Châtiment Extrême

BÊTA PUBLIQUE

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Alice qui m'observait attentivement avait suivi mon regard tourné vers Amanda. Après un échange furtif et complice entre les femmes, Aurore examinait le sexe martyrisé et annonçait « Ce n'est rien, cette salope a ses règles! » Amanda pleurait à la fois de souffrance et de honte car les hommes présents dévoraient de leur regard lubrique sa situation humiliante à l'extrême exposée à leurs bas instincts sadiques et pervers.

C'est alors que Florence fit son apparition...

CHAPITRE 10

En voyant Florence revenir vers nous, j'eus un frisson de peur panique. D'autant qu'elle avait adopté une tenue très provocante. Vêtue d'un mini boxer noir, elle dévoilait des cuisses bronzées et musclées. L'entre jambes du débardeur ne cachait guère la forme d'une forte protubérance de l'anatomie sexuelle du mont de vénus très prononcé, ainsi que des grandes lèvres très charnues. Un débardeur noir transparent plutôt moulant mettait en valeur une poitrine arrogante aux seins fermes et hauts, dépourvu de soutient-gorge.

Elle avait rassemblé ses cheveux en arrière, en queue de cheval. Florence était sans conteste une vraie sportive dont le corps musclé n'enlevait en rien la perfection de sa silhouette féminine. Les hommes présents étaient en admiration devant cette femme d'une rare beauté, pourtant douée d'une cruauté sans pareil. Elle allait le prouver une fois encore et après quelques échanges discrets avec le reste du groupe, elle avançait près de moi « Alors le couillu, il paraît que je t'ai manqué? Pourtant je constate que Alice a pris grand soins de toi! Si ça peut te rassurer, elle aime beaucoup punir les hommes qui font des bêtises » Disant cela, elle m'avait libéré du portique mais avait pris soins de me laisser les lourdes chaînes pendues aux couilles.

Je devais me tenir debout, les jambes écartées. Elle m'avait ramené les bras en arrière et attaché les poignets ensemble qu'elle remontait dans le dos, en direction du coup tout en passant le lien autour, en nœud coulant. Ce qui signifiait qu'au moindre mouvement de mes poignets, je m'étranglais.

Elle avait relié la ficelle qui étranglait ma langue avec celle qui étranglait le gland du pénis. Elle avait tendu si fort le lien que j'étais obligé de me courber. Le supplice était ignoble et douloureux. En ricanent de me voir ainsi à sa totale merci, elle reculait pour juger du tableau honteux que je lui offrais, à elle et les autres femmes. « tu es parfait, maintenant, nous allons te faire prendre un peu l'air, allez, en avant! » Au premier pas, je tombais, trop faible sur mes jambes. Pour m'obliger à me relever, elle me plantait le crochet dans le nez et tirait dessus sans ménagement. Pantelant, tel un vulgaire pantin, je me relevais péniblement et sous la contrainte du crochet, elle m'obligeait à marcher.

Ce fut un horrible calvaire car à ma grande faiblesse s'ajoutait le poids des chaînes suspendues aux couilles. C'est alors que Florence imaginait un supplice supplémentaire. Elle m'obligeait à plier les genoux, puis elle me passait un nœud coulant autour de chaque gros orteil qu'elle reliait aux chaînes, puis, tirant sèchement sur le crochet de nez, m'obligeait à me redresser « Tu vas marcher ainsi, Ah! Ah! » Le résultat était diabolique car non seulement les chaînes pesaient sur mes attributs, mais en plus à chaque pas la tension exercée tirait dessus. Nous étions arrivés dans la cour du château et mes couilles, rouges écarlates, me faisaient terriblement souffrir. Florence qui ignorait volontairement ma souffrance me faisait avancer et, presque en me traînant, nous étions de retour dans la grande salle.

Depuis l'extérieur, j'avais entendu Amanda hurler. Le tableau qui s'offrait à moi était insoutenable. Les quatre hommes s'acharnaient sur elle. Pendue par les bras, elle avait la pointe de ses seins reliés aux chevilles qui étaient libres mais relevées. Le comte lui assénait des coups de cravache sur les jambes, ce qui avait pour effet de la faire se débattre et lancer ses pieds en tous sens. Les tractions des ficelles occasionnées par ses ébats désespérés étaient un supplice terrible pour ses seins. Pendant ce temps, Jean était passé derrière elle et lui tirait la tête en arrière à l'aide d'un crochet de nez.

Florence et Marion se concertaient sur mon prochain supplice. J'étais de nouveau entravé et écartelé dans le portique, chaînes aux couilles, langue extirpée, crochet de nez cette fois maintenu en tension, la tête en arrière par Marion. Alice s'emparait de mon pénis et commençait un mouvement de va-et-vient. Florence précisait « Elle va te branler. Tu as intérêt à bander et à gicler quand elle te le demandera, sinon elle pourrait bien t'arracher les burnes! » Le supplice, car s'en était un, commençait avec une masturbation diabolique extrême.

Alice décalottait avec violence mon long pénis de ses deux mains en retirant bien en arrière le prépuce. Je fus pris d'une peur panique qu'elle déchire le frein, d'autant qu'il avait été mis à très rude épreuve avec la ficelle qui avait tiré dessus durant plusieurs heures. Marion jouissait et commençait à devenir violente. Elle tirait de plus en plus fort sur le crochet de nez ainsi que sur ma langue, me tirant des larmes de douleur. Totalement impuissant, transformé en un véritable pantin vivant, tel un insecte cloué sur une planche et qui va être disséqué, je pouvais voir la comtesse et ses deux filles qui se délectaient de ma situation humiliante et de ma souffrance.

Florence s'en donnait à cœur joie en conseillant Alice « Tu décalottes bien en arrière le plus brutalement possible. Ne t'inquiète surtout pas si le frein de son prépuce se déchire, il est de toute façon à notre entière discrétion! ».

La comtesse complimentait Florence et Alice « Vous êtes diaboliquement douées et je ne voudrais pas être à sa place ». Pour ajouter encore à ma souffrance, Aurore et Anne s'étaient placées de chaque côté de moi et après avoir placé un crochet à l'extrémité de chacune des chaînes, elle y engageaient un pied et pesaient dessus de leur poids, qui s'ajoutait à celui des chaînes. Le résultat était terrible car mes bourses étaient alors dangereusement étirées. J'aurais voulu hurler mais je m'étranglais et suffoquait de douleur.

Alice était emportée par une surexcitation frénétique continuait de me masturber et soudain m'ordonnait « Tu dois bander et vite, sinon, je te castre! » je pleurais de honte en suppliant car je savais que si je ne m'exécutais pas dans les secondes qui suivaient, j'allais connaître le pire. Florence conseillait Alice « tu lui tripotes ses couilles et le gland, tu vas voir il va bander! Dès qu'il est en érection, tu reprends la masturbation et ensuite quand tu le souhaites, tu lui ordonnes de cracher! ».

Ma situation était surréaliste et à la tournure que prenaient les événements, j'allais sombrer dans la folie, en plus de la souffrance. Mon pénis, sous les sollicitations de l'adolescente, se redressait brusquement et j'offrais pitoyablement un membre énorme au bon plaisir de ces dames. Alice, des éclairs dans les yeux, reprenait de plus belle une masturbation effrénée et douloureuse. Moins d'une minute plus tard, elle ordonnait sèchement « Crache! Tu as trente secondes! »

Pendant ce temps, Paul et Antoine avaient placée Amanda juste devant moi, à genoux, la bouche grande ouverte et la langue affreusement tirée hors de la bouche vers le bas, le crochet de nez tendu vers le haut. Jean qui était dans un état d'excitation extrême, indiquait à la jeune femme « Puisqu'il t'a sauté, tu peux bien recevoir sa semence par ce côté-là aussi! ». Amanda pleurait doucement, elle avait la bouche juste à la hauteur de mon pénis et j'étais désespéré pour elle. Ce n'est qu'après vingt cinq secondes que je lâchais ma semence bien malgré moi en un long et puissant jet qui s'engouffrait au fond de la bouche d'Amanda.

Elle suffoquait et tentait de résister pour cracher mais Jean l'en dissuadait avec quelques gifles violentes « Avale petite salope sinon je te défonce! » Je n'en finissais plus d'éjaculer et Alice pressait ma hampe pour extirper le plus possible de sperme. La comtesse venait ajouter à ma honte « Dis-donc! Tu n'as pas honte d'être ainsi traité par une gamine de dix-huit ans? » Bien sûr que j'avais honte mais j'étais totalement à sa merci, sans la moindre possibilité d'échapper à ses griffes.

Alice était aussi perverse et sadique que Florence avec également une force physique incroyable telle, qu'elle pouvait si elle le voulait m'étrangler sans difficulté. Si la comtesse et ses deux filles étaient des femmes perverses, elle étaient pourtant largement dépassées par Florence et Alice qui étaient de véritables prédateurs sans pitié.

Le comte avait ordonné à Paul et Antoine de bien maintenir la tête de Amanda en arrière et il lui avait introduit au fond de la bouche un petit tuyau qui provenait d'une poche de plusieurs litres d'eau tenue par jean Le but était d'obliger la suppliciée à boire et par la même occasion avaler le sperme qui inondait sa bouche.

Le fait d'avoir éjaculé m'avais provoqué une envie de déféquer que j'avais beaucoup de mal à contenir. Un peu d'excrément liquide avait fini par sortir et se répandait dans ma raie des fesses. Presque aussitôt, la comtesse reniflait « Vous ne trouvez pas que ça sent la merde? » Florence me fixait de son regard inquisiteur « Tu n'aurais pas osé chier sans notre permission, par hasard?

Puis elle me contournait et avec son sans gêne habituel, elle m'écartait les fesses « Venez voir! Regardez moi ce salaud, il a la merde au cul! » Aurore, Anne et Marion se moquaient avec un mépris insultant « Oser chier devant nous, c'est honteux, il va payer cher cet outrage! » Monsieur le comte avançait « Qui va nettoyer son cul? » Paul hasardait « La petite salope, puisqu'elle adore son sperme, elle doit aussi aimer sa merde! ». « Oui c'est génial! » Répondait jean.

Aussitôt, elle fut libérée du crochet de nez et de l'entrave de la langue puis placée sans ménagement derrière moi à genoux. Aurore et Anne m'écartaient les fesses tandis que Jean obligeait Amanda à me lécher la raie. Elle tentait bien de résister à cet ignoble affront, mais elle finit par se résigner. Avec un profond dégoût, elle léchait ma raie, encouragée par nos bourreaux « Le caca n'est pas très nourrissant, mais c'est mieux que rien » Ironisait monsieur le comte. « Tu as intérêt à bien nettoyer son cul », ajoutait la comtesse, trop heureuse de nous voir ainsi humiliés.

Après quelques minutes de ce supplice, Amanda était jetée au sol et devait prendre la position pour boire et manger. L'infecte pâtée était encore plus dégoûtante que la précédente « Nous avons remplacé l'eau par ma pisse et comme j'ai mes règles, ça te fait un plat de premier choix! Tu vois que nous sommes généreux, puisque tu as droit à deux cuillères de croquettes, Ah , Ah! » Avait précisé Anne. A peine Amanda avait-elle terminé la gamelle que Jean lui soulevait la tête en la saisissant par ses cheveux. Elle était horrible à voir, avec son visage maculé de mes excréments et la bouillie de croquettes « Emmenez-la à la laverie et nettoyez -moi ça! » avait ordonné le comte.

Pendant ce temps, Florence et la comtesse s'étaient concertées sur mon compte « Comme tu as osé faire tes déjections, nous allons te dérouiller le cul » J'étais disposé à genoux, tête au sol, les mains attachées dans mon dos et la cordelette passée autour du cou. Florence m'avait entravé les couilles dans un nœud coulant qui les tirait très en arrière, l'extrémité du lien fixé sur le sol. Pour accentuer ma totale soumission, elle avait écarté au maximum mes genoux en les attachant à une barre d'écartement. J'étais ainsi offert au voyeurisme sadique de ces femmes, les fesses grandes ouvertes et l'anus parfaitement dégagée.

Je savais ce qui m'attendait. Le fouet de Florence s'abattait à plusieurs reprise sur mes fesses, puis en plein milieu, dans la raie. Je hurlais de désespoir et tentais de m'avancer pour échapper à la lanière, mais le piège était infernal car le moindre mouvement en avant occasionnait l'étirement de mes couilles. Très vite, c'était devenu insupportable. Marion qui s'excitait de me voir dérouillé avait pris la relève et me fouettait l'anus et les testicules comme une folle « Tu peux être sûr que tu ne pourras plus jamais te servir de tes bijoux! ».

La comtesse était intervenue « Doucement Marion, il doit subir le châtiment dans la durée ». Florence m'avait saisit par les cheveux et me relevait brutalement la tête « Ton calvaire est loin d'être fini, d'ailleurs, nous allons vous montrer à tous les deux ce qui vous attend! »

La suite fut expéditive. Amanda avait été lavée et elle avait les mains ramenées dans le dos. La langue était de nouveau sortie de la bouche et reliée à la pointe de ses seins, horriblement tuméfiés. Jean la guidait en la maintenant sauvagement par l'ignoble crochet de nez. Florence m'avait appliqué le même traitement, sans oublier les chaînes suspendues à mes attributs. J'étais intrigué par ce que Florence voulait dire « Ce qui vous attend ». Nous étions guidés par nos bourreaux à travers les dédales de couloirs souterrains du château et je compris que nous descendions vers des caves qui faisaient penser à des accès d'oubliettes.

Je ne m'étais pas trompé. Nous étions arrêtés devant une porte massive et imposante que monsieur le comte poussait. Les énormes gonds grinçaient, déchirant le silence pesant de ce sous-sol lugubre. Près du seuil de la lourde porte se trouvait un interrupteur électrique qui permettait de faire la lumière dans la grande pièce. En entrant, j'avais d'abord pensé que nous allions être enfermés là. Mais ce qui se présentait à notre vue était l'expression de l'horreur presque indescriptible et insoutenable. Au milieu de cet espace en terre battue, froid et humide, se trouvaient ce qui ressemblait à un homme et une femme.

Ce qui était terrifiant, c'était l'état cadavérique de ces deux êtres, entièrement nus, maintenus debout, les jambes largement écartées et entravées au sol, les bras également maintenus écartés par les poignets reliés à une haute poutre. Un crochet de nez les obligeait à avoir la tête relevée légèrement en arrière. Leur langue, étranglée par une cordelette en nœud coulant et reliée à une autre poutre était presque totalement sortie de leur bouche. La femme avait le sexe béant dépourvu de poils et dans lequel un poing pouvait aisément rentrer, d'entre ses fesses, on pouvait voir émerger un piquet en métal de dix centimètres de diamètre sur lequel elle était empalée. Ses seins n'étaient plus que deux amas de chair qui tombaient sur son nombril. L'homme avait la même position.

Son pénis et ses testicules touchaient le sol, tant ils étaient allongés. Ces organes étaient démesurés tant par la longueur que par la grosseur. Les couilles, suspendues au bout de leur bourse respective décharnée, avait la grosseur de boules de pétanque, tandis que le pénis mesurait au moins dix centimètres de diamètre, pour plus de soixante centimètre de long. Le gland plus gros encore, pendait lamentablement au bout du pénis. Ce qui indiquait que l'homme avait été circoncis. Florence qui avait sans doute deviné mes pensées précisait « Et oui, je l'ai circoncis moi-même et comme tu le vois, ça n'a pas été une réussite, mais qu'importe, puisque qu'il mourra bientôt. Malgré son handicap, tu constateras que nous savons le faire bander. N'oublie pas, nous allons bientôt faire encore mieux avec toi! »

Le corps décharné, les os saillants, ils étaient à l'évidence condamnés à mourir à petit feu. A proximité étaient posés sur une table des instruments de torture en tout genre. La comtesse, s'en était approchée et avait saisi une longue aiguille très fine qu'elle manipulait devant le regard vide de l'homme supplicié. Celui-ci se mit à gesticuler de frayeur car il savait ce qu'elle allait faire. Sans la moindre pitié, elle s'emparait de l'une de ses énormes bourses et plantait l'aiguille en travers du testicule. L'homme aurait voulu crier, mais au lieu de cela il émettait des couinements presque inaudibles.

Se tournant vers moi, elle précisait « tu vois, celui-là ne peut plus crier, car nous l'avons opéré au niveau de ses cordes vocales. Au fait, sais-tu qui il est, ou plutôt qui il était, puisque maintenant c'est moins qu'un déchet? Non, tu ne vois pas? Et bien c'est l'ex ami de Florence et cette femelle était sa maîtresse. Ils ont vingt huit et trente deux ans ». J'étais terrifié car vu leur état, on pouvait croire qu'ils avaient au moins vingt ans en plus.

Paul avait à son tour saisi une longue aiguille et tirant d'une main sur un sein décharné, il y plantait l'aiguille. Comme l'homme, elle ne pouvait plus parler et encore moins crier, rendue muette elle aussi. Florence, me tirant par le crochet de nez, me précisait « J'espère que tu apprécie ce que nous vous réservons, à toi et ta pute. Ne vous faites pas d'illusions, ce sera bien pire encore. Pour ces deux-là, ils n'en ont plus pour bien longtemps et c'est dommage car on fait notre possible pour que leur châtiment soit très long et le plus agréable possible, Ah Ah! » Elle avait ensuite saisi une seconde aiguille qu'elle plantait dans l'autre testicule.

L'homme avait sursauté et des larmes coulaient sur son ventre creux. Elle n'en restait pas là et s'étant saisi de son pénis monstrueux, elle présentait une nouvelle aiguille sous la base du gland déséché, juste au niveau de la couronne. En fixant le malheureux droit dans les yeux, elle plantait l'aiguille, lentement par sadisme et traversait l'énorme membre. Au comble de la cruauté, elle la retirait et recommençait à trois reprises, jugent insatisfaisant la position de l'aiguille qu'elle avait finalement planté en travers.

Paul cédait la place à Jean qui s'approchait de la malheureuse, une longue aiguille à la main. Il avait saisit ce qui avait été le clitoris. L'organe n'avait plus rien d'érectile et mesurait près de cinq centimètres. La femme se débattait et ses yeux remplis de terreur suppliaient le jeune homme sans pitié. Il présentait l'aiguille à l'extrémité de l'organe et l'enfonçait inexorablement dans le sens de la longueur. C'était horrible car l'aiguille était plus longue que le clitoris et elle avait pénétré dans les chairs. Puis Antoine traversait l'autre sein de la malheureuse d'une aiguille.

La comtesse, tout en tirant sur la ficelle qui m'étranglait la langue, annonçait « Nous allons vous offrir un spectacle que vous allez apprécier et dont vous serez très bientôt les acteurs, jugez plutôt! ». Le comte et la comtesse, aidés de Paul, Antoine Florence et les jeunes comtesses, s'affairaient autour des deux moribonds et plaçaient des pinces métalliques sur les aiguilles qu'ils venaient de planter dans leur corps.

Les pinces étaient ensuite reliés à un faisceau de fils électriques reliés à un appareil complexe, disposé à quelques mètres face aux suppliciés. En un instant, je compris de quoi il s'agissait. Le comte appuyait sur un bouton et des voyants lumineux, des cadrans indiquaient qu'il était sous tension, prêt à l'emploi. Le comte appuyait ensuite sur un autre bouton et aussitôt le corps de la femme se raidit. Florence qui se tenait près de moi précisait « Là, il s'agit d'une toute petite décharge électrique.

Mais nous pouvons en envoyer de bien plus fortes et surtout, l'appareil est très sophistiqué. Nous pouvons régler le voltage, la fréquence et la forme du signal. Regarde bien, je vais te montrer sur mon ex » Florence prit la place du comte et actionnait les commandes, puis appuyait sur le bouton qui envoyait le courant sur les fils. Le pauvre homme cambrait violemment son corps en arc de cercle, le thorax en avant, raidit par la décharge. Sa langue devenait noir en quelques secondes, car tirée hors de sa bouche par un fil conducteur, la décharge était très forte.

« Regarde bien et apprécie ce qui t'attend bientôt! », me dit Florence. Après avoir manipulé quelques commandes de l'appareil, elle envoyait une décharge en direction du monstrueux pénis qui se dressait instantanément comme un mât de cocagne. Les testicules devenaient rouge intense sous les impulsions et le gland, pourtant déjà énorme, grossissait encore. Florence prenait un plaisir satanique à torturer son ex-ami de la plus monstrueuse des façons. Elle coupait le courant, puis le remettait.