Perte de Contrôle

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Attention Gay SM très hard.
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La première chose qui m'a frappé dans l'annonce c'est la photo. Banale dans ce genre de site, sans aucun doute très banale, mais moi elle m'a parlé. Un sexe, parfaitement épilé, très tendu, épais, d'une longueur respectable, des couilles bien dessinées. J'ai tout de suite été très attiré par ce sexe. Je le sentais en moi, je m'imaginais le léchant longuement. Il avait quelque chose qui me plaisait beaucoup, peut être une simple ressemblance avec le mien. Et le pseudo était simple ACTIFDOM ce qui était parfait pour le soumis passif que je suis.

Pour une fois c'est lui qui m'a contacté. Je n'avais pas lésiné sur les moyens, en mettant des photos de visage, mais aussi des photos dans des positions ou des contraintes plutôt dures. Je voulais me démarquer et me faire remarquer. Dans ces échanges, comme dans les rencontres en réel, je suis totalement tétanisé. C'est comme si mon cerveau était débranché et je suis alors d'une totale obéissance, ce qui peut risquer de me mettre en danger.

— Présente—toi.

— Bien Monsieur. Je suis un homme de 45 ans, viril, musclé, peu poilu, soumis, appréciant de subir sévices, humiliations et autre, expérimenté, déjà bien dilaté Monsieur.

— Quelles sont tes limites, tes tabous?

— SSR Monsieur, rapports possibles si tests négatifs, pas de marques définitives Monsieur.

— Moindre des choses. Tout le reste tu es ok?

— Oui Monsieur.

— Tu n'as pas d'autres choses que tu ne veux pas?

— Non Monsieur, si je m'abandonne, c'est totalement. Je souhaite juste préserver ma santé Monsieur.

— Bien j'aime cette disponibilité. Tu cherches seulement soumission sexuelle?

— Toutes soumissions qui Vous plairaient Monsieur.

— Intéressant. Libre?

— Oui Monsieur.

— Comment cela se fait—il?

— J'appartenais à un couple et ils ont eu envie de dominer une jeune femme, je devenais trop vieux pour eux.

— Tes photos sont récentes?

— Oui Monsieur quelques mois.

— Tu es disponible cet été, trois semaines?

— Oui Monsieur, je peux poser mes congés Monsieur.

— Bien. Nous cherchons un colocataire soumis pour nos vacances dans un camp naturiste cet été, cela t'intéresse?

— Oui Monsieur. Nous c'est qui Monsieur, si je peux me permettre?

— 3 gars même âge que toi, actifs, dominateurs, vicieux.

— Bien Monsieur.

— Tu as déjà servi trois Maîtres?

— Non Monsieur, cela doit être terriblement intense.

— Pire que cela. Cela te fait peur?

— Oui Monsieur, mais mon sexe est très dur.

— Tu m'intéresses.

— Merci Monsieur.

— Soit ce vendredi soir chez moi pour que je te teste. Prévois de rentrer seulement samedi soir. Possible pour toi?

— Oui Monsieur.

Je dû lui passer mes coordonnées téléphoniques et lui passer une copie de ma carte d'identité. Je n'aurais jamais dû faire cela, mais je le sentais bien, et de toute façon je ne sais pas mettre un stop dans ces cas-là. La perspective de l'été était très excitante et un peu folle, j'avais le temps de m'y faire c'était dans trois mois. Je prends ma réservation de train pour vendredi et je la lui envoie par email ainsi il a toutes mes coordonnées.

Mon train est dans trois heures, je commence à me préparer. Hier je me suis fait épiler intégralement tout le corps, j'aime cette sensation d'être totalement lisse. Mon sexe est dur en continu et j'ai très peu dormi, me retenant de jouir tout en m'amenant au bord de l'orgasme. Cela me laisse dans une fièvre d'excitation vraiment folle. Du coup je suis dans un état de fébrilité extrême, et dans ces cas-là je suis prêt à faire n'importe quoi. J'ai décidé de passer le test pour que mon Maître n'ait pas envie d'une autre candidature pour ses vacances.

Je me fais un lavement avec la douchette, jusqu'à ce que l'eau soit bien claire, puis je me masse l'anus longuement pour l'ouvrir. Je vais faire une folie et mettre un plug en latex de 6 cm. Je ne l'ai jamais porté plus d'une heure, et là je ne contrôle pas combien de temps je devrais le porter. Quand il rentre, je me mets naturellement à 4 pattes, comme si le plug induisait cette position. Mon souffle est coupé, j'ai du mal à respirer, la douleur diminue doucement, mais la sensation d'invasion est de plus en plus forte, la tête tourne. Je le retire pour laisser mon anus respirer en continuant à me préparer.

J'enferme mon sexe dans une petite poche en cuir, garnie de centaines de pointes très acérées qui me blessent la peau et le sexe. La douleur est infernale et le sang perle toujours rapidement quand je la porte. Elle est si petite que je dois prendre des glaçons pour y ranger mes couilles et mon sexe. Le cadenas est en place, je mets la clé dans une enveloppe et j'écris le nom de mon Maître dessus. Chaque mouvement provoque des douleurs affolantes dans mon sexe, il sera tout déchiré quand je serai arrivé. Je complète mon attirail avec des pinces réglables sur mes tétons, et un collier avec laisse que je dissimule avec une écharpe. Je voudrais lui faire honneur.

Le trajet en TGV est court, moins d'une heure, mais le temps passe très lentement. J'ai le souffle difficile à cause du monstre niché au fond de mon cul, je me sens aussi très stressé par la rencontre, j'ai envie de faire demi-tour, mais il est trop tard. Je regrette de toujours en faire trop et d'avoir si mal là. Les tétons me brûlent et la respiration est difficile avec le collier que j'ai serré fort afin d'avoir une belle marque.

Je suis les instructions, je dois sortir de la gare et aller dans le parking le rejoindre. Sa place est au fond alors qu'il y a beaucoup de places disponibles. Il sort de la voiture, il est impressionnant et puissant, grand, taciturne, habillé de façon très élégante. Il est vrai que la voiture est une berline qui doit coûter cher. Je ne sais que faire, il n'y a personne, je me décide à enlever mon écharpe et sortir ma laisse, puis à me mettre à 4 pattes pour baiser longuement ses chaussures. Il ne dit rien, ouvre le coffre et tire la laisse, je monte dedans, avant de me retrouver dans le noir, le cœur battant la chamade. La voiture démarre et nous roulons quelques minutes avant que je ne sente le bruit du gravier sous les pneus. La voiture s'arrête.

Nous sommes dans un garage fermé. Mon Maître ouvre le coffre, me tire par la laisse pour me faire sortir. La douleur au ceul et au sexe est intolérable, mais je ne peux lui en parler, il ne m'avait demandé aucune préparation. Je le suis dans la maison, nous entrons dans un grand salon très moderne, à une pression de la laisse, je me mets à genoux, et instinctivement en position d'attente. Mon Maître me fait approcher de lui.

Sans prévenir il me gifle une première fois, me faisant chanceler. Je suis surpris mais je reprends ma position. Les coups pleuvent forts, rapides, ma tête est brinquebalée dans tous les sens, les larmes coulent. Il se redresse, ouvre sa braguette, sort son sexe à demi dur, il me le met en bouche et je me mets à le lécher avec application avant qu'une claque ne vienne m'interrompre. Je ne comprends pas. Il recommence, je reste passif, quelques secondes passent, je sens le liquide couler. Il m'utilise comme urinoir! Bien entendu j'avale tout avec application et je le nettoie bien quand il a fini, je ne sais s'il faut que je le lèche, j'ai peur de ses coups. Il retire son sexe, je reste la bouche ouverte tandis qu'il se rassied.

— À poil. Ce sont ses premiers mots.

Je me redresse en grimaçant le plug me fait atrocement mal, les pinces aussi, quant à mon sexe je n'ose imaginer son état. Je commence par enlever mon polo, dénudant ainsi la chaîne des pinces qui pend entre mes tétons.

— Qu'est-ce que c'est que cela la lope?

— Des pinces Maître.

— Pourquoi as-tu mis des pinces?

— Je voulais Vous montrer comme je suis à Vous Maître.

— Vraiment? Tu es une chienne maso alors?

— Non Maître je voulais Vous donner envie de me sélectionner Maître.

— Tu as d'autres surprises comme cela?

— Oui Maître.

— Bien nous allons voir cela. Approche.

Il n'avait pas rangé son sexe que je voyais durcir à notre échange, j'étais content cela lui plaisait. Il prit les pinces dans ses doigts, et au lieu de me libérer comme je le croyais, il les serra encore plus fort, m'arrachant malgré moi un cri de douleur. J'eu droit alors à une gifle.

— Tu cries et tu gémis quand je te l'ordonne, tu as compris la larve?

— Oui Maître.

Il tire alors fortement sur la chaîne pour vérifier qu'elle est bien accrochée. Je retiens mes hurlements, tandis que je sens mon sexe gonfler dans sa gaine cloutée, me remplissant d'une nouvelle douleur dont il ignore tout encore pour le moment. Me tenant fermement par la chaîne et les tétons étirés, il me gifle longuement, je suis sonné.

— Vas me chercher ton portefeuille.

Il lâche la chaîne et dans un état second je vais prendre mon portefeuille dans ma veste. Je lui donne. Il en retire et trie tous les papiers.

— Je garde tes papiers d'identité, je pensais t'offrir le choix demain d'être ou pas mon esclave, mais je crois que ce ne sera pas nécessaire. J'ai décidé que tu m'appartiendras, au moins jusqu'aux vacances de cet été. Et si tu pensais juste t'amuser, c'est trop tard la larve. Tu as envie de dérouiller, et c'est bien, nous sommes très imaginatifs.

— Merci Maître. Puis je poser une question Maître? J'étais un peu inquiet de la tournure des événements quand même.

— Non la larve, tu n'es rien d'autres qu'une salope à ma totale disposition. Les trois mois qui nous séparent des vacances vont être ton purgatoire avant l'enfer. Je t'assure que tu ne vas pas regretter.

— Merci Maître. J'étais pris entre deux sentiments contradictoires. C'est bien ce que je désirais, mais je perdais totalement le contrôle.

— Continue à te désaper.

J'enlevai mes skets ainsi que mon pantalon, dévoilant ainsi la gaine puisque je n'avais pas de sous vêtement. Il me fit approcher, et commença à caresser le cuir, m'arrachant des sursauts de douleur, mon paquet étant terriblement contraint et percé depuis longtemps. Cela le fit sourire.

— Regarde—moi dans les yeux. Si tu quittes mon regard, je t'éclate les couilles à coup de pied.

Terrorisé je le regarde profondément. Les caresses sur la gaine deviennent pressions de plus en plus fortes, les pointes pénètrent la peau et me percent une à une, je m'agite dans tous les sens, sans quitter les yeux de mon Maître que je vois plein de plaisir, tandis que je pleure de souffrance. Maître me sert de plus en plus, faisant rouler les chairs délicates pour me procurer le plus de souffrance possible. Je n'arrive plus à respirer, mon sexe, malgré la souffrance, durcit, et mon Maître s'en rend bien compte, il sourit.

Il se lève, me tirant par la laisse et mon collier trop serré, et me fait pénétrer dans son garage transformé en donjon. Je suis attaché à une croix, les membres très étirés. Je n'en peux déjà plus alors que je viens d'arriver. Il prend une corde et attache celle-ci à l'anneau de ma poche en cuir pour l'étirer bien à l'horizontal. Mon paquet est ainsi bien offert. Je frémis quand je vois mon Maître prendre une cravache, je crains le pire, et le pire arrive : il me frappe fort sur le paquet ainsi exposé, tandis que je hurle autant de souffrance que de peur.

Il recommence, encore et encore, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, de contrôler la souffrance qui est atroce, les couilles écrasées par les coups, le sexe transpercé de partout. Comme si c'était insuffisant, il s'interrompt pour attacher des poids de 500 g sur chacune des pinces de mes seins, arrachant de nouveaux hurlements de ma part, je le supplie, lui dis que je ferai tout ce qu'il veut. Il sourit sachant qu'il me fera faire bien plus. Je me sens totalement à sa merci, détruit, les coups reprennent encore plus fort je crois. Il alterne, me fouette aussi le pubis, le ventre, les cuisses. Il se défoule profondément sur la chose offerte, je lui ai offert moi-même le supplice qu'il m'inflige. Je crois m'évanouir, mais non pas vraiment, je suis dans un état différent, je ne sens plus les coups, je les vois mais rien ne remonte. Je sens juste une terrible excitation me prendre, une envie de jouir. Mon corps ne m'obéit plus je viens au-devant des coups comme s'il s'agissait d'un cul à défoncer, et je me mets à jouir comme un damné, provoquant un brutal retour à la réalité et à la souffrance toute entière de mon corps. Je suis hébété d'avoir pu jouir ainsi, et mon tourmenteur n'en est pas moins décontenancé. Il arrête.

— Toi ma salope, je crois que nous allons bien profiter de toi avant de te jeter à la décharge.

Je n'ai pas la force de répondre. Pris d'une excitation folle, il reprend la cravache et me cingle le devant du corps dans tous les sens, à toute vitesse, y compris mes bras et mes seins déjà très torturés. Quand enfin il arrête, je vois qu'il s'est masturbé et a lui-même jouis. J'en suis heureux. Même si je ne contrôle rien. Il me remplit la bouche d'un long bâillon en forme de plug qui descend jusqu'à ma gorge, et qu'il attache fermement autour de ma tête. Il essaie de serrer plus encore mon collier, mais c'est impossible. Il l'enlève pour créer un trou intermédiaire et me le remettre, je suis à la limite de la suffocation. Il sert un peu plus encore mes pinces dans mes tétons, ce n'est plus qu'une plaie, et la douleur est terriblement vive lorsqu'il fait se balancer les lourds poids.

Enfin il détache la cordelette qui maintenait mon paquet à l'horizontal et y accroche un très lourd poids étirant tout mon appareil dans une douleur qui me remonte profondément dans le ventre, prenant le dessus sur le plug dans mon cul qui est pourtant terrible. C'en est trop je ne peux pas, je veux partir, il est fou et moi aussi. Je voulais juste jouer. Pourquoi tout cela? Je bouge la tête, mais il ne fait pas attention, je n'ai pas l'énergie d'autre chose, pourtant il faudrait. Mais déjà il part, éteint la lumière, ferme la porte. Je pleure doucement, je voudrais mourir là. J'ai mal partout et je ne peux rien faire. Cela ne doit pas faire une heure que je suis arrivé. Dans 23 heures je serai libéré. Je récupère mes papiers et tchao les vacances. Même si je suis très troublé par cette jouissance, surtout l'état qui l'a précédée, c'était assez inouï.

Je suis dans une profonde somnolence lorsque je sens sa présence à mes côtés. La lumière est revenue.

— Bien on va passer aux choses sérieuses maintenant. Cela va être jouissif de te détruire, tu ne sauras même plus comment tu t'appelles, tu seras juste la pute! Cela te plaît? Tu serviras de pute à tous les mecs en manque, surtout les plus vicelards et les plus violents. Qu'est-ce que tu en penses?

Je ne peux pas répondre avec cette bite de latex qui me rend la respiration si difficile, il malaxe la bourse cloutée mais je n'ai même plus la force de réagir à la douleur. Mais pourtant je réagis à l'excitation, d'être touché, mais aussi les mots qu'il insinue en moi. Combien de fois me suis-je fait jouir avec ces images. Il sent mon sexe durcir et se mutiler un peu plus, ce qui le fait rire et se moquer de moi.

— Je n'ai jamais vu une chienne comme toi. Cela va être trop bon de te dresser.

Il me détache les bras et je m'écroule au sol, soulageant temporairement l'étirement dû aux poids. Je dois me relever sous les coups de cravache qui pleuvent sur mon dos, il me fait coucher sur un cheval d'arçon, les bras et les jambes de chaque côté, exposant ainsi mes fesses en l'air.

— Tu avais encore une surprise, je ne l'avais pas vu celui-là. Il est bien gros pour un petit cul comme toi. Il appuie sur mon plug me faisant gémir de plus belle, je suis très irrité par le contact.

— Je crois que pour toi il va falloir sortir du gros matos, en même temps si tu es trop large, cela ne le fera pas trop. Va falloir que je réfléchisse.

Sans précaution il me retire le plug qui a séché dans mon cul depuis qu'il est là. J'ai l'impression qu'il me retourne les intestins, mais le soulagement est quand même immédiat. J'entends tomber quelque chose, je crains le pire. Et c'est bien le pire.

— Tu ne t'es pas bien nettoyé la pute. La règle c'est simple, tout ce qui sort, rerentre. Je te mets cela dans la gamelle, tu te délecteras tout à l'heure. Maintenant je dois m'occuper de tes fesses. C'est simple je veux que tu ne puisses plus t'asseoir pendant une semaine, tu vas voir c'est assez sportif.

Cela fait longtemps que j'ai perdu le compte. Celui des instruments qu'il a utilisés. Je sais qu'il y a eu des paddles, des martinets, cravaches, bâtons et je ne sais quoi d'autre. Chacun m'a fait pleurer et hurler dans mon bâillon gode provoquant des hoquets et des peurs de m'étouffer. Perdu le compte des coups qui se sont abattus, pas seulement sur mes fesses, mais aussi mes cuisses offertes ainsi que mes mollets saillants. Parfois la main de mon Maître caresse mes chairs pour mieux apprécier le résultat, et je les sens toutes gondolées, durcies par les coups, sans plus de sensibilités. Cela fait longtemps aussi que je divague dans une ouate bizarre et agréable, j'ai perdu tout lien avec la réalité, je ne suis plus qu'un réceptacle à coups. Je ne me pose plus la question du pourquoi, c'est ainsi, j'accepte, même si je n'ai pas beaucoup d'autres choix.

Je réalise que les coups ont cessé, je me sens anesthésié à partir du dos, une douce euphorie me baigne. Mon Maître me détache, et je m'écroule par terre. Sans hésiter je me jette à ses pieds, et mime de les embrasser, ce qui est impossible puisque ma bouche est distendue. Il me laisse faire, je suis pris de frénésie à me caresser contre ses chaussures. Sans plus y penser ni me retenir, je n'ai qu'une envie, c'est de jouir. Ma queue et mes couilles sont toujours enfermées, mais me mettant à genoux, je me masse le sexe au travers de la gaine, et avec folie je serre de plus en plus fort et de plus en plus vite. Mon sexe en bandant tire encore plus sur toutes les pointes maintenant bien ancrées dans mes chairs délicates et je jouis dans une violence inouïe et m'effondre sans force. Je sens le sperme avoir du mal à sortir, contenu par la gaine cloutée, la douleur est maintenant intenable, je veux dormir, et jouir encore. Pour la première de ma vie, j'ai encore envie de jouir après un tel orgasme, usuellement, je me dégoute et me promets de ne plus jamais recommencer. Là j'espère que cela ne finisse jamais.

— T'ai-je permis de te faire plaisir salope? Tu vas apprendre que tu n'as droit à aucun plaisir sans mon consentement, pas même celui de chier quand tu veux, ou boire quand tu as soif. Je ne veux que de la souffrance pour toi, tu n'es fait que pour cela.

Cela m'excite de l'entendre. Fou que je suis. Il me redresse et me suspend par les bras, les jambes bien écartées. Commence alors une séance de ball busting atroce, renforcée par la tension de la gaine qui comprime bien mes couilles, et des pointes qui lacèrent un peu plus ma peau tendre déjà à vif. Il frappe de son genou replié, encore et encore, m'insultant et me promettant de couper mon sexe si je jouissais à nouveau sans son autorisation. La douleur est si vive que je me dis que mes couilles n'y survivront pas, avant de m'évanouir et de m'échapper à la douleur insupportable.

Quand je me réveille je suis allongé par terre, la bouche dégagée. Je n'arrive plus à la refermer, les muscles étant fortement endoloris, mais au moins je peux respirer plus facilement, même si mon collier est toujours trop serré à mon cou. Allongé sur le dos, je sens mes fesses très douloureuses, je passe la main dessus et je suis effaré de constater qu'elles sont complètement gondolées, et que la sensation de toucher est très bizarre.

J'ai des croûtes sur les cuisses et les mollets. Mais c'est surtout mon sexe qui me lance, les couilles sont endolories et la peau me brûle partout. Mon Maître approche avec la clé que j'ai apportée, et m'ouvre la gaine cloutée dans laquelle je suis enfermée depuis plus de 24 heures, moi qui ne la portais pas plus d'une heure! Chacune des pointes a perforé ma peau en plusieurs endroits et est bien incrustée. Maître doit forcer pour la décoller, et je hurle de douleur, comme s'il m'arrachait la peau, il rit. Je ne fais rien pour me défendre.

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