Les Expatriés - Sandra

BÊTA PUBLIQUE

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Le regard braqué sur la bite dressée et palpitante, elle ne désirait plus qu'une chose, s'agenouiller et le prendre en bouche pour le sucer. Elle n'allait cependant pas essayer sans l'ordre de Katona. Il savourait son pouvoir sur cette jeune femme. Elle avait admis la caméra, sans une protestation. Pourtant, c'était cette caméra qui allait causer sa ruine, le toboggan qui allait la propulser dans le cloaque sexuel de l'Afrique. Un giron rempli de sexe africain dominant et corrompu, exigeant de plus en plus de chair fraîche à exploiter en la dégradant.

- A genoux, femme! Sandra ne se fit pas prier, le regard fixé sur sa cible. Son empressement prouvait clairement sa dépendance. Sa tête se positionna, bouche ouverte.

- Attends que je te donne la permission. La frustration dans les yeux de Sandra était évidente.

- Regarde la caméra, dis-moi ce que tu veux, et appelle-moi Maître. Sandra leva les yeux, à peine surprise, et l'excitation galvanisa ses pensées. C'était si troublant d'être agenouillée devant son amant Africain !

- Bien, Maître. J'aimerais sucer ta bite, puis-je sucer ta bite, j'aime tellement ta grosse bite, et elle est si belle ! J'adore son goût. Laisse-moi sucer ta bite, s'il te plaît, Maître.

- Ma bite est-elle meilleure que celle de ton mari? Un sourire éclaira le visage de Sandra. Ce jeu lui plaisait, beaucoup !

- Elle est meilleure, beaucoup plus grosse et plus grande, et elle a un si bon goût ! Maître... J'en suis tombée amoureuse. Et elle reste dure beaucoup plus longtemps. Je l'aime, et j'aime l'avoir en moi.

Elle s'amusait à en rajouter naïvement. Elle n'avait jamais pensé cela de son mari. C'était un jeu, pimenté par l'atmosphère douce et chaude de l'Afrique, les parfums, les odeurs, et une certaine nonchalance. Agenouillée aux pieds de son bel amant africain, sa circonspection toute britannique avait disparu. Elle était comme hypnotisée par son énorme bite, et elle n'imaginait pas que Katona puisse lui nuire. Elle n'était consciente que d'une seule chose. Elle désirait ardemment que cette énorme bite la pénètre et lui fasse toucher du doigt les étoiles !

- Mais demain, tu ne seras pas dans mes bras, demain ! Tu seras dans les bras de ton mari, demain ! Tu m'oublieras, et tu crieras de bonheur dans ses bras. Et tu me laisseras seul avec mon chagrin ! Les yeux de Sandra s'écarquillèrent, en réalisant soudain que Katona était capable d'affection, et qu'il pouvait peut-être l'aimer.

- Je préférerais être avec toi, mais s'il te plaît... comprends... ! Ses paroles s'éteignirent dans sa gorge quand son cœur se brisa de chagrin, dans un élan presque douloureux. Elle a attrapé son haut et l'a arraché, exposant ses seins ronds avec leurs tétons dressés.

- Ce soir, tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Et quand mon mari me touchera, je penserai à toi. Toi seul peux me satisfaire maintenant. Je t'aime et je serai toute à toi, promis. Je te donnerai tout ce que tu voudras. N'importe quoi, mes fesses, ma poitrine, ma chatte, ma bouche? Tout t'appartient désormais, je serai toute à toi, et tu pourras m'utiliser comme bon te semble, aussi souvent et aussi longtemps que tu me voudras. Je m'abandonne à tes désirs, et je me soumets à ta puissance !

- Quoi que je te demande? Le sourcil levé de Katona indiquait son doute.

- N'importe quoi... Tu es mon Maître. Demande, et j'obéirai ! Toute son attitude soulignait son empressement à s'abandonner aux sombres désirs de son Maître.

Être prise, pénétrée ou baisée, peu lui importait la manière, juste comptait pour elle le résultat. Ses yeux suppliaient, son regard allait de son visage vers sa queue. Katona pouvait voir ses narines se dilater de désir. Ses yeux brillaient d'exaltation. Ses seins se soulevaient au rythme de sa respiration haletante. Katona savait qu'elle était prête.

- Prends dans mon sac le reste de mes affaires, ordonna-t-il. Sandra était interloquée. Elle lui offrait ce qu'elle avait de plus précieux, et lui ne voulait que le contenu de son sac. Rapidement, elle prit le sac et regarda à l'intérieur. Elle n'a trouvé que quelques bouts de corde. Elle regarda Katona d'un regard de travers qui signifiait : "Est-ce que tu te fous de moi?"

- Maintenant, tire la table basse au milieu de la pièce. Sandra ne comprenait, mais elle obéit en faisant glisser la table et le tapis jusqu'au centre. Puis elle le regarda pour d'autres instructions.

- Déshabille-toi! C'était un ordre sec et impérieux. Rapidement, elle s'est dépouillée de ses vêtements, en ignorant son ton cassant, trop heureuse de se montrer nue devant lui. Elle voulait l'exciter pour l'asservir. Elle voulait être prise, retournée, baisée. Elle voulait que son corps délicat soit pillé par ce corps musclé !

- Approche-toi des fenêtres ! Sandra fronça les sourcils. Elle était nue. Si elle se tenait près des portes-fenêtres, elle serait visible de l'extérieur. Il faisait sombre dehors, ici les lumières étaient allumées, elle serait un spectacle de choix pour les voyeurs. Elle se tourna vers Katona pour protester, croisa son regard tyrannique, et se retourna sans dire un mot.

- Montre-toi, femme. Montre-moi ce que tu as à offrir ! Danse pour moi ! Sandra fit face à Katona, mit ses mains derrière sa tête et agita ses seins pleins et ses hanches rondes vers lui. Elle fermait les yeux, comme pour se cacher à elle-même son emplacement, sa bêtise et sa nudité. Elle espérait juste que le jardinier ne traînait pas dehors !

- Ne te comporte pas comme une divinité frigide! Es-tu sensuelle? Es-tu ardente? Montre-moi que tu veux ma bite! Donne-moi envie de toi ! La voix de Katona sortit Sandra de son utopie. Elle le regarda, et le vit en train de caresser sa bite. Elle avait faim de lui et, oubliant toute pudeur, ses hanches se sont agitées pour lui, dans une invitation clairement impudique. Katona sourit. C'était mieux. Et pendant que Sandra balançait ses hanches vers Katona, sa propre excitation augmentait. Parfois, les domestiques de plusieurs propriétés se réunissaient pour fumer des cigarettes, assis sur le mur de clôture. Ils pouvaient la voir, parler sur elle. Faire des commentaires et des suggestions obscènes. Caresser leurs sexes en la regardant s'exposer nue.

- Tourne-toi, fais-moi voir ton cul ! Sandra se tourna et se cambra, les mains écartant ses fesses blanches et rondes. Elle jeta une œillade par-dessus son épaule, le regard vicieux.

- Es-tu satisfait de mon exhibition, Maître?

- Les mains sur la tête, salope ! Sandra sourit. L'idée d'être la salope de Katona la séduisait plutôt. Ils étaient fascinants, les jeux sexuels de cet étalon. Avec son mari, elle devait se comporter comme une dame. Maintenant, elle dansait nue devant la fenêtre, clairement exposée aux regards. Pour plaire à son amant africain ! Son bel amant à la grosse bite ! Quel changement de vie passionnant ! Elle se polarisa sur le balancement sensuel de ses hanches. Un aboiement la fit sursauter. Sam, le chien de Katona, se dressait contre la baie vitrée. Son regard fou la dévisageait. Sa bite rose sortait de son fourreau. Il la désirait ! Gênée, elle a frissonné en découvrant le désir du mâle, puis elle a détourné son regard sans cesser sa danse érotique.

- Danse pour Sam, salope ! La voix de Katona a fait sursauter Sandra. Elle releva son regard pour voir les yeux du chien qui parcouraient son corps. Son attitude de mâle reproducteur puissant qui lui montrait son désir troublait Sandra. Elle frissonna. Ses yeux semblaient presque désireux. Il la regarda de nouveau dans les yeux, puis il a aboyé. Les fenêtres étaient fermées, mais Sandra devint nerveuse, un frisson la parcourut. La gueule ouverte, langue sortie, il haletait. Sandra avait le vertige.

- Viens ici, salope ! Sandra abandonna la fenêtre pour la sécurité relative de la pièce. Katona était assis sur la table basse, entièrement nu. Ses yeux admirèrent de nouveau son énorme bite. Le moment était arrivé, il allait la prendre, et la faire crier de bonheur. D'un geste, Katona lui intima l'ordre de s'agenouiller. Elle lui obéit instantanément, trop heureuse de le satisfaire.

- Tes mains. La surprise se lisait dans les yeux de Sandra. Il tenait les cordes. Elle sourit, il voulait jouer, elle était d'accord. Elle lui tendit ses mains jointes. Elle pensait qu'elles seraient attachées ensemble. Mais il a attaché une corde à chaque main, puis chaque corde à un pied de la table basse.

Elle a été contrainte de s'accroupir devant Katona, entièrement exposée, avec tous ses orifices disponibles. C'était comme ça que Katona la voulait, comme une esclave devant son Maître ! La grande main noire agrippa brusquement sa tignasse et lui releva tête. Sandra couina, autant de surprise que de douleur. Son membre tendu s'enfonça dans sa gorge étroite. Sandra suffoqua. Katona savourait les efforts de Sandra, le travail de sa bouche, les coups de langue sous son gland. Sa bite a giclé une première fois, et la bouche avide de Sandra a tout aspiré. Il baissa les yeux sur le joli visage blanc en sueur. Il regardait son épais membre noir coulisser dans la bouche chaude en pensant que, bientôt, elle serait prête.

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5 Commentaires
papeaupapeauil y a 6 mois

je suis aussi impatient que les autres lecteurs, j'aime votre recit

lilounordlilounordil y a 12 mois

j'adore a quand la suite

papeaupapeauil y a environ 1 an

J'ai hate de lire la suite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Très bien écrit.

Nous attendons la suite avec impatience.

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