Chute d'une héritière Ch. 01

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Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 04/03/2024
Créé 02/18/2024
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La vie n'est pas un long fleuve tranquille.

Cette histoire n'est qu'une chimère, simplement le fruit de mon imaginaire.

Chapitre 1 : Le domaine.

Clara est une riche héritière d'une grande entreprise industrielle, son père lui a cédé la direction du groupe, quelques mois avant son décès. Elle se retrouve seule à le gérer. C'est une belle femme blonde à la chevelure flamboyante la quarantaine le visage fin, des yeux bleus profond et la poitrine arrogante.

Elle fait partie de la bourgeoisie de la ville, elle a un port altier qui en impose du haut de ses 1m75.

Elle est dans le standard des belles femmes avec du charisme. Toujours habillée avec classe, elle sait avec un certain délice que les hommes se retournent sur son passage.

Elle a une fille de 20 ans le fruit d'un amour de jeunesse, avec qui elle s'entend très bien qui lui ressemble comme deux gouttes d'eaux avec en plus le charme de sa jeunesse BCBG insouciante, toujours habillée comme sa mère lui a appris, avec une classe discrète et chic.

Elle profite de la vie avec les plaisirs que peut lui apporter les charmes de la bourgeoisie de province.

Mais dans ce monde merveilleux, la vie hélas n'est pas toujours un long fleuve tranquille.

Clara se débat depuis quelques années face à la concurrence chinoise, la pression devient de plus en plus forte, les marges diminuent, la trésorerie également, les fins de mois ainsi que les échéances arrivent vite, les salaires, les charges, les négociations avec les banques deviennent difficiles.

Elle a petit à petit perdu des parts dans la société, et n'a plus la majorité au conseil d'administration, il faut composer avec les autres administrateurs.

Il y a quelques jours sont banquier l'a averti que la banque n'allait plus la suivre, ne plus pouvoir lui délivrer une ligne de crédit. Clara se sent prise à la gorge.

Elle convoque son banquier, elle l'accueil dans son bureau de façon glacial. L'homme est une personne banale un peu bedonnant sans envergure, elle sait qu'elle ne le laisse pas indifférent. Il lui fait comprendre pénaux que la décision vient de plus haut.

Lors de la conversation il lui tend une carte de visite qui lui a été remis par ses supérieurs et l'informe de prendre contact avec cette personne, il a des informations à lui transmettre.

Sur ce, elle ne s'attarde pas plus sur l'entretien, le remercie, prend congé, le raccompagne à la porte de son bureau.

La porte fermée, elle observe cette carte, perplexe c'est un grand groupe industriel étranger, mais le nom de la personne ne lui dit rien, à la lecture de sa fonction cela à l'air d'être une personne très haut placée dans la hiérarchie du groupe.

Perplexe elle pose la carte sur le bureau et continue à vaquer à ses occupations.

En fin de journée après avoir hésité un moment elle se décide à appeler le fameux numéro.

Après quelques tonalités, le téléphone décroche.

Une voix masculine agréable, ils échangent quelques banalités d'usages, elle passe rapidement au motif de son coup de téléphone, en retour, direct l'homme rappel à Clara la situation délicate de son entreprise, elle accuse le coup et ne peut rien cacher, il a l'air très au courant. Il lui propose un rendez-vous dans un mois afin de définir les modalités d'une collaboration, mais à la surprise de Clara, il demande également la présence de sa fille. Etonnée, troublée et n'ayant pas trop le choix à la vue de sa situation financière elle accepte la présence de sa fille. Il rajoute, la veille, je vous communiquerais l'adresse de notre rendez-vous.

Clara remarque que pendant ce mois, les affaire vont beaucoup mieux et que les relations avec la banque s'améliorent.

La veille du rendez-vous elle reçois un SMS avec l'horaire et l'adresse. C'est en début d'après-midi dans un grand domaine dans le centre de la France.

Un peu étonnant les méthodes de ce groupe industriel pour des négociations.

Le lendemain accompagnée sa fille elle se présente avec son gros Range-Rover à l'entrée du domaine.

Un immense portail en fer forgé condamne l'accès, tout le domaine à l'air entièrement clôturé, elle l'a longée en voiture sur plusieurs kilomètres. Il y a un interphone est deux caméras qui surveillent l'entrée.

Derrière une maison de gardien.

Elle sonne, se présente et donne le motif de son rendez-vous.

Un homme, avec un style de bucherons d'un mètre quatre-vingt-dix sort rapidement, de la maison, et ouvre le portail.

Clara s'engage, il lui demande de s'arrêter, il veut vérifier leur pièce d'identité, il dévisage du regard les deux femmes blondes. Son regard est froid et dur, il doit savoir pourquoi ces deux femmes se présentent à l'entrée de ce domaine. Il leur rend leur pièce d'identité et les autorise à rentrer dans le domaine.

Clara redémarre sur un crissement de pneus et le vrombissement sourd du gros V8 du Range. Sur plusieurs kilomètres elles traversent une forêt et à l'orée de celle-ci une immense clairière apparait avec des prairies, en haut d'une butte une sorte de magnifique château de style 18eme bien entretenu avec des grandes fenêtres, un toit en tuile rouge, de grandes cheminées.

Elle s'arrête au pied du château, les pneus crissent sur le gravier, les deux femmes descendent de la voiture, personne pour les accueillir, aucune présence humaine, tout est silencieux, on entend simplement le souffle de la bise dans la structure du bâtiment. Un paysage à perte de vue, aucune âme qui vive, un désert de verdure.

Elles montent les marches, accèdent au perron, une sonnette se trouve à proximité de la porte d'entrée vitrée. Elle sonne, elles essayent de discerner une présence humaine à travers les vitres.

Elles entendent des talons claquer sur le parquet une personne arrive. Une femme ouvre, la quarantaine, brune des longs cheveux bruns, des yeux noirs, un chemisier ample bleu marine, une jupe de la même couleur, des jambes fines galbées, chaussée de talons hauts.

Clara se présente, la femme l'informe qu'elles sont attendues et propose de prendre leur manteau.

Elles rentrent dans l'immense hall marqueté, richement décoré, la femme les invite à rejoindre un salon ensoleillé, avec de grandes fenêtres et une magnifique vue sur le domaine. Elles s'installent dans les confortables fauteuils et canapés de belles factures.

-Monsieur va vous recevoir, vous avez des revues à disposition pour patienter, souhaitez-vous que je vous offre une boisson?

-Non cela ira, (dit Clara)

-Parfait Monsieur est prévenu de votre arrivée.

Clara détail les tableaux et le riche décor de ce salon.

Une demi-heure après, la femme se présente et invite Clara à la suivre, sa fille va pour se lever, la femme lui fait comprendre qu'elle doit encore patienter et qu'elle rejoindra sa mère plus tard.

La femme accompagne Clara, et l'invite à monter à l'étage, par un monumental escalier en marbre. Elles prennent un couloir et s'arrêtent devant une grande porte. Elle tape à la porte une voie masculine de l'autre côté retentie.

-Entrez.

Elle l'invite à rentrer dans un grand bureau, il domine avec une vue magnifique le domaine, tous les murs sont en boiserie et le mobilier style empire, le sol est marqueté, tout respire le luxe. Un homme grand l'accueil avec le sourire, Clara remarque de suite qu'il est habile avec gout et élégance. Gilet de costume, une chemise blanche, le col ouvert, le sourire carnassier, des beaux yeux verts, des mains fines et soignées, les cheveux légèrement grisonnants, la cinquantaine, il porte des chaussures de marques.

Il propose à Clara de s'assoir sur un des deux fauteuils présents devant son bureau.

Après les banalités d'usages sur son voyage, l'homme commence à lui expliquer la raison de sa présence dans ce magnifique domaine. Il lui fait remarquer qu'en générale quand cela concerne une reprise d'affaire, les négociations se passent ici. Dans la conversation elle commence à remarquer, quelque chose ne va pas.

-Nous sommes un groupe très important, avec une énorme puissance financière nous possédons plusieurs banques, nous avons racheté la totalité des parts de votre société, nous en avons pris le contrôle, en soudoyant bien sur vos avocats, ils nous ont bien facilité la tâche. Votre société depuis ce jour, nous appartient, de plus vous et votre fille, vous faite également partie des actifs de notre groupe.

Clara tombe des nues au sujet de la démarche, elle a du mal à comprendre où cet homme veut en venir, qu'elle est la puissance de son pouvoir dans ce groupe.

L'homme décroche son téléphone et demande par leur prénom la présence de deux personnes dans son bureau.

On frappe à la porte du bureau, un homme et une femme rentre dans le bureau, ils sont habillés d'une sorte d'uniforme noir et se place derrière elle.

Clara à de plus en plus de mal comprend la démarche, elle a la désagréable impression de glisser doucement dans un piège.

Je vais être clair avec vous, nous avons repris toutes les dettes de votre société, donc, vous et votre fille vous nous appartenez. Notre groupe à une autre activité plus obscure, nous faisons du négoce de femmes pour de riches industriels, elles servent à beaucoup de choses au sein du développement de notre groupe.

Clara est complètement sonnée dans son fauteuil.

L'homme plus autoritaire.

-Vous nous appartenez, vous nous devez une total obéissance, nous allons vous asservir. Je vais vous demander de vous mettre debout.

Clara essaye de négocier.

Mais l'homme lui rappelle qu'il n'y pas de discussion possible.

-Les deux personnes derrière vous sont là pour vous faire obéir, elles ont carte blanche, vous n'allez pas faire le poids elles savent comment si prendre.

Clara hésite, finis par se lever, petit à petit elle a l'impression de perdre pieds.

D'un seul coup elle pense à sa fille, qui attend dans le salon.

-Et ma fille???

-Là n'est pas le problème, signez-moi ce document qui reconnait votre asservissement.

Clara pétrifiée s'exécute, tout son monde de confort est en train de s'écrouler elle est vraiment prise au piège.

-Parfait, maintenant vous avez changé de statut, vous n'êtes plus qu'une esclave au service de notre groupe, je vais vous demander de vous déshabiller, de vous mettre nue pour commencer votre mise sous écrou.

-Mais cela n'est pas possible, ce n'est pas sérieux, comment osez-vous !!!!!

L'homme derrière le bureau assis dans son fauteuil, habillé de façon élégante, se délecte de voir cette femme hautaine, s'enfoncer dans sa déchéance.

L'homme en uniforme a récupéré dans un meuble du bureau un aguillions électrique, il lui envoie une décharge dans le mollet pour la faire obéir, cela la fait horriblement souffrir.

-Vous oubliez une chose, madame, nous avons votre fille qui attend dans le salon, si vous n'obéissez pas, je peux très bien demander à notre gardien que vous avez croisé à l'entrée du domaine de s'occuper d'elle. Croyez-moi il sait y faire.

-Non pas ma fille !!!!!

Clara commence à perdre de sa superbe.

-Voilà à la bonne heure, vous êtes ici pour nous obéir, nous avons tous les pouvoirs sur vous, vous n'êtes plus rien.

Clara veut se diriger vers la porte, mais la femme la rattrape, elle a une cravache à la main et la ramène devant le bureau, la regarde droit dans les yeux.

-Madame ce n'est pas raisonnable, je vous conseille d'obéir, sinon nous emploierons des moyens plus douloureux et plus humiliants nous avons tous les droits sur vous.

Ses yeux commencent à rougir, sa respiration s'accélère, des débuts de sanglots lui remontent du font de la gorge. Elle ne comprend pas comment elle en est arrivée là.

Elle hésite un moment, mais vaincue, et avec abnégation elle commence à défaire les boutons de son chemisier en satin.

Les deux hommes et la femme profitent avec délice de l'instant de défaite de cette belle femme.

Les boutons s'ouvrent un par un, on commence à apercevoir un soutien-gorge blanc à dentelles bien remplis de ses seins laiteux et pulpeux.

Clara dégagé ses épaules et fait glisser le chemisier le long de ses bras, libère entièrement sa poitrine cachée par la barrière du soutien-gorge.

Elle ne sait où poser son chemisier, la femme lui indique avec la cravache de le poser sur l'accoudoir du fauteuil.

Elle protège sa poitrine de ses bras décorés de bracelets richement dessinés. Sa chevelure blonde retombe sur ses épaules nues. Une parure de perles de culture entoure son cou.

Elle attend là, debout perdue, jamais elle n'aurait imaginé être obligé un jour de se mettre nue devant trois personnes notamment deux hommes.

L'homme s'adresse à elle d'un ton autoritaire, d'un regard lui fait comprendre que maintenant il faut qu'elle retire sa jupe.

-Et alors !!! On attend la suite !!!

Clara, complètement apeurée défait la fine ceinture, passe ses mains au bas de ses reins et fait glisser la fermeture éclair de sa jupe couleur bleu marine, la laisse glisser le long de ses jambes galbées l'enjambe, sa jupe viens rejoindre son chemisier sur l'accoudoir du fauteuil.

Elle porte une jolie culotte blanche en soie synthétique qui enveloppe bien ses fesses et son pubis.

Avec ses bras elle fait un rempart sur sa poitrine et son bas ventre.

De ses yeux bleu apeurés Clara, implore à l'homme, un peu de mansuétude.

Le regard froid de l'homme en face ne lui accorde aucun répit.

-Madame, il faut comprendre que nous avons tous les droits sur vous, ici sur ce domaine c'est comme une ambassade, vous êtes sous la législation de notre pays, les personnes qui ont un niveau de dettes trop élevés appartiennent à leurs créanciers, ils peuvent décider de leur sort comme bon leur semble. Devant une belle somme d'argent vos avocats vous ont vendues. La nature humaine est vénale Madame........

-Pour votre mise sous écrou Madame comme je vous l'ai déjà dit, vous devez être nue, pour le moment à ce que nous voyons, nous n'en avons pas terminé.

Au milieu de ce bureau ensoleillé qui respire le luxe trois personnes sont habillés, au centre dans les rayons du soleil qui traverse les baies vitrées, une femme blonde en petite culotte et soutient gorge, juchée sur ces talons hauts sur le parquet ciré attends la suite de son destin.

L'homme en noir prends la parole, toujours armé de son pique-bœuf.

-Madame, nous n'allons pas y passer la journée, il faut enlever votre soutient gorge et votre culotte sinon c'est moi qui vais m'en charger et croyez-moi cela ne va pas être agréable pour vous.

Clara le regarde ébahi, à son regard dur, elle comprend vite qu'elle n'a plus d'option, face à cet homme son humiliation est à son comble. Une douceur sourde commence à envahir son bas ventre qui la dépossède de toute volonté de lutter.

Elle glisse ses mains dans son dos se baisse légèrement et dégrafe son soutient gorge, elle libère une belle poitrine laiteuse et pulpeuse avec des tétons bien formés et ferme.

Le soutien-gorge va rejoindre lui aussi l'accoudoir du fauteuil.

Les deux hommes et la femme remarque qu'elle a une poitrine qui pour ses 40 ans à fière allure et défit encore les lois de la gravité.

Elle hésite un instant avant de baisser sa culotte, elle recherche le regard de l'homme en face d'elle, d'un peu compréhension face à son désarroi.

Il lui fait comprendre du regard qu'il n'en a cure.

Vaincu, elle glisse ses mains sur ses hanches et se baisse légèrement, fait glisser le bout d'étoffe le long de ses cuisses puis de ses mollets. Ses seins ne peuvent que suivre la loi de Newton, ils pendent entre ses bras. Ses fesses bien formées libres de tout tissu s'exposent au regard de la femme et de l'homme derrière elle. Elle enjambe sa culotte et vient la poser elle aussi sur l'accoudoir.

Dans un instinct de protection féminine, elle serre ses jambes, de sa main elle cache son pubis et de son bras ses seins.

Un sentiment d'abaissement l'envahie, une sensation de soumission qu'elle ne peut contrôler prends possession de son corps. Elle est nue encore chaussée de ses talons hauts ce qui augmente le galbe de ses jambes. Entouré de cette femme, de ces deux hommes libres de leur destinée, ils ont tous les pleins pouvoirs sur elle.

La femme avec sa cravache lui donne une tape sur les fesses.

Clara gémis légèrement de protestation et d'humiliation.

-Madame, vous n'êtes pas ici pour faire de la figuration, vos bras croisés dans le dos vos jambes écartées, la tête haute.

Avec sa cravache elle rectifie d'une légère tape sous le menton le port de sa tête ainsi qu'une légère tape sur le ventre.

Clara se surprend, complètement inhibé, elle obéi aux ordres, prend la position et attend immobile la poitrine offerte.

L'homme en face d'elle assis confortablement derrière son bureau, du regard, la détaille, la jauge, l'évalue psychologiquement comme un vulgaire maquignon.

Elle a une belle chevelure blonde qui tombe sur ses épaules, le front bien dessiné, ses yeux sont fins, d'un bleu profond, le nez et ravissant, une bouche fine et bien dessinée, le cou bien proportionné.

Les épaules sont droites, larges, ne s'affaissent pas ce qui permet de juger d'une belle musculature.

Ses seins sont bien formés et peuvent être bien pris en main, entre les deux il n'y pas trace de rides.

Les tétons sont bien dessinés et ne demandent qu'à être pincés.

Le ventre est bien plat la taille est fine, le nombril parfaitement dessiné.

Le pubis est gracieusement bombé, c'est une vraie blonde, ses poils sur son mont de venus forme une légère ligne centrale et se déploient en éventail. Les grandes lèvres semblent bien charnues, les petites lèvres dépassent légèrement, le clitoris n'est pas visible.

Les cuisses sont musclées et bien proportionnée.

-Tourne toi et met les mains derrière la tête !!!!

Elle hésite une fraction de seconde mais le coup de cravache sur ses fesses la rappelle vite à l'ordre.

Elle se retourne, elle fait face à l'homme et la femme en uniforme qui se régale de la vision de son anatomie exposée, notamment la plus intime. Elle pose ses mains sur sa nuque.

La femme d'un léger coup de cravache sous le menton, rectifie le port de sa tête, quelques coups sur l'intérieur des cuisses pour la forcer à les écarter un peu plus.

Clara sent le regard de l'homme qui inspecte son dos, le bas de ses reins. Ne pas pouvoir croiser son regard et d'être évalué comme du vulgaire bétail, lui donne un terrible sentiment d'avilissement.

Après le côté face l'homme évalue le côté pile de Clara, les dorsaux sont bien musclés, la colonne vertébrale bien droite, la taille est fine. Les fesses sont bien formées et ne retombe pas, les cuisses sont athlétiques.

L'homme à son idée, le destin de cette femme dépendra de la qualité de son dressage..........

Retourne-toi, bras croisés dans le dos.

Clara s'exécute et se positionne face à l'homme, la femme n'a pas besoin de la cravache pour la rappeler à l'ordre, Clara prends immédiatement la bonne position.

L'homme lui demande de s'avancer à toucher le bureau, il sort du tiroir une boite qu'il ouvre et lui montre l'intérieur

Clara s'avance et d'un rapide coup d'œil, elle remarque que la boite est vide.

-Madame vos bijoux s'il vous plait, là où vous allez, vous n'allez pas en avoir besoin, des bijoux vous seront attribués plus adaptés à votre tâche.

D'un seul coup Clara sans sa gorge se nouer, impossible de se contrôler elle se met sangloter, des larmes coulent sur ses joues.

-Allons madame pas de ça ici, garder vos larmes, vous en aurez bien besoin pour la suite.

Le ton hautain de l'homme, Le Madame et le Vouvoiements, dans la situation où elle se trouve exposée nue et soumise au centre de ces trois individus qu'elle ne connaissait pas il y encore quelques heures ne sont que plus humiliant.

Sanglotante et résignée, elle passe ses mains derrière sa nuque baisse légèrement la tête, pour défaire le collier de perle qui entoure son cou et le pose dans la boite. Ses bracelets, sa montre Rolex, ses bagues finissent également dans la boite.

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