Satisfaire Mme Martinet

BÊTA PUBLIQUE

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« Oh mon Dieu. C'est une bonne chose que M. Martinet ne soit pas à la maison »

Mme Martinet a éclaté de rire devant mon air paniqué.

« Pas de panique. Il ne devrait pas rentrer de sitôt. Tu fais du bon travail, et je me suis laissé aller. J'espère que cela ne te dérange pas? » Ronronne-t-elle.

J'ai secoué négativement la tête. J'aurais voulu lui dire que tout va bien pour moi, mais je suis incapable de formuler une phrase. Ma gorge nouée ne laisse passer aucun son.

« Peut-être que tu pourrais me laisser me retourner maintenant? » plaisante Mme Martinet, en regardant mes mains toujours insérées entre ses cuisses. J'ai retiré mes mains comme si ses jambes me brûlaient, ce qui la fit rire. Elle ramasse le pichet et remplit nos deux verres.

« Santé » dit-elle en me tendant mon verre. Nous avons fait tinter nos verres. Mme Martinet a siroté le sien en me regardant. Après un instant de réflexion, elle m'a dit:

« J'espère que tu sauras tenir ta langue »

« Oui, bien évidemment, vous pouvez compter sur moi, Mme Martinet »

« Bien. C'est le genre de chose qui pourrait facilement être mal comprise »

J'ai pris une grande gorgée de gin tonic. J'en avais besoin.

« Nous sommes complices, alors? »

J'ai hoché affirmativement la tête.

Mme Martinet me sourit en sirotant son verre. Sa jambe droite glisse de la chaise longue. Ce faisant, ses jambes se sont écartées, et sa culotte bleu pâle est devenue parfaitement visible sous sa jupette verte. Cette fois, c'est sa chatte qui se devine sous le coton bleu pâle. Mon regard ne peut pas quitter cet endroit de son anatomie. Je ne peux pas lever les yeux et croiser son regard. C'est rigoureusement impossible. Pourtant, quand j'ai repris mes esprits, je trouve le courage de lever les yeux vers elle. Mme Martinet me dévisage avec un sourire énigmatique.

« Bois ton verre, Pierre »

Elle porte un toast et boit une petite gorgée. Mme Martinet me sourit, alors je regarde son entrejambe, ses cuisses, sous sa jupe, mon regard s'accroche à cette culotte sexy. Peut-être ai-je dépassé la durée limite de sa patience, parce que Mme Martinet me relance.

« Tu ferais mieux de finir le pichet, Pierre. M. Martinet n'aimerait pas te trouver avec une quantité d'alcool à boire dans son jardin »

Je remplis mon verre et Mme Martinet a ri en me voyant grimacer pour le boire. Mais elle a bougé sa jambe, exposant encore davantage sa culotte. Je vide mon verre, tout en regardant sous sa jupe. Le rire clair de Mme Martinet tinte une dernière fois lorsqu'elle se lève. Elle me tend son bras et je l'accompagne jusqu'à la maison. En arrivant dans le patio, M. Martinet est apparu, passant la tête à travers la baie vitrée.

« Je suis à la maison, chérie » dit-il en m'ignorant. « Je serai dans mon bureau jusqu'au dîner »

Mme Martinet a salué son mari, lui a demandé d'attendre un moment puis, devant lui, s'est tournée vers moi.

« Pouvez-vous revenir samedi? » Me demande-t-elle d'une voix assurée.

« Oui, madame » Lui répondis-je sur le même ton.

Je suis rentré chez moi complètement embrouillé. L'alcool, son attitude, la crainte, et le désir qu'elle m'inspire. Ma pauvre tête va exploser. Jusqu'au samedi, je me suis masturbé en pensant à elle. Je ne sais pas si Mme Martinet me fait venir pour travailler, ou pour s'amuser à me taquiner. Plus j'y pense, et plus je crains qu'elle me prépare un sale coup, attendant que je fasse un geste inapproprié pour qu'elle puisse me punir ou me virer de l'équipe. La paranoïa, c'est une chose merveilleuse. Mais cela ne m'a pas empêché de baiser Mme Martinet dans mes rêves.

Samedi matin, Mme Martinet est assise au même endroit, dans la cour, sur la chaise longue. Un pichet et un seul verre sont posés sur la table basse. Je m'arrête près d'elle, prêt à lui masser les jambes. Elle porte un short et un chemisier blanc, à la place d'un haut qui montrait son ventre, et d'une jupe qui me permettait...

Elle a une pile de magazines à côté d'elle.

«Tu es en avance» grogne Mme Martinet. « Eh bien, tu peux commencer à jardiner »

Déçu par son attitude glaciale, je prends l'outil et je commence à désherber le parterre de fleurs. Je me tourne parfois pour regarder les jambes de Mme Martinet, mais elles restent hermétiquement croisées, verrouillant la vue vers son entrejambe. Elle déplace elle-même la chaise longue pour rester près de moi. Chaque fois, je vérifie ses jambes, mais la vue reste bloquée.

« Je ferais mieux d'aller voir si M. Martinet a besoin de quelque chose. Je reviens dans une minute »

Ah, voilà le fin mot de l'histoire. M. Martinet est à la maison. Je suis à la fois soulagé de connaître la raison de son comportement glacial, et profondément déçu par la présence de son mari. Je ne ferai sûrement aucun massage des jambes aujourd'hui.

Je suis tellement préoccupé par mes pensées négatives que je n'ai pas réalisé que Mme Martinet est revenue. C'est en l'entendant traîner son transat jusqu'à l'angle du patio que je me suis aperçu de sa présence. Avec la chaise longue dans cette position, et le dossier relevé, M. Martinet serait obligé de sortir du patio pour voir sa femme allongée sur sa chaise longue.

Même si je ne comprends pas pourquoi elle a positionné son transat ainsi, en la regardant, je remarque un détail important. Mme Martinet s'est changée ! Elle porte maintenant une jupe plissée noire qui descend jusque sous ses genoux. Elle me fait signe de venir travailler près d'elle. Je m'assois à ses pieds, et elle écarte ses jambes. La jupe est ample, et sa position me permet de voir sa culotte en dentelle noire sans me tordre le cou.

Assis par terre, à ses pieds, je regarde les délicieuses cuisses de Mme Martinet, facilement visibles grâce à ses jambes largement espacées. Lorsqu'elle s'est penchée sur le côté pour me dévisager, je n'ai pas détourné mon regard en faisant semblant de jardiner. Effrontément, j'ai soutenu son regard.

« Veux-tu boire un verre, Pierre? » elle m'a demandé.

« Il n'y a qu'un seul verre »

« Tu peux utiliser le mien pendant que tu fais une pause »

Elle me tend son verre de gin tonic. Je porte le verre à mes lèvres.

« Il ne faut pas que M. Martinet puisse te voir. Il n'apprécierait pas que je te donne de l'alcool de bon matin »

Mme Martinet a serré ses genoux. Il aimerait encore moins s'il me surprenait en train de regarder ta culotte, pensais-je. Je penche la tête en arrière pour vider mon verre, mais Mme Martinet me surprend encore. Soudain, elle écarte ses jambes, m'offrant le plus merveilleux panorama qui soit. J'ai failli m'étouffer avec ma lampée de liquide fort. Tandis que le mélange frais coule dans ma gorge, les genoux de Mme Martinet se sont écartés, et elle me montre sa culotte en dentelle noire qui dissimule difficilement sa chatte.

Je prends mon temps pour sucer les dernières gouttes dans le verre, et Mme Martinet ne fait aucun commentaire ni aucun geste pour me presser. Le seul bruit dans la cour, c'est le bruissement des pages du magazine que Mme Martinet feuillette. Il y a suffisamment de clarté sous sa jupe pour distinguer sa chatte gonflée, et la présence du sillon vertical qui fend sa chatte en deux. J'étouffe un gémissement et je tords mes hanches pour alléger la pression sur mon érection naissante. Je finis mon verre et je le tends à Mme Martinet.

« En voudrais-tu un peu plus? »

« Non merci » J'ai peur que, si je continue à regarder sous sa jupe, je finisse par sortir ma bite pour me branler devant elle. Mme Martinet pose le verre, et feuillette son magazine. Je n'ai pas recommencé à jardiner. J'avais l'intention de le faire, mais à la place, j'ai mis ma main autour de sa cheville. Elle n'a rien dit.

Je déplace ma main de haut en bas, lentement, mes doigts pincent légèrement de chaque côté de son tendon d'Achille. Je n'ose même pas respirer. Mme Martinet reste silencieuse et immobile. Je monte ma main plus haut, jusqu'à ce que je tienne le muscle de son mollet dans ma paume.

« M. Martinet est toujours dans la maison » dit-elle doucement, sans la moindre trace d'émotion dans sa voix. Je ne réponds pas, je continue de caresser son mollet. Elle a réitéré son commentaire, et je l'ai de nouveau ignorée.

« M'entends-tu, Pierre? »

« Oui » Je lui réponds à voix basse, mais ma main continue de caresser son mollet, de sa cheville jusqu'au creux derrière son genou. Elle attend un peu avant de demander.

« Pierre? S'il te plaît ! »

« Il ne peut pas voir, même s'il sort » dis-je. « Pas à moins qu'il vienne jusqu'ici. »

« Ce n'est pas la question » répond Mme Martinet, sa voix commence à prendre son ton grave.

« Est-ce que cela soulage votre douleur? » Je demande. Avant qu'elle puisse répondre quoi que ce soit, j'ajoute :

« Est-ce que ça contribue à vous sentir mieux? »

« Oui, mais... »

« Pourquoi devriez-vous souffrir? Juste parce qu'il est à la maison? Il pourrait vous aider, mais il ne le fait pas »

Mme Martinet ne me répond rien. Je continue de caresser l'arrière de sa jambe, attendant sa décision, se lever et partir? Elle ne bouge pas, alors je m'enhardis. Ma main se déplace au-dessus de son genou pour masser sa cuisse. Ma main progresse le long de sa cuisse. Son soupir est une musique douce à mes oreilles.

Soupir de résignation ou de satisfaction? Peu m'importe. L'important, c'est qu'elle me laisse l'accès à sa cuisse. Toute la longueur de sa jambe m'appartient, de sa cheville à son aine. Je repousse son genou, et elle écarte docilement ses jambes, me donnant ainsi un meilleur accès. Je masse l'intérieur de sa cuisse, mon pouce frôle la culotte en dentelle, et un autre soupir s'échappe de ses lèvres. Je m'emporte, je me penche, et je passe ma tête sous sa jupe ample.

« Je m'en vais maintenant » La voix de M. Martinet s'infiltre dans ma rêverie. Je n'ai même pas entendu la porte. La main gauche de Mme Martinet se glisse sous ses jupes, elle attrape mes cheveux, me maintient en place.

« Veux-tu que je t'apporte quelque chose avant de partir? » Lui demande M. Martinet.

« Non merci, chéri » Lui répond Mme Martinet. Sa voix est altérée, contrairement à la prise ferme qu'elle maintient sur mes cheveux.

« Ton jeune homme est déjà parti? » Demande son mari.

Il ne peut pas me voir d'où il est. Je suis caché par le transat, son dossier relevé, l'angle du mur, et la jupe relevée sur ma tête. Je suis accroupi dans le giron de Mme Martinet, et je fais le geste le plus ridiculement dangereux de ma courte vie. Je pose ma main dans l'entrejambe de Mme Martinet, et je caresse le devant de sa culotte.

Mme Martinet est devenue rigide. Ses jambes commencent à se refermer pour bloquer ma main, mais se sont vite élargies pour maintenir la jupe tendue entre ses genoux, et me dissimuler aux yeux de son mari. Ses doigts crochés dans ma tignasse se resserrent encore plus, essayant de m'arracher la tête. Mes doigts s'affolent à frotter à toute allure la petite culotte en dentelle.

« Oui » Sa voix chevrote, elle toussote, puis plus fermement : « Oui. Il est parti »

Si M. Martinet s'approche maintenant, l'enfer se déchaînera.

« Comment est-ce qu'il se débrouille? »

«Très bien» répond Mme Martinet.

J'applique une pression plus forte afin que la première phalange de mon majeur pénètre même brièvement le sillon médian que j'ai repéré en regardant sous la jupe de Mme Martinet.

« Tu peux répéter, s'il te plaît? » insiste M. Martinet.

« Je t'ai dit que oui, il se débrouille bien »

Je retourne ma main et mon pouce explore le bas de sa culotte, entre ses fesses. La main de Mme Martinet me serre si fort les cheveux que j'ai l'impression qu'elle va m'arracher une poignée de cheveux.

« Très bien. Alors, je m'en vais, maintenant »

Les abdominaux de Mme Martinet se tendent, et je l'imagine hochant la tête en agitant sa main libre pour dire adieu à son mari. La porte s'est refermée, et la prise de Mme Martinet s'est relâchée. Je profite de l'instant pour pousser ma main sous ses fesses, et j'approche mon visage de sa culotte brodée. Je saisis l'entrejambe de sa culotte en dentelle, et je la tire de toutes mes forces vers le bas. Je suppose qu'elle a eut peur que je déchire le précieux sous-vêtement, parce qu'elle soulève ses fesses pour me faciliter la tâche.

Dès que j'ai dégagé ses fesses, je glisse la petite culotte jusqu'à ses chevilles, et je la fais passer sous son pied droit pour qu'elle reste accrochée à sa cheville gauche. Mon visage atterrit directement sur sa chatte humide qu'elle approchait déjà à ma rencontre.

Mme Martinet pousse un cri en pressant mon visage contre sa chatte ardente. J'attrape ses cuisses, derrière ses genoux, j'utilise ma prise pour pousser ses jambes vers le haut, pendant qu'elle presse mon visage contre sa chatte.

« Mange-moi, maintenant, espèce de petit salaud insolent » crie-t-elle en avançant ses hanches au bord du siège.

Je sonde sa fente avec ma langue pour trouver le trou, et je pousse deux doigts dans son antre humide et onctueux. Mme Martinet relâche ma tête et je positionne ma bouche sur son clitoris. Ma main gauche part à la recherche de sa poitrine. Les doigts de ma main droite coulissent dans sa chatte, pendant que ma langue et mes lèvres s'activent sur son clitoris.

J'avais juste l'intention de la chauffer suffisamment pour qu'elle ait envie de baiser, mais elle est tellement excitée, et elle me tient la tête si fermement que je continue de lui manger la chatte. Elle mérite vraiment une friandise et je décide de la combler. Je ne comprends pas comment tout le monde a pu commettre l'erreur de la considérer comme une terreur. Cette femme est tout sauf glaciale. Elle est ardente et libertine.

Merci, coach, pour cette mission merdique. J'en sourirais presque. Les taquineries de ce matin font effet. Mme Martinet gémit constamment, interrompue seulement par des petits cris bien féminins. Je déploie tout mon arsenal, toute ma science apprise en matant des pornos en ligne. J'enfonce ma langue, je secoue la tête, je lèche, je suce, tant et si bien que je commence à avoir mal au cou.

Mme Martinet a dépassé le stade du conscient, et elle se déchaîne. Elle serre ma tête entre ses cuisses, verrouille ses chevilles derrière moi, et ses hanches s'agitent dans une frénésie démoniaque. Elle baise mon visage avec sa chatte comme une possédée. Elle pousse un cri qui se termine dans un râle, repousse ma tête, se recroqueville sur le flanc en tremblant comme une feuille secouée par le vent d'automne.

Je me relève pour la regarder jouir. Une expression d'intense émotion apparaît sur son visage, puis elle ferme ses jolis yeux en essayant de calmer son souffle. Je baisse mon short pour décompresser ma bite douloureuse. J'aide Mme Martinet à se retourner sur le dos.

Je prends ses jambes par les chevilles, je les repousse en les écartant, et je m'allonge entre ses cuisses écartées. J'aligne ma bite avec sa chatte humide. Mon gland écarte ses lèvres et cherche l'entrée de sa chatte. Mme Martinet ouvre les yeux lorsque ma bite s'insère en elle. Elle ne dit rien. Son regard vide n'exprime ni autorisation, ni refus.

Je pousse ma bite dans sa chatte offerte, de toute ma longueur, jusqu'à ce que mes couilles entre en collision avec son cul. Je ressors presque totalement, et je la pénètre de nouveau entièrement, mais avec une poussée plus pressante. Je suis récompensé par un grognement guttural de Mme Martinet.

Mme Martinet me dévisage calmement pendant que je la baise. Je commence par des mouvements longs et lents, coulissant entièrement, m'assurant à chaque pénétration d'aller bien à fond, claquant fermement ses fesses contre la chaise longue. La cadence augmente progressivement, mais la longueur ne change pas. Quelques gémissements, quelques grognements de l'un ou de l'autre, bientôt couverts par les gifles de nos chairs qui se heurtent.

Bientôt, son regard se trouble, et elle ne peut plus soutenir mon regard. Sa bouche grande ouverte peine à approvisionner ses poumons en air frais. Elle geint et me serre dans ses bras. Elle enserre mes reins avec ses jambes pour soulever ses hanches contre mes poussées. Des bruits dangereux se propagent par-delà les haies qui entourent le jardin. Des bruits d'un couple en train de forniquer.

Mais elle ne s'en soucie pas. Elle n'essaye pas d'atténuer ses cris, ne me force pas à ralentir. Elle ne pense qu'à son plaisir, et m'encourage de la voix et du geste à la baiser plus fort. Jamais auparavant je n'avais baisé une telle salope. Bien sûr, je n'ai pas beaucoup d'expérience, mais aucune ne m'avait préparé à affronter une telle furie.

Mme Martinet a été ma première vraie femme. Celle qui compte vraiment, et que n'oublierai jamais. L'expression de son visage, son regard, sa détermination. Elle n'est pas amoureuse de moi, c'est encore mieux, elle m'a tout donné. Elle a fait de moi un homme en me permettant de me dépasser.

Puis mes hanches sont devenues autonomes, et j'ai commencé à vraiment marteler Mme Martinet. Je n'ai pas pu me contrôler, me réfréner. C'est alors qu'elle a eut ce drôle de rictus qui ressemble à un sourire. Elle a penché sa tête en arrière, la secouant en tous sens, sa chatte a serré ma bite fortement, comme si elle voulait me traire, et j'ai éjaculé en elle. Nous avons jouis ensemble mais après, tout de suite après, elle a éclaté de rire.

Elle m'a caressé la nuque et m'a ébouriffé les cheveux pendant que j'étais effondré sur elle, le visage dans son cou. Lorsqu'elle s'est finalement dégagée, elle a remis sa culotte en place, lissé sa jupe le long de ses jambes, et elle m'a dit :

« Apporte mon verre à l'étage avant de partir »

En regardant Mme Martinet se diriger vers la maison, j'ai réalisé qu'elle n'avait même pas pris le temps de défaire son chemisier. Je n'ai pas vu ses seins, et la façon dont elle s'éloigne de moi, j'ai l'impression que je ne les verrai jamais. J'ai frappé timidement à la porte de sa chambre.

« Entre. Tu n'as pas besoin de frapper, pour l'amour de Dieu ! »

Je pousse la porte pour apporter le verre et le pichet de gin tonic dans la chambre de Mme Martinet. Elle se tient devant sa commode, en train de retoucher son maquillage. Elle me montre la table de chevet de l'autre côté du lit. Je pose le verre et je le remplis.

« Veux-tu boire un verre avant de partir? » elle me demande.

Je hoche affirmativement la tête.

« Eh bien, alors, bois ! »

Je bois juste une petite gorgée. Mme Martinet dégrafe sa jupe plissée, et la pose sur le dossier d'une chaise. Ses mains sont déjà en train de défaire son chemisier lorsque le verre quitte mes lèvres. Mme Martinet me sourit.

« Bois tout » me dit-elle.

Je bois le verre de gin tonic pendant que Mme Martinet se défait. Elle porte un soutien-gorge en dentelle noire. La culotte assortie a disparu. Sa chatte a l'air d'avoir bien supporté nos récents excès. Le soutien-gorge ôté, les seins de Mme Martinet ont jailli, un peu plus bas mais pas trop. Ils sont d'une bonne taille pour une femme sportive. Les tétons pointent vers le haut, comme des effrontés.

« Tu as oublié de regarder mes seins, dans ta hâte. Est-ce qu'ils obtiennent ton approbation? »

Je hoche la tête intensément.

« Eh bien, alors, bois ! » Elle rit.

Mme Martinet rampe sur le lit et s'allonge sur le dos, les jambes écartées. Elle est entièrement nue. Elle place son bras gauche sous sa tête et ébouriffe ses cheveux roux sur l'oreiller. Elle semble s'amuser.

« Eh bien, je sais maintenant que tu peux me baiser. Voyons si tu sais faire l'amour? »

La rapidité avec laquelle je me débarrasse de mes vêtements amuse Mme Martinet. Elle me regarde, en appui sur un coude, les jambes ouvertes, mais quand je monte la rejoindre sur le lit, ses jambes se resserrent et elle se tourne sur le flanc pour me faire face.

« Ralentis, bébé »

J'essaye de l'attirer contre moi, mais elle résiste, ses deux mains poussent contre mon torse. J'essaye de happer son mamelon avec ma bouche, sans succès. Elle se contente de sourire, et je suis frustré. Elle fait la moue, comme une petite fille. Bien sûr, elle veut faire l'amour, mais en restant chaste. Si elle veut que je sois son prince charmant, je peux lui faire ce plaisir pendant quelques minutes.