Châtiment Extrême

BÊTA PUBLIQUE

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Son corps, comme le mien étaient couverts de multiples petits hématomes provoqués par les grêlons. Elle tentait de mettre ses mains devant son sexe endolori mais elle en fut empêchée brutalement par monsieur le comte. « Paul et Antoine, inspectez là et vérifiez qu'elle est propre à l'intérieur! » En un rien de temps, Amanda fut allongée sur le sol, un des hommes lui immobilisait les bras en arrière de sa tête, tandis que l'autre lui écartait les cuisses qu'il immobilisait avec ses genoux. Malgré les protestations de la jeune femme, l'homme lui écartait sans ménagement les grandes lèvres de son sexe. Monsieur le comte insistait « Écarte-la mieux que ça Antoine, tire bien les lèvres de chaque côté afin de l'ouvrir au maximum. Antoine précisait « Voyez par vous-même monsieur le comte, cette petite put a un passage très étroit, mais elle est quand-même encore remplie de sperme, il faut laver sa cavité » « Et bien conduisons-les à la laverie pour finir de les nettoyer ». Nous étions conduits dans une grande salle toute blanche. Le sol et les murs étaient carrelés.

Plusieurs grosses machines y étaient installés et devaient servir à laver de grandes quantités de linge. Face à ces machines, des tables en bois massif qui devaient servir à stoker le linge en vue de l'introduire dans les machines, ou de le retirer. Surplombant les tables, des tuyaux sur enrouleurs permettaient de disposer de puissants jets d'eau. Amanda et moi étions précipités brutalement sur ces grandes tables. Nos bras et nos jambes étaient écartelés à l'aide de cordelettes fixées aux poignets et aux chevilles puis tirés vers les quatre pieds de la table. La position que nous avions ne pouvait être pire. Les cuisses et les fesses grandes ouvertes au grand écart offraient notre intimité sexuelle de la façon la plus humiliante aux sévices les plus cruels.

Aurore qui s'était absentée quelques minutes à l'intérieur du château revenait avec une sacoche assez volumineuse. J'étais inquiet car je savais qu'elle était dans le milieu vétérinaire et je redoutais le pire. Pendant qu'elle disposait des ustensiles variés sur une desserte roulante, nous étions Amanda et moi l'objet d'une attention particulièrement barbare de nos tourmenteurs. Monsieur le comte s'était placé entre les cuisses de Amanda. Son regard insistant et pervers détaillait le sexe grand ouvert de la jeune femme à sa merci. Il saisit de ses deux mains la toison pubienne et tirait dessus vers le haut avec une extrême violence, arrachant un long cri à Amanda.

Elle tentait désespérément de soulever ses fesses pour soulager la douleur de ses poils tirés, mais le comte tirait sans pitié. Aurore intervenait auprès de son père « Si tu veux bien, nous lui arracherons les poils après, d'abord il faut agrandir son vagin pour la laver » Comme il ne refusait rien à sa fille, le comte se plaçait de côté, lui laissant la place. Aurore tenait à la main un ustensile bien connu des services médicaux. C'était un écarteur vaginale, mais celui-ci était particulièrement adapté pour les animaux de la ferme tels que les vaches et les juments.

De taille imposante, l'instrument comportait quatre branches rétractables qui pouvaient s'écarter de vingt centimètres et dont la longueur était de vingt centimètres. Une gâchette à crémaillère permettait de maintenir l'écartement souhaité des quatre branches. Autant dire que si Aurore ne prenait pas de précaution, elle allait gravement déchirer le vagin de Amanda. Cette dernière, complètement affolée à la vue de l'instrument, suppliait de ne pas la torturer, mais Aurore restait inflexible « Avec une si petite chatte, nous sommes bien obligés de te l'agrandir un peu, n'est-ce pas? » Puis elle présentait l'engin entre les grandes lèvres entrouvertes et l'enfonçait progressivement, sans se préoccuper des suppliques de Amanda.

Pendant ce temps, Florence et Marion me tiraient également les poils pubiens qu'elles arrachaient « Espèce d'ordure, nous allons t'arracher les poils jusqu'au dernier, comme ça, tu auras l'air d'un petit garçon » Avaient-elles dit avec ironie. Sous l'influence de Florence, Marion devenait de plus en plus violente « Dire que ce fumier m'a sautée pendant deux ans et qu'il sautait d'autres nanas, tu vas me le payer! » Emprisonnant mes boules dans sa main nerveuse, elle arrachait les poils les uns après les autres.

Florence lui avait conseillé de ne pas les tirer d'un coup, mais lentement « Ça fait plus mal » Tandis qu'elle dégarnissait mon pubis et autour du pénis avec une lenteur calculée et sadique. Après avoir résisté à ne pas me plaindre, je fini par gémir à chaque fois que quelques poils étaient arrachés et Florence jouissait de voir mes yeux remplis de larmes « Vas-y, fais-moi plaisir, chiale comme un gamin, tu n'as pas fini d'en baver! » Elle avait sournoisement décalotté mon pénis bien à fond et avait planté ses ongles dans la base du gland. Je hurlais sous la douleur pour le plus grand plaisir de Anne qui s'était approchée et me tirait méchamment les cheveux, ceux que l'on appelle les pattes devant les oreilles.

Soudain Amanda poussait un grand cri. Aurore actionnait l'écarteur qu'elle avait enfoncé dans le vagin. Toute la cavité était soumise à un écartement extrême et la paroi vaginale était distendue, à la limite de la déchirure sur près de quinze centimètres de côté. Monsieur le comte, qui assistait à l'ignoble spectacle et détaillait sans retenue l'intérieur largement et honteusement exposé ordonnait en direction de Paul et Antoine « Donnez un bon coup de jet la-dedans, qu'elle soit présentable! » Les deux hommes ne se faisaient guère prier et Antoine approchait le jet à quelques centimètres de la cavité sexuelle béante.

Il ouvrait le jet à pleine puissance et aussitôt Amanda s'agitait en tous sens, criant et pleurant sous l'action du puissant jet d'eau glacée qui frappait le fond du vagin et sans doute l'utérus. Aurore ricanait « Dis-donc petite pute, tu ne vas pas nous faire croire que tu as mal! Quand nous t'avons surprise en pleine action avec ce salaud, tu jouissais sous les coups de boutoir de sa grosse queue » Amanda suppliait, pleurait, sanglotait en vain.

Prise de soubresauts hystériques extrêmes, Amanda cambrait son corps nu, solidement écartelé, offert à Antoine, Aurore et monsieur le comte. Ce dernier avait pincé le nez et obstrué la bouche de Amanda, lui rendant la respiration difficile. Elle se débattait violemment, tirant sur les entraves de ses chevilles et de ses poignets. Les violentes contractions de son corps excitaient ses tourmenteurs qui restaient insensibles à ses souffrances.

Florence, déchaînée, tirait sauvagement sur mon pénis et arrachait mes poils pubiens, pendant que Anne elle aussi m'étouffait par vagues successives de plus en plus longues.

Je m'interrogeais sérieusement sur la suite de notre calvaire. Jusqu'où iraient-ils?

CHAPITRE 04

Alors que Marion et Florence s'acharnaient sur mes poils pubiens et mes testicules, madame la comtesse intervenait « Il se fait tard, nous continuerons leur punition demain »

Aurore avait alors retiré brutalement l'écarteur du vagin de Amanda » Tu ne perd rien pour attendre, demain, je te l écarte encore un peu plus »?

Après nous avoir libérés de nos liens qui nous maintenaient écartelés, nous étions conduits dans l'une des caves du château. Ils avaient imaginé une position humiliante pour y passer la nuit. La cave était pourvu d'anneaux encrés dans le sol en terre battue. Nous avons dû nous allonger sur le dos, entre les anneaux sur lesquels nos bras et nos jambes largement écartés étaient attachés. Florence avait tiré sans ménagement sur mes pieds afin que je sois au grand écart.

Puis elle avait ensuite entravé chacun de mes testicules qu'elle avait relié aux deux anneaux se trouvant entre mes cuisses. Elle se relevait et me toisait avec mépris « Te voilà bien parti pour passer une nuit d'enfer, tu me diras demain matin ce que tu en penses! » Elle avait suffisamment tendu les liens pour que mes testicules soient mis à mal et je redoutais la nuit qui allait être un calvaire.

Paul de son côté s'était occupé de Amanda. Sur ordre de monsieur le comte, il avait disposé un billot de bois sous son dos, afin que son corps soit arrondi et arc-bouté. La vision de notre corps nu ainsi écartelé et offert avait quelque chose de surréaliste d'un sadisme calculé. Ils nous avaient disposés face à face, afin que nous puissions apprécier mutuellement notre nudité et notre position honteuse. Nous étions bâillonnés et ne pouvions avoir aucun échange Avec ironie, ils nous souhaitaient une bonne nuit. Un halogène nous aveuglait et restait allumé toute la nuit.

Le lendemain matin, très tôt, tout ce beau monde au complet entrait dans la cave. Ils venaient constater les affres de la nuit et semblaient très satisfaits. Amanda pleurait doucement car elle souffrait du dos et de son bas-ventre. Son sexe était horrible à voir. Tout le pourtour de son vagin était violacé et ses grandes lèvres largement ouvertes laissaient voir l'utérus. Quand à moi, je ne sentais plus mes organes génitaux, sauf lorsque les deux jeunes comtesses les pinçaient sournoisement, m'arrachant un cri.

La matinée allait commencer très fort pour nous deux. Les trois jeunes femmes étaient vêtues d'un T-shirt plutôt moulant et d'un boxer leur arrivant à mi-cuisses. Si les deux jeunes comtesses étaient de très belles femmes, Florence n'avait rien à leur envier. Ses cuisses musclées et un buste athlétique n'enlevaient rien de la beauté de ce corps magnifique. Je savais qu'elle était douée d'une force peu commune, doublé d'une perversion sans limite dont j'allais subir les conséquences.

Tandis que Paul saisissait les seins de Amanda et les tirait sauvagement, Antoine lui arrachait les poils pubiens. La jeune femme hurlait de douleur, dans l'indifférence de ses tourmenteurs. Florence, sans se préoccuper de l'état de mes couilles violacées, s'acharnait sur ma toison pubienne et arrachait méthodiquement les poils en tirant vers le nombril. Ce qui avait pour effet de tirer sur mes organes entravés « On dirait que tu n'aimes pas? Pourtant il va falloir t'y faire car je vais t'arracher les poils jusqu'au dernier! » Avec un rictus satanique, elle avait saisit un bon paquet de poils qu'elle tirait lentement et inexorablement. Je haletais et m'arc-boutais pour tenter de soulager en vain, la traction exercée sur mes pauvres couilles.

La séance de torture épilatoire durait une éternité jusqu'à ce que notre pubis soit presque lisse. L'irritation était très douloureuse. Florence n'avait oublié aucune zone depuis le pubis jusqu'à la raie des fesses et n'avait pas hésité à me pincer les bourses déjà en piteux état en tirant les poils qui s'y trouvaient. Le plus douloureux fut lorsqu'elle arrachait ceux autour de la hampe du pénis. Elle s'arrangeait pour tirer d'une main les poils de manière à décalotter le gland, tandis que de l'autre main elle pinçait fortement la zone du prépuce, m'arrachant des cris et des larmes de douleur.

Elle m'avait détaché les jambes qu'elle avait ramenées vers les poignets, afin de bien exposer la zone entre les testicules et le trou du cul. Elle arrachait inexorablement tous les poils et lorsqu'elle fut satisfaite du résultat, elle me ramenait à nouveau les jambes écartées en avant. Puis Anne et Aurore s'approchaient de moi et se plaçaient leurs genoux sur mes cuisses, afin de mieux apprécier mon anatomie intime mise à mal « Comme tu es mignon, sans poils autour de la queue, on dirait un gamin! ».

Pendant ce temps Florence complotait avec Marion tandis que les deux gorilles achevaient d'épiler le pubis de Amanda. Le comte, excédé par ses cris, s'était agenouillé près de sa tête et lui administraient une série de violentes gifles qui lui projetait la tête de gauche et de droite.

C'est alors que tous nos tourmenteurs m'entouraient. Florence avait un sourire satanique qui me fit frissonner. On me détachait les poignets et après m'avoir obligé à redresser le buste, en position assis, on me les attachait derrière la tête avec le coup, de manière à les immobiliser. Assis, j'avais les chevilles entravées. Mes organes génitaux devenus violets presque noirs, étaient toujours emprisonnés aux anneaux. Elle avait alors libéré mes chevilles et aussitôt je bougeait mes jambes pour les sortir de l'engourdissement. Mais le répit fut très court. « Maintenant passons à l'étape suivante.

Tu vas te mettre à genoux, le corps bien droit! » Je fus pris d'une peur panique « Mais je ne peux pas car j'ai les couilles attachées au sol » Ça ce n'est pas mon problème, débrouille-toi, je te donne 3 minutes pour te mettre à genoux ». La galère imaginée était diabolique. Je tentais de la supplier en vain. Je me contorsionnais pour tenter de m'agenouiller mais les ficelles de mes couilles étaient bien trop courtes et m'interdisaient de me relever. « Très bien, puisque tu es de mauvaise volonté, nous allons t'aider à notre façon! ». Marion, un objet bizarre à la main, me saisit brutalement par les cheveux et exhibait l'objet qu'elle approchait de mon nez.

Je compris ce qui allait m'arriver. C'était un double crochet de fabrication maison destiné à être introduit dans chacune des narines. Marion n'hésitait pas une seconde et enfonçait l'appareil dans mon nez, puis elle se mit à tirer comme une folle vers le haut. Aussitôt une douleur fulgurante me tirait des larmes dans les yeux . Je voyais le sourire pervers de Marion à travers un brouillard et Florence, surexcitée criait « Allez relève-toi et à genoux ».

Je cherchais désespérément la meilleure technique pour parvenir à me hisser sur les genoux. Pour cela, je devais replier mes jambes et glisser mes pieds sous mes fesses, puis écarter les genoux et donner un coup de reins. Mes tentatives étaient un échec car dès que je décollais les fesses du sol, la traction exercée sur mes testicules clouées au sol était horrible.

Florence, prise d'une hystérie folle, prit la place de Marion et tirait dangereusement sur le crochet. Subjugué par la douleur horrible, je finis par me hisser sur les genoux que j'écartais pour diminuer la distance avec le sol. Mais elle exigeait que mon corps soit parfaitement droit, genoux serrés. J'eus alors très peur, mes testicules étaient tendus à l'extrême. Florence relâchait un peu la traction sur le crochet et je croyais naïvement qu'elle allait stopper là le supplice.

C'est alors qu'elle tirait violemment le crochet, puis le relâchait, puis à nouveau le tirait, toujours plus fort et un peu plus haut. A chaque fois qu'elle relâchait le crochet, je tentait d'écarter les genoux, mais elle ne m'en laissait pas le temps en exerçant une nouvelle traction vers le haut. « Alors tu aimes que je t 'allonge les prunes? Non? Tans pis pour toi, je continue! » C'est alors qu'elle m'ordonnait « Maintenant, tu vas te redresser! Allez debout! Plus vite que ça! »

Je suppliais « Non pitié, c'est impossible, je ne veux pas avoir mes couilles arrachées! »

Florence, un rictus barbare au coin des lèvres, tirait si fort le crochet incrusté dans mes narines que

je tentais désespérément de relever mes genoux, en exerçant toutes mes forces dans mes jambes. Je pleurais comme un gosse, submergé par la douleur de mes narines labourées et mes testicules qui s'allongeaient dangereusement. Il m'était impossible de me redresser et mes supplications laissaient Florence indifférente « Pourtant, il va falloir que tu te mettes debout, tes couilles vont supporter ce traitement pendant plusieurs jours, ha! Ha! » Puis elle tirait de plus belle vers le haut avec une sauvagerie extrême. Je cru que mes couilles étaient arrachées et suffoquant, je perdais connaissance.

CHAPITRE 05

J'étais incapable d'évaluer le temps que j'étais resté inconscient. Lorsque je me réveillais et ouvrais les yeux, malgré la douleur qui me taraudait le bas ventre, le haut de mes cuisses, mon pénis et mes testicules, mon regard se portais sur Amanda, exposée face à moi, nue et écartelée, sur une table légèrement inclinée ver l'avant. Pour l'heure, elle ne subissait pas de violence mais l'entre cuisses et le pubis étaient rouges et violets. Les grandes lèvres de son sexe étaient horriblement boursouflés et d'un violet profond, presque noir. Elle avait été soigneusement épilée par arrachage.

Sa respiration était saccadée et profonde, soulevant et creusant son plexus. Son regard livide exprimait la souffrance. Elle n'était plus attachée et en principe libre de ses mouvements. Je remarquais des traces rougeâtres importantes au niveau des poignets et des chevilles, son ventre et ses cuisses attestant qu'elle avait dû subir la torture, pendant ma perte de connaissance.

Monsieur le comte, Paul et Antoine observaient la jeune femme avec obscénité. C'est alors que je fus surpris lorsque monsieur le comte ordonnait à Amanda « Serre les jambes, bien, écarte maintenant, très bien. Pénètre-toi de la main gauche, parfait, la main droite maintenant, branle-toi! » Amanda, pétrifiée par la terreur s'exécutait sans sourciller, même lorsqu'elle masturbait son vagin endolori par les mauvais traitements. « Ça suffit, maintenant reste les jambes et les bras bien écartées, Paul et Antoine vont s'occuper de toi »

Ceux-ci se penchaient sur elle et commençaient à enduire son corps de crème. Ils avaient commencé par le coup et descendaient progressivement vers le bas. Aucune partie n'était oubliée et ils insistaient odieusement sur ses seins, son ventre, ses cuisses et ses jambes. Ils avaient gardé sa région sexuelle pour la fin, massant sans précaution particulière le pubis et les lèvres vaginales. « Massez aussi l'intérieur! » avait ordonné monsieur le comte. Paul ne se fit pas prier et engouffrait sa main pleine de crème dans le vagin, fouillant jusqu'à l'utérus en mouvements de rotations.

Antoine insistait sur chacun des seins en les tapotant, afin de bien faire pénétrer la crème. C'est à peine si Amanda se débattait, tout au plus quelques débuts de grimace. En fait elle tentait de protester davantage pour le viol de son intimité que par la douleur. Puis les deux hommes l'obligèrent à relever ses fesses, afin qu'un bassin soit glissé dessous « Allez pisse! » Amanda s'exécutait aussitôt et se soulageait en un long jet d'urine trop longtemps retenu. Ses yeux étaient humides de larmes et de honte. Monsieur le comte, un sourire sadique aux lèvres, assistait à ce besoin naturel forcé et hautement humiliant.

Après un long massage, elle dû se retourner, à genoux, jambes écartées, la tête contre la table. Le massage odieux reprit et Amanda ne pu s'empêcher de crier lorsque Antoine lui écartait les fesses et Paul lui enduisait de crème la raie et l'anus. Ce dernier n'hésitait pas à pénétrer son petit trou avec l'index et le majeur en exerçant des va et vient humiliants. Tout en gardant les bras et les jambes écartées, Une main puissante s'était glissée sous son bas-ventre, l'obligeant à relever son derrière, les fesses bien ouvertes sous lesquels le bassin était placé « Allez petite cochonne, fait ton caca! »

Amanda, après quelques instants de retenue, se soulageait honteusement d'un petit étron, sous les regards inquisiteurs des trois hommes « C'est tout? » demandait monsieur le comte « Allez dépêche -toi de faire caca avant que l'on se fâche! » Une seconde petite crotte tombait bientôt dans le bassin. Amanda sanglotait doucement, tandis que Paul lui essuyait l'anus et le sexe. Les massages reprenaient sans le moindre égard pour son intimité.

Les femmes m'encadraient et leur regard était fixé sur mon entrejambe. Madame la comtesse s'adressait à Florence « Tu es génial! J'ai bien cru que tu allais lui arracher ses noix! » « Ce ne serait pas une grosse perte, même s'il en a une belle paire . De toute façon, je compte bien le castrer bientôt! » avait répondu Florence en me tapotant mes organes douloureux. N'ayant plus les membres attachés, j'esquissais un geste de défense mais rapide comme l'éclair, Florence m'avait administré une paire de gifles à vous assommer un buffle « Si tu veux que je te castre maintenant, recommence ça! » Tandis que Anne et Aurore m'appliquaient la crème et me massaient le haut du corps, Florence s'occupait de mes jambes, mes cuisses et mes attributs sexuels sur lesquels elle était plus insistante, prenant un plaisir certain à m'humilier.