Châtiment Extrême

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Séjour forcé au château.
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CHAPITRE 01

L'histoire se passe dans un village du centre de la France profonde.

C'était par un chaude journée de juillet et j'étais assis à la terrasse de ce petit bistrot de campagne devant un demi de bière très appréciable par la chaleur qui régnait. Je venais d'avoir un entretien très difficile avec ma compagne Marion. Celle-ci était très jalouse et elle me reprochait de rentrer tard le soir. Selon elle, j'avais une liaison et je la trompais. Pourtant mon activité de dépanneur en informatique pour mon propre compte m'obligeait à faire souvent des heures supplémentaires, tant à l'atelier que chez les clients. Elle était finalement assez bornée et ne voulait pas comprendre.

Alors que je terminais mon demi, une jeune femme plutôt mignonne s'installait à une table voisine, face à moi. A ce moment-là, je me suis demandé si je ne devais pas conforter les suppositions de ma compagne et la tromper vraiment « Au moins ses accusations seraient fondées » Pensais-je intérieurement. La belle avait croisé ses jambes et j'avais eu le temps d'apercevoir ce qui ressemblait à un string blanc. Sa robe courte et légère, presque transparente à faux jour, laissait deviner un corps magnifique, fin et longiligne.

Nos regards s'étaient croisés furtivement et j'étais persuadé qu'elle avait décelé mon observation. Elle me sourit joliment comme pour dire « Monsieur est voyeur? »

Un peu décontenancé, je me hasardais « Vous êtes en vacances dans la région? » « Oui et non, je poursuis mes études en France et je profite de la pause estivale pour m'accorder un peu de repos avant de rentrer au pays » me répondait-elle. « Je peux m'asseoir à votre table? » « Bien sûr ».

Elle se prénommait Amanda et m'apprenait qu'elle était Norvégienne, elle était seule en France et elle avait 20 ans. Ses longs cheveux blonds étaient rassemblés en queue de cheval, dégageant un visage fin et allongé au regard franc de ses grands yeux bleus, presque enfantins. Elle n'avait pas une poitrine forte mais les seins hauts et fermes semblaient prisonniers dans un soutien-gorge qui à mes yeux était inutile. Je pariais intérieurement pour du 85. Nous avions repris une consommation et au bout de quelques minutes nous en étions au tutoiement.

C'est alors que mon attention fut attirée par une voiture qui passait à allure réduite devant le bar et je cru reconnaître mon amie Marion qui détournait la tête, à la place passager. Une de ses amies, Florence que je connaissais était au volant. J'étais espionné? Bof je m'en moquais un peu après les scènes de ménage qui se succédaient. Cette Florence ne me plaisait pas du tout. C'était une jeune et belle femme secrète dont la personnalité était difficile à cerner.

Sportive accomplie en arts martiaux, elle se vantait parfois de pratiquer ce sport pour résister aux hommes, n'hésitant pas à les provoquer. Ce que je croyais volontiers, l'ayant vue à l'œuvre lors d'une petite soirée entre nous ; elle avait giflé sans hésiter un autre de nos amis sous le seul prétexte qu'il était selon elle macho. Ayant réagit, l'homme s'était retrouvé projeté à terre et avait préféré ne pas insister. Je dois dire que moi-même, je la craignait un peu car sur le plan physique, je n'étais pas vraiment un Apollon.

Amanda me tirait de mes réflexions « Ça va? A quoi donc penses-tu? ». J'éludais la question et elle me demandait « Nous pourrions faire un petit tour à pied, tu connais le coin? » « Oui, il y a tout près d'ici un petit circuit pédestre peu fréquenté et sauvage, ça te va? » elle acquiesçait ; Après avoir réglé les consommations, nous prenions la direction de ce circuit qui s'enfonçait dans un vaste sous-bois. C'était un sentier étroit qui serpentait parmi des petites clairières tapissées de bruyère ou de pelouse sauvage.

J'observais Amanda à la dérobée et je la trouvais plus belle encore maintenant qu'elle marchait d'un pas souple. Elle était plus grande que je ne l'avais imaginé assise au bistrot. Les hanches parfaitement galbées, les jambes fines, elle évoluait avec légèreté. Nous arrivions à hauteur d'un croisement de sentier qui nous fit hésiter un peu. Mais je connaissais bien les lieus puisque j'étais du pays. Nous décidions de bifurquer sur le sentier minuscule qui, à moins de cinquante mètre, finissait en cul de sac sur une agréable petite clairière herbée.

Je tentais ma chance sans trop d'espoir. Cette belle créature n'était pas pour moi pensais-je. A ma grande surprise, elle ne me repoussait pas lorsque je la prenais par la taille. « Tu es belle! ». Je posais ma main sur sa cuisse gauche et je la sentais frémir. Je remontais doucement jusqu'à son string. Elle commençait à souffler fort et à son tour, elle fit descendre sa main sur mon pantalon, sous la ceinture. Elle me caressait juste à hauteur de la braguette et elle pouvait apprécier l'imposante bosse dû à l'excitation croissante. Comme j'avais pris l'initiative, je décidais de poursuivre mes investigations.

Je commençais à faire glisser le minuscule rempart de son intimité. Elle me laissait faire et s'attaquait à la ceinture de mon pantalon. La fougue nous envahit alors. Elle faisait glisser la fermeture éclaire de sa robe et en un clin d'œil, elle se retrouvait à ses pieds. Le string la rejoignait aussitôt. Je restais pantois à admirer ses cuisses et son sexe. Le mont de vénus était très charnu et peu fourni de poils aux reflets blonds et légèrement frisés. « Qu'est-ce que tu attends pour te déshabiller » M'avait-elle dit de son air faussement ingénu. Je m'exécutais et en un rien de temps, nous étions entièrement nus, enlacés pour ne faire plus qu'un.

Amanda était plutôt entreprenante car elle caressait avec insistance mes testicules et mon pénis droit comme un mât de cocagne. Elle me soufflait « Ton pénis est énorme, j'ai un peu peur ». Sur le coup je ne comprenais pas très bien. N'en pouvant plus, nous nous étions allongés sur l'herbe. Elle me suppliait, les cuisses grandes ouvertes « prend-moi, oui prend-moi! » Dès mes premiers coups de buttoir, je compris pourquoi elle avait peur. Elle avait un passage plutôt étroit et pas vraiment adapté à la taille de mon pénis. J'eus un moment de flottement et lui demandait « Tu as déjà eu des rapports? » « Oui, mais regarde-moi, j'ai un tout petit passage et il n'y a que les petits pénis qui peuvent me pénétrer.

Les quelques rapports que j'ai eu, c'était avec des petits zizis, toi, tu l'as énorme » « Si tu veux on en reste là, je ne veux pas te faire du mal » « Non, j'ai trop envie et je prend le risque » « D'accord, mais j'irai doucement » Elle ne laissait pas le choix et emportée par le désir, elle saisissait mon membre pour le guider. Après de difficiles approches, je parvins à la pénétrer.

Elle poussait un cri à la fois de plaisir et de douleur », comme si je la dépucelais. « Non, ne te retire pas, c'est tellement bon » Je compris que le plus dur était fait et je lui demandais « Tu prends la pilule? » Après un signe de tête positif, elle poussait pour mieux s'empaler sur mon pénis. Pendant de longues minutes, nous étions dans l'extase et je dois dire que cette jeune norvégienne trompait bien son monde.

Non seulement elle supportait un forçage de son entrée vaginale qui n'était pas habitué à recevoir un pénis de cette taille, mais en plus elle était dans un état de surexcitation incroyable. Elle arque boutait son corps, le dos soulevé et arrondis, s'offrant à moi sans réserve. D'une main experte elle me triturait les testicules afin de faire monter ma sève. J'avais du mal à croire qu'elle n'avait pas connu une telle jouissance avant moi. Nous étions dans un état de frénésie tel que plus rien n'existait en dehors de notre coït infernal.

Je sentais venir l'orgasme et Amanda qui le devinait me soufflait « Oh oui, jouit en moi! » et pour m'empêcher de me retirer, elle avait passé ses mains autour de mes cuisses. C'est à l'instant ou je commençais à éjaculer qu'un événement soudain et brutal survint.

CHAPITRE 02

Quelqu'un m'avait saisit avec force par les cheveux et m'obligeait à me mettre debout. Amanda poussait une plainte en grimaçant car le soudain retrait de mon pénis en érection en elle avait dû être douloureux. J'étais incapable de lutter contre cette force qui me relevait sauvagement d'autant que j'étais en pleine éjaculation dont j'étais incapable de contrôler. Mon puissant jet de sperme avait copieusement arrosé le sexe et le pubis de Amanda et je n'en finissait pas de Gicler. Quelle ne fut pas ma surprise de voir trois femmes qui nous entouraient et que je connaissais bien. Celle qui m'avait relevé n'était autre que Florence, l'amie de Marion.

Un sentiment de peur panique m'envahit car j'avais toutes les raisons de craindre cette femme d'une trentaine d'années que je n'aimais pas. Grande, élancée et musclée, elle n'en était pas moins très belle. Elle pratiquait les arts martiaux et n'hésitait pas à l'occasion à se mesurer aux hommes. Autoritaire, elle m'avait un jour menacé devant Marion et m'avait prédit « Fait attention, au moindre faux pas je te tombe dessus et je te ferai ta fête! » Je n'avais pas osé répliquer car je la savais réactive et sans doute dangereuse. Ce jours-là donc, elle me tenait et je ne donnais pas chère de ma peau. Les deux autres femmes étaient les filles du château tout proche, Aurore l'aînée et Anne. Elles étaient aussi amies de Marion. Je dois dire que je ne les aimais guère non plus.

Filles de nobles très riches, prétentieuses de vingt cinq et vingt huit ans, elles n'étaient pas très bien vues par la population locale et selon la rumeur elles étaient lesbiennes. Plutôt belles femmes, je savais qu'elles pratiquaient aussi les arts martiaux. Elles étaient venus une fois chez nous et comme florence, ce jours-là, la conversation s'était orienté sur les rapports hommes -- femmes et selon elles, tous les hommes devraient être castrés et domestiqués après avoir servis de reproducteurs. J'avais préféré sortir pour ne pas écouter la suite de cette conversation sordide et ne comprenais pas pourquoi Marion fréquentait de telles salopes. C'était à contre cœur que j'avais accepté d'aller un jour au château pour un dépannage d'ordinateur. Les jeunes femmes m'avaient réservé un accueil plutôt froid qui me faisait penser à l'immense bâtisse datant de la fin du moyen âge, impressionnante et lugubre. L'intérieur était un mélange de modernité et de mobilier ancien que je ne trouvais pas très heureux et sans réelle harmonie.

Pour l'heure, elles s'étaient jetées sur Amanda et la maintenaient fermement. J'étais soudain transit d'une honte sans limite car Florence ne me laissait guère le temps de réfléchir. Triomphante, elle se mit en devoir de m'administrer une terrible correction « Je savais bien que Marion avait raison espèce de salaud! Je t'avais prévenu, tu vas dérouiller! » Elle me tirait les cheveux, me secouait la tête en tous sens et m'administrait une longue série de gifles à toute volée. J'étais son pantin nu qu'elle désarticulait et ridiculisait. « Pour ça, Marion avait encore raison, tu es monté comme un taureau » Elle se moquait de moi de la façon la plus humiliante car un peu de sperme s'échappait encore de mon membre qui restait obstinément et honteusement en érection « Après le traitement de choc que tu vas subir, tu n'auras plus guère envie de bander et de gicler! Tu vas regretter d'avoir des couilles et une bite ».

Aurore et Anne n'étaient pas en reste avec Amanda qui se demandait ce qui lui arrivait. « Regardez-moi ça! » Disait Aurore moqueuse en désignant le sexe et la toison pubienne de Amanda, dégoulinant de mon sperme « elle en a plein la foufoune et la touffe cette salope ». Anne ordonnait à Amanda « Écarte les cuisses putain! » Elle ajoutait « Vous avez vu les filles, elle a une toute petite foufoune, il a dû prendre son pied ce porc! » Puis elle la giflait sans ménagement à plusieurs reprises. Aurore prenait le relais et frappait à son tour, expédiant des gifles puissantes qui faisaient hurler la pauvre Amanda.

Transit de honte, je tentais bien de me dégager mais Florence était très forte et je crois que même en temps normal, je n'aurais pas fait le poids. En plus, exposé honteusement nu face à elle, je perdais tous mes moyens.

« Nous allons au château, vous êtes d'accord? » Demandait Florence aux châtelaines. « Bien sûr, nous allons leur faire passer l'envie de recommencer » avait répondu Anne.

A ces mots, je fus pris d'une peur panique car entre les mains de ces trois femmes dans un endroit aussi privé et isolé que le château ne présageait rien de bon pour Amanda et moi. Je suppliais « Laissez-nous nous rhabiller et laissez cette jeune femme repartir ». « Tu plaisantes, tu as trahi mon amie Marion avec cette traînée, donc, vous allez être sévèrement punis » Avait répliqué Florence en me saisissant d'une main par les cheveux et de l'autre main me giflait violemment. Puis elle ordonnait « Mettez-vous à quatre pattes et suivez-nous » «Voilà une bonne idée qui va les mater! » renchérit Aurore. Les femmes récupéraient nos vêtements et Florence qui n'avait de cesse de nous humilier, avait exigé que Amanda soit coiffée de mon slip et moi de sa petite culotte.

Les deux châtelaines se moquaient de nous sans retenue et nous avons dû faire un bon kilomètre de cette marche humiliante, durant laquelle nous recevions de méchants coup de pied aux fesses. Florence ne s'était pas privée de viser mes organes génitaux à deux reprises. J'avais très mal encaissé le second coup particulièrement violent et j'avançai péniblement. « Allez couillu avance et plus vite que ça, sinon je te les massacre! » Amanda marchait entre Aurore et Anne et moi entre Anne et Florence qui me suivait et fermait la marche.

Aurore avait contacté ses parents au château et j'avais vaguement compris que nous étions attendus par un comité d'accueil qui vraisemblablement ne nous voulait pas que du bien. Arrivés à environ cent mètres du château, Aurore ordonnait sèchement « Stop! Maintenant vous allez ramper jusqu'au centre de la cour du château! » Florence jubilait « C'est une bonne idée, allez vous deux, avancez le ventre sur le sol et écartez bien les bras et les jambes! » Déjà elle avait imaginé une situation ignoble et honteuse. Elle avait retiré la ceinture de mon pantalon et l'avait bouclée autour de ma taille, non sans avoir relevé mon pénis qu'elle avait passé dans la ceinture.

Ce qui eut pour effet d'exposer dangereusement mes testicules qui raclaient le sol. Pour faire bonne mesure, elle s'était munie d'une fine baguette de noisetier qu'elle utilisait à maintes reprises pour cingler mes cuisses et mes fesses. Cette dernière étape fut un véritable calvaire. En arrivant péniblement dans la cour, Amanda avait sa poitrine sérieusement écorchée. Ses fesses portaient des bleus provoqués par des coups de pieds des deux châtelaines. Moi-même mon ventre, mon pénis et mes testicules étaient douloureux et saignaient un peu, pour le plus grand plaisir des personnes qui nous attendaient près du grand mât, au sommet duquel flottait la bannière du château.

CHAPITRE 03

Dès notre arrivée devant le groupe de personnes, Florence nous intimait un ordre sans appel « A genoux! Jambes écartées et mains sur la nuque. Penchez-vous en arrière, le dos arrondi » C'était une manière de nous humilier devant l'assistance qui détaillait notre nudité ainsi exposée et offerte à leur regard inquisiteur.

Il y avait là monsieur le comte et madame la comtesse, parents de Anne et Aurore, Marion, qui me foudroyait de son regard vengeur. Deux hommes, Paul et Antoine qui étaient hommes à tout faire et surtout gardes du corps au service de la famille. Ces deux-là étaient des athlètes accomplis auxquels il ne devait pas faire bon se mesurer. Leur regard d'acier était fixé sur l'entrejambe de Amanda. Je frémis à la pensée que si l'ordre leur était donné, ils allaient certainement la torturer de la pire des façons. Monsieur le comte, un homme entre cinquante et soixante ans, la carrure imposante, le regard sévère et insoutenable faisait face à Amanda « Une si belle jeune femme! Presque une enfant!

Se faire sauter par un gougeât, quel gâchis! » et pour étayer sa réprobation, il l 'avait saisit par les cheveux et lui tirant la tête en arrière, il lui pinçait la pointe de son sein gauche si fort qu'elle avait poussé un grand cri. Constatant que sa toison pubienne était poisseuse, il demandait sans lâcher sa prise « Dis-donc petite garce, tu ne te lave donc pas? » Sa fille Aurore intervenait en précisant « Tu ne devines pas, papa? C'est le sperme de Monsieur! » A ces mots, le comte saisissait sauvagement chacun des seins de la jeune femme et la soulevait de cinquante centimètres au dessus du sol sans difficulté puis la laissait tomber lourdement. Amanda avait poussé un grand cri de douleur.

Madame la comtesse, encouragée par la sauvagerie de son mari, avait saisit mes oreilles et me secouait la tête dans tous les sens « Alors le queutard, comme ça tu sautes toutes les filles qui passent? C'est vrai qu'avec un tel attirail, tu te crois tout permis! » « Et encore, tu l'aurais vu il y a une heure, une vraie bite de taureau quand il bande ce salaud » intervenait Anne Puis s'adressant à son père « Si tu es d'accord, on va les garder quelques jours au château afin de leur administrer la punition qu'ils méritent » « Pas de problème, d'autant que nous avons tout ce qu'il faut pour cela dans les bas-fonds du château. Florence qui voulait garder son rôle de meneuse ajoutait « Tous les deux, ils sont dégoûtants, donc il faut avant tout les laver! »

Monsieur le comte renchérit « Paul et Antoine, allez chercher le Karcher » Mais Paul répondait à son maître « Monsieur le comte, un gros orage arrive droit sur nous, alors pourquoi nous fatiguer, nous les attachons au sol et l'orage fera le reste » « Tu as raison » Approuvait le comte.

Sitôt dit sitôt fait. Un bon tiers de la cour était équipé de solides anneaux fixés dans le sol et servaient à brider les chevaux lors de cérémonies au château, telles que les préparatifs de chasse à courre. Sans ménagement, nous avons dû nous allonger sur le dos, bras et jambes écartées et maintenus par des cordelettes fixées à nos poignets et nos chevilles, puis aux anneaux. Le regard de monsieur le comte s'attardait sur le sexe béant de Amanda « Dommage, un si joli petit minou! » murmurait-il en songeant aux tortures qu'elle allait subir. Madame la comtesse quand à elle avait glissé son pied droit sous mes testicules « Tu vas apprécier le traitement que nous te réservons » Précisait-elle sarcastique.

A peine avaient-ils terminé de nous immobiliser que les premières gouttes tombaient et les claquement secs du tonnerre succédaient aux éclairs. Tout ce beau monde nous abandonnait pour se mettre à l'abri sous un appentis tout proche. Si le début d'averse avait été agréable et rafraîchissant, très vite la pluie se transformait en violente trombe d'eau et de grêlons gros comme des billes. Après dix minutes de ce déluge tombant du ciel, nous étions allongés dans plusieurs centimètres d'eau et de grêle qui jonchait et frigorifiait notre corps. Nous avion mal de partout, à cause des morsures de la grêle. J'avais poussé un cri de désespoir à Amanda et, dès les premiers grêlons, lui conseillait de bien fermer les yeux, au risque d'être sévèrement blessée.

Nous pouvions entendre nos tortionnaires se moquer de nous « Après ça, ils vont être propres » raillait Florence. Monsieur le comte ordonnait à Paul et Antoine de nous libérer dès que le déluge se calmait. Les deux hommes nous détachaient rapidement car il pleuvait encore suffisamment pour être assez vite trempés. Paul avait saisi Amanda par ses longs cheveux collés et trempés sur ses épaules et l'avait obligée à se relever tout en lui expédiant un aller retour magistral en travers de sa figure. Antoine avait préféré me relever en me saisissant fermement mes organes génitaux à les broyer. C'est ainsi qu'ils nous conduisaient sans ménagement auprès du groupe. Nous étions dans un piteux état. Amanda sanglotait, submergée par la peur et la honte.