Satisfaire Mme Martinet

BÊTA PUBLIQUE

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Je l'ai embrassée pendant une éternité. Mes caresses sur ses zones les plus érogènes, ses seins, sa chatte, ont été refusées. J'ai essayé de frotter ma bite contre elle, sur sa cuisse, ou son ventre, sans succès. Résigné, je me suis contenté des zones secondaires comme ses épaules, son flanc, ses cuisses. Plus tard, bien plus tard, Mme Martinet a saisi mes cheveux pour éloigner mon visage du sien. Elle m'a murmuré:

« Embrasse-moi partout, chéri »

Enfin! Ma bouche a pu glisser sur sa joue jusqu'à son cou, et s'est rapidement dirigée vers sa poitrine. Merde! Elle me repousse encore !

« Pas ici. Pas encore » murmure-t-elle d'une voix rauque. Elle attrape ma main, la pose sur son sein, puis sur sa chatte, et la repousse.

« Embrasse-moi partout, mais pas ici, ni là. Je te dirai quand je voudrai ta bouche à cet endroit-là »

Alors j'ai fait ce qu'elle m'a demandé. Je l'ai embrassée, sucée et grignotée sur tout le corps, sauf aux endroits défendus. En fait, j'ai pris du plaisir à essayer de la battre à son propre jeu. Puisque ces parties de son corps me sont interdites, je les ai ignorées. Au début, elle prenait du plaisir à me repousser. Maintenant, elle est déçue que je ne m'y intéresse plus, et ses soupirs de déception me ravissent. Une sorte de transfert de pouvoir.

De celui que l'on repousse, je suis devenu celui qui refuse. Celui qui donne ce qu'il veut quand il veut. Je commence à apprécier son truc de « faire l'amour ». J'adore les réactions de son corps quand je la fais languir. Ses frissons lorsque ma bouche évite habilement sa chatte ou son nichon, alors qu'elle semblait se diriger droit dessus. Enfin, j'ai décidé que c'est assez, et j'ai roulé Mme Martinet sur le dos pour la baiser.

Elle replie ses jambes et les ouvre en grand lorsque je me blottis entre elles, cambrant ses reins pour faciliter mon entrée, mais je m'arrête juste au bord pour sucer son mamelon. Désireuse d'être prise, elle soulève ses hanches pour tenter de m'aspirer, mais je me recule pour lui échapper. Elle grogne de dépit, et sa main me claque les fesses. Je délaisse son mamelon pour l'embrasser sous son oreille, en riant de mon triomphe devant son impatience.

« Fais-moi l'amour, Pierre » Quémande-t-elle.

« Supplie-moi »

Elle est fière, ne veut pas s'abaisser, alors elle rampe, se tord, cherchant à saisir ma bite avec sa chatte. Elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi, gémissante de désir et de frustration. Finalement, ses efforts sont vains, alors elle cède :

« S'il te plaît, chéri, baise-moi, maintenant »

Mme Martinet baisse ses jambes dès mon entrée, et nous sommes maintenant parfaitement ajustés, nos corps soudés l'un à l'autre, avec le maximum de peau en contact étroit. J'aime cette sensation de ne former qu'un seul être. J'aime l'intensité du moment, chaque son, et son odeur. Elle sent bon quand elle fait l'amour.

Jusqu'à présent, mes amours étaient plutôt virtuelles, devant des pornos, ou avec des filles aussi inexpérimentées que moi. C'est l'orgasme le plus intense et le plus long que j'ai connu. J'ai des difficultés à réaliser, mais il a duré bien après que j'ai giclé ma dernière goutte de sperme au fond de son ventre.

Nous sommes restés longtemps assemblés l'un contre l'autre. J'ai simplement adoré ce moment où, à bout de souffle, j'ai eu le sentiment de renaître, de commencer une nouvelle vie.

« Waouh » Mme Martinet a roulé sur moi et m'a embrassé longuement sur la bouche.

Nous sommes restés enlacés longtemps, trop occupés à nous aimer, et nous séparer a été une épreuve cruelle.

La blessure de Mme Martinet a guéri, et elle a pu reprendre la direction de l'équipe féminine. Mon coach a été ravi des commentaires que Mme Martinet lui a fourni au sujet de ma prestation. Pendant l'été, Mme Martinet s'est séparée de son mari, et nous avons emménagés ensemble. A la fin de ma deuxième année d'université, nous nous sommes mariés en secret.

Mme Martinet voulait surtout « faire l'amour », et elle m'imposait tout un tas d'épreuves qui augmentaient notre convoitise. Pour des occasions spéciales, par exemple mon anniversaire, j'avais tous les droits. Mme Martinet me laissait assouvir tous mes fantasmes. Je pouvais décider d'utiliser n'importe lequel de ses orifices, elle acceptait d'être attachée, les mains dans le dos, et les yeux bandés. Elle ne refusait que la douleur et l'avilissement.

Le reste du temps, c'est Mme Martinet qui dirige les ébats. Ah ouais, c'est aussi une de ses bizarreries. Je l'ai toujours appelée Mme Martinet. Je n'ai jamais utilisé son prénom. Si j'osais insister, elle me répondait qu'elle n'aimait pas son prénom.

Au total, nous avons vécu quatre merveilleuses années ensemble. Un soir, en rentrant à la maison, elle m'attendait, habillée, prête à partir. Il a fallu qu'elle m'explique, je ne comprenais pas. Elle partait définitivement, et je ne la reverrais plus. Je suis resté abasourdi, sans réaction. Il n'y a pas eu de cris, ni de disputes.

Elle est montée dans le taxi, et elle est partie. J'ai fait le tour de la maison, toutes ses affaires personnelles avaient disparues. Et je ne l'ai plus jamais revue. J'ai passé beaucoup de temps à ruminer dans le noir. J'ai essayé de retrouver les sensations, les odeurs, en rassemblant mes souvenirs. J'ai même fait une dépression en réalisant qu'elle ne m'avait jamais dit : « je t'aime »

Je suis à la maison, un misérable jour d'automne, et le crétin qui tape à ma porte n'accepte pas comme réponse mon : « allez vous faire foutre ». Un type se tient sur le pas de la porte, et il me tend une enveloppe. Juste un faire-part qui concerne une relation de Mme Martinet. Le temps de le décacheter, de le lire, j'ai voulu lui dire que ça ne me concerne pas, mais il est déjà parti.

Et puis j'ai réfléchi. Et si elle venait assister à la cérémonie funéraire? Je pourrais la voir, lui parler. Je me dois d'aller là-bas et de tenter ma chance. Lui expliquer que je souffre trop. Que je ne peux pas vivre sans elle.

Les funérailles sont très conventionnelles, M. Stahl était de toute évidence un homme fortuné. Mme Martinet n'est pas venue, et je ne connais personne. J'ai assisté à la réception qui s'est tenue ensuite, surtout par curiosité. J'aurais aimé parler à sa veuve pour savoir si elle connaissait Mme Martinet, mais je savais que ce n'était pas très approprié. J'ai été surpris par Mme Stahl.

D'après les photos, pendant la cérémonie, M. Stahl semblait être une personne âgée. Probablement la soixantaine, au moins. Mme Stahl semble avoir au plus trente-cinq ans. Même dans sa longue robe noire, il était évident qu'elle a une jolie silhouette, qui provoque en moi une réaction charnelle. Je suis troublé par sa beauté, et cette femme m'intrigue.

La cérémonie se tient dans le manoir du défunt. Je suis dans un coin de la grande pièce de réception, près d'une porte. Mme Stahl est entrée par une porte située à l'autre extrémité de la grande pièce. Je la suis des yeux pendant qu'elle traverse la pièce. Elle passe de groupe en groupe pour saluer les gens qu'elle connaît. Elle échange quelques mots avant de passer au suivant. Alors qu'elle arrive à ma hauteur, je m'efface pour ne pas gêner sa sortie.

Elle passe devant moi en me saluant d'un bref signe de tête. Mais après quelques pas, elle s'arrête, hésite, puis se retourne, et me dévisage :

« Vous êtes Pierre, n'est-ce pas? » Interroge-t-elle sans lever son voile.

« Heu, oui » Je suis surpris qu'elle me connaisse.

« Merci d'être venu. Je ne savais pas que vous connaissiez mon mari, M. Stahl. En fait, je suis surprise que Carole vous ait informé du décès »

« Je ne connaissais pas M. Stahl. En fait, je ne connais personne, ici »

Mme Stahl hoche la tête, puis elle se détourne et commence à monter les escaliers.

« Avez-vous dit Carole? » Je lui demande.

Mme Stahl s'arrête et se tourne de nouveau vers moi. « Oui. Vous viviez ensemble, n'est-ce pas? »

« Heu, oui. Pardonnez-moi. Je n'avais pas compris de qui vous parliez »

Mme Stahl me regarde attentivement, une main sur la rampe. Elle semble en proie à une intense réflexion, mais il m'est impossible d'imaginer le cours de ses pensées, d'autant plus qu'elle a toujours son voile sur son visage.

« Voudriez-vous vous joindre à moi quelques minutes? À l'étage? »

Elle se tourne et monte les escaliers sans attendre ma réponse, comme si elle était convaincue que je la suive. C'est ce que je fais, en me réprimandant parce que mes yeux ne peuvent pas quitter le spectacle du galbe de ses fesses qui se balance sous le tissu révélateur, au rythme de ses pas. Je ne suis pas venu pour rien. Au moins, je vais apprendre où se cache Mme Martinet. Ou Carole, puisqu'il semble que ce soit son prénom.

Nous avons vécu ensemble presque quatre ans, et j'ignore tout d'elle, même son prénom. Je suis Mme Stahl jusqu'à une grande pièce, qui s'avère être sa chambre. Je suis surpris par l'immensité de la pièce, et je me demande ce que je fous ici. Elle se dirige vers sa coiffeuse, ôte son voile et son chapeau, puis secoue la tête en libérant une masse de cheveux châtains qui se répandent sur ses épaules. Elle est vraiment très belle.

« Alors, vous ne connaissiez pas mon mari, même après avoir vécu avec sa sœur pendant quatre ans? »

Sa sœur? M. Stahl était le frère de Mme Martinet? Je suis stupéfait, et ça doit se voir sur mon visage, parce qu'elle éclate de rire.

« Je vois que vous ignoriez tout d'eux. Leur penchant pour le secret n'était pas une légende »

« Je ne savais même pas qu'elle s'appelait Carole. Nous avons vécu ensemble sans que je connaisse son prénom » Je lutte pour essayer d'assimiler toutes ces informations.

« Comment l'appeliez-vous? » Me demande Mme Stahl. Elle se tourne de côté, remonte sa longue robe au-dessus de son genou pour quitter ses talons. Sa silhouette, dans le contre-jour de la fenêtre, penchée en avant, ses cheveux tombant devant son visage, est d'une beauté à couper le souffle.

« Je l'appelais Mme Martinet »

« Mme Martinet? » Elle se tourne vers moi et éclate de rire. « Sérieux? »

Je hausse les épaules. « Ouais, pendant quatre ans, je l'ai appelée Mme Martinet. Je ne connaissais pas son prénom avant que vous le disiez en bas »

Elle reste pensive « Incroyable, son vrai nom, c'est Mademoiselle Stahl. Elle ne s'est jamais mariée »

« N'importe quoi. Elle a été mariée d'abord avec M. Martinet, puis avec moi ! »

« Avez-vous vu l'acte de mariage? »

« Non. C'était lors d'une cérémonie privée et civile dans notre maison »

« Pierre, elle ne vous a jamais épousé, croyez-moi, pas plus que ce M. Martinet, d'ailleurs »

Je scrute son visage, je doute, mais je sais confusément qu'elle me dit la vérité. Incroyable.

« Mais comment savez-vous qui je suis? Et comment connaissez-vous mon prénom? Vous ne saviez même pas si je connaissais votre mari? D'où connaissez-vous mon nom? »

« J'ai entendu parler de vous à plusieurs reprises »

« Vous la connaissez bien? Elle vient souvent ici? »

« Presque jamais. Je ne l'ai rencontrée que deux ou trois fois, par hasard »

« Mais à quelle occasion l'avez-vous entendu prononcer mon nom? »

Mme Stahl semble hésiter, puis elle fait un signe de tête en direction de la porte derrière moi.

« Verrouillez la porte, je vais vous montrer »

Je ferme et je verrouille la porte, puis je me retourne pour obtenir des réponses. Je suis perplexe, en colère, même si ce n'est pas directement dirigé contre elle. Je suis en colère contre moi-même et ma stupidité, contre ce complot entre le frère et la sœur, contre le monde entier.

Mme Stahl se tient au centre de la chambre, elle pointe une télécommande vers un grand écran fixé au mur.

« Maintenant, dites-moi, Mme Stahl. Où et quand avez-vous entendu prononcer mon nom? »

« Taisez-vous, je vais vous montrer un document. Et appelez-moi Carène, pas Mme Stahl »

L'écran s'allume au milieu d'une vidéo, comme si le film avait été mis en pause, et attendait d'être redémarré là où il avait été arrêté, au début d'un passage favori. Mme Martinet est agenouillée, les mains liées derrière le dos, ses fesses nues reposent sur ses talons. Un homme la tient d'une main accrochée dans ses cheveux, sur le haut de la tête, et lui enfonce profondément sa bite dans la gorge.

Il lui maintient la tête en place pendant qu'il lui baise la bouche. Sa bite est profondément enfoncée dans la gorge de Mme Martinet, comme s'il voulait l'étouffer. Au bout d'un moment, il se retire, lui permettant de respirer, alors que sa salive ruisselle sur son menton. Mme Martinet lève ses yeux pleins de larmes vers l'homme qui la domine.

« Joyeux anniversaire, Pierre »

Mme Stahl... Carène... se retourne vers moi et me sourit. Derrière elle, sur l'écran, je continue de baiser durement la bouche de Mme Martinet.

« Nous avons plusieurs vidéos, pour la plupart insipides et romantiques, mais j'adore ces quelques scènes de vraie baise hard. Je suis une de vos plus grandes admiratrices depuis des années, Pierre »

Pour la énième fois ce jour-là, je suis resté bouche bée. Le regard vide, mes yeux vont de Carène à la scène qui se déroule sur l'écran, derrière elle. Les mains de Carène se lèvent pour défaire le fermoir de sa robe, derrière sa tête, puis se baissent pour défaire la fermeture éclair.

« Pouvez-vous imaginer ce que serait votre vie si chaque nuit était comme celle-là, Pierre? »

« Pouvez-vous imaginer posséder une femme que vous domineriez comme ça, tous les jours de l'année? »

« Aimeriez-vous que je sois cette femme, pour vous, Pierre? »

Carène se tourne, elle saisit à deux mains l'ourlet de sa longue robe noire pour la remonter jusqu'en haut de ses cuisses fuselées, se penche, et s'agenouille sur le canapé rembourré. Elle cambre ses reins, trousse sa robe au-dessus de ses fesses, exposant un cul charmant. Elle se tord le cou pour me regarder, les yeux mouillés de désir, et sa bouche aux lèvres pulpeuses me murmurent son invitation.

« Mon mari est décédé, et j'ai besoin d'un homme viril pour prendre soin de moi, Pierre »

« Pensez-vous pouvoir être macho comme ça avec moi, Pierre. Pouvez-vous être mon homme? »

J'ai arraché mes vêtements. Ne pas perdre la moindre seconde. J'ai désespérément besoin de me débarrasser des années de contrainte que Mme Martinet m'a imposées, me faisant croire que je le voulais. J'ai besoin d'une baise sauvage, insensée et féroce. Mme Stahl... Carène me supplie de la transpercer avec mon sceptre.

Agenouillé derrière elle, sans veston, la chemise débraillée, le pantalon sur les chevilles, mes mains font glisser sa culotte à mi-cuisses, puis ma main gauche s'empare de sa tignasse pour tirer sa tête en arrière, ma main droite guide ma bite qui fouille sa fente à la recherche de l'entrée du paradis.

« Baise-moi » Supplie-t-elle.

Je pousse ma bite brutalement jusqu'au fond de sa chatte, la projetant contre le dossier du canapé. Elle veut du brutal, elle va être servie. Toute ma colère et ma rancune accumulées depuis des semaines, elle va payer pour Mme Martinet. Je la percute de toutes mes forces, en saisissant ses bras et les lui tordant en arrière. Mon ventre claque sur ses fesses, mes couilles heurtent sa chatte, et nous soufflons comme des locomotives.

Je la baise à fond pour me débarrasser de mon passé et trouver mon avenir. Elle tellement charnelle, libertine et sexy. C'est une véritable femelle, sans sophistication, juste de la passion. Je la baise de toutes mes forces et elle entame une mélopée faite de cris, de gémissements, de souffle et d'encouragements. J'aime tout en elle, sa soumission, les yeux fermés, la bouche ouverte, ce corps qui s'offre et qui réclame encore plus.

Merde! Je viens déjà ! Mon abstinence de ces dernières semaines ne me permet pas de me retenir plus longtemps. C'est comme si de la lave en fusion jaillissait de mon corps. Je peux sentir la prise de sa chatte se resserrer autour de mon pénis. Dieu merci, elle n'a pas tenu plus longtemps que moi avant d'exulter. Pour notre première fois, je n'aurais pas aimé la laisser en plan. Bêtement, je lui ai murmuré : « Je t'aime, je t'aime » A une femme que je ne connais même pas.

Affalé sur le canapé, j'essaye de retrouver mon calme et mes esprits en tentant d'analyser ce qui vient d'arriver. Carène se lève, agrippe sa robe et marche, sereine, le dos de la robe ouvert, jusqu'à la salle de bain. Elle revient quelques instants plus tard, portant un grand drap de bain qu'elle étale sur moi. Elle fait glisser nonchalamment sa robe et la dépose sur un cintre. Elle retire son soutien-gorge noir en dentelle très sexy. Ses seins libérés s'agitent joyeusement, et je pense que j'aurais dû leur consacrer un peu d'attention.

Étrangement, je me rappelle que j'avais négligé la poitrine de Mme Martinet, la première fois que je l'avais baisée. Nue, à l'exception de ses bas noirs, Carène ramasse la télécommande et se glisse sous la couette. Elle pointe la télécommande vers l'écran et me dit :

« Commençons par le commencement. Nous avons pas mal de vidéos à visionner »

Je la rejoins dans le lit, un instant plus tard j'ai ses magnifiques seins dans mes mains, je pétris ses globes en ne laissant dépasser que les tétons pour pouvoir les lécher et les sucer. Souriante, elle me caresse la tête en disant :

« Je parie que tu ne peux pas tenir plus de quinze minutes sans me baiser à nouveau » Elle a eut raison.

Je ne suis même pas retourné à mon appartement. Carène a demandé à une entreprise de récupérer mes effets. Carène m'a embauché comme employé dans sa société. Nous vivons ensemble, mais légalement je n'ai droit à rien. Cela me rappelle Mme Martinet, qui avait établi avec moi un contrat semblable. La comparaison entre ces deux femmes s'arrête là. Au lit, Carène est une tornade.

Carène tient ses promesses. Chaque jour, elle disponible pour moi, comme je le souhaite. Elle s'ingénie à trouver des trucs sexys à faire pour m'émoustiller. Par exemple, un après-midi, elle me dit qu'elle est fatiguée, et qu'elle monte dans sa chambre pour faire une sieste. Au bout d'une heure, je vais la rejoindre pour savoir si tout va bien.

Je la trouve dans son lit, recroquevillée en boule. Ses genoux sont pressés contre sa poitrine par une ceinture de cuir enroulée autour de son dos et de ses cuisses, fermée juste sous ses genoux. Ses pieds sont maintenus liés sous ses fesses par une ceinture de kimono, enroulée autour de ses chevilles et attachée à la ceinture dans son dos. Les bras de Carène sont menottés dans son dos. Visiblement, quelqu'un l'a aidée à s'installer dans cette position.

« Où étais-tu? Je t'attends depuis des heures »

Je n'ai pas mis longtemps à me débarrasser de mes vêtements, et à m'installer sur le lit. Plaqué contre les fesses de cette petite boule de Carène, j'ai plongé ma bite dans sa chatte offerte. L'idée qu'elle soit là, disponible, pendant tout ce temps, sans que je le sache, m'a rendu presque fou furieux. Je l'ai baisée si fort, et j'ai recommencé à la baiser dans plusieurs positions après l'avoir partiellement détachée.

Elle a certaines manies de Mme Martinet. Elle aime me regarder intensément dans les yeux pendant que je la baise. Mais quand elle s'abandonne aux sensations qui montent de son ventre, elle ferme ses jolis yeux, et rejette la tête en arrière. Elle aime vraiment faire l'amour. Tout le temps, dans toutes les positions, n'importe où, elle est disponible pour moi. Et elle produit tous les sons et tous les gestes d'une femme amoureuse. Je ne pense pas qu'elle puisse simuler à ce point la jouissance, si elle ne ressent pas de plaisir.

Un jour, elle recevait des consultants en aménagement, en prévision de la rénovation de l'aile ouest de sa maison. Sur les lieux, elle leur a demandé de préparer leurs suggestions, et de nous excuser quelques instants. Elle m'a pris par la main, m'a entraîné dans la pièce voisine, et elle s'est penchée sur la table en troussant sa robe au-dessus de ses fesses.