Satisfaire Mme Martinet

BÊTA PUBLIQUE

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Un instant plus tard, j'étais déjà en elle, bien au chaud dans sa chatte. Nous étions dans la pièce voisine des mecs, la porte fermée bien sûr, mais ils se demandent peut-être encore d'où venaient ces bruits bizarres qui sortaient de nulle part. Et je suis certain que son personnel, aussi discret soit-il, n'ignore rien de nos performances amoureuses.

Quoi qu'il en soit, un jour, en rentrant à la maison, j'ai trouvé Carène ligotée sur notre lit. Ses pieds étaient attachés aux poteaux d'angle, et un collier de chien, autour de son cou, était relié à une laisse attachée quelque part derrière la tête de lit. Un gros oreiller, sous son ventre, soulevait ses hanches. Elle me regarde entrer dans la pièce. De ses fesses, un anneau dépasse. Un Plug anal. Ma réaction l'a clairement détruite. Je glisse mon doigt dans l'anneau et je tire. Un cri s'est échappé de ses lèvres :

« Sois doux, chéri » Me dit-elle d'une voix rauque.

Je m'excuse puis, au lieu de tirer, je joue avec, le tordant, le tournant, tirant un peu, poussant. J'ai joué avec son Plug pendant un moment puis, en tirant un peu trop fort, il a sauté avec un ploc humide.

« Aah, ouais ! »

Je l'ai regardé, surpris par le diamètre de la partie intérieure, puis j'ai regardé le trou béant qu'il avait laissé dans le cul de Carène. Pourquoi cela m'a rendu aussi incroyablement excité, je ne sais pas, mais j'ai été tout sauf doux avec son cul. En écartant ses fesses avec mes mains, je m'enfonce directement au plus profond d'elle. J'adore l'entendre gémir de cette façon.

C'est un son complètement différent de celui qu'elle produit lorsque je la prends dans sa chatte. Je m'amuse à varier mes coups de bite pour modifier sa mélopée. Comme toujours, Carène adore totalement. Je n'ai jamais réussi à trouver quelque chose qu'elle n'aime pas dans le sexe. Je crois que je suis plus inhibé qu'elle.

Progressivement, j'ai réalisé que, si j'avais Carène disponible quand et comme je le souhaitais, je devais aussi combler ses désirs chaque fois qu'elle en ressentait le besoin, et c'était souvent le cas. La situation était totalement différente avec Mme Martinet, où je devais d'abord satisfaire ses lubies avant d'obtenir ma propre satisfaction. Baiser avec Carène, c'était bien plus gratifiant, mais épuisant.

Rapidement, j'en ai eu marre. Une femme toujours disponible, qui vous accorde tous les privilèges, au bout d'un moment, curieusement, je m'en désintéresse. Je n'aurais pas cru cela possible, mais le manque de lutte pour la conquérir n'a pas la même saveur que séduire une proie récalcitrante. Une femme qui n'a aucun tabou, aucun refus, toujours aussi partante pour réaliser tous mes fantasmes, n'a plus de surprise. Le merveilleux s'efface au profit du quotidien, du banal.

Je déteste le dire, mais c'est devenu un peu pesant pour moi. Et c'est ce qui a mis fin à notre relation. Carène ne voulait que baiser de manière extraordinaire et rien d'autre. Un jour, je suis simplement parti. Je n'ai pas eu le courage de faire face à Carène comme Mme Martinet l'avait eu avec moi. Je savais que je n'étais pas de taille à lutter contre Carène, je savais qu'elle était capable de me garder.

Maintenant, je cherche une relation quelque part entre Mme Martinet et Carène. Ce n'est pas facile. Ces femmes m'ont trop gâté pour accepter quelqu'un de commun. J'aspire aux relations amoureuses rigides et tordues que j'ai vécues avec Mme Martinet, mais j'ai aussi besoin de la baise brutale et charnelle de Carène, qui a fait de moi son disciple. Je trouve parfois les jeunes femmes de mon âge un peu fades et sophistiquées. Elles sont hautaines et agissent avec tant de confiance.

Je suppose que les femmes plus mûres ont un sixième sens qui leur permet de savoir d'un coup d'œil qu'elles m'intéressent. Je ne manque jamais de sexe parce que ces femmes ne jouent pas, elles baisent. Le seul problème est d'en trouver une qui soit prête à changer de vie pour moi, d'être sûr que cette femme est faite pour moi, la femme parfaite.

Je ne l'ai pas encore trouvée, mais Bérengère est sur le point de remplir toutes les conditions. Du moins, elle fait de gros efforts pour y parvenir. J'ai retiré sa tête de ma bite.

« Bérengère, quand tu me suces, je ne veux pas sentir tes dents »

Elle hoche la tête et reprend son ouvrage, suçant le gland sensible, désireuse de me montrer qu'elle sait comment faire. Ses lèvres glissent tout le long du tronc, sans s'arrêter à mi-chemin, pour heurter le bout de ma bite dans sa gorge. Elle veut tellement bien faire pour me plaire, que c'en est touchant.

J'attrape sa tête à deux mains et je la maintiens fermement en place, puis je glisse un doigt sournois dans son cul, ravi par le grognement étouffé qu'elle émet avec ma bite dans sa gorge.

« Tu es sûre que ton mari ne te baise jamais dans le cul? Je pense que c'est assez souple pour moi »

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3 Commentaires
ANDRERP95ANDRERP95il y a environ 1 mois

Perverse et perfide. Et vraiment bien écrit. Que demander de plus

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Bien écrit, original, sexy .... j'ai beaucoup aimé ce texte

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

On est comblé... quel bonheur ! C'est vrai que le meilleur est dans la lutte, la conquête. Les moments au jardin sont vraiment... très très chauds

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