Les Dames de Piques - Partie 01

Informations sur Récit
Monsieur Ali rencontre une petite famille blanche.
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/19/2023
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La Fête de la science

Monsieur Ali flâne sur la place. Il se promène entre les stands que les laboratoires de l'université voisine ont installés pour présenter leurs travaux au grand public à l'occasion de la fête de la science. Il s'arrête parfois pour écouter un chercheur ou un étudiant expliquer ce qu'il fait dans un langage plus ou moins compréhensible, vulgariser son savoir sans le trahir n'est pas simple. Il passe de stand en stand, il faut avouer qu'il est plus attiré par la plastique des étudiantes de toutes origines que par leurs activités, même s'il est curieux.

Il aperçoit alors le dos d'une petite femme brune, d'une blouse qui lui descend presqu'aux chevilles. Il s'approche. Entourée de cinq ou six personnes, elle explique ses recherches et leur implication pour la santé. Elle est complètement différente des femmes qu'il a l'habitude de séduire, bien plus âgée, sûrement proche de la cinquantaine. Il la voit de face maintenant, son visage trahit son âge effectivement, mais elle devait être superbe à vingt ans. Elle n'est pas maquillée et tout dans son comportement montre qu'elle est naturelle. Il lit le prénom sur le badge qu'elle porte, Sophie. Il regarde la blouse ouverte, les pans écartés par sa volumineuse poitrine dissimulée sous une ample tunique. Il se demande à quoi peuvent ressembler ses globes de chair lorsqu'ils sont soumis à la gravité. Elle a aussi un ventre un peu rebondi et le legging qu'elle porte doit bien mouler ses fesses. Quel dommage que la blouse et la tunique lui masquent ce spectacle!

Pendant ses explications, elle regarde vers lui, leurs regards se croisent. Elle lui sourit, frappée par ces beaux yeux noirs perçants, sa taille et sa carrure impressionnante. Elle sent le mâle alpha sous un sourire étrange, mélangeant l'empathie et la sévérité.

Monsieur Ali reste l'écouter jusqu'au bout.

Quand elle finit son exposé, il s'approche d'elle pour tenter de lui parler, mais il est pris de court par un homme et une jeune fille brune, dont la ressemblance avec Sophie est flagrante. Tout juste sortie de l'adolescence, elle a un sourire candide mais elle doit aussi connaître son potentiel de séduction, surtout quand elle porte comme aujourd'hui un haut qui dévoile son nombril orné d'un piercing discret mais ravissant. Il est évident aussi qu'elle ne porte pas de soutien-gorge sous ce haut moulant laissant deviner une poitrine déjà bien généreuse.

— Maman, nous avons fini! Thomas a fermé son stand pour aujourd'hui, nous allons rentrer, tu viens avec nous?

— Déjà?

— Oui, déjà ma chérie, il est presque 18 heures...

— D'accord! J'arrive...

Monsieur Ali s'est un peu reculé. Il la voit saluer ses collègues et il entend Thomas lui proposer d'aller prendre un verre à la terrasse d'un café sur la place.

***

Monsieur Ali les suit et il observe. Il remarque que la jeune fille est vraiment très proche de l'homme, elle pose même la tête sur son épaule et il voit la main de l'homme glisser doucement sur les petites fesses fermes, moulées par son jean taille basse qui permet de voir le string de dentelle rouge qu'elle porte. Il admire le galbe de ses mollets et ses cuisses fermes, il la voit bien juste vêtue d'un string se déhancher autour d'une barre ou sur une table pour attiser le désir des hommes. Elle n'aurait aucune difficulté à arrondir son salaire en faisant des extras, ses clients adorent les jeunes étudiantes.

Monsieur Ali les laisse s'installer et s'approche.

— Excusez-moi Madame, j'étais sur votre stand il y a quelques minutes et j'aurais aimé vous poser quelques questions... Puis-je m'asseoir?

— Bien sûr! dit Thomas en regardant sa femme.

Il est un peu surpris de l'audace de cet homme qui vient les déranger. Ils ont passé la journée à expliquer de nombreuses fois leur travaux. La journée est finie, ils ont envie de souffler un peu. Mais il connait sa femme, toujours prête à rendre service. S'il refuse, elle va le lui reprocher pendant des jours.

— Oui bien sûr, c'est toujours un plaisir de parler de mon travail. Je vous présente, Thomas, mon mari, Ophélie, ma fille et moi je suis Sophie, mais vous l'avez peut-être lu sur mon badge.

— Oui je l'avais vu merci. Je suis Monsieur Ali et mes connaissances en biologie s'arrêtent au lycée mais cela m'a toujours intéressé.

— Alors allez y posez moi vos questions.

Prenant une chaise, Monsieur Ali s'assoit en face d'elle, il la fixe droit dans les yeux.

Elle sent comme une gêne, ne sachant pas quelle attitude prendre et que penser de cet homme dont le regard perçant la trouble d'autant plus qu'il la déshabille des yeux. Il va de sa poitrine à ses jambes qu'elle écarte sans savoir pourquoi ayant un legging, sentant à cet instant l'humidité de sa culotte et de la tension dans sa poitrine augmenter de manière incontrôlable.

Il commence à poser des questions simples auxquelles Sophie se fait un plaisir de répondre. La conversation dure et Thomas lui dit qu'il est lui aussi chercheur, mais dans un tout autre domaine. Sa spécialité c'est le Haut Moyen-Age. Il lui explique qu'Ophélie, la fille de Sophie, a préféré suivre la voie de Thomas et poursuit des études d'histoire plutôt que la biologie comme sa mère. Thomas lui explique qu'il n'est pas le père d'Ophélie, mais le second mari de Sophie et qu'ils vivent ensemble depuis plus de dix ans.

Thomas ne sait pas pourquoi il est aussi volubile, mais cet homme le surprend. Il s'est présenté comme ayant un niveau basique en biologie, mais il pose des questions à Sophie que lui-même qui connaît un peu son travail n'aurait jamais pensées. De la même manière, quand il lui a décrit ses recherches, il a su lui citer des auteurs confidentiels. Mais ce qui l'a le plus perturbé, ce sont les regards qu'il lance vers Sophie, vers son léger décolleté. Il voit bien que les yeux de cet homme brillent. Ses fantasmes remontent.

De vieux fantasmes lui reviennent en tête, il imagine cet homme baiser sa femme et la prendre sans retenue, sans limite.

Lorsque Monsieur Ali prend congé de la petite famille, il réussit à instaurer un climat de confiance et c'est tout naturellement que Sophie accepte de lui laisser son numéro de téléphone pour qu'ils restent en contact et même qu'il la prenne en photo pour associer son visage à son numéro.

Elle répond favorablement se laissant photographier en donnant son numéro et reconnaissait que c'est plus sympa pour téléphoner

"Quelque chose ne va pas chez moi, pense Sophie. Pourquoi j'apprécie autant ce moment bizarre, est-ce parce qu'il me sort de ma routine?"

***

Monsieur Ali regarde ses nouveaux "amis" s'éloigner. Il regarde surtout les culs des deux femmes, même si celui de la mère est caché par sa tunique, celui de la fille moulé dans un short en jean moulant est prometteur. Il bande en imaginant ces deux culs l'un à côté de l'autre et qu'il chevauche alternativement la mère et la fille.

Cependant la discussion qu'il a eue avec Thomas et l'attitude de ce dernier envers sa belle-fille le perturbe. A nouveau, il voit la main de l'homme se poser discrètement sur le cul de la jeune fille. Est-ce une invitation ou le beau-père abuse-t-il de sa belle-fille, dans le dos de sa femme? Est-ce le moyen de le mettre à l'écart? Sera-t-il possible de semer la zizanie dans le couple? Alors qu'il a ces réflexions, il aperçoit Thomas qui se retourne et lui fait un sourire. Cet homme va lui compliquer la tâche, il en est certain.

Habituellement, il ne s'occupe pas des maris et les ignore superbement ce ne sont que des blancs que l'on peut difficilement qualifier de mâle mais ce Thomas est différent

Il est intelligent et sûrement malin. Il va être difficile à écarter d'un revers de main et il ne peut même pas être sûr que le chantage marche. Ophélie semble vraiment aimer son beau-père. Monsieur Ali pense alors que l'intelligence et la sagacité de Thomas peuvent lui être utiles dans son organisation. De plus, il est prof à la fac, une porte d'entrée potentielle pour accéder à toutes ces étudiantes désargentées.

Oui! il va falloir qu'il y réfléchisse. Mais, pour le moment, il lui faut ferrer la mère pour espérer aussi attraper la fille. Il va lui falloir agir avec subtilité.

***

Dans la soirée, Sophie est allongée dans son lit, en t-shirt et culotte. Elle joue sur son téléphone alors que Thomas vient de s'endormir. Soudain elle reçoit un message. Qui peut bien lui envoyer un message à cette heure tardive?

"Merci encore pour ces explications à la terrasse. Bonne nuit. Monsieur Ali"

Elle est agréablement surprise de recevoir ce message. Elle pensait que même s'il prenait son numéro, celui-ci finirait dans la longue liste des numéros enregistrés dans les téléphones qui ne sont jamais utilisés.

Elle se souvient très bien de cet homme si charmant lorsqu'ils ont discuté à la terrasse du café. Ses yeux pétillants aux paroles de Thomas et à ses explications, son sourire faisait ressortir la blancheur de ses dents qui contrastent avec sa peau sombre. Elle sourit intérieurement tellement cette image est un cliché.

"C'est tout à fait normal, vous êtes si charmant, ce fut un plaisir. Bonne nuit à vous aussi. Sophie"

Ce message la trouble, cela fait bien longtemps qu'un autre homme que son mari lui a souhaité une bonne nuit. Elle revoit Monsieur Ali, sa taille et sa carrure impressionnante. Elle ne peut pas s'empêcher de se demander si ce que l'on raconte au sujet des noirs est vrai. Ont-ils vraiment un sexe beaucoup plus gros que celui des blancs? En réalisant ce qu'elle vient de penser, elle a soudain un sentiment de culpabilité par rapport à son mari qui dort à côté d'elle, mais un frisson la parcourt et elle sent une douce chaleur entre ses cuisses.

Un nouveau message fait vibrer son téléphone, dans un style différent, beaucoup moins formel.

"Tu ne dors pas?"

En remarquant, le tutoiement, Sophie ne s'en formalise pas. Ce type de message ne sont pas vraiment prévu pour des conversations formelles, et depuis cette discussion a autour d'une bière, une certaine complicité s'est instauré entre eux. Elle a pu constater aussi que ses collègues d'origines africaines, passent très rapidement au tutoiement et cela aussi correspond assez à la personnalité de Monsieur Ali. Leur rencontre fut brève, mais il est clair que c'est un homme qui est à l'aise et qui s'impose naturellement.

"Non, je joue sur mon téléphone en attendant que le sommeil vienne"

"tu es couchée?"

"oui je suis dans le lit. Thomas dort à côté de moi"

"avec une femme comme toi à côté de moi, je ne dormirai pas moi!"

"vous me draguez!"

Monsieur Ali se demande s'il ne va pas trop vite et trop loin. Sophie risque de couper la conversation et de ne plus répondre ensuite à ses messages. Il envoie alors un message moins direct dans lequel, il lui demande si elle sera sur le stand le lendemain après-midi, il aimerait encore discuter avec elle.

La réponse de Sophie surprend et satisfait Monsieur Ali. Elle lui dit qu'elle ne sera pas présente sur la place mais elle veut bien le rencontrer dans le lieu de son choix.

Monsieur Ali ose alors le tout pour le tout.

"Chez toi pour le café 14h"

"D'accord j'en parlerai à Thomas demain matin et je vous le confirmerai demain matin."

Sur ces mots, elle pose son téléphone et n'arrive pas à retirer de son esprit, l'image qui s'impose à elle. Monsieur Ali nu, ou plutôt telle qu'elle l'imagine. Elle s'endort ainsi et quand elle est réveillée par l'odeur du café que Thomas est allé préparer, elle se souvient parfaitement du rêve qu'elle vient de faire.

Elle était nue dans une chambre d'hôtel avec Monsieur Ali et il lui avait fait l'amour dans toutes les positions possibles et imaginables.

*******************************************************************************

Un café prometteur

Dès qu'il se réveille, Monsieur Ali envoie un message à Sophie, surtout ne pas laisser refroidir le fer. Elle tarde à lui répondre. Il va falloir qu'il l'éduque comme ses autres soumis pour qu'elle réponde rapidement. Elle doit savoir qu'on ne fait pas attendre Monsieur Ali Beaujour. En attendant, il demande à Cristina de le rejoindre dans sa chambre, il a envie de sa blondeur scandinave. La jeune cadre bancaire d'origine danoise ne traîne pas pour le rejoindre. Son mari a encore découché ce week-end pour une partie de chasse en Bourgogne avec ses copains. Cela fait maintenant trois ou quatre ans que Cristina et son mètre quatre-vingt a succombé aux charmes de Monsieur Ali.

Elle se dépêche de se mettre nue et de venir honorer de sa bouche le sexe de son maître. Malgré son expérience, la taille du membre noir est trop imposante pour qu'elle réussisse à réaliser une gorge profonde mais elle fait de son mieux et ne proteste pas quand Monsieur Ali commence à passer dans sa bouche et exige qu'elle n'en perde pas une goutte.

Quand le message de Sophie arrive, Monsieur Ali est en train de faire crier de plaisir Cristina. Comme à son habitude, il la baise en levrette ce qui lui permet d'alterner les pénétrations vaginales et anales, selon son envie. Cette position lui permet aussi d'admirer les as de pique tatoués au creux des reins et sur la nuque de cette beauté nordique.

Il faut dire que la pensée de prendre le gros cul de Sophie et celui qui doit être si serré de sa fille l'a fortement excité.

Le mari est d'accord pour qu'il viennent prendre le café. Elle lui a aussi mis leur adresse.

***

Ils habitent dans une zone résidentielle un peu excentrée, il lui faut trente minutes de route pour s'y rendre.

Quand Monsieur Ali arrive devant la maison de la petite famille, il ne prend pas la peine de sonner au portail. Il entre. Il sait qu'il est attendu. Il se dirige vers la terrasse ou Sophie et Thomas viennent de finir de manger.

— Nous vous attendions pour prendre le café, lui dit Thomas en s'avançant vers lui.

Monsieur Ali, contrairement à ses habitudes, serre la main qui lui est tendue et avance vers Sophie et lui fait un baisemain, en tenant sa main entre les deux siennes, puis il prend Ophélie par l'épaule pour lui faire la bise.

Enfin, pour bien montrer qu'il se considère déjà comme chez lui, il s'assied à côté de Sophie qui porte une robe bleue qui lui dévoile les genoux.

— Je vais préparer le café, je reviens, dit Thomas en entrant dans la maison.

Il sourit à Ophélie qui porte un petit haut qui laisse voir son ventre et son piercing au nombril et un short moulant qui met ses fesses en valeur, Monsieur Ali s'adresse à Sophie :

— Vous avez fait une très jolie fille! Puis regardant Ophélie. Il faut faire attention, très belle fille à ne pas trop faire tourner la tête aux personnes mures...

Monsieur Ali, en indiquant la chaise de Thomas, soutient le regard d'Ophélie jusqu'à qu'elle baisse la tête. Elle rougit sous un tel compliment venant d'un très bel homme rassurant et sent un frisson la parcourir

Après un regard circulaire vers le jardin, de nombreuses images salaces lui viennent à l'esprit.

— Vous avez une piscine, c'est agréable pour les jours comme aujourd'hui, vous en profitez, j'espère!

— Oh! C'est surtout Ophélie qui en profite, moi je préfère le spa, lui répond Sophie.

Monsieur Ali lui sourit, pour la mettre en confiance en ajoutant :

— Vous n'avez pas de vis-à-vis, ici, alors, j'imagine que c'est très agréable de prendre un bain de soleil sans retenue. Qu'en penses tu Ophélie?

— Oui, c'est vrai qu'on est tranquille... répond elle en baissant les yeux.

— Tu te mets parfois seins nus? demande Monsieur Ali.

Ophélie rougit et Sophie ne sait pas comment réagir. Elle trouve la question de Monsieur Ali déplacée et se prépare à intervenir quand Thomas arrive avec le café.

— Que se passe-t-il? On dirait que vous avez vu un monstre?

— Je demandais à Sophie et Ophélie, si elles profitaient de l'intimité de votre jardin pour prendre le soleil nues!

— Nues, non! Mais sans le haut du maillot ça leur arrive oui! Enfin, chérie, ça fait longtemps que tu ne le fais plus! Dit-il en regardant sa femme.

— Et pourquoi cela? demande Monsieur Ali.

— J'ai passé l'âge!

— Il n'y pas d'âge pour faire ça, dit Ali en rigolant.

Monsieur Ali félicite Thomas pour la qualité de son café et ils commencent à parler de leur travail respectif. Quand c'est à son tour de décrire son activité, Monsieur Ali se contente de répondre qu'il travaille dans les relations humaines et qu'il s'occupe de mettre en contact des personnes qui ne se rencontreraient jamais sans son travail.

— Je suis désolé, mais je vais devoir vous abandonner, j'ai un cours à finir de préparer pour demain matin. Je vais aller travailler dans le bureau. A plus tard.

Monsieur Ali voit Thomas se lever, embrasser Sophie et rentrer dans la maison.

— Votre maison est aussi belle que votre jardin, à l'image de ses propriétaires.

— Merci, répond Sophie, flattée de cette remarque. Vous voulez visiter?

— Pourquoi pas! Si cela ne dérange pas votre mari.

— Oh! Dans le bureau au bout du couloir, on ne va pas le gêner. Suivez-moi!

Sophie précède Monsieur Ali qui, comme la veille, admire ses fesses généreuses qu'il imagine voir rebondir à chacun de ses assauts.

Comme il s'y attendait, il découvre une maison typique d'une famille de ce type, rangée, ordonnée, meublée simplement mais avec goût.

— On ne va pas aller déranger Thomas dans le bureau, à l'étage, il y a nos chambres et au sous-sol le garage... vous voyez, une petite maison, simple et fonctionnelle...

— Me montreriez vous l'étage?

— C'est-à-dire que...

— Je n'insiste pas, c'est votre maison, vous êtes chez vous.

Monsieur Ali regarde Sophie dans les yeux. Elle frissonne, ce regard est si intense qu'elle n'arrive pas à le soutenir. Elle baisse les yeux.

— D'accord, suivez moi!

Monsieur Ali suit Sophie. Il a du mal à détacher son regard des fesses de cette petite brune. Malgré ses nombreuses conquêtes, il n'a encore jamais baisé de petite grosse. Sa réussite depuis qu'il a brillamment réussi le concours à HEC, doublé d'un réseau de relations pas toujours très honnêtes, lui ont toujours permis de coucher avec des jeunes femmes toutes plus séduisantes les unes que les autres. Il n'a d'ailleurs jamais été attiré par les femmes plus âgées que lui, mais le passage de la quarantaine y est sûrement pour quelque chose.

De plus, un de ses amis notaires, Maître Beaufond, n'arrête pas de lui décrire les avantages des femmes avec de l'embonpoint. Selon lui, elles sont beaucoup plus ouvertes sue les autres. Elles accepteraient avec beaucoup plus de facilités les perversités dont ses clients raffolent.

Dans le couloir, Sophie s'arrête devant les portes fermées. Monsieur Ali fait semblant d'être surpris et la bouscule doucement. Dans le mouvement, il en profite pour caresser ces fesses appétissantes. S'il ne se retenait pas, il trousserait cette robe et la baisserait plaquer contre le mur. Il se demandait si Sophie avait déjà été enculée. Thomas n'a rien de l'homme à sodomiser une femme mais le père d'Ophélie?

Sophie frissonne en sentant cette main ferme lui caresser les fesses, elle sourit puis se retourne. Elle sait que la taille de Monsieur Ali lui permet d'avoir une vue plongeante sur son décolleté. Elle ne fait rien pour le masquer, à son âge, les hommes qui la reluquent sont rares.

— Voici la chambre d'Ophélie, dit-elle en entrouvrant la porte sur une chambre propre et bien rangée.

— Jolie chambre!

— Merci, c'est une jeune fille précautionneuse.

— Je le vois, rien ne traîne!

Sophie referme la porte et montre les deux chambres inutilisées depuis que les grands enfants de Thomas ont quitté la maison. Monsieur Ali regarde les photos qui ornent le mur du couloir, de ces deux jeunes gens, dont l'aînée est déjà maman. Il se dit qu'elle doit plus tenir de sa mère que de son père pour avoir des cheveux aussi roux.

— Et votre chambre?

— C'est celle du fond!

— Puis-je la voir?

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