Les Expatriés - Sandra

BÊTA PUBLIQUE

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Ses jambes s'écartèrent lorsqu'elle pressa son ventre contre lui, et elle sentit pour la première fois sa bite s'incruster dans sa chair ! Elle suffoqua devant le volume de sa bite. On ne lui avait pas menti, les hommes noirs avaient des bites énormes ! Elle avait faim et se frottait contre lui. "Une garce, une salope qui se dévergonde, elle est en chaleur" a pensé le garde. Aucune éducation de la dame ne persistait dans le tourbillon de ses reins, tandis qu'elle se frottait en mimant l'acte sexuel sur l'homme qui l'épinglait contre le lavabo.

Katona éclata de rire en se dégageant. Le destin de Sandra venait de se décider ! Une salope avec un visage d'ange et un corps de princesse, ça ne courait pas les rues à Harare ! Katona savourait sa chance en imaginant cette jolie femme blanche, dans ce bar fréquenté par Katona et ses amis, livrée à toute la bande, pour leur divertissement, et l'élévation de statut que cela lui apporterait. Son sexe palpitait du désir de faire connaissance avec son corps, et du fait qu'il serait le premier Africain à entrer dans cette chatte étroite. Avec un rire démentiel, sa bouche descendit, esquiva la bouche offerte et glissa dans son cou. Gémissante d'impatience, Sandra pencha la tête pour s'abandonner à la passion avide du gars.

La bouche s'acharnait dans son cou, et Sandra se tordait en subissant la passion bestiale qui se déchaînait sur elle. Sa grande taille couvrait la silhouette mince qui se tortillait avec excitation. Elle était coincée, à la fois par son déshabillé et par les bras puissants. Ses seins ronds écrasés par le corps musclé. Ses mamelons pressés contre son torse avec l'acharnement anxieux de vérifier sa force musculaire. Les pensées vers son mari avaient disparues dans la moiteur de sa chatte. Katona sourit en ôtant sa bouche du cou blanc. Qu'elle aille expliquer cela à son mari" pensait-il en regardant la trace laissée dans son cou par ses lèvres et ses dents. Ses seins blancs et ronds ont attirés son regard. Les tétons dressés et assombris par la passion. Sa bouche s'abaissa à nouveau, engloutissant d'abord un mamelon, puis l'autre. Ses lèvres suçaient, et ses dents grignotaient les chairs tendres. Sa langue caressait en calmant le feu des morsures. Il a broyé la chair blanche avec sa bouche vorace.

Sandra poussait des cris d'excitation et de douleur tandis que Katona jouait avec ses mamelons. Les picotements de douleur et de plaisir rivalisaient entre eux. Cambrée en arrière, elle offrait ses seins en pâture au grand guerrier noir. Finalement, à force de lutter, elle est parvenue à libérer ses mains. Sandra saisit la tête et la pressa avidement sur ses seins martyrisés. Jamais elle n'avait connu une telle passion bestiale. Son mari était si doux, si attentionné. Cet étalon se concentrait sur son propre plaisir, sans se préoccuper de sa partenaire, ce qui exacerbait la passion de Sandra. Ses hanches ondulaient en frottant son ventre contre sa virilité, les cuisses largement écartées. Sa chatte exigeait d'être prise sans attendre. Sa vulve palpitante ruisselait de désir.

Sandra geignait d'ardeur. Elle sentait son sexe dressé se presser contre elle, maintenant elle avait hâte de l'avoir en elle. Pour découvrir des sensations inconnues. Katona se désintéressa de ses mamelons. Sa bouche descendit plus bas. Sandra poussa un cri de joie. Sa bouche s'est dirigée sans hésitation vers sa chatte incandescente. Il goûta l'humidité de la source chaude, tandis que Sandra se tordait en frottant son pubis contre son visage avec une excitation frénétique. Il parvenait à entrer dans l'étroit canal avec sa langue pour exciter les muqueuses intérieures. Puis, sa langue s'élargit pour balayer toute la longueur de la fente. Il alterna l'intérieur et l'extérieur pendant un moment, donnant des coups de la langue à droite, à gauche, puis de haut en bas.

Enfin, il a changé d'idée et s'est concentré sur son clitoris. Sa langue s'adoucit. Il a joué délicatement avec son bouton, et Sandra est devenue folle. Elle tremblait de plaisir et d'excitation, ses mains agrippaient sa tête en vain, c'était juste trop excitant, elle luttait pour se libérer. Sa résistance n'a eu aucun impact sur la volonté du gars. Katona souriait en se relevant. Il contemplait Sandra. Ses lèvres tremblantes étaient cramoisies de passion. Son regard était voilé, presque vitreux, ses mamelons érigés étaient brunis. Mais surtout, son cou, sa bouche, ses seins et son ventre portaient les stigmates de la passion que lui avait infligée Katona. Sa poitrine montait et descendait avec la férocité de son souffle haletant. Il ôta son maillot. Attrapa la tête de Sandra et la tira vers lui. Elle ouvrit ses lèvres avec impatience, et les serra autour de ses mamelons durcis. Elle a sucé, léché et mordillé. Plus bas, elle pouvait le voir détacher sa ceinture et déboutonner son pantalon.

Son excitation croissait. Puis les mains sur ses épaules la poussaient plus bas. Étonnamment, il s'est arrêté à son nombril, et la langue de Sandra n'a jamais cessé de clapoter. Elle plongea dans son nombril une langue pointue et avide. Elle lécha la douce peau, puis s'enfonça plus profondément pour taquiner le nœud tordu de chair à l'intérieur. Katona éclata de rire et Sandra poussa un cri lorsqu'il la souleva pour la jeter en travers de ses épaules aussi facilement que s'il s'agissait d'un sac de linge. Il se dirigea vers la chambre avec Sandra gigotant sur son épaule. Sa main la maintenait en place, plaquée sur son cul rond. Il a pétri la chair blanche et ferme. Son action a calmé les ruades de Sandra tandis qu'il la transportait dans sa chambre. Il l'a jetée sur son propre lit.

Les jambes écartées, les bras en croix, elle regardait avec un désir ardent le grand guerrier noir qui la surplombait. Elle le regardait baisser son pantalon. Sa bite libérée s'agitait, et Sandra la regardait. Son désir était trop intense pour avoir peur, mais la bite devant elle était monstrueuse. C'était vrai, on ne lui avait pas menti, les africains avaient des bites énormes ! Elle tremblait d'appréhension et de désir. Instinctivement, elle resserra ses jambes, montrant ainsi qu'elle n'avait pas de suite dans les idées. En revanche, ses hanches poussaient vers le haut, dans le besoin. Son esprit se révoltait contre la taille de cette bite noire, tandis que sa chatte en avait faim.

Katona sourit. Son trouble était évident. Une fois qu'elle aura sa bite à l'intérieur, cela cessera. Il se pencha, et tira une Sandra sans résistance vers le bord du lit. Il se redressa et branla sa bite. C'était déjà assez dressé, mais il aimait regarder les yeux de la femme blanche sur sa bite caressée. Il n'a pas été déçu. Les yeux de Sandra s'écarquillaient. Ses pupilles se dilataient. Elle était hypnotisée par son immense poteau noir, un serpent qui allait bientôt cracher son venin au plus profond d'elle. Elle regardait sa main coulisser sur cette bite épaisse pour augmenter sa dureté. Elle regardait le prépuce rouler lentement sur lui-même, révélant un gland en tête de champignon.

Elle frissonna à l'idée de ce qu'elle allait ressentir lorsque cette bite écartera sa vulve pour pénétrer à l'intérieur. Ses hanches se sont soulevées, forçant les cuisses séduisantes à s'écarter de nouveau en prévision de l'assaut. Katona se pencha et écarta ses genoux. Sandra gémissait, haletante d'excitation. Il se tenait au pied du lit. Ses mains puissantes soutenaient les hanches impatientes. Sandra était cambrée en arrière. Seules ses épaules et sa tête restaient en contact avec le lit. Le long chibre noir épais était prêt, pointant comme une lance vers sa chatte ouverte et sans défense. Sandra le regarda dans les yeux. Elle fut surprise de rencontrer un regard dur et froid.

- S'il te plait, plaida-t-elle, ne me fais plus attendre, baise-moi !

Katona sourit. Sa bite taquinait l'entrée humide de sa chatte, et Sandra s'ouvrait et se contorsionnait dans l'espoir de gober son membre. Katona poussa un peu vers l'avant, et le gland bulbeux sauta à l'intérieur. Sa chatte offrait peu de résistance. Sandra tremblait de plaisir et d'émotion lorsque le gland bombé entra. Elle ne s'était jamais sentie aussi dilatée. Tellement comblée, et seule une toute petite partie était dedans. Rien ne l'avait préparée à une telle initiation. Katona poussa plus profondément, et les jambes de Sandra s'enroulèrent autour de la taille musclée, le pressant fermement en elle. Ses talons pressés contre les fesses fermes l'éperonnaient. Katona a accepté de lui accorder quelques centimètres supplémentaires. Sandra a crié de bonheur.

Katona savourait la prise serrée de la chatte de Sandra sur sa queue. Son mari n'avait probablement pas l'outil nécessaire pour l'ouvrir davantage. Il a poussé sa bite plus profondément. Il pouvait sentir la chatte de Sandra s'élargir tandis que sa bite l'envahissait. Elle était étroite, et les parois de sa vulve le serraient fermement. Elle était si excitée et si mouillée. Sa bite a pénétré encore un peu plus profond, faisant trembler la femme sous lui d'excitation. Le corps de Sandra tremblait à cause de l'excitation produite par la pression de cette bite africaine qui la forçait. Elle était empalée plus profondément et plus rudement qu'elle ne l'avait jamais été. Et il y en avait encore plus à venir !

Son tremblement augmenta. Ses épaules glissèrent sur le drap quand il la repoussa plus loin sur le lit. Le corps de Katona maîtrisait le sien. Sandra étaient envahie par un tourbillon de sensations. Elle détourna son attention de l'énorme bite qui l'empalait pour dévisager l'homme au-dessus d'elle. Son visage, ses yeux ne reflétaient aucun sentiment. Ne ressentait-il aucune passion? La motivation de Katona, c'était l'argent et la domination. C'était la conquête de cette femme blanche qui comptait pour lui. Prendre la femme d'un autre homme, bien. Mais prendre la femme d'un Bwana, d'un de ces types puants de suffisance, c'était un régal. Il allait baiser cette femme jusqu'à ce qu'elle soit une épave tremblante. Et il allait laisser tellement de stigmates sur sa peau que le mari ne pourra rien ignorer de sa déchéance.

Les coutumes tribales seraient respectées, voler la femme d'un autre, c'était une tradition séculaire qui se respectait. C'était encore mieux quand la femme était blanche et riche. Son mari était mille fois plus riche que Katona, mais il ne pouvait pas rivaliser avec l'africain qui lui volait sa femme. Sandra était à lui maintenant. Son jouet jusqu'à ce qu'il la transmette ou qu'il la vende. Le lourd corps noir écrasa sur la mince femme blanche tandis que sa bite s'enfonçait jusqu'au fond. Le premier orgasme de Sandra l'a engloutie. Mais Katona continua, sa bite martelant Sandra sous lui.

- Oh ! Non ! S'il vous plaît, stop ! Assez ! Arrêtez, je suis venue !

Katona sourit et la baisa avec de longs coups lents et profonds. Elle essayait de le repousser, mais sans succès. Et sa chatte en voulait plus. Les sensations étaient exquises, et cela la rendait folle. Il fallait que ça s'arrête. C'était trop ! Son mari s'arrêtait quand elle le demandait ! C'était bien trop capiteux pour continuer. Mais l'africain ne s'arrêtait pas. Il a continué de baiser la chatte blanche étroite. Amener la femme à son paroxysme. La faire basculer de l'autre côté pour qu'elle devienne son jouet. Sandra pantelait. Sa chatte prenait le commandement sous la pression de sensations inconnues. Katona a accéléré son rythme, martelant avec détermination la femme en transes. Assuré de la dompter, vicieux dans sa démarche, il lisait sur son visage les affres du plaisir.

Sandra a cessé de lutter. Ses mains fines agrippèrent les bras musclés, remontèrent plus haut, et se verrouillèrent derrière sa tête. Elle regarda le visage sombre au-dessus d'elle. Une fine sueur avait fini par perler sur son front. Elle levait ses hanches à la rencontre de Katona. Fiévreusement. Résolument. Elle ressentait des sensations passionnées tandis que l'épais membre noir coulissait à l'intérieur d'elle. Elle le pressait avec délice, comme si elle voulait le traire avec les parois serrées de sa chatte. Puis les premiers jets de sperme jaillirent. Profondément. Sperme fécond qui a inondé sa chatte. Elle a commencé un nouvel orgasme. Mais l'africain n'a pas ralenti la cadence. Il ne s'est pas arrêté ou ramolli. Il a continué de la marteler, de la pilonner, toujours sur le même tempo !

Sandra était choquée. Cet Africain était un véritable taureau furieux. Un vrai étalon ! Elle geignait dans sa reddition. Dans son abandon total, ses cuisses s'ouvrirent largement. Les heurts de Katona étaient si puissants qu'elle se sentait clouée sur le lit par sa grosse bite. Ses jambes s'écartaient en battant l'air avec une passion démentielle. Elle se sentait comme une grenouille épinglée, tandis que son ventre était ravagé par un gros animal noir. Elle a adoré chaque seconde. Elle était impuissante face à ce déferlement de passion, elle n'avait pas d'autre alternative que de s'abandonner totalement à cet homme, de le laisser faire tout ce qu'il voulait d'elle. La seule possibilité, c'était de faire tout ce qu'il voulait et d'en profiter. Profiter d'un instant si délicieux ! Sa chatte palpitait délicieusement avec ce membre épais et palpitant qui la remplissait si complètement. Ses tentatives pour le serrer et le traire étaient vaines face à l'assaut sauvage entre ses jambes.

Katona ralentit pour examiner le visage de Sandra. Elle dégoulinait de sueur et de ferveur. Son regard était flétri, et elle le suppliait de continuer. Il s'est arrêté, pour sentir sa chatte essayer de le traire. Il éclata de rire. Il aimait ça, une femme qui perdait ses moyens. Maintenant, il était temps de passer à autre chose. Malgré ses supplications, il se retira. Sa bite était toujours aussi épaisse, dure et longue que lorsqu'il avait commencé à la baiser. Trempée maintenant des jus de cette femme. Il repoussa Sandra qui s'accrochait à lui en protestant. Avec une aisance désinvolte, il retourna Sandra sur le ventre. Son regard s'attarda sur son cul. Un joli petit cul, délicieusement arrondi, avec les fesses musclées. Il lui écarta les fesses. Sandra miaula en prévision de ce qu'elle craignait. Son désir combattait la peur que son énorme membre ne la déchire.

Elle soupira en sentant la langue balayer sa raie culière. Sa langue a commencé à danser autour de sa zone sensible. Elle gémit d'excitation en sentant l'épaisse langue chaude s'installant sur sa rose délicate. Tandis qu'il la léchait, Sandra se cambra, poussant son cul vers le haut, désirant que la langue bienfaitrice ouvre son passage. La bite de son mari avait depuis longtemps exploré cet endroit. Sandra était plus que disposée, bien qu'un peu anxieuse, à recevoir son outil là-dedans. Ses reins se cambraient, ses hanches montaient en signe d'invitation impudique et offerte. Katona s'est positionné au-dessus de Sandra. Il écarta les jambes blanches avec ses genoux noirs. Il s'appuya sur le bas de ses reins. Le petit cul de cette femme blanche n'était pas si serré. Sandra se tortillait en réponse à cette main posée sur le bas de son dos.

- Reste docile, femme! Sandra se figea immédiatement. Elle regarda par-dessus son épaule le bel étalon. Son corps d'ébène brillait maintenant de sueur. Des papillons s'envolèrent dans son ventre. Quel homme! Son doigt perça sa rose. Il se glissa facilement à travers l'ouverture maintenant humide.

- Tu as déjà fait ça ! Ce n'était pas une question. Son doigt jouait avec son sphincter, envoyant des sensations indécentes à travers son corps, directement jusqu'à son cerveau.

- Oui ! Elle haletait. Elle n'osait pas le regarder, gênée. Mon mari, il... c'est-à-dire, parfois il aime prétendre que je suis comme un garçon ! Elle enfouit son visage dans les draps du lit.

- Peut-être, quand ton mari sera de retour, je montrerai à ton mari ce qu'est un homme ! Un vrai ! Crois-tu qu'il aimera ça?

- S'il te plaît, non ! Mon mari ne doit jamais savoir ! Sandra était terrifiée, son mari ne devait jamais apprendre qu'elle l'avait trompé avec un Africain. Elle trouva le courage de lever les yeux vers Katona.

- Mon mari ne doit jamais savoir. Il y aura d'autres moments. Quand il sera absent. Il s'absente souvent. Tu pourras m'avoir chaque fois qu'il sera absent ! Je serai toute à toi !

- Quel genre d'offre est-ce? Qu'est-ce que j'y gagne? C'est toi qui veux ma bite, et tu as ma bite. Alors, qu'est-ce que j'obtiens en échange de mon silence?

- Je serai charmante avec toi ! Elle tortillait ses fesses pour l'aguicher.

- Merde, pourquoi voudrais-je que tu sois charmante?

- Je serai aussi salope que tu le souhaites ! Vraiment salope avec mon amant. Tu pourras me prendre comme tu veux. Voudras-tu me sodomiser avec ta grosse bite? Katona sourit de toutes ses dents. Elles brillaient dans son visage sombre. C'était son jour de chance. Il a pointé sa bite entre les fesses qu'elle maintenait écartées, vers cette entrée des délices, chaude et serrée, et il l'a plantée.

Katona se souleva sur un coude pour regarder le visage de Sandra dans la lumière du petit matin. Elle avait l'air épuisée et repue, mais le festin n'était pas encore terminé. Il lui fallait parfaire le dressage pour qu'elle le supplie le soir venu. Il retira le mince drap pour découvrir son corps martyrisé. Elle était mignonne, adorable. Un peu petite, mais cela ne diminuait en rien sa féminité. C'était une vraie dame. Il lui avait fallu cinq mois pour qu'elle lui cède et s'abandonne à ses charmes. Cela ne faisait plus aucune différence. Dame, épouse, mari aimant ou pas. Il ne lui faudrait pas plus d'un mois pour la posséder totalement et chasser le mari.

Sa main caressa sa poitrine ronde. Remarquablement gros pour un si petit torse. Ses doigts jouaient nonchalamment avec son mamelon, qui a répondu rapidement à la stimulation. Sandra commença à gémir dans son sommeil. Il laissa courir sa main sur son corps. Sur ce ventre moelleux qu'il avait tant heurté la nuit dernière. Cette femme plaira à ses copains, il en était sûr. Ce sera si plaisant de la voir prise en tournante par tous ces mecs excités par l'idée de déglinguer une blanche, produit rare de l'endroit d'où ils venaient. Après tout, c'était dans la tradition tribale d'offrir ses conquêtes à ses amis. Ainsi, les femmes prouvaient à leurs hommes combien elles les aimaient, en couchant avec leurs amis, elles augmentaient l'estime et le prestige de leur seigneur et maître.

En couchant avec les amis des amis, les femmes blanches avaient également découvert qu'elles obtenaient le même plaisir sexuel avec n'importe quel africain bien monté entre les jambes, et pas seulement avec leur amant de cœur. Une fois qu'elles avaient apprécié sa bite, les femmes blanches étaient prêtes à tout pour baiser avec lui ! Cela n'avait jamais pris plus d'un mois. À partir de ce moment-là, elle sera accro. Après que Katona et ses amis auront fini le dressage, elle acceptera son sort en sachant que c'est de la bite africaine dont elle a besoin, pas seulement de Katona.

Cette femme était une dame, mais avec des besoins sexuels, et il avait commencé le travail pour en faire une fille. Une fille capable de se livrer avec enthousiasme à tous ses amis. Certaines dames blanches étaient capables de s'humilier et de descendre très bas, et s'il avait bien deviné, celle-là promettait beaucoup. Sa main caressa plus bas dans la fourche des cuisses blanches de Sandra. Elle bougea. Ses jambes s'écartèrent machinalement lorsque ses doigts effleurèrent légèrement sa chatte. Elle était mouillée. Que ce soit les restes de la nuit dernière, ou ses attentions ce matin, peu lui importait. Elle était prête à être prise.

- Philippe non, pas maintenant, j'ai trop mal !

Puis elle ouvrit les yeux. Ce n'était pas Philippe, son mari, qui la caressait. C'était son amant de la nuit dernière, le bel étalon noir. Ses yeux, même après une nuit d'amour passionné, dévoraient son corps nu. Elle attrapa le drap pour se couvrir, mais Katona la dénuda.