Châtiment Extrême

BÊTA PUBLIQUE

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Alice s'était approché et jouait avec les chaînes en rapprochant dangereusement les extrémités près du rebord de la table « Tu ne voudrais pas que les chaînes glissent, hein? Sinon tes couilles déjà très mal en point vont souffrir! Mais comme nous voulons que ton paquet s'allonge, c'est une bonne méthode Ha Ha! » Quelques secondes plus tard, les chaînes glissaient et retenues par les mousquetons, tiraient affreusement sur mes boules. Je hurlais et avait l'impression que mes organes étaient arrachés de mon corps « Tu peux hurler tant que tu veux, tu vas voir comme c'est efficace, dans quelques jours, tes burnes auront gagné plus de dix centimètres! ». Alice mesurait la distance entre la base de mon pénis et l'extrémité de mes prunes « Pas mal, trente trois centimètres!

Demain, ce sera sûrement un ou deux centimètres de plus! » Pour parfaire mon supplice humiliant, Alice, sur les conseils des jeunes comtesses, montait sur la table et accrochait une petite poulie à une barre métallique située à un mètre cinquante devant moi. Puis elle passait une fine ficelle dans la poulie. L'une des extrémité fut attachée à la couronne du gland qu'elle avait décalotté bien en arrière tout en ricanant de mon embarras. A l'autre extrémité de la ficelle était fixée un panier qui arrivait à la hauteur de mes jambes. Le panier n'était pas très lourd et je ne souffrais pas, mais lorsque Alice déposait un disque d'haltères d'au moins deux kilos dans le panier, je sentais instantanément mon pénis s'allonger un peu et le gland devenir douloureux.

Les femmes s'étaient placées à deux mètres face à moi et contemplaient avec plaisir ma situation délicate et ma soumission douloureuse. La comtesse me fixait avec arrogance « Nous allons te laisser quelques heures méditer ta position et lorsque nous reviendrons, tu nous supplieras honteusement d'arrêter. Mais ne te fais surtout pas d'illusions, ce traitement va durer très longtemps, ha ha! ».

Nos tortionnaires nous abandonnaient ainsi. Amanda s'en tirait relativement à bon compte puisque aucun autre supplice ne lui était infligé, en dehors de son écartèlement. Pour moi, je supportais très mal le poids des chaînes qui tiraient sur mes couilles. J'avais le sentiment que je subissais une lente, très lente castration et que mon pénis allait s'arracher du corps.

Plusieurs jours passaient, nous n'avions plus de repères dans le temps et notre déchéance morale et physique devenait critique.

CHAPITRE 09

Amanda était sur le point de devenir folle. Pour ma part je connaissais quelques problèmes d'hallucinations liés à la fatigue, la souffrance et la privation de nourriture. Chaque jour, ils nous rendaient visite pendant un temps difficile à évoluer, puisque nos montres nous avaient été retirées et que dans la salle de gymnastique, la lumière du jour n'entrait pas. A l'évidence, cette salle était polyvalente et servait aussi de salle de tortures. Les nombreux aménagements sophistiqués en témoignaient. Étaient-ils destinés seulement pour Amanda et moi? J'en doutais et il était fort probable que d'autres avant nous avaient été torturés.

Chaque jour ils nous libéraient et nous devions prendre la pose honteuse pour boire. Pendant que nous lapions l'eau à la manière des chiens, ils nous enfonçaient la sonde de température dans les entrailles et ils nous informaient que notre température était inférieure à trente six degrés et demi, puis à trente six. Preuve de notre faiblesse. Aucun aliment ne nous avait encore été donné et nous avions des tiraillements d'estomac difficilement supportables. Amanda avait considérablement maigri et lorsqu'elle était maintenue debout, ne pouvant plus se tenir elle-même, ses côtes apparaissaient tel un squelette.

Ses longs cheveux blonds étaient emmêlés en tous sens et masquaient en partie son visage creusé par la souffrance. Jean, après l'avoir fait boire et la prise de température, la giflait et avait pris l'habitude de lui administrer une grosse fessée. Ce qui la faisait hurler de douleur car ses fesses étaient décharnées et encore marquées par la terrible séance de fouet. La comtesse faisait de même avec moi et m'administrait une grosse fessée de ses mains gantés de cuir. Elle ne dédaignait pas de me saisir les boules et les tiraient à coups sec, comme pour me les arracher. « N'oublie pas sale con que tu es notre chose et que tu n'as plus aucune personnalité.

D'ailleurs, nous avons fait le nécessaire ; aux yeux de la population locale, tu n'existes plus. Tu t'es exilé sur un autre continent. C'était d'autant plus facile que tu es brouillé avec ta famille. En résumé, tu es notre propriété et tu vas expier d'avoir trompé Marion. Si elle est d'accord, nous t'exécuterons après de longs mois de souffrance ». Marion qui avait entendu la comtesse répondait « S'il crève, tant pis pour lui et ce jours-là, il sera moins qu'une loque! »

Bien que chaque jour ils nous massaient avec une pommade adoucissante, nos nombreuses marques et blessures guérissaient très lentement. Lorsque enfin ils nous jetaient à nouveau sur la table, nous espérions naïvement que notre calvaire allait cesser. Pour ma part, le dispositif d'allongement des bourses et du pénis reprenait et chaque jour la comtesse mesurait les progrès « Cela fait neuf jours que nous vous avons surpris à copuler!

Tes grosses couilles arrivent à trente quatre centimètres, ainsi que ton pénis. Bien entendu, ce n'est pas suffisant et nous continuons! » Ensuite Alice me massait vigoureusement le gland et les couilles afin de rétablir la circulation du sang. La séance durait à peine dix minutes mais c'était un calvaire car elle était dépourvue de douceur. Pendant cette ignoble masturbation, il m'était interdit de bander et encore moins d'éjaculer. La comtesse avait prévenu « Si par malheur pour toi, tu bandes et décharges sans notre accord, tu sera castré sur le champ! »

Ce neuvième jour, Aurore m'avait soigneusement ausculté mes bourses « Il ne faut pas que l'allongement provoque une rupture du canal car si nous voulons te masturber, ce serait dommage de ne pas te tirer le sperme! ». Ses palpations avaient éveillé en moi un début d'excitation que j'avais eu bien du mal à contenir. Aurore, qui l'avait ressenti, me fixait dans les yeux « Attention, nous t'avons prévenu! Si tu veux garder tes bijoux... ».

La comtesse avait ajouté à notre adresse « J'ai deux bonnes nouvelles pour vous. Nous allons vous donner un peu de nourriture. Ce sont des croquettes pour chien de mauvaise qualité et c'est largement suffisant pour vous. Demain Florence est de retour parmi nous. Je ne vous cache pas qu'elle est très impatiente de te revoir et de te faire profiter de ses talents. Dis-donc! On dirait que tu n'apprécies pas? Pourtant Florence est une femme très douce! Non? Je parie que tu es impatient d'être à demain, Ha Ha! ». J'étais terrifié et redoutais le pire à venir.

Anne qui s'était éclipsée quelques minutes revenait avec le sac de croquettes promises. Elle en déversait la valeur d'une cuillère à soupe dans les gamelles qui nous servaient à boire et y ajoutait de l'eau. Les croquettes se transformaient en une purée écœurante. Nous avons dû nous accroupir à genoux comme pour boire, le cul en l'air.

Nous n'avions pas le droit de toucher la gamelle en gardant nos bras de chaque côté de la tête. Nous devions ingurgiter l'horrible pâtée comme les chiens. Malgré l'aspect dégoûtant de la mixture, nous l'avalions comme des chiens affamés. Le goût était dégoûtant et je soupçonnais que l'eau était additionnée de produits indéterminés.

Les femmes et Jean riaient à gorge déployée et nous avions eu tout juste le temps de finir la maigre gamelle. Amanda avait le pourtour de sa bouche maculée de la pâtée et était prise d'un hoquet qui contrariait Jean. Il la relevait brutalement en la tirant par les cheveux l'obligeant à se tenir debout nue et offerte au sadisme du jeune homme. Il la giflait violemment à plusieurs reprises, ce qui fit vomir Amanda « Espèce d'idiote, tu vas me faire le plaisir de manger ça, sinon, c'est comme si tu n'avais pas mangé! »

Puis, la maintenant par les cheveux, il lui fit un croche pied afin qu 'elle perde l'équilibre. Amanda se retrouvait dans une position grotesque, ni allongée, ni debout, suspendue par les cheveux. Jean la secouait en tous sens, emporté par l'excitation de ce corps de femme nue entièrement à sa merci. La pauvre jeune femme, terrorisée et profondément humiliée s'exécutait en grimaçant après qu'il la laissait choir à ses pieds, soumise. Avant de nous quitter pour plusieurs heures, nous avions droit à laper encore un peu d'eau. Nous avions repris la position allongée ainsi que le piège infernal d'étirement de mes organes sexuels.

Peu de temps après, Anne et Aurore revenaient, accompagnées de Jean. Le trio entourait Amanda et je compris en un instant ce qui l'attendait. Aurore avait sorti de la mallette qu'elles avaient apportée le sinistre écarteur et un anneau identique mais plus grand que celui qu'elles avaient incrusté entre les grandes lèvres vaginales. Anne demandait à Jean « Si tu veux faire l'opération, cette put appréciera ton manque d'expérience! ». En d'autres termes, il allait retirer l'anneau du vagin et placer celui de douze centimètres.

Amanda s'agitait et se mit à sangloter, terrorisée par cette perspective ignoble. L'anneau qu'elle avait dans son vagin devait être initialement retiré au bout de vingt quatre heures mais nos tortionnaires se moquaient bien de leur promesses et nous manipulaient aussi bien physiquement que mentalement. Jean engouffrait sa main perverse dans la cavité vaginale et comme il hésitait sur la façon de s'y prendre, Aurore lui conseillait « Ne t'inquiète pas, ses grandes lèvres se sont partiellement refermées sur l'anneau mais cela n'a aucune espèce d'importance. Tu positionnes ta main dans le vagin, sous l'anneau et tu le soulèves doucement vers l'extérieur.

Si ça résiste, tant mieux, ça lui fera davantage de mal et peut-être quelques dégâts, mais on s'en moque. Elle est là pour être châtiée, pas pour lui faire des caresses. Vas-y doucement pour faire durer le plaisir et accentuer la douleur. Jean, qui en bavait de jouissance, commençais à tirer sur le rebord de l'anneau. Celui-ci résistait, prisonnier sur toute sa périphérie des grandes lèvres vaginales. Jean qui était doué d'une intelligence perverse avait vite compris que pour faire souffrir la jeune fille, il ne fallait pas tirer sur un côté précis de l'anneau qui serait sorti plus facilement Au lieu de cela, il avait introduit ses deux index qu'il avait diamétralement disposés

sous l'anneau et tirait doucement. Le cercle d'acier résistait et c'est tout le vagin qui était sollicité et qui remontait avec l'anneau. Amanda s'agitait frénétiquement en tous sens en hurlant sa rage et sa douleur. Anne la giflait « Tu peux gueuler tant que tu veux petite pute » Et pour accentuer encore la torture, elle avait saisit la pointe de ses seins qu'elle pinçait sans aucun ménagement. Après des essais infructueux, Jean avait finalement retiré l'anneau. Ce qui avait provoqué une déchirure de l'une des grandes lèvres.

Aurore inspectait le pourtour et l'intérieur du vagin avec minutie et s'attardait sur la déchirure « L'anneau que l'on va te mettre maintenant va te faire souffrir encore plus, puisqu'il mesure douze centimètres. Vas-y Jean, à toi l'honneur! » Celui-ci s'était emparé de l'écarteur et le présentait sur la cavité vaginale qui ne se refermait que très partiellement, déformé et étiré par l'anneau trop longtemps gardé en place. Aidé des conseils de Aurore, Il actionnait les branches à l'aide du levier et les écartaient « Continue Jean, il fait écarter son vagin au delà du diamètre de l'anneau si tu veux qu'il se mette en place! ».

Il serrait le levier et l'ouverture devenait géante, atteignant près de quinze centimètres de diamètre. La déchirure de la lèvre vaginale s'agrandit et le sang commençait à couler à l'intérieur. Amanda était prise de soubresauts incontrôlés mais solidement maintenue, elle n'avait aucune possibilité de se soustraire à la torture. Lorsque enfin il parvenait à mettre l'anneau en place, la cavité de son sexe était horriblement ouverte.

Aurore avait épongeait le sang qui s'échappait de la plaie et l'aspergeait d'un liquide cicatrisant, puis s'adressant à la suppliciée « Ne t'inquiète pas, la plaie va guérir et ça vaut mieux pour toi car dans une semaine ce sera un anneau de quatorze centimètres. Avant de nous abandonner pour plusieurs heures, les jeunes comtesses m'humiliaient en caressant mes testicules distendus par les lourdes chaînes et me giflant à toute volée « Dans quelques heures, Florence va s'occuper de toi et ça promet d'être chaud! Ha Ha! »

Après des heures interminables dont nous n'avions plus la moindre notion, tout ce beau monde rentrait dans la grande salle et se dirigeait droit sur nous. Le comte et la comtesse étaient suivis de leurs deux filles. Les deux gorilles Paul et Antoine étaient de retour. Jean Alice et Marion suivaient. La comtesse se positionnait derrière moi et j'appréhendais l'instant où elle allait me prodiguer un sévisse de son cru. Mon interrogation ne fut pas longue. Me tirant violemment la tête en arrière par les cheveux d'une main, elle brandissait un double crochet qu'elle enfonçait dans mes narines.

La douleur me fit tirer les larmes, tandis que Carole me triturait sauvagement le gland violacé par l'étranglement de la ficelle sous tension. La comtesse qui tirait comme une folle sur le crochet, m'obligeait à tendre mon corps nu de quelques centimètres, ce qui accentuait encore la tension exercée sur les chaînes, étirant davantage encore mes bourses. Satisfaite de ma totale soumission, elle ajoutait « En attendant Florence qui ne devrait pas tarder, nous allons vous échauffer un peu. Toi, autant te prévenir qu'elle est d'humeur massacrante, si j'ose dire. Quand à toi la petite pute, il y a une bonne nouvelle! Qu'elle t'annoncera elle-même! ».

Nous étions libérés de la table et conduits à un autre endroit de la salle. Ils devaient pratiquement nous porter, tant nous étions faibles. Le moindre mouvement de Amanda était pour elle un véritable calvaire. L'anneau qui venait d'être mis en place dans l'entrée de son vagin et maintenu par les grandes lèvres l'obligeait, lorsqu'elle était debout à écarter les cuisses. Une telle situation était pour elle une insulte à l'intégrité de son corps ainsi exposé nu, le sexe déformé et torturé. En un instant, je comprenais ce qu'ils nous réservaient. Nous étions placés debout, entouré de barres métalliques horizontales et verticales.

Le tout ressemblait à un grand cadre en forme de portique dont il était aisé de transformer la structure, au gré des besoins. Ces barres étaient amovibles et pouvaient être déplacées aussi bien horizontalement que verticalement. En quelques minutes, malgré nos illusoires protestations, nous étions écartelés, les bras et les jambes en V. Les femmes avaient pris soins de ne pas me retirer les chaînes qui pesaient sur mes organes génitaux. Mon pénis avait été libéré du seau lesté de poids, mais la ficelle était resté autour du gland. Alice l'avait tendue vers une barre au dessus de ma tête puis m'avait dit, un sourire satanique aux lèvres « Les chaînes traînent au sol, donc ça diminue le poids sur tes couilles. Il faut y remédier! » Sans plus attendre, elle remontait chaque extrémité des deux chaînes et les accrochait au mousqueton, juste sous mes couilles.

C'était ignoble et insupportable, le poids des chaînes avait presque doublé puisqu'elles ne touchaient plus le sol. Comme je me tordais de douleur, elle ironisait « Tu as un problème? Tu trouves que tu n'as pas assez de poids à tes couilles? Patiente un peu, ça va venir! » Elle s'était reculée pour mieux apprécier l'ignoble spectacle que j'offrais bien malgré moi. Mécontente, elle ajoutait « Tes membres ne sont pas assez tendus, tes jambes surtout devraient être au grand écart! Et puis tes couilles devraient être bien écartées l'une de l'autre car ça fait meilleure allure. Nous allons y remédier! » Aidée des jeunes comtesses et de Marion, mes membres étaient affreusement étirés.

Mes jambes écartées au maximum possible du grand écart, formant une ligne droite horizontale. J'avais affreusement mal au niveau de l'entre-jambe et des épaules. Grâce à un système de poulies, il leur était facile de nous étirer les membres au delà du supportable. Afin de bien séparer mes couilles, les jeunes comtesses avaient disposé des poulies de chaque côté du portique. Puis elles y avaient passé les ficelles reliant mes testicules aux grosses chaînes. Elles avaient ensuite pris un peu de recul afin d'admirer leur travail satanique.

La Comtesse qui assistait avec intérêt à notre nouveau calvaire précisait « Maintenant qu'il a les couilles bien écartées, il faudrait leur ajouter encore du leste, comme par exemple d'autres chaînes. De trente quatre centimètres, il en est seulement à trente six centimètres. Et puis il va falloir faire le nécessaire pour qu'elles soient plus grosses! Quand à sa bite, elle atteint trente sept centimètres, c'est un peu mieux! Mais loin d'être suffisant! » Alice, qui avait concerté les jeunes comtesses reprenait « Pour qu'il ressemble à un vulgaire insecte épinglé, nous allons ajouter deux petites choses, ce qui le fera souffrir un peu plus! »

Elle avait demandé le crochet de nez de la comtesse et l'introduisait dans mes narines. Le crochet se terminant par un anneau, elle y passait une cordelette qu'elle reliait à une barre horizontale disposée au dessus de ma tête. Un dispositif simple mais diabolique consistait en un tendeur permettait de tendre à volonté la cordelette. Alice exerçait une telle tension que j'avais la tête relevée et légèrement en arrière. Mes narines me faisaient très mal.

J'avais aussi mal au cou et une peur panique s'emparait de moi. Mais ce n'était pas fini. « Ouvre la bouche et sort ta langue! » M'ordonnait-elle avec autorité en me giflant. Marion avait donné à Alice une ficelle très fine au bout de laquelle était confectionné un nœud coulant. Alice glissait le nœud autour de ma langue qu'elle étranglait, puis elle reliait l'autre extrémité de la ficelle à une barre placée devant moi un peu en hauteur. Le supplice était digne des pires tortures. Elle avait tiré ma langue presque entièrement de ma bouche et la douleur était insupportable. J'avais du mal à imaginer qu'une adolescente de dix huit ans était capable de telles cruautés.

Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle ironisait « Ce n'est pas parce que tu as trente cinq ans que je vais t'épargner, au contraire, ça me fait jouir de t'enlever ta dignité de mâle et de te torturer! » La comtesse renchérit « De toute façon, nous allons te faire crever, lentement. Pendant de longs mois nous allons te faire agoniser jusqu'à ce que tu nous supplies de t'achever, Ha ha! » Et Marion d'ajouter « Tu m'as fait cocu donc pas de pitié! »

Nous avions a faire à des fous furieux et Amanda en faisait également les frais. Le comte et les gorilles aidaient Jean à lui prodiguer le même traitement que moi. La pointe de ses seins étaient emprisonnés dans de fines ficelles tendues à l'extrême vers une barre en hauteur. Son nez et sa langue n'étaient pas épargnés. Amanda et moi étions disposés l'un près de l'autre mais de telle sorte que nous pouvions nous observer mutuellement, ce qui ajoutait à notre humiliation.

La comtesse qui n'était pas en reste d'imagination, détaillait notre ridicule situation « Il faut leur mettre une barre horizontale dans le bas du dos, de manière à cambrer leur corps en avant. C'est plus inconfortable et humiliant. Ils doivent se présenter dans une position extrême de soumission » Sitôt dit sitôt fait, notre corps était arrondi, ventre en avant. Notre intimité sexuelle était très largement et honteusement exposée et ils se délectaient des sévices que nous avions subis. Je pus malgré mes propres souffrances observer Amanda et je constatais avec effroi que du sang s'échappait de son vagin béant.