Châtiment Extrême

BÊTA PUBLIQUE

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Elle faisait rouler mes testicules endoloris dans leur sac. L'épreuve de l'étirement qu'elle m'avait fait subir n'arrangeait rien et je la suppliais d'arrêter. Au contraire, le massage qu'elle exerçait sur mon pénis était davantage une masturbation cruelle. Elle le décalottait avec force, repoussant le tissu érectile bien trop loin et dégageant le sillon de la base du gland qu'elle enduisait de crème. Me fixant d'un regard cruel, elle m'annonçait « Je vais m'occuper personnellement de tes couilles et de ta queue que je vais déformer. Tu seras impuissant pour le reste de tes jours! » Puis elle avait décalotté violemment mon pénis et serré mes pauvres noix de sa main de fer, m'arrachant des râles désespérés.

« Arrête de te plaindre car ton calvaire ne fait que commencer!» avait-elle ajouté tout en broyant mes boules.

Anne, le bassin en main m'ordonnait « Lève ton cul! » Le bassin fut placé sous mes fesses et Florence qui me tenait le pénis fermement et bien décalotté me commandait sèchement « Allez, pisse là-dedans et vite! ». Malgré ma grande honte, je me lâchais en un long jet de pisse sous les quolibets moqueurs des femmes présentes « Dis-donc, tu es une vrai citerne » Déclarait la comtesse en me giflant à toute volée à trois reprises. Lorsque j'eus fini de soulager ma vessie, Florence me secouait violemment le pénis sur le bord du bassin pour s'assurer que j'avais bien fini, mais en fait davantage pour me faire très mal. « Maintenant tourne-toi, à genoux la tête au sol entre tes coudes. Lève tes fesses et écarte bien les cuisses, que ton cul soit bien exposé. Tu vas faire un gros caca devant nous! »

Aurore disposait le bassin sous mes fesses et Marion m'expédiait un méchant coup de pied entre les fesses, en plein dans mes organes génitaux « Allez espèce de porc, chie ta merde! » Sous la violence du coup, je crus que j'allais m'évanouir mais Florence me tirait la tête en arrière « Alors, ça vient? » Une confusion totale régnait dans mon esprit et je dû me forcer pour qu'enfin mes excréments sortent de mon corps et tombent avec un bruit mat dans le bassin rempli de nos déjections. Heureusement le rebord était suffisamment haut pour qu'il n'y ait pas d'éclaboussures autour. J'étais l'objet de moqueries perverses sans retenue de ces femmes diaboliques. Les jeunes comtesses m'essuyaient le pénis et l'anus, ce qui accentuait encore mon humiliation.

Nous avons dû nous mettre debout, bras et jambes écartés. Ils nous avaient placés face-à-face, Amanda et moi. L'ordre nous était donné de cambrer notre corps en avant, la tête rejetée en arrière. C'était une position des plus honteuses et difficile à tenir dans le temps. Il nous arrivait de baisser un bras sous la fatigue mais la sanction était immédiate. Les coups de cravache fouettaient avec force nos fesses. Ce supplice durait près d'une heure à l'issue de laquelle Florence s'était placée face à moi, la cravache dans une main, alors que de l'autre elle avait saisi mon pénis qu'elle maintenait sur le ventre, exposant ainsi mes boules à la cravache.

Je l'implorais comme un gamin de m'épargner lorsque épuisé, je laissais tomber les bras, Florence ne me laissait pas le temps de réaliser, que la cravache s'était abattue avec une violence extrême. Je tombais à genoux en suffoquant de douleur aux pieds de ma tortionnaire qui jubilait de plaisir « Quand nous en aurons fini avec toi, et ce n'est pas pour tout de suite, tu seras une loque! »

Amanda n'était guère mieux traitée puisque monsieur le comte l'avait fait se mettre à genoux. Paul lui tirait la tête en arrière et la giflait. Elle devait écarter les genoux et le comte lui donnait quelques coups de pied entre les cuisses, juste sur son sexe honteusement exposé.

Quand enfin ils consentaient à arrêter ce traitement, nous étions toujours fac-à-face à genoux, dans le but évident de contempler mutuellement notre nudité et les sévices que portait notre corps.

Antoine disposait au sol entre nous deux une écuelle avec de l'eau. L'ordre nous était donné de boire ensemble, tout en restant agenouillés, les fesses en l'air. Malgré notre honte et l'envie d'épancher notre soif, nous devions laper l'eau comme le font les chiens.

Puis nous étions conduits dans la cave et écartelés au sol comme la veille. Florence, un sourire sadique au coin des lèvres, n'avait pas oublié, malgré mes protestations, de m'entraver les organes génitaux, séparément et très court « Demain matin, on reprend l'étirement, plus longtemps et plus haut! Tu vas aimer Ha ha! »

Aurore et Anne avaient introduit le terrible écarteur dans le vagin de Amanda et avant de le retirer, elles y avaient placé un anneau de dix centimètres de diamètre afin de maintenir la vulve grande ouverte et béante. Amanda gémissait et implorait en vain. Elle allait garder cet instrument de torture jusqu'au lendemain.

CHAPITRE 06

Cette seconde nuit fut très longue. Amanda gémissait doucement et me confiait que son sexe lui faisait terriblement mal. Je lui avais dis que je craignais pour mes testicules que Florence avait trop serrés. Amanda qui pouvait redresser légèrement sa tête confirmait « Oui, tu as les couilles toutes bleues, presque noires, ce n'est pas bon du tout ». Je lui répondais que son sexe était guère mieux. Si l'éclairage violent nous empêchait de dormir, il permettait aussi de constater mutuellement notre triste état.

Quand enfin la porte de la cave s'ouvrit, nous redoutions de nouveaux supplices. Aurore et Anne étaient entrées les premières, suivies de Marion. Mais un jeune homme et une jeune fille les suivaient. Les nouveaux venus ne devaient pas avoir plus de dix huit ans. Le garçon était grand et mince et je lui trouvais une ressemblance avec les jeunes comtesses. La jeune fille semblait ne pas être sortie de l'adolescence. Vêtue d'un short ultra moulant et court et d'un tee shirt laissant son nombril découvert, elle avait un physique agréable et provocateur qui ne pouvait laisser un homme indifférent.

Les deux jeunes gens avaient poussé des exclamations de joie en nous découvrant nus et écartelés au sol. Aurore fit les présentations « Je vous présente Jean notre cousin et Alice notre cousine. Tous deux sont jumeaux et il est très difficile de dire qui des deux est plus sadique que l'autre. Ils sont très désireux de participer à votre châtiment. Ne vous faites pas d'illusion, également adeptes des arts martiaux où ils excellent et malgré leur jeune âge, ils sont capables du pire! Vous allez apprécier leur talent! »

Alice s'était placée entre mes jambes écartées et raillait « Tu ressembles à un gamin sans poils au cul. Avec une telle bite et de si grosses couilles, tu es sacrément bien monté! et je vois que l'on ne t'a pas fait de cadeau. C'est génial cette façon de te clouer les couilles au sol et je reconnais bien là les bonnes idées de Florence. Soit tranquille, si mes cousines sont d'accord, je vais prendre la suite et suivre quelques-uns de ses bons conseils qu'elle m'a confié avant de s'absenter une dizaine de jours » En disant cela, elle m'avait décoché un grand coup de pied dans mes bijoux, déjà très mal en point.

Alice demandait à Aurore « Je peux le torturer, lui faire ce que je veux? » « Tous les deux, vous pouvez leur faire ce que vous voulez car nous avons prévu un très long châtiment de plusieurs semaines, voir de plusieurs mois, en fait cela va dépendre de leur résistance » A peine Aurore avait-elle fini sa réponse qu'un grand cri se fit entendre. Jean s'était accroupi près de Amanda et lui ayant saisi la pointe de ses seins, il les pinçait de toutes ses forces en tirant sauvagement vers le haut.

Amanda râlait de douleur car il maintenait sa prise , l'obligeant à cambrer son corps écartelé. Jean jubilait de plaisir sadique à la voir ainsi offerte nue, bras en croix, les jambes au grand écart, le vagin largement ouvert par l'anneau, le dos cambré « Petite traînée, je vais te démolir ton joli petit corps! » Puis il lâchait sa prise pour ensuite la gifler à toute volée. Amanda hurlait sous les coups. Quand enfin il stoppait sa brutalité bestiale, Amanda suppliait son bourreau de ne pas recommencer. Un filet de sang s'échappait d'une de ses narines et la pointe de ses seins étaient horriblement tuméfiés. Jean s'était relevé et la toisait avec mépris tout en appuyant son pied sur le vagin béant « Ce n'est qu'un début, tu peux te préparer pour la suite ».

Alice me détachait les chevilles et les poignets. Puis à l'aide d'une cordelette passée autour du cou en nœud coulant, elle me ramenait les mains dans le dos attachées avec la cordelette. De telle sorte que si je me débattais avec les bras, je tirais sur le nœud coulant et risquais de m'étrangler. Le nœud coulant était diabolique! Plus on tirait dessus et moins il revenait en arrière, tel l'effet crémaillère.

Comme l'avait fait Florence, elle engageait un double crochet dans mon nez et tirant dessus vers le haut, elle m'ordonnait de m'agenouiller, ce que je m'empressais de faire. La difficulté était plus importante que la veille car mes couilles étaient entravées très près des anneaux du sol. Lorsque je me trouvais à genoux, les prunes tendues à l'extrême, je suppliais la jeune fille de me libérer.

« Tu es fou espèce d'idiot, je ne fais que commencer! » « Non pitié, mes testicules me font très mal! Vous risquez de me les arracher! » « Et alors? Ce ne sera pas une grande perte si tu n'as plus de couilles » Pour ponctuer le supplice, elle se mit à tirer comme une folle sur le crochet de nez et je pressentais que mes attributs allaient lâcher. Elle répétait l'opération une vingtaine de fois. Puis elle m'ordonnait « Debout! » « Non pitié, c'est impossible! » « Mais si! » Et avec une cruauté sans borne, elle tirait sur le crochet de nez. Avec la plus grande difficulté je réussis à passer de la position à genoux à debout, jambes écartées. Je me demandais avec effroi si j'avais encore mes boules et je saignais du nez. Alice, pas du tout impressionnée par mon état tirait encore sur le crochet de nez.

Lorsqu'elle consentait à me libérer, mes bourses étaient énormes et noires. Elles étaient anormalement allongées et tombaient en bas de mes cuisses, tout près de mes genoux. Anne se mit en devoir de me les frapper afin de rétablir la circulation du sang. Je souffrais terriblement pour le plus grand plaisir de Alice qui maintenant me tirait la tête en arrière par les cheveux d'une main alors que de l'autre, elle me giflait de toutes ses forces. Les deux filles s'entendaient à merveille et frappaient pendant de longues minutes jusqu'à mon évanouissement.

Lorsque je me réveillais, avec la sensation de me noyer, je compris que l'on venait de me balancer un sceau d'eau froide à travers le corps. Amanda et moi étions debout, toujours entièrement nus, jambes très largement écartées entravées par les chevilles à 10 cm du sol. Nos bras écartés et relevés étaient attachés à une barre horizontale, bien au dessus de nous. Pour parfaire l'infamie de notre position soumise, notre tête était tirée en arrière par un crocher profondément enfoncé dans le nez. Amanda avait un petit filet de sang qui sortait de l'une de ses narines, attestant les blessures causées par le crochet.

Mes testicules étaient pris séparément dans un nœud coulant au bout duquel était fixé une pierre pesant au moins 1 kg. Ils étaient si allongés qu'il ne devait pas manquer beaucoup pour qu'ils arrivent à hauteur de mes genoux. Leur volume avait plus que doublé et ils étaient violacé presque noir. Alice me décalottait violemment le pénis et pinçait le gland de ses ongles acérés, me tirant un grand cri de douleur « Tu dois avoir la bite toujours bien décalottée pour me montrer ta soumission et ne t'avise pas de bander sinon je te castre! »

Amanda avait toujours l'anneau vaginal qui maintenait son corridor sexuel largement écarté. Ses grandes lèvres étaient couvertes d'ecchymoses et le pubis rouge écarlate, attestant des coups portés sans douceur. Ses seins portaient des traces de coups assez violents. Je pouvais la comparer à un insecte pris dans une toile d'araignée et je constatais qu'en 48 heures, elle avait maigri. Il faut dire que en plus des mauvais traitements, nous étions volontairement privés de nourriture afin de nous affaiblir.

Nous avions juste droit à un peu d'eau que nous devions laper comme les chiens, dans une écuelle posée au sol. Pour boire donc, nous devions nous agenouiller, les genoux bien écartés, les fesses grandes ouvertes afin d'exposer largement notre anus et notre sexe. Avant de laper l'eau, nos mains devaient être jointes dans le dos et notre tête touchant le sol. Lorsque nos tortionnaires estimaient notre position suffisamment humiliante, l'écuelle était glissée sous notre menton et nous avions la tête maintenue fermement par les cheveux. Nous devions faire exactement comme le chien, happer l'eau à coups de langue. Lorsqu'ils estimaient que nous avions assez bu, ils nous frappaient la tête au fond de l'écuelle jusqu'à ce que nous disions merci de façon intelligible.

Pour l'heure, Alice et Jean nous faisaient face, une cravache en main, Tandis que Aurore et Marion se tenaient de côté avec également une sorte de fouet à lanière courte. Marion, sans la moindre pitié, me saisissait mes couilles très douloureuses qu'elle écrasait et annonçait « Vous allez subir le fouet sans aucun ménagement! ». Alice ajoutait « J'adore faire souffrir les mâles et toi je vais te mettre en bouillie ». A peine avait-elle terminé sa phrase que le premier coup de cravache sifflait et mordait mes chairs à hauteur de ma poitrine.

En même temps, Amanda hurlait comme une démente sous le coup de cravache de Jean qu'elle venait de recevoir en travers de ses cuisses, juste en dessous de sa vulve. Je n'avais pas le temps de penser à Amanda qu'un coup de fouet par Marion me cinglait le pénis. La lanière s'était enroulée autour de mon sexe décalotté et la douleur fut terrible. Je hurlais d'arrêter mais c'était en vain. Un déferlement de coups de cravache et de fouet

qui devenaient de plus en plus rapides et violents nous fit perdre la raison. Nous poussions des cris inhumains de désespoir et de souffrance. Pendant une très courte pause, Alice, me saisit par les cheveux et son regard de feu planté dans mes yeux me demandait « Alors, le mâle, tu aimes? » Comme je hochais négativement de la tête « Ça tombe mal car ce n'est que le début de la séance! »

Marion, Aurore et Anne étaient subjuguées par le sadisme de Alice « Dis-donc, pour une jeune fille de tout juste 18 ans, ta cruauté promet des jours sombres aux hommes qui seront entre tes mains! » Jean n'était pas en reste et il eut droit aux mêmes compliments. Planté devant le corps meurtri de Amanda, il admirait l'œuvre de sa soumission tout en pénétrant le vagin béant avec le manche de sa cravache.

Marion, très excitée donnait le signal de la reprise « On continue! Il faut les mettre en pièce! Toi, je vais te saigner comme un vulgaire cochon » Aussitôt ils avaient repris la terrible correction du fouet. Une folie collective barbare s'était emparée du groupe et les coups de fouet tombaient sur tout notre corps, implacables et sanglants. Pour nous empêcher de hurler, ils s'étaient très brièvement interrompus pour nous introduire une boule de chiffon dans la bouche. La suite de la séance fut horrible.

Tout notre corps était en sang. Ils avaient particulièrement insisté sur nos fesses, nos cuisses et notre sexe. Amanda saignait aux 2 seins, au pubis et au pourtour de ses grandes lèvres étirées par l'anneau. Alice avait visé à plusieurs reprise mes testicules lamentablement étirés par les poids. Le supplice était ignoble car à chaque coup de cravache, mon corps sursautait sous la douleur, ce qui avait pour effet d'agiter violemment les deux grosses pierres pendues à mes bourses, les étirant dangereusement. Alice jouissait du spectacle et tout en fouettant mes couilles et mon sexe, elle plantait son regard de serpent dans le mien, un rictus sadique au coin de la bouche. Amanda avait perdu connaissance, le corps couvert de sang. Ce n'était plus un insecte pris dans la toile d'araignée.

Son corps faisait penser à un animal qui vient d'être dépecé dans un abattoir. Marion me demandait « Tu as encore envie de coucher avec elle? » Puis elle s'acharnait sur mon pénis et mes bourses. Avant de sombrer dans le néant, je distinguais dans un brouillard le rictus satanique de Alice qui me redressait la tête afin que je puisse me contempler. J'étais moi aussi couvert de sang. Des tâches rouges au sol attestaient que je saignais. Je vis plein d'étoiles et plus rien....

CHAPITRE 07

Des gens s'agitaient autour de moi, des femmes surtout qui palpaient mes chairs. Je devais être en enfer tant mon corps était en feu. Mais non, je commençais à distinguer confusément des silhouettes féminines autour de moi. Elles discutaient sans que je parvienne à comprendre le sens de leur conversation. L'une d'elle me saisissait les paupières de l'œil gauche et les écartait très largement. Son regard inquisiteur et froid m'examinait en détail. Bien que ma vue restait encore floue, je reconnaissais la silhouette de Alice « Il se réveille » annonçait-elle, tandis que je percevais des sollicitations insistantes et douloureuses à l'égard de mes organes sexuels.

Je reconnu Marion qui tapotait mon pénis « Allez, réveille-toi gros porc afin d'apprécier notre traitement » Puis elle avait planté ses ongles dans le gland. C'est à ce moment que je me croyais soudain au milieu d'un océan en train de me noyer. Mon réveil fut brutal, avec le retour à la réalité qui me fit frémir de peur. Je venais de recevoir en travers du corps 2 sceaux d'eau froide. Complètement réveillé et grelottant, j'étais entouré de Alice, Marion, Aurore et Anne qui s'amusaient de ma nudité. J'étais allongé sur la grande table de la laverie et furtivement je pouvais voir Amanda allongée elle aussi sur la table voisine.

Son corps était couvert de zébrures et blessures provoquées par la cravache et le fouet. Je réalisais que nous n'avions plus aucune attache aux poignets et chevilles et que nous étions libres de nos mouvements. Mais c'était une liberté très relative car notre état ne nous permettait pas d'esquisser le moindre mouvement de rébellion, voué à l'échec. Amanda eut droit elle aussi au réveil à l'eau froide et elle tentait de se redresser en suffoquant, puis retombait, trop faible. Jean lui administrait une paire de gifles dans le but de la réveiller complètement.

L'ordre nous fut donné de nous redresser et de nous mettre debout près des tables. C'est alors que nous prenions la juste mesure de notre état. Nous redresser et tenir debout était un calvaire, étant donné les nombreuses blessures de la séance de fouet et les tourments subis depuis 48 heures. Sans compter l'absence de nourriture. Je frémis en constatant que Amanda avait toujours l'ignoble anneau incrusté dans son vagin.

Aurore qui semblait avoir lu dans mes pensées me précisait « Que crois-tu? Que nous allons lui retirer l'anneau? Pauvre con! Biens sûr que non! Au contraire, nous allons bientôt lui en mettre un de 12 cm ha! Ha! Ce ne sera plus un vagin qu'elle aura, mais une entrée de garage! » Puis me fixant le bas-ventre « Quand à toi, nous allons t'allonger ta queue et tes couilles jusque dessous les genoux, d'ailleurs c'est déjà bien parti! » Elle avait raison car mes boules pendaient piteusement à quelques centimètre de mes genoux.

« Suivez-nous! » ordonnait Anne sèchement. Dès le premier pas, notre supplice fut immense. Toutes les blessures se réveillaient en particulier celles des cuisses, des fesses et du sexe. « Mettez vos mains sur la nuque bras écartés » Nous n'avions pas d'autre choix que de nous exécuter, lamentablement soumis. Amanda devait avancer en arc-boutant ses cuisses en demi cercle, se dandinant à la façon des canards, ceci à cause de l'anneau vaginal.

Le calvaire avait inspiré Alice qui m'avait intimé l'ordre péremptoire « Marche comme elle en écartant les cuisses » Comme elle était derrière moi, elle n'avait pas oublié de me donner un grand coup de pied entre les cuisses dès que je les écartais, atteignant de plein fouet mes testicules pendantes largement exposées. Je suffoquais sous le coup et me tordais de douleur en pliant le corps, ce qui faisait jouir de plaisir la jeune fille, trop heureuse de faire souffrir un mâle selon ses instincts sadiques.