Châtiment Extrême

BÊTA PUBLIQUE

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Péniblement et souffrant atrocement, on nous fit pénétrer dans une grande pièce luxueusement meublée. Un imposant bureau était disposé devant une grande fenêtre. Il était occupé par les Maîtres du château, confortablement installés dans de larges fauteuils. Monsieur le Comte et madame la Comtesse avaient esquissé un large sourire en nous voyant entrer. « Magnifique! » s'était exclamé la Comtesse en admirant notre triste état. « Prodigieux! » s'exclamait à son tour le Comte. Anne nous ordonnait « Vous devez vous incliner devant les Maîtres de ces lieus! Écartez les jambes, les mains dans le dos et penchez-vous, le dos et la tête bien en arrière.

Votre bas-ventre doit être bien en avant, afin que votre sexe soit honteusement exposé! » La Comtesse s'était levée et promenait sa main sur mes blessures qu'elle pinçait en ricanant. Puis elle s'était emparé de mes organes génitaux qu'elle tirait sans ménagement vers le bas. Elle faisait rouler les testicules dans le sac et les serrait si fort que j'avais un haut-le-cœur tandis que Anne me tirait la tête en arrière par les cheveux et me giflait violemment à plusieurs reprises « Tu ne dois pas broncher quand ma tante t'écrase les burnes, compris? »

La Comtesse ajoutait « C'est un bon début, tu vas subir d'autre flagellations et tes couilles devraient sous peu atteindre les mollets et peut-être plus bas si possible! Nous avions prévu de te castrer mais finalement ce serait trop simple et trop doux. Donc nous préférons te les martyriser jusqu'à ce qu'elles deviennent 2 boules de merde. La gente féminine de nos connaissances va bientôt pouvoir se défouler!

Très bien, maintenant Alice va nous faire une petite démonstration! » Cette dernière me fit face, prenant la place de sa tante « Penche toi bien, la tête et les bras en arrière, écarte les jambes et arrondit le dos, le ventre en avant en soumission totale! » Dès que j'avais pris cette position d'humiliation extrême, Alice me saisit séparément mes testicules et avec une force et une rapidité insoupçonnée, me les tirait brutalement vers le haut, m'obligeant à me cambrer davantage et me hisser sur la pointe des pieds. Tandis qu'elle maintenait son ignoble prise, elle hurlait « J'ai dit la tête et les bras en arrière! » La Comtesse, ses filles et Marion félicitaient Alice pour sa cruauté « Dis-donc, pour dix-huit ans, tu es plutôt imaginative et sans pitié! »

Elle ne répondait pas et maintenait la prise tout en s'adressant à celui qu'elle transformait en pantin « je vais tirer encore plus haut et te les écraser. Si tu perds l'équilibre, j'ai assez de force pour maintenir tes couilles à cette hauteur, donc tu serais suspendu à tes bijoux, tu piges? » Sous la terrible humiliation et la douleur, je hurlais « Pitié, je vous en supplie, arrêtez... » Mais Alice, inflexible « Je n'ai rien à faire de ta pitié, ce que je veux, c'est t'entendre me supplier et te détruire! » C'est alors qu'elle écartait les jambes, se baissait légèrement en pliant les genoux puis, tel un ressort se redressait, tirant de toutes ses forces sur mes boules. Je perdais l'équilibre et mes pieds quittaient le sol en fouettant l'air, cherchant désespérément un appui afin de soulager la traction sur mes couilles.

Je me retrouver à l'horizontal, pendu par les couilles que Alice, douée d'une force peu commune n'avait pas lâchées. La comtesse, ses filles et Marion applaudissaient tandis que je hurlais comme un dément. Quand Alice me laissait tomber lourdement sur le sol, à ses pieds. Mes boules me faisaient atrocement souffrir, surtout après la terrible épreuve du fouet. Les blessures de mon sexe et mes bourses s'étaient ouvertes et je constatais que Alice avait du sang sur les mains. Mes organes sexuels étaient ensanglantés. La peur panique me gagnait et je sanglotais comme un enfant.

Du haut de son corps magnifique et athlétique , elle me toisait avec mépris. Elle avait levé son pied droit juste au dessus de mon entre-jambes et son rictus satanique en disait long sur ses intentions. Elle allait me massacrer les couilles « Non attend, pas maintenant! Sinon il risque de crever » Demandait la Comtesse. « C'est bien parce que c'est toi ma tante qui le demande, sinon, je le rendais infirme pour toujours! Allez debout et reprend la position » Comme j'avais des difficultés à me redresser, elle m'avait saisit par les cheveux et m'obligeait à rependre la position de soumission.

Amanda, entre les mains du Comte et Jean subissait elle aussi un vrai calvaire. Giflée, frappée sur tout le corps en particulier sur les blessures laissées par la cravache et le fouet, elle devenait comme moi une chose ensanglantée qu'ils prenaient plaisir à humilier, torturer et détruire.

Après avoir assouvi leur plaisirs sadiques et obligés à reprendre la position humiliante, la Comtesse prit alors la parole « Bien! Maintenant que vous êtes tous les deux corps et âme à notre entière disposition, nous allons clarifier les choses. Tout d'abord, nous allons vous faire boire, mais pas question de vous alimenter. D'ici quelques semaines, vous serez squelettiques et difformes. Puis présentement nous allons adoucir et désinfecter vos plaies avec un produit de notre composition. Vous allez apprécier sa douceur et son efficacité Ha, Ha,!

Puis vous serez en quarantaine jusqu'au retour de Florence qui va se charger avec nous de votre déchéance morale et physique. A propos de Florence, elle est en cours de démarches auprès de la famille de cette petite pute. Normalement, elle fait le nécessaire pour faire disparaître officiellement Amanda. » Puis s'adressant à l'intéressée terrorisée « Donc aux yeux de ta famille, tu seras morte! Inutile de te préciser que de toute façon, c'est ce qui t'attend, mais chaque chose en son temps car nous ne sommes pas pressés ». En terminant son exposé, la Comtesse s'était approchée face à moi et de ses mains gantés, s'était emparé de mes boules ensanglantées « Quand à toi, tu es déjà officiellement mort!

J'espère bien que d'ici à ton dernier soupir, tes burnes et ta queue arriveront bientôt à hauteur des mollets, voir des chevilles! » Puis, de ses mains gantés de gants en latex, elle les avait sadiquement tirés méchamment tout en les écrasant. Vaincu, je tombais à ses genoux en suppliant de nous épargner, Amanda et moi. Pour toute réponse, elle ordonnait sèchement « En position pour soulager votre soif! » Nous obéissions et accroupis, le cul en l'air, nous devions laper l'eau dans les écuelles, sous les regards amusés de nos tourmenteurs qui ne se lassaient pas de nous ridiculiser en se délectant de notre anatomie intime mise à mal et exposée outrageusement.

« Allez, vous avez assez bu! Debout! direction la laverie! » Avait ordonné sèchement le comte.

Marion s'interposait et m'ordonnait « Non! Toi tu te mets à quatre pattes et tu vas marcher comme un chien, exécution! Écarte les jambes! » Elle me saisit les couilles autour desquelles elle passait un nœud coulant et me les maintenait entre mes fesses puis m'obligeait à marcher ainsi.

Conduits sans ménagement à la laverie, nous étions jetés sur les grandes tables à plat ventre « Écartez les jambes et les bras, nous allons vous masser avec une crème spéciale vos blessures de fouet et cravache! » Avait dit la Comtesse avec ironie. Jean s'occupait de Amanda et Alice de moi.

Très vite, nous avions compris pourquoi ce ton ironique lorsque la crème était évoquée. Notre dos , nos fesses et nos jambes étaient soumis à d'horribles brûlures qui nous faisaient crier de douleur. « « Alors », me demandait Alice, « Tu apprécie le piment? » Chacune des marques et blessures causées par la séance de flagellation était frottée au piment, depuis le cou jusqu'aux mollets. Amanda poussait des hurlements inhumains. L'effet de la mixture au piment était horrible et brûlait effroyablement ses fesses ayant été broyées et réduites en chair sanguinolente. La torture devenait insupportable lorsque nous avions été retournés sur le dos.

Nous devions subir des douleurs insoutenables du dos au contact de la table et aux brûlures, mais maintenant les jeunes gens s'attaquaient aux plaies de notre poitrine, notre ventre, nos jambes, nos cuisses et notre sexe. Alice s'attardait longuement à mes testicules puis à mon pénis qu'elle avait sauvagement décalotté. Avec une violence inouïe, elle me masturbait tout en induisant mon sexe de la pommade brûlante, tout en insistant sur le prépuce, le frein, le gland et l'urètre. Elle en profitait pour que la pommade pénètre dans le conduit. Je n'en pouvais plus et tentait de me débattre. Ce qui provoquait instantanément une réaction très violente et elle m'écrasait sans pitié les couilles de ses mains puissantes.

Jean avait sauvagement giflé Amanda qui elle aussi avait esquissé un mouvement de révolte « Puisque tu ne te tiens pas tranquille, tu as droit à un bonus! » Il n'avait pas hésité et plongeait 2 doigts enduis de pommade dans son vagin grand ouvert. Pour faire bonne mesure, il triturait les parois internes afin de bien appliquer le produit diabolique. Puis aidé de Laure, il relevait et écartait ses jambes afin d'ouvrir ses fesses, l'anus largement exposée. Il y plongeait son index profondément et exerçait des mouvements de va et vient. La pauvre Amanda pleurait et hurlait pour le plus grand plaisir de jean.

Alice avait également abusé de mon anus et l'avait vigoureusement frictionné de l'intérieur. La pommade nous brûlait atrocement l'extérieur et l'intérieur de notre corps. Ils nous transformaient en loques humaines pantelantes sans force. Nous étions devenus des jouets entre leurs mains perverses et sadiques. Dénués de toute pitié, ils abusaient de notre corps nu et meurtri de la façon la plus ignoble qui soit et prenaient un plaisir hautement sadique à nous faire souffrir.

La comtesse n'y tenant plus de nous entendre gémir et nous tordre de douleur, explosait de colère

« Vous commencez à nous fatiguer avec vos plaintes! Votre châtiment n'est qu'à son début et vous devez vous habituer aux sévices que vous allez subir! Allez-y Alice et Jean, administrez-leur une bonne correction qu'on en finisse pour aujourd'hui. Les deux jeunes gens ne se firent pas prier et le sourire qu'ils arboraient en disait long sur leurs intentions. Leur sadisme était à la hauteur de celui de Florence, malgré leur très jeune âge. Nous étions propulsés sans ménagement hors de la table où nous étions allongés et ce fut une courte mais horrible correction qu'ils nous administraient.

Nous étions à genoux. Saisit d'une main par les cheveux, Alice me giflait à m'assommer puis elle s'était saisi de mon pénis lamentablement décalotté et plantait ses ongles dans le gland « Demande pardon à Marion que tu as trompée! » N'y tenant plus, je m'exécutais et la correction reprit de plus belle, cette fois sur mes couilles gonflées par les coups répétés et qui pendaient ridiculement entre mes cuisses. Alice était prise de folie furieuse et de ricanements jouissifs « J'adore transformer les mâles en pantins et les faire souffrir! ». Elle me massacrait mes boules ensanglantées à grands coups de poing. Je l'implorais « Pitié Mademoiselle, je n'en peux plus, vous allez me faire mourir! » Mais sa furie était à son comble et imperturbable, elle continuait son jeu de massacre.

Amanda Suppliait elle aussi son bourreau qui l'avait à nouveau jetée sur la table et allongée sur le ventre, il lui administrait une série de fessées sur ses fesses et ses cuisses, en insistant sur son entre jambes. Il frappait de toutes ses forces et les nombreuses blessures causées par la séance précédente du fouet saignaient. Jean avait les mains rouges de sang et son excitation allait croissante. Je tentais à nouveau de supplier Alice « Noooon...! », je suffoquais, ma vue se brouillait et une fois encore, je rejoignais le royaume des étoiles...

CHAPITRE 08

Je n'avais plus aucune notion du temps lorsque je refaisais surface. Tout mon corps était douloureux En voyant Alice plantée devant moi, je fus pris d'une peur panique. Elle me rappelait trop les derniers moments de torture qu'elle m'avait fait subir. Elle observait avec insistance de son regard pénétrant et insoutenable mon corps toujours entièrement nu et écartelé « Alors couillu tu apprécies le châtiment? » Pour bien marquer sa suprématie, elle avait pincé la peau de mes bourses qu'elle relevait afin que je les vois bien. C'était ignoble, mes couilles et mon pénis étaient marqués d'horribles hématomes noirs et bleu.

Avec un sourire diabolique, Alice relevait très haut l'ensemble de mes organes sexuels et j'étais effaré de constater qu'ils étaient démesurément allongés. Mon pénis, devenu énorme, devait mesurer entre vingt cinq et trente centimètres de long pour plus de six centimètres de diamètre. Mes couilles était gonflées, grosses comme des balles de tennis et con- tenues dans mes bourses longues de près de trente centimètres. Je tentais d'exprimer ma colère mais Alice m'avait plaqué sa main sur ma bouche « Tu ne dois pas t'exprimer, mais subir ton châtiment! Tu vas connaître bien d'autres corrections humiliantes! Toi et ta petite pute! Pour le moment, c'est une trêve. Nous allons vous soigner et ensuite nous aviserons »

Effectivement, Anne et Alice me massaient tout le corps avec une pommade apaisante. Elle avaient commencé par le dos, les mollets et l'intérieur des cuisses. Puis les fesses qu'elles avaient ensuite écartées pour masser le pourtour de l'anus, puis l'intérieur de mon ventre. Elles n'étaient pas violentes et si leur massage était outrageusement insistant, il faisait beaucoup de bien, atténuant les douleurs des coups reçus et les ravages de la pommade au piment. Elles m'avaient ensuite retourné, massant la poitrine, les bras, les jambes et les cuisses.

Elles avaient longuement insisté sur mes organes sexuels et ne se privaient pas de me ridiculiser, me tapotant le pénis et les prunes « On va t'appeler grosses couilles car vu comme tu es monté maintenant! » « On pourrait aussi l'appeler bite d'éléphant! » La comtesse venait d'apparaître et avait entendu les réflexions moqueuses des filles, ajoutait à mon intention « D'autant que ce n'est pas fini, tu aura bientôt des burnes plus grosses que des boules de pétanque! Dis-moi Alice, tu es une adolescente sans pitié! encore un peu et tu allais le faire mourir sous le fouet!

Remarque ce ne serait pas une grosse perte, mais il doit payer avant! ». La comtesse, malgré son âge assez avancé, était vêtue d'une jupe noir lui arrivant à mi-cuisse et d'un corsage transparent laissant voir une poitrine haute et ferme maintenue par un soutien gorge rouge. Cette femme était un vrai caméléon, sachant à merveille changer d'apparence. Pour l'heure, elle s'était emparé de mes organes génitaux et les soupesait, appréciant avec un sourire leur longueur anormale et la grosseur des testicules « Tu as mal? » m'avait-elle demandé avec une pointe d'ironie tout en malaxant mes boules. Comme je n'avais pas le droit de parler, je faisait un signe affirmatif de la tête.

« Rassure-toi, la pommade va apaiser tes souffrances et d'ici quelques jours, tu seras de nouveau prêt pour la suite du châtiment. Mais dis-donc, tu as les couilles et la bite en feu! Aurais-tu de la fièvre? Nous allons prendre ta température ». Marion s'était approchée de moi et tenait en main une sorte de sonde reliée à un petit boîtier. Aurore, un rictus sadique au coin des lèvres, précisait « C'est un thermomètre utilisé par les vétérinaires sur les vaches et les chevaux, il permet de prendre la température au fond de leur ventre, tu vas voir, c'est ignoble pour un humain! »

Alice, aidée de Anne, me soulevaient les jambes et les ramenaient au niveau de la tête. Puis elles relevaient mes couilles et ma bite sur le ventre car leur longueur démesurée les faisait tomber entre mes fesses, masquant l'anus qu'elles visaient. Marion présentait la sonde à l'entrée de l'anus. Sans la moindre hésitation, elle forçait mon fondement et l'enfonçait dans mes entrailles. Elle mesurait près de quarante centimètres de long et fine à la base, s'élargissait jusqu'à huit centimètre de diamètre dès les premiers vingt centimètres de la longueur.

Marion poussait jusqu'à l'introduction total « Dommage qu'elle ne soit pas encore plus longue et plus grosse, comme ça, je t'aurais défoncé le cul et l'intérieur, Ha Ha! ». « Patience Marion, ça va venir! » Ajoutait la comtesse. La sonde fut maintenue dans mon ventre un long moment qui me parut interminable. Ce n'était pas vraiment douloureux mais assez stressant et surtout humiliant d'être ainsi pénétré devant ces femmes.

Amanda, entre les mains de Jean reprenait ses esprits. Écartelée sur le ventre, il la massait aussi. La pauvre jeune fille était complètement hébétée, se demandant ce qui lui arrivait et suppliait en vain de ne plus la torturer. Jean ricanait « Ce n'est pas toi qui décide! » et pour bien montrer qu'elle n'était qu'un jouet entre ses mains, il forçait son anus et massait le rectum sans la moindre retenue, ce qui arrachait des plaintes de douleur et d'humiliation.

Jean jouissait de l'état de son anus qu'il avait précédemment fouetté jusqu'au sang et qu'il avait ensuite enduit de piment, ainsi qu'à l'intérieur. Pour l'humilier davantage encore, il l'avait retournée sur le dos et lui avait aussi soulevé ses jambes qu'il avait rapidement immobilisées derrière sa tête à l'aide d'une cordelette. Amanda offrait honteusement toute son intimité à la perversité du jeune homme. Il insistait à l'intérieur de l'anus et en même temps dans son vagin si outrageusement écartelé par l'anneau.

Anne qui avait retiré la sonde de mon ventre annonçait « 39° » Tu as un peu de température mais ce n'est pas grave! Voyons maintenant pour elle ». Anne confiait la sonde maculée de mes excréments à Jean sans même la nettoyer. Ce dernier jubilait « Génial! Petite salope, comme il t'a sautée, il peut bien aussi te faire profiter de sa merde! » Il présentait la sonde sur le petit trou de Amanda et sans douceur l'enfonçait dans ses entrailles. Moqueur et menaçant, il ajoutait « Nous allons bientôt t'agrandir aussi ton trou du cul! Car il est trop serré!» Au bout d'un moment, il retirait la sonde « Elle n'a que 37,5°, elle se porte bien cette putain! »

La suite des événements n'était pas brillant. S'ils avaient décidé d'être moins brutal, après ce qu'ils venaient de nous faire subir, ce n'était pas par compassion, mais uniquement pour nous laisser récupérer afin de mieux nous châtier ensuite. Ils n'en oubliaient pas moins de nous humilier des pires façons possibles et imaginables. La comtesse décrétait « Allongez-vous et mettez-vous en position pour boire! ». Comme ils nous l'avaient déjà imposé, nous devions nous mettre à genoux, les jambes bien écartées et les fesses en l'air, la tête au sol.

Une écuelle d'eau était glissée sous notre menton et nous devions laper l'eau comme le font les chiens, pendant qu'ils détaillaient notre intimité et se moquaient outrageusement. Lorsqu'ils jugeaient que nous avions assez bu, ils nous imposaient une autre ignominie. A l'aide de ficelle, ils avaient serré la pointe des seins de Amanda et après lui avoir ordonné de se mettre à quatre pattes, elle devait marcher ainsi, tandis que Jean tirait sur les ficelles reliées à ses seins, Elle devait tourner à gauche ou à droite selon qu'il tirait sur le sein gauche ou le droit.

Pour moi, Alice avait fait un nœud coulant autour de chaque couille et procédait de la même façon pour me guider dans mes déplacement à quatre pattes. Ils nous avaient guidés de la sorte jusqu'à la cour du château et pendant plus d'une heure, nous devions marcher. Quand enfin ils nous conduisaient au gymnase qui était aussi bien une salle de tortures. Ils nous imposaient de nous allonger sur les grandes tables et nous immobilisaient, très largement écartelés.

Bras et jambes entravées dans de solides anneaux métalliques en guise de menottes. La comtesse se plaçait entre mes jambes et soupesait mes bourses endolories et avec un sourire satanique, m'emprisonnait chacune de mes couilles dans un bracelet de cuir muni d'un anneau. Puis Anne et Aurore fixaient l'extrémité d'énormes chaînes munies d'un mousqueton à chacun des deux anneaux. Sur l'instant, je ne ressentais pas de douleur particulière mais je réalisais soudain que si ces lourdes chaînes, placées entre mes cuisses venaient à glisser vers le sol, j'allais connaître un supplice ignoble et barbare.