés devenait violet. Leur langue, tirée hors de la bouche était noir et de l'écume s'était formée autour des lèvres noires elles aussi. Leurs yeux étaient exorbités, témoignant d'une terrible souffrance. Ils avaient coupé le courant et je pouvais voir les piquets métalliques se rétracter et sortir de leur anus.

Puis soudain, ils rétablissaient le courant à grande puissance. Les malheureux se cabraient, tétanisés et raides, incapables de maîtriser leur corps décharné. Un flot immonde d'une purée d'excréments sortait de leur corps, ainsi que de l'urine jaune giclait de leur sexe. Ils se vidaient de la plus immonde des façons. Marion qui s'était placée face à moi, provocante et supérieur me dit « Tu vois, ces deux-là n'en finissent pas de souffrir. Leur longue agonie va se prolonger encore quelques semaines, le temps qu'ils savourent des nouvelles tortures et regrettent d'avoir trompé Florence. Pour toi et ta salope, nous allons aller plus loin encore. Je veux que tu agonises des heures durant, pendant de longs mois, car nous sommes en mesure de contrôler le moment de votre dernier soupire.

Amanda avait perdu connaissance devant une telle horreur et moi-même je ne tardais pas à la suivre. Nous étions réveillés brutalement et nos bourreaux nous obligeaient à ingurgiter une purée nauséabonde « Vous aimez la merde de ces deux-là? » Demandait la comtesse. En fait, ils avaient recueillis les déjections des suppliciés qu'ils avaient mélangé aux croquettes. C'était immangeable mais nous étions forcés avec l'impossibilité de cracher.

Je réalisais que nous avions la même position que l'homme et la femme et nous leur faisions face. Mais je compris aussi que le supplice qu'ils avaient subit nous était destiné à notre tour. Florence et Marion me plantaient les aiguilles un peu partout et plus particulièrement en travers de mon pénis et mes testicules, pendant que les hommes s'occupaient de la pauvre Amanda.

Notre calvaire prenait un nouveau tournant dont l'issue nous serait sans aucun doute fatale.