Fantasme de Dressage

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Une éducation au candaulisme.
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Rainett
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Chapitre 1 : Nous vivons dans une petite cité de banlieue avec d'importantes communautés d'origines étrangères. Depuis des années, je fantasme de voir ma femme Bérengère baisée par des hommes fortement membrés, alors que je suis obligé de regarder. Grâce aux réseaux sociaux, j'ai fait la connaissance de mecs qui prétendent être des "dresseurs de femmes".

Finalement, j'ai sélectionné un gars, un tunisien, Adil, qui m'assure qu'il adore soumettre et dompter les femmes en étant extrêmement violent avec elles. Je lui ai envoyé des photos de ma femme Bérengère, jolie blonde de 38 ans, et il m'assure qu'il a très envie de la baiser, ce qui ne m'étonne pas. Son idée de rencontre improvisée repose sur le fait d'organiser un léger accident de voiture devant son bar. Il nous emmènerait à l'intérieur pour remplir la déclaration d'accident pour l'assurance. Ensuite, il s'occupera de ma femme.

Vendredi soir, je propose à Bérengère une sortie en ville. Elle s'habille simplement, en jeans, chemisier blanc et blouson marron. Des baskets aux pieds pour la marche. Nous avons suivis le trajet en voiture que j'avais envisagé avec mon ami Adil. Il connait la marque et le numéro de ma voiture, et il m'attend.

À l'endroit convenu, il sort de sa place de parking juste au moment où je le dépasse. Je freine, mais je heurte sa voiture. Pas très fort, mais il insiste pour faire un constat, et j'accepte. Le mec est sombre, vêtu de noir, le visage sévère, des petits yeux méchants. Je gare ma voiture et je demande à Bérengère de ne pas rester seule, et de m'accompagner à l'intérieur du bar. Le simple fait de regarder Adil et de l'imaginer en train de baiser ma femme m'excite déjà beaucoup.

Le bar est un endroit sombre et sale. Nous nous asseyons sur des tabourets devant le bar. Aux tables, quelques rares clients suivent des yeux ma femme, en regardant ses fesses moulées dans son jeans. Des types entre deux âges occupés à jouer aux cartes ou aux dominos. Adil, derrière son bar, nous offre un verre. Bérengère prend un thé, et moi un coca.

Adil nous tourne le dos pour préparer les boissons, mais je soupçonne qu'il ajoute quelque chose dans la boisson de ma femme. Cela va enfin arriver, et je suis tout émoustillé ! Il sert nos boissons, et nous remplissons les papiers pour l'assurance. Bérengère regarde le décor miteux en tournant sa cuillère dans son thé. Je la regarde dans le petit miroir derrière le bar pendant qu'elle boit son thé. Elle a l'air de le trouver bon...

Au bout de quelques minutes, je demande les toilettes et Adil, serviable, me montre le chemin. Nous laissons Bérengère seule au bar. Dans l'arrière-boutique, Adil me confie qu'il est très satisfait de la "marchandise" que je lui ai apportée. Il me montre la disposition des lieux, le banc au milieu de la pièce qui servira de couche à Bérengère quand ils la baiseront. Il écarte un rideau, une lourde tenture qui dissimule un réduit. Il me demande de me cacher là, et de regarder quand ils amèneront ma femme.

Bientôt, je ne tiens plus, je dois savoir ce qui se passe. Je sors de ma cachette et j'entrebâille légèrement la porte. Devant mes yeux, le spectacle le plus érotique que je puisse imaginer. Encore mieux que dans mes fantasmes les plus osés. Bérengère est assise au bar, Adil se tient debout derrière elle, tout contre elle, il l'embrasse dans le cou en lui caressant ses seins. Elle semble sans réaction, mais ensuite elle tourne la tête et lui tend ses lèvres. Bientôt, Adil l'embrasse fougueusement.

Pendant ce temps, les hommes présents ferment les volets et le rideau du bar pour qu'il paraisse fermé de l'extérieur. Bérengère ne semble pas remarquer la pénombre propice. Sans cesser de l'embrasser, Adil dégrafe et ouvre son chemisier. Les autres hommes s'approchent pour regarder. Un gars plus audacieux que les autres sort les seins de Bérengère des bonnets du soutien-gorge. Aussitôt, c'est la curée. Ils veulent tous tâter, palper, sucer et lécher les beaux nichons blancs de ma femme.

C'est vraiment en train d'arriver, elle va se faire baiser par ces mecs. De vrais durs à cuire. Je bande comme un âne en voyant le tableau. Adil ne lâche pas sa bouche qu'il embrasse goulûment. Elle ne se préoccupe que de lui. Elle lève son bras pour caresser la nuque d'Adil. Les autres mecs qui la tripotent ne l'intéressent pas, elle semble subjuguée par le regard sombre d'Adil.

Depuis mon poste d'observation, je les regarde déshabiller ma femme, lui ôter ses chaussures et son jeans. Elle se tient là, au centre des attentions de cette bande de pervers, avec juste sa culotte blanche, son chemisier ouvert et ses seins qui sortent des bonnets. Elle a des mains partout sur elle, même à l'intérieur de sa culotte. Un vieux type attire mon attention. Il est particulièrement crasseux et repoussant, il a sorti son sexe de son pantalon, et il se paluche doucement d'une main pendant qu'il tâte le cul de ma femme de l'autre. Il semble avoir un sexe hors norme, même si je ne vois pas bien d'où je suis.

Impossible de voir le regard de ma femme, comme elle tourne sa tête de l'autre côté, mais elle me semble aguichée. Ils la font se lever et s'approchent de la porte où je suis dissimulé. Du coup, je me précipite dans le fond de la pièce pour me dissimuler derrière le rideau. Elle semble m'avoir complètement oublié. Ils s'installent dans la pièce près de moi. C'est sale, encombré, et ça pue le rance et le moisi. Au plafond, une seule ampoule éclaire les ébats.

J'écarte un peu le rideau pour jeter un coup d'œil. Je vois surtout le dos des hommes, mais j'entrevois Bérengère qui est allongée sur le banc au centre de la pièce. Ils lui ont enlevé la totalité de ses vêtements, et elle est allongée nue sur le dos. Tous les hommes groupés en cercle autour d'elle ont les mains sur elle, et ils s'extasient devant la marchandise de choix qui leur est offerte.

Je vais enfin voir de grosses bites la baiser à cru comme me l'a promis Adil. Effectivement, les uns après les autres, je les vois sortir leurs sexes, et ils sont tous bien équipés. D'elle-même, je vois Bérengère écarter ses jambes en voyant Adil s'approcher d'elle avec la bite à l'air. Apparemment, elle a un béguin pour lui, les autres semblent ne pas compter pour elle. Je vois Bérengère soulever sa tête pour regarder entre ses jambes Adil se rapprocher de sa chatte.

Juste avant qu'il essaye de la mettre dedans, elle le prend en main et le caresse avec passion. D'une main, elle écarte les lèvres de sa chatte, et de l'autre elle guide la grosse bite en elle. J'ai vu sa bouche dessiner un O muet et ses yeux s'écarquiller quand il est entré vigoureusement. Un mec profite de sa bouche ouverte pour y glisser sa bite dedans. Tout de suite, Adil se démène et la baise durement. On lui met des bites dans les mains, et tout un tas de mains anonymes s'excitent sur ses chairs offertes. On la baise, elle suce, elle branle et on la tripote, tout en même temps. Je suis aux anges, je vis un rêve éveillé.

Quand Adil a éjaculé, il laisse sa place au suivant. La tournante s'organise, un jeune remplace un vieux, un gros remplace un maigre, elle est baisée sans discontinuer. Dommage que je ne puisse pas filmer. Un mec lui tord un sein très fort, elle crie de douleur, et elle a reçu une gifle pour lui apprendre à fermer sa gueule. Tous les hommes se sont fait sucer et l'ont baisée. Jusqu'au dernier, le vieux cradingue.

Adil m'a raconté que c'est un clodo qui traîne dans le quartier. Il l'a fait venir parce qu'il a une bite énorme, mais il le fait passer en dernier parce que les autres ne veulent pas passer après lui. Ils disent qu'ils ne veulent pas choper des maladies. Le vieux pue la mort, mais Bérengère ne semble pas le remarquer, ou alors ça l'excite. En effet, quand il présente sa bite répugnante devant la bouche de ma femme, elle le suce sans hésiter. Il est énorme, malodorant, et les autres mecs, groupés en cercle, regardent l'engin du vieux clodo avec effarement.

Du coup, je sors de ma cachette, et je rejoins le groupe de spectateurs pour mieux voir. Mon arrivée ne surprend ni ne gêne personne. Je fais comme tout le monde, je regarde ma femme s'escrimer sur la monstrueuse bite du vieux, et le sucer comme si sa vie en dépendait. Il se retire de la bouche accueillante, et il fait le tour pour s'installer entre les cuisses écartées. Sa chatte est rouge vif et elle déborde de sperme.

Le vieux clodo se place devant l'entrée de sa chatte offerte. Je vois la plus grosse bite de l'univers la pénétrer ! Splendide ! Il la pénètre sans douceur inutile, de toute sa longueur, et les yeux de ma femme se révulsent. Elle a exulté juste pendant la pénétration ! Mais il ne ralentit pas son rythme. Il la baise avec vigueur, de toute sa longueur, pendant un temps infiniment long. Et quand il éjacule, sa chatte martyrisée ne peut retenir tout ce sperme qui gicle sur ses cuisses et coule sous ses fesses.

Toute la soirée, ils la baisent dans la bouche ou dans le cul. Les mecs présents ne veulent plus utiliser sa chatte. Je ne comprends pas tout ce qu'ils disent, j'hésite entre la crainte des maladies, ou le fait que le vieux clodo l'a tellement élargie qu'elle ne peut plus servir pour ce soir. Elle est battue, giflée, fessée, ses seins sont pincés, tordus, et elle accepte tout sans broncher. Mais sa chatte est restée la propriété du vieux clodo pour la soirée. Il l'a baisée quatre fois de plus et la dernière fois, elle a enroulé ses bras et ses jambes autour du vieux clodo, pour l'attirer contre elle. Et elle l'a embrassé passionnément, à pleine bouche, visiblement amoureuse de lui, malgré sa crasse et sa puanteur.

Jamais je n'ai été autant excité que par cette vue. Dommage que je ne puisse pas filmer !

Nous sommes repartis au milieu de la nuit. Les mecs l'ont portée jusqu'à la voiture, elle ne tenait plus debout. Ils voulaient déjà organiser une autre séance le week-end prochain. J'ai promis d'y penser, mais j'ai exigé que le vieux clodo soit là, lui aussi. Adil m'a proposé de prendre ma femme en pension, et de la faire travailler. On aurait 50/50 sur ce qu'elle rapportera. J'ai dit que je ne suis pas intéressé pour le moment, mais sait-on ce que l'avenir nous réserve?

****************

Chapitre 2 : Je suis resté en contact avec Adil sur les réseaux sociaux. J'avais projeté des vacances en Tunisie, alors je lui en ai parlé. Il m'a conseillé d'aller voir son cousin à Sousse, qui tient un établissement discret. J'ai réservé un séjour à Monastir et projeté, une fois sur place, de louer une voiture. Adil a prévenu son cousin, et il nous attend impatiemment.

Arrivés à Monastir, le deuxième jour, j'ai loué une voiture, et direction Sousse. J'ai dit à ma femme que nous allions visiter le souk, ce qui n'est pas entièrement faux. Je sais où aller, Adil m'a bien expliqué, mais ce n'est pas facile de se repérer dans ce dédale de ruelles. J'ai demandé à un jeune gars qui traînait à un angle de rue, de nous indiquer le chemin. Un petit billet l'a convaincu qu'il n'avait rien de mieux à faire.

Il a enlacé ma femme et l'a entraînée à sa suite. Je ne sais pas ce qu'il lui a raconté, mais elle riait à gorge déployée. Ils se sont mis à gambader comme des enfants, enlacés, se tenant par la taille et riant comme des garnements. C'est vrai que les tunisiens sont souriants et accueillants avec les gazelles, comme ils appellent les femmes, surtout les françaises, parce qu'elles aiment les tunisiens.

Nous sommes rapidement arrivés au magasin du cousin d'Adil. Bizarrement, c'est un magasin de tapis. Je me demande si j'ai bien compris. Nous entrons dans la boutique. Un grand type, bien bâti, nous accueille. C'est une boutique étroite et profonde avec beaucoup de marchandises. Au fond il y a une réserve avec un empilage de tapis. Un vieil homme ventripotent garde l'entrée de la réserve. Pendant que je me présente au grand type à l'entrée du magasin, le jeune homme fait visiter le magasin à Bérengère.

Ils sont toujours enlacés et, de temps en temps, la main du jeune gars s'égare sur les fesses de ma femme, qui n'a pas l'air de trouver cela désagréable. En visitant et en admirant, le jeune rapproche ma femme du vieux assis au fond du magasin. Quelques mots, et le vieux offre un thé à ma femme. Aussitôt, le mec s'éclipse en laissant ma femme en tête-à-tête avec le vieux.

Bérengère s'est habillée légèrement pour la balade. A l'occidentale, en haut, juste une blouse à manches courtes, largement décolletée. En bas, un short moulant et ultra-mini. Aux pieds, des sandalettes. Forcément, le vieux a les yeux qui lui sortent de la tête en regardant Bérengère. Son décolleté, ses longues jambes encore blanches, qui n'ont pas encore eu le temps de bronzer, tout le passionne. Et ma salope de femme se tourne et se penche pour l'émoustiller.

Je peux entendre les battements de mon cœur qui s'affolent d'impatience. Le grand type m'entraîne à l'écart pour discuter. Il se présente, Rachid, et c'est bien le cousin d'Adil. Il a échangé récemment son bar contre cette boutique de tapis, c'est plus discret pour les affaires. Je ne sais pas de quelles affaires il parle, mais s'il le dit, ça doit être vrai. Ma femme ne nous regarde pas, alors il me montre l'endroit où je peux me dissimuler pour observer la suite des aventures de Bérengère.

Bérengère semble subjuguée par le vieux qui lui parle en caressant doucement sa cuisse nue. Je demande à Rachid comment il fait, et il me répond que c'est de l'hypnose. Normalement, l'hypnose ne peut pas contraindre quelqu'un à faire quelque chose qu'il ne veut pas, mais dans le cas de ma femme, le dressage d'Adil l'a bien dessalée, surtout que nous y sommes retournés plusieurs fois.

Le jeune homme revient et explique aux différents clients que le magasin doit fermer. Heureusement, ils ne sont pas nombreux. Aussitôt, il abaisse le rideau métallique et rejoint le vieux et Rachid auprès de ma femme. Tout est en place et le spectacle va pouvoir commencer. Je suis idéalement placé et je ne vais rien louper. Je regarde Bérengère qui halète doucement. La main du vieux ventripotent glisse plus haut sur sa cuisse. Sa main se positionne à la fourche des jambes de ma femme, et masse doucement son monticule.

Je me positionne confortablement et je sors ma bite que je caresse lentement. Bérengère ne semble pas se rendre compte de ce qui lui arrive. Le jeune a glissé une main dans son décolleté et palpe sa poitrine. Rachid, assis de l'autre côté d'elle, trousse sa djellaba et sort son chibre qui me paraît de bonne taille. Aussitôt, sans un mot, Bérengère se penche sur l'objet et le prend en bouche. Maintenant, c'est Rachid qui lui tripote les nichons pendant que le vieux et le jeune gars lui enlèvent son short et sa culotte. Le jeune s'éloigne avec la culotte de ma femme sous son nez.

Le vieux se place derrière Bérengère. Je le vois s'accoupler, et j'imagine qu'il la prend en levrette. Elle sursaute et crie. Je pense qu'il a essayé de l'enculer sans la préparer, et qu'il lui a fait mal. Elle a l'air énervée. Il lui pose sa main sur son sein et il lui tord. Elle essaye de le frapper, mais il est très rapide, malgré son gabarit imposant. Il lui bloque le bras et lui tord le poignet. Puis il la gifle violemment. Rachid ne dit rien, il attend que le vieux ait fini son dressage.

Le vieux attrape Bérengère, la place en travers de ses genoux, et lui donne une bonne fessée. Quand il arrête, elle a les fesses toutes rouges. On peut lire la peur dans ses yeux quand il la menace. Il lui dit que son mari est en main, qu'on s'est occupé de lui, et que si elle se rebelle, ils me feront du mal. Elle promet d'être docile. D'elle-même, elle se remet en position, la bouche sur la bite de Rachid, agenouillée en présentant ses fesses au vieux.

Il se colle à elle et l'encule. Elle pleure mais ne proteste plus. Elle est agenouillée entre les jambes écartées de Rachid qui lui tripote les seins. Derrière elle, et collé contre elle, le vieux est accroupi et l'encule carrément. A ce moment-là, le jeune homme qui nous a guidés jusqu'ici réapparait, accompagné de deux malabars, un rouquin à la peau très pâle, et l'autre très sombre, presque noir. Tous les deux ont des mines patibulaires. Ils se placent de part et d'autre de ma femme et commencent à la tripoter, pendant que le jeune gars disparaît de nouveau, toujours avec la culotte de ma femme collée à ses narines.

J'entends les gars dirent qu'ils vont bien s'amuser avec cette gazelle. Ils lui retirent sa blouse, mais lui laissent son soutien gorge. Rachid a déjà sorti les seins des bonnets, et il joue avec les mamelons. Mon érection devient douloureuse, surtout quand je vois le vieux se retirer entièrement du cul de ma femme, pour plonger aussitôt dans sa chatte. Il est énorme. Le gland disproportionné ressemble à un champignon au bout d'une tige plus mince mais très longue. Je comprends maintenant son sursaut lorsqu'il l'a enculée.

Elle est maintenant complètement nue entre quatre hommes qui vont la baiser à tour de rôle. Je l'ai livrée à ses tortionnaires, et elle est entièrement à leur merci. C'est tellement formidable que je jouis sans me tripoter ! Ils lui font faire un demi-tour. Maintenant, elle a sa bouche sur la bite du vieux, et c'est Rachid qui la baise en levrette. Ou qui l'encule? Je ne sais plus. Les autres se préparent en se caressant le chibre, et en palpant les chairs pâles de ma femme. Je n'ai jamais vu de spectacle aussi captivant.

Le rouquin se lève, part dans la réserve, et revient avec une table basse. Ils installent ma femme sur la table basse, allongée sur le dos, la tête pendante. Ils ont mis un tapis crasseux en guise de matelas. Sa tête, ses bras et ses jambes pendent de la table. Bérengère reste stoïque et passive, attendant de savoir ce qu'ils vont faire d'elle. Cette fois, c'est le mec à la peau sombre qui s'installe entre ses cuisses. Ces quatre hommes ont des bites hors normes, des bites de concours. Moi-même, j'ai une bite normale, mais elle est ridicule comparée aux poteaux qu'ils ont en guise de bites.

Le brun baise ma femme, accroupi entre ses jambes. Le rouquin a mis sa bite dans la bouche de Bérengère. Les deux autres, de part et d'autre de ma femme, se font tripoter le chibre par Bérengère. Ce sera comme ça tout l'après-midi, ils vont organiser une tournante, et ne la laisseront jamais se reposer. Elle a joui à de nombreuses reprises, et moi aussi. Tout le temps, elle est restée allongée là, les laissant faire tout ce qu'ils voulaient d'elle. Ensuite, Rashid lui a demandé ce qu'elle voulait. Elle a répondu qu'elle voulait que son mari soit obligé de regarder. Rashid est venu me chercher et j'ai été emmené près d'elle.

Rachid m'a expliqué, devant elle, qu'elle lui plaisait, et qu'il allait la garder quelques jours. Il possède un autre établissement, à l'extérieur de la ville, qui accueille des hommes seuls désireux de passer un bon moment. C'est là que j'ai compris que ce commerce de vente de tapis n'est qu'une façade. Il m'avait dit de venir ici pour que je ne sache pas où elle sera prostituée.

Je ne dois pas chercher à la revoir. Elle va être conduite là-bas sous bonne escorte. Ce qu'elle va gagner couvrira à peine les frais de pension. Donc, ils vont tout garder. Elle me sera rendue la veille du départ. Je savais qu'elle serait réduite en esclavage, mais je ne pensais pas que les conditions seraient si dures. J'espérais que je pourrais venir la voir se faire baiser. Il a réfléchit et m'a proposé :

« D'accord, mais ce sera 500 euros de l'heure. L'heure commencée est due en totalité »

Je n'ai pas les moyens de payer aussi cher. J'ai dû me résoudre à leur laisser ma femme. A l'hôtel, j'ai fait la connaissance d'une jeune femme avec qui j'ai eu un peu de bon temps. Rachid m'a ramené ma femme la veille du départ. Elle était crevée et elle a dormi toute la journée. Dans l'avion aussi, elle a dormi tout du long. A présent, elle est parfaitement docile et obéissante, et je peux l'emmener n'importe où.

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4 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a 26 jours

toujours les mêmes fantasmes de puceau du réel...

AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

Merci ! Bérengère est vraiment une bonne nature...

AnonymousAnonymeil y a environ 2 mois

histoire deja vu. Où tu les vole pour en publier autant ?

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