Emprise sur la Ville - Acte 01

Informations sur Récit
Une mystérieuse Confrérie étend son ombre sur la ville.
4.1k mots
4.4
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7
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/16/2023
Créé 05/05/2023
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Informations

La série "Emprise sur la ville" est le fruit d'une collaboration entre VerDu et APVapv.

Il s'agit d'un projet à quatre mains. Vous y trouverez : sexe, belles femmes, hommes, soumission, bdsm, relation pas toujours clairement consenties, inceste, intrigues, rebondissements....

Nous nous sommes attachés à construire un récit complexe et dense pour vous offrir de multiples raisons de l'apprécier.

Merci de commenter vos lectures. C'est le salaire des auteurs.

Nous vous rappelons qu'il s'agit d'un récit de pure fiction dans un monde imaginaire.

Ce récit n'est pas une caution pour les actes délictueux.

Dans le monde réel, le consentement doit être exprimé clairement et sans contrainte et un "Non" est un "Non"!

Prologue

"A discrétion cultivée, liberté décuplée."

Depuis de nombreuses années, une mystérieuse Confrérie étend son ombre sur la ville.

Ses membres, perpétuant la tradition esclavagiste de cette cité portuaire, assouvissent leurs envies sur des habitants qu'ils soumettent à leurs désirs, leurs instincts de stupre, de luxure et de volupté.

La discrétion leur a permis de ne pas apparaître sur les radars des autorités mais aujourd'hui, elle désire plus que tout renforcer son emprise sur la population pour parvenir à ses fins, elle va utiliser toutes les technologies que le monde moderne met à sa disposition.

La Confrérie a chargé un couple sans histoire, de repérer des proies potentielles et éventuellement de recruter de nouveaux membres. Depuis plusieurs années, Jacques et Marie Mousatir observent, séduisent, appâtent et, au final, prennent dans leur filets des hommes, mais surtout des femmes, que rien ne prédestinaient à vivre sous la coupe maléfique de la Confrérie

Acte 1

Laura Mucadam

Laura Mucadam se réveilla seule dans son lit. Son amant d'un soir était parti au milieu de la nuit. Elle se remémorait ces instants avec frustration. Encore un qui a eu peur de son côté indépendant et décidé.

"Une bonne douche après cette nuit décevante me fera le plus grand bien. J'aimerais tellement sentir la fatigue d'une nuit d'amour. Mais, lui, il ne m'a pas fait décoller. Pourtant, j'aimais bien son côté assuré. Il semblait être sûr de lui. Mais au pieu, j'ai connu mieux! " Pensait-elle en sortant de son lit.

Elle, Laura Mucadam, était une entrepreneuse qui avait monté une start-up à la sortie de son école de commerce. A 31 ans, elle dirigeait une petite entreprise florissante. Avec Lars Lämnats, qu'elle avait rapidement recruté pour l'assister comme conseiller juridique et Maxime, le responsable production, ils commercialisaient des dispositifs électroniques autonomes afin d'enregistrer de très nombreuses constantes physiologiques comme le pouls, la tension, le taux d'humidité cutanée et interne. Elle avait même fait la une de la revue de la chambre de commerce pour le dynamisme de son entreprise.

Mais là, ce Marc, rencontré sur un site internet, malgré ses belles paroles et son physique de top-model, il avait été incapable de la faire grimper aux rideaux. Il n'avait pas été complètement mauvais, mais encore une fois, à part le missionnaire et la levrette, il n'avait pas fait montre de beaucoup d'imagination. Et sa remarque, après avoir joui, l'avait complètement discrédité. Quelle vanité d'oser dire : "Tu en as connu beaucoup des queues comme la mienne!" Il n'était pas mal monté, mais sa queue n'avait rien d'extraordinaire.

Devant le miroir de la salle de bain, elle ôta la nuisette qu'elle avait revêtue après le départ de son amant d'un soir. Elle se disait qu'elle devrait peut-être faire attention à elle. Les bourrelets apparaissaient et le tour de ses cuisses avait pris une taille. Ses joues également s'arrondissaient. Prendre une taille de pantalon quand on n'est pas très grande, le moindre kilo, accentuait le côté bouboule. Mais elle appréciait le grain de sa peau halée. Sa mère, d'origine vietnamienne, lui avait légué cette peau magnifique. En entrant dans l'espace de sa douche italienne au sol en marbre, plus elle réfléchissait, plus elle pensait qu'elle ne trouverait jamais le grand frisson en amour. Bien évidemment, elle rencontrait des hommes charmants, gentils et respectueux. Mais, elle finissait toujours par trouver quelque chose qui clochait. La curiosité, si elle est empêchée, entraîne la frustration, si elle est assumée, elle peut ouvrir de nouveaux horizons. Mais rien dans le champ de son existence n'ouvrait de nouvelles perspectives.

L'eau chaude ruisselait sur son corps nu et ses doigts s'aventurèrent dans les replis de son intimité. Rapidement, son bouton s'érigea et elle joua avec lui pendant un long moment perdue dans des images floues et folles. Des images dans lesquelles, elle se voyait complètement abandonnée à un être aimé, sans retenue, une personne qui la guiderait sur les chemins du plaisir, Stairway to Heaven, comme chantaient Led Zeppelin.

Elle enfila une robe d'été par-dessus un string et un soutien gorge de dentelle noire avant d'aller prendre son café sur l'immense terrasse du duplex qu'elle venait d'acheter, au sommet de ce petit immeuble de standing dans ce quartier calme de la ville.

Quelques minutes plus tard, Laura garait sa Tesla sur le parking de sa société, un petit bâtiment de verre et d'acier, construit selon les dernières normes environnementales. Comme d'habitude, elle était la première, mise à part la vieille Polo de Leila, la femme de ménage. Comme tous les matins, elle proposerait à la femme d'origine algérienne, un café qu'elle refusera. Dans sa blouse de ménage bleuâtre et sous son hijab noir, Leila frottait le sol avec abnégation.

Comme tous les matins, Laura Mucadam consulta ses mails. Elle était saturée par les messages de ses associés nord-américains qu'elle les appellerait ce soir quand ils seraient arrivés à leurs bureaux.

- Bonjour Laura, tu as passé une bonne soirée? lança son collaborateur en entrant dans son vaste bureau.

- Oui, Lars, ça a été! Et toi? répondit-elle en levant son regard vers le blond scandinave.

- Oh moi la routine, Svelte, la petite, ne fait pas encore ses nuits, j'ai pu avancer sur le dossier avec les polonais...

- Tu nous en parleras pendant la réunion, Lars.

- Oui, bien sûr!

- Bonjour Maeva! dit Laura en voyant sa secrétaire traverser le hall, les joues un peu rouges.

Laura commençait à envier cette petite rousse. Il faut dire qu'elle portait des jupes et des talons qui faisaient se retourner tous les hommes de la boîte. Mais, Laura se demandait si sa secrétaire avait une vie affective. Depuis qu'elles travaillaient ensemble, jamais Maeva ne lui avait parlé d'un ami ou d'un compagnon.

- Lars! Maxime! Où en êtes-vous sur le projet de développement en Asie? demanda Laura alors qu'ils venaient de s'enfermer dans son bureau pour leur réunion quotidienne.

La version en madarin et en japonais avance mais nous avons un souci avec le coréen, il nous faut trouver un traducteur, répondit Maxime, un beau brun façon italien.

- Les brevets ont été déposés donc nous devrions être tranquille, même si je ne doute pas que les chinois vont rapidement faire une copie bas de gamme de nos appareils, ajouta Lars en feuilletant dans ses dossiers.

- Et pour ce qui est de nos projets en développement?

- Justine et son équipe travaillent d'arrache-pied pour rectifier les bugs du nouvel algorithme d'intelligence artificielle et Carlos vient de finir de valider les nouvelles interfaces neuronales. Nous attendons l'autorisation des autorités sanitaires pour lancer les tests sur des volontaires.

- Bien! Je vous félicite tous pour votre travail. Je passerai voir Justine et Carlos dans la journée.

Seule, Laura repensait au travail accompli ces dernières années. Elle avait sacrifié sa vie affective pour cette entreprise, son bébé en somme.

Comme tous les jours, elle commanda un repas que Maeva lui apporta avec le courrier du jour. Malgré les nouvelles technologies, des personnes persistaient à utiliser du papier pour leur correspondance. Elle ouvrit une enveloppe avec le logo de la commune : une invitation à une réception organisée par le comité des fêtes pour honorer les habitants méritants. Elle se demandait si elle allait y aller, méritait-elle cette récompense? Elle n'avait pas réalisé cela toute seule. La jeune femme avait toute une équipe autour d'elle. Laura avait un peu de temps pour donner sa réponse.

Jacques Mousatir

Jacques serrait la main de Monsieur le maire avec vigueur. Le maire remarqua la grosse chevalière sertie de deux anneaux entrelacées l'un en or, l'autre en argent. Chaque année, était organisée une célébration des habitants méritants sur la commune. Le jeune maire insufflait du dynamisme à la ville et de nombreuses entreprises et start-up s'y installaient. L'apport d'une population de cadres avait stimulé la ville.

- Jacques comment vas-tu? lança le maire de son beau sourire de politicien arriviste.

- Très bien Jean-Charles. Tu vas honorer qui aujourd'hui?

- Le monsieur, là-bas, qui a relancé l'Amicale Laïque du lycée et la jeune femme près de la fenêtre.

- Ah oui, je connais cet homme, répondit Jacques. Il travaille avec Camille, ta femme au Lycée. Mais la jeune femme que vous allez honorer, c'est la patronne de la start-up?

- Oui c'est ça. C'est une cheffe d'entreprise, une start'up qui a mis au point un bracelet qui te donne ton état de santé en continue et également tes états émotionnels. Je n'ai pas bien compris comment cela fonctionnait mais son entreprise utilise l'intelligence artificielle.

Ils échangèrent un sourire et se promirent de se revoir le dimanche suivant, à la messe. Les deux hommes se mêlèrent aux autres invités. Jacques aperçu sa femme Marie échangeant avec Camille, la femme du maire. De nombreuses personnes étaient présentes. Il avança vers la petite métisse.

Marie Mousatir

Elle était venue avec son mari à l'invitation du maire. Cette réunion était bien animée et le buffet bien garni. Dans sa robe noire fluide, les formes de cette femme de 55 ans attiraient le regard des hommes. Toute fine avec des hanches larges, la plantureuse poitrine s'exhibait à cause du décolleté.

- Ah, ma chère Camille! Tu es venue, dit-elle d'un ton sec à la jeune femme qui buvait un verre seule.

- Oui Madame Marie.

- Ton mari est bien habillé. C'est normal pour un maire. Mais toi S-123? Tu as respecté mes ordres?

- Oui Madame, déglutit la blonde aux longs cheveux. Je ne porte pas de culotte.

- Bien S-123. Et je vois que ta robe tombe à quelques centimètres en-dessous de ta chatte.

La femme du maire regardait l'imposante Marie Mousatir qui pourtant était plus petite qu'elle. Elle était moite et tremblait un peu en triturant sa croix chrétienne accrochée autour de son cou.

- Par contre, petite salope, tes talons ne sont pas assez hauts.

Marie parlait sèchement, le regard droit dans les yeux. Le plaisir de soumettre une autre personne lui était venu lorsqu'elle travaillait encore en tant qu'infirmière en chef à l'hôpital. Rien ne la satisfaisait plus que le regard hagard et plein de stupeur de ses victimes.

- Je... euh... oui Madame Marie. Je suis désolée.

- Pour ta peine, tu iras donner ton cours de philo demain avec ton plug anal et l'oeuf que je t'ai donné la semaine dernière.

- Pas en cours Madame Marie!

- Si...

Péremptoire, Marie laissa sa proie et rejoint son mari qui parlait avec la jeune femme qu'on honorait en ce jour. La semaine précédente, elle avait donné à Camille de Charette, la femme du Maire, un oeuf vibrant qui fonctionnait avec un smartphone. L'application installée sur son portable et celui de Camille permettait de le commander à distance.

Camille De Charette - S-123

Quand son mari partit pour la célébration, Camille se changea.

"Il faut que j'obéisse à Madame Marie. Je lui ai obtenu des invitations. Elle sera là!" La femme du maire, ôta sa culotte noire et enfila une robe très courte qui lui couvrait tout juste les fesses. Comme elle était en retard, elle prit des chaussures à talon et fila vers la salle communale.

Déjà beaucoup de monde discutaient et buvaient. On se retourna sur elle et sa robe. Elle vit son mari discuter avec l'époux de Madame Marie, ce vieux monsieur qui souriait toujours. Savait-il que sa femme la faisait chanter? C'est à ce moment là qu'elle entendit :

- Ah, ma chère Camille! Tu es venue.

- Oui Madame Marie, répondit peureusement la femme du maire en regardant autour d'elle si personne ne l'entendait.

- Ton mari est bien habillé. C'est normal pour un maire. Mais toi S-123? Tu as respecté mes ordres?

En entendant ces mots, la peau de ses lèvres de son sexe lui chatouilla.

- Oui Madame. Je ne porte pas de culotte, s'enquit-elle de répondre.

- Bien S-123. Et je vois que ta robe tombe à quelques centimètres en-dessous de ta chatte.

Camille se sentait fiévreuse. Malgré elle, son sexe s'ouvrait et elle redoutait que son jus lui coule le long des jambes. Machinalement, elle triturait son crucifix.

Par contre, petite salope, tes talons ne sont pas assez hauts.

- Je... euh... oui Madame Marie. Je suis désolée, bégayait la blonde qui n'avait pas pris assez le temps de vérifier ce détail.

- Pour ta peine, tu iras donner ton cours de philo demain avec ton plug anal et l'oeuf que je t'ai donné la semaine dernière.

- Pas en cours Madame Marie!

- Si...

L'idée d'être devant ses élèves de terminale, sous le pouvoir de sa maîtresse, remplit la trentenaire d'effroi et d'excitation. Elle détestait ce que cette cruauté éveillait dans les tréfonds de son corps, mais, vierge de telles expériences, elle ne pouvait envisager de plaisir en son absence. Le dilemme dans lequel la femme du maire plongeait jour après jour était cruel.

Laura Mucadam

Laura trouvait le vieil homme très sympathique, son apparence contrastait énormément avec son dynamisme et son charisme. C'était paradoxal! Une tignasse de cheveux blanc, petit de taille mais carré, il faisait petit vieux. Elle estima qu'il avait dépassé la soixantaine.

- Monsieur Mousatir, je ne connais pas beaucoup de monde vous savez. Je ne sors quasiment pas de chez moi ou de mon entreprise.

- Appelez-moi Jacques, ma petite Laura, souria-t-il affectueusement. Vous avez déjà croisé le maire et sa femme?

- Oui.

- Regardez! Voici ma femme qui arrive.

Laura regarda une belle femme toute fine les rejoindre. La jeune entrepreneuse admira l'audace de l'épouse de Jacques pour porter une robe si moulante qu'elle suggèrait des formes encore presque parfaites pour une femme de cet âge. Elle qui peinait de plus en plus à trouver des robes attrayantes. Elle était trop enrobée pour se laisser à oser ce type de vêtement.

- Jacques, mon chéri. Mais avec quelle charmante personne parles-tu?

- Mon amour, cette belle femme s'appelle Laura Mucadam. Laura, voici ma femme Marie.

Laura rosit un peu et ne pouvait s'empêcher de plonger son regard dans le profond décolleté de Marie.

- Vous allez être honorée aujourd'hui ma douce, susurra l'ex-infirmière en posant sa main sur l'épaule de la jeune femme.

- Euh... oui, c'est ça, bégaya l'entrepreneuse intimidée par la chaleur du vieux couple.

- Vous devez le mériter, continuait Marie en se collant à elle.

Jacques regardait sa femme séduire leur proie. Elle savait y faire.

- Mais je crois que vous êtes appelée!

En effet, Monsieur le maire appelait les récipiendaires des trophées de la ville auprès de lui. Laura fut intimidée puis rassurée par la chatoyante Marie de devoir monter sur scène devant tout ce public et ses collaborateurs. Juste avant de gravir les escaliers pour rejoindre le maire, Laura sentit la main de la vieille femme longer sa colonne vertébrale pour finir sur ses fesses.

- Ma petite Laura, vous auriez dû porter une jupe. Cela devrait tellement vous aller.

- Vous avez sûrement raison madame, mais nous arrivons directement du travail, je n'ai pas pris le temps d'aller me changer... mentit-elle pour ne pas avouer qu'elle avait honte de son corps.

En disant ses mots, Laura indiquait d'un geste vague le coin de la pièce où presque tous ses employés s'étaient rassemblés. Bien qu'habituellement en retrait, Leila était venue applaudir sa patronne, peut-être à cause de son hijab, qu'elle arborait avec fierté.

Jean-Charles et Camille De Charette

Le soir en rentrant de la journée pendant laquelle il avait honoré deux personnes de la commune, Jean-Charles De Charette se déshabilla pour prendre une bonne douche roborative et fit sa prière.

Sa femme se coucha et, lorsque son époux entra dans le lit, elle le sentit tout contre elle. Le grand brun chercha à embrasser son épouse mais elle grogna prétextant le sommeil qui la gagnait. Depuis plusieurs mois, Camille se refusait à son mari. Madame Marie, lui avait intimé l'ordre de ne plus assouvir les désirs du maire, de son époux devant Dieu. Elle ne devait plus avoir de relations sexuelles avec quiconque.

Jean-Charles vivait très mal ce sevrage et son implacable fidélité lui refusait toutes les avances que les concitoyennes concupiscentes lui témoignaient. Il se résolut à une masturbation matinale sous la douche en rêvant du corps si élancé de son épouse et ses seins lourds et sensibles pour qui il avait toujours du désir. Pourtant, depuis que sa femme s'était épilée intégralement, voir ce sexe glabre lui tournait les sangs. Quelle audace et il ne pouvait pas en jouir! Il aurait tant aimé y déposer un baiser. "Peut-être devrais-je demander à Marie et Jacques ce qu'ils en pensent? Camille semble leur accorder tant de confiance!" se dit-il.

Camille sentait également son corps bouillir. Elle aimait toujours son mari et avait toujours envie de lui. Son obéissance aux ordres de Madame Marie était indéfectible. Il y a un mois la jeune bourgeoise reçut un message de sa maîtresse lui ordonnant de se rendre à une adresse et d'obéir sans protester à tout ce qui lui serait demandé sinon la punition serait terrible et la menace qui pesait sur elle tomberait. Ce n'était pas très loin du lycée où elle professait. Un tatoueur : chez Moussa.

Comme d'habitude, tout était organisé et elle se retrouva allongée nue sur une table de massage. La peur la tenaillait car elle redoutait l'arrivée d'un de ces élèves dans la boutique. L'opération ne dura pas très longtemps. Juste un S et 123 séparé d'un tiret : S-123. En petit sur la droite de ses grandes lèvres. Simple, discret! Quelle signification pouvait avoir ce nombre?

Le grand black qui l'avait piqué ne lui répondit pas.

- Maintenant que c'est terminé, il va falloir me payer.

La grande blonde, toujours allongée nue sur la table, regarda le grand noir au-dessus d'elle avec un air hagard.

- Marie m'a dit de me payer moi-même, lança Moussa en débouclant sa ceinture en cuir.

Le cœur de la professeure de philosophie bondit dans sa poitrine. Elle était piégée. Crier n'était pas possible du fait de la possible présence de lycéens. S'enfuir n'était guère plus concevable devant la masse de muscles qui se déshabillait devant elle. Quand Moussa baissa son boxer, un énorme membre à demi érigé jaillit. Une verge épaisse et longue, un sexe gonflé et menaçant, un phallus prêt à l'assaut des vagins les plus rétifs.

- Mon Dieu, Jésus, Marie! cria la bourgeoise devant la tige qui continuait de gonfler.

- Écarte salope! commanda Moussa en tenant son sexe de la main droite.

La femme regardait le monstre reptilien et remarqua la grosse chevalière que le black portrait à sa main avec un curieux signe dessus. Il posa son gland sur les petites lèvres et poussa. Camille planta ses ongles dans la table sous la puissance de l'envahisseur qui fendait ses chairs. Le mandrin trouvait peu à peu sa place et de millimètres en millimètres s'enfonçait dans un sexe de plus en plus humide. La femme du maire se détendit, comprenant que l'issue était irrémédiable. A douleur acceptée, jouissance décuplée. Moussa n'avait pas encore bouger d'avant en arrière, qu'un puissant orgasme saisit la bourgeoise qui pleurait en tenant sa petite croix.

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