Les Expatriés - Sandra

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Une femme blanche est subjuguée par le vigile.
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Rainett
Rainett
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Une femme blanche est subjuguée par le vigile chargé de la protéger.

Sandra laissa retomber le téléphone sur son support et retourna à pas feutrés dans le couloir jusqu'à leur chambre. Elle était excitée et troublée. Parler à son mari au téléphone n'avait fait qu'augmenter son excitation. C'était bien beau de la taquiner avec des histoires coquines, mais son mari était à des centaines de kilomètres ! Maintenant, elle était seule, toute émoustillée par les suggestions coquines de son mari. En Angleterre, elle aurait pris une douche froide, mais ici au Zimbabwe, même une douche froide ne la calmerait pas ! Pourquoi son mari l'excitait-il ainsi alors qu'il était si loin?

Elle s'assit près de la fenêtre pour brosser ses courts cheveux noirs, encore humides d'avoir nagé dans leur grande piscine. Elle venait juste de rentrer de sa baignade au clair de lune. Elle écoutait la faune bruisser à travers les arbres. Elle avait vu quelques petits singes vervets sauter dans les arbres. Normalement, ils ne venaient pas si près de la ville. La faim a dû les pousser à de telles mesures désespérées. Les autochtones semblaient n'avoir aucune hésitation à les manger quand ils pouvaient les attraper. Ses serviteurs partis depuis longtemps, elle était si seule. Les rares amis qu'ils avaient habitaient de l'autre côté de la ville, et lorsque son mari prenait la voiture pour ses déplacements, elle se sentait délaissée.

La plupart de ses proches voisins étaient des Rhodésiens de souche qui ne fréquentaient pas les expatriés. Et les épouses des expatriés, les collègues de son mari, semblaient l'ignorer. Comme si elles faisaient partie d'un cercle intime auquel Sandra n'était pas conviée. Pourtant, elle ne regrettait pas d'être venue au Zimbabwe. C'était si différent de l'Angleterre. Elle était assise, occupée à brosser ses cheveux, pratiquement en mode automatique, et son esprit vagabondait. Son corps frémissait d'excitation sexuelle. La chaude et douce soirée semblait propice à la langueur, contrairement à ses reins fiévreux qui propulsaient dans son esprit des pensées friponnes et audacieuses. Sa conversation avec son mari aurait dû calmer ses pensées, mais elle ne l'a pas fait. Il était à blâmer, nourrissant ses pensées perverses avec une cruauté vicieuse, en lui racontant tout ce qu'il lui fera quand il reviendra ! Elle frissonna d'anticipation. Mais il n'était pas là maintenant, et elle était tellement excitée ! Son imagination était en ébullition.

Ses pensées étaient troublées par les paroles de son mari. Dehors, dans l'obscurité, le vigile patrouillait. C'était toujours le cas lorsque son mari était absent. Son entreprise fournissait un gars pour la nuit à tout le personnel expatrié lorsqu'un mari ou un père était absent. Il suffisait de prévenir pour obtenir un gars. Sandra pensait que c'était exagéré. Elle se sentait en sécurité chez elle, plus qu'en Angleterre, même si son mari était absent. Trop grand risque était la réponse du responsable. Une femme blanche isolée était une proie facile pour les voyous. Et encore, si les cambrioleurs se contentaient de simplement cambrioler, avait-il ajouté en dévisageant Sandra avec son regard de convoitise.

Mais Sandra insistait. On était au Zimbabwe, pas chez les Zoulous, avait-elle répondu. Ni le responsable de la sécurité, ni son mari n'avaient réagi, alors un grand noir patrouillait dans le jardin. Elle frissonna en se rappelant la dernière histoire d'horreur. Une bande de brigands avait attaqué une ferme isolée dans le nord-est du pays. Ils avaient saccagé la maison et pillé la ferme. Ils étaient restés deux jours. Le fermier et sa fille ligotés sur un banc avaient dû assister au viol de la mère pendant plusieurs heures. Ensuite, ils avaient ligotés la mère à côté du père, et ils s'étaient relayés sur la fille. Pour aggraver l'horreur, les bandits avaient massacré les employés de la ferme. En partant, ils ont emmené la fille avec eux, en narguant les parents, et en prétendant que la gamine valait un bon prix de l'autre côté de la frontière. Ils voulaient la vendre dans un bordel !

Le Zimbabwe était un pays paisible, civilisé, où les indigènes étaient peu agressifs. Sauf envers les femmes blanches qui s'habillaient trop sexy. Les jupes trop courtes, les pantalons moulants, les corsages étriqués, attiraient à coup sûr les mains baladeuses. Cela avait été embarrassant et intimidant au début, mais ils s'y étaient tous les deux habitués. Le comportement spontané des hommes africains dans les rues était connu de toutes les femmes blanches. Pour la plupart, des paysans déracinés qui avaient laissé leurs femmes pour s'occuper de la ferme familiale. Même son mari avait trouvé cela flatteur et la taquinait à ce sujet.

Et ce soir, un africain patrouillait dans l'obscurité autour de sa villa. Était-il aussi frustré qu'elle l'était par l'absence de son mari? Avait-il une femme qui l'attendait, quelque part dans les collines? Se branlait-il en pensant à elle? Au moins, son mari n'était absent que deux nuits. Ce fier guerrier africain restait probablement éloigné de sa famille pendant plusieurs mois ! Pas étonnant que les africains soient aussi appâtés par ses fesses lorsqu'elle se dandinait au bras de son mari. Elle ne pouvait pas imaginer être séparée de son mari pendant six mois ou un an. Elle se sentait assez paumée quand son mari était absent, et c'était une femme. Était-ce plus frustrant pour un homme?

Elle sentit un frisson parcourir sa colonne vertébrale. Était-ce vrai ce qu'ils disaient? Ce mec, là dehors, avait-il une énorme bite? Cette bite avait-elle été privée de sexe depuis plusieurs mois? Elle mouillait à cause de ses pensées malsaines. Ses fantasmes reprenaient le dessus, l'imaginant se faire défoncer par un chibre gigantesque. Impossible de penser à autre chose, ses pensées revenaient sans cesse au gars à l'extérieur, et à ce qu'il cachait dans son pantalon. Était-ce long et épais? Était-il dans l'obscurité du jardin, épiant la femme blanche à travers ses persiennes, soulageant sa frustration par des mouvements rapides de la main? Son esprit était rempli d'images obscènes. Sa chatte gorgée de sang réclamait un soulagement urgent.

Elle était tellement excitée par ses mauvaises pensées ! Son ventre bruissait, ses mamelons tendaient le frêle tissu de son déshabillé. Elle se sentait comme une minette attendant la visite d'une foule de chats de gouttière errants. Elle posa sa brosse pour masser ses seins ronds. Ils faisaient le bonheur de son mari. Malgré sa petite silhouette svelte, elle possédait des seins blancs pleins et ronds, avec de ravissantes aréoles roses. Elle écarta le mince négligé de satin et regarda ses seins dans le miroir. Poitrine bien ferme sans aucun signe de relâchement. À 25 ans, elle était dans la fleur de l'âge. Ses mains jouaient avec ses tétons. Maintenant, ils n'avaient pas leur délicate teinte rose. Ils étaient durs et gonflés, d'un rouge profond, couleur de la passion, palpitants d'ardeur et de désir. Elle referma sa nuisette autour d'elle et la lissa.

Pouvait-elle vraiment envisager un autre homme que son mari? Un grand guerrier noir à la bite dressée, comme le vigile à l'extérieur. Sa main glissa dans son entrejambe, avant de la retirer, en se reprochant son manque de maîtrise de soi. En resserrant la ceinture de son déshabillé autour de sa taille fine, comme une ceinture de sécurité, elle se leva. À peine plus d'un mètre soixante, une silhouette tonique, elle aurait aimé être plus cambrée, avec les fesses plus rondes. Mais son mari, qui disait parfois qu'elle avait un cul de garçon, aimait la prendre par là.

- Imagine que tu es un petit garçon ! Il lui chuchotait en la positionnant à quatre pattes sur le lit. Ces pensées malsaines lui envoyaient un frisson sauvage de perversité tandis qu'elle tortillait ses fesses sexy devant lui. Les jeux érotiques de son mari étaient la cause de ses chaleurs. Ses jeux de mots salaces au téléphone, ce soir, n'ont fait que stimuler ses pensées coquines. Des fantasmes qu'elle n'aurait jamais osé avouer à son mari, malgré ses propres taquineries. Elle était une dame, et elle devait le rester aux yeux de son homme. Mais elle avait droit à quelques secrets bien gardés. Ce soir, elle se sentait plus près du chat de gouttière que de la dame.

Des éclairs crépitèrent dans le ciel, presque comme le flash d'un appareil photo. Elle se tendit dans l'expectative. Le coup de tonnerre assourdissant retentit à ses oreilles, et les cieux s'ouvrirent. La saison sèche était terminée, les premières trombes d'eau s'abattaient sur le sol. La pluie crépitait violemment sur la terrasse comme s'il s'agissait de la grêle. Elle était surprise. C'était la première fois qu'elle voyait une telle pluie. Elle cognait sur le toit et sur les persiennes. Le jardin trop sec se remplissait de ruisseaux et d'étangs. Elle regardait la surface de la piscine se transformer en tempête.

Un craquement la fit sursauter et elle regarda avec inquiétude une branche d'arbre se détacher et s'écraser au sol. Elle pensait à l'homme, là-dehors, seul sous ce déluge de pluie et de branches.

Son cœur s'arrêta. Elle ne pouvait pas le laisser dehors avec ce temps épouvantable. Une pulsation de chaleur monta de ses reins. Sa voix intérieure lui murmurait qu'elle devait faire quelque chose. Son pouls s'affolait, ses seins durcissaient davantage. Ils semblaient vouloir percer la fine étoffe de soie qui les recouvrait. Elle se battait avec sa conscience. Oserait-elle vraiment faire cela? C'était la faute de ton mari, avec ses propos grivois au téléphone. Te laisser seule et t'émoustiller, même si c'est mal, tellement mal, c'est de sa faute ! Tu ne peux pas laisser un homme seul, dehors, avec cette tempête, lui chuchotait la voix. Il ne le saura jamais. Il est à des centaines de kilomètres. Personne ne viendra te voir, ni à cette heure, ni par ce temps. Un autre éclair perça l'obscurité, presque au-dessus de la maison. Presque automatiquement, Sandra se retrouva à la porte d'entrée de la villa. Elle pouvait entendre le vent hurler et la pluie marteler dehors. Elle luttait avec le loquet, finalement la moitié supérieure de la porte s'ouvrit.

- Hello ! Appela-t-elle dans l'obscurité.

Soudain, une ombre terrifiante se précipita sur elle. Elle sursauta d'effroi. La langue chaude de Sam lécha son visage, et sa fourrure trempée dans ses bras apportèrent soulagement et agacement. Quelle idiote elle était ! Dans l'obscurité, dissimulé par sa fourrure noire, et elle ne l'avait pas vu venir. Il s'était jeté sur elle avec joie et bonheur !

- Couché ! Reste tranquille, Sam ! La voix mâle et autoritaire écarta ses pensées. Il était là!

Une autre vague de chaleur salace se répandit dans ses artères. Elle a lutté pour repousser le chien, puis le garde de sécurité fut là, ses grandes mains retirant le chien de Sandra et le repoussant. Sam s'éclipsa sous l'épais feuillage des buissons. Ils fournissaient un abri précaire pour la pluie.

- Madame, est-ce que tout va bien? Avez-vous besoin de quelque chose? Son regard sombre observait celui de Sandra. Il semblait inquiet. Une inquiétude pour elle, plutôt qu'une inquiétude pour la pluie. Son cœur a chaviré.

- Entrez ! Rentrez, vous mettre à l'abri ! Vous ne pouvez pas rester dehors avec cette tempête !

- Vraiment, Madame, la pluie n'est pas un problème ! C'était la vérité, la pluie ne lui causait aucun problème. Bien au contraire. Elevé à la campagne, la pluie n'était pour lui que source de joie. La mousson arrivait avec le printemps ! Dans ses montagnes, la nature allait renaître, et sa bananeraie allait donner de beaux fruits. Sa famille s'en occupait en son absence et, grâce à la pluie, la récolte sera bonne. Il ne ressentait que de la joie à l'arrivée de la pluie.

- Ne sois pas stupide, entre, on ne peut pas rester dehors par ce temps ! Le garde regarda la jolie Madame Bwana, évaluant la situation. Son esprit était vif, il connaissait les femmes, et il était conscient de l'effet que sa peau sombre avait sur certaines femmes blanches. Se pouvait-il que cette femme ait le feu au derrière, et qu'elle ait besoin de ses services?

- Ce n'est pas convenable, Madame !

- S'il vous plaît ! Entrez vite ! La pluie redouble !

Il restait silencieux, pensif. Ce n'était certes pas la politique officielle de l'entreprise. Le contrat qu'il avait signé ne permettait pas au personnel de sécurité d'entrer dans les villas, sauf en cas de force majeure. Certains collègues, dont son chef, appliquaient une autre politique. Lui-même, par le passé, mais c'était avec l'assentiment du mari, et même parfois en la présence du mari ! Se pouvait-il qu'en l'absence du mari, il réponde aux sollicitations de Madame Bwana? Finalement, il obtempéra.

Sandra luttait pour aider le gars à enlever ses vêtements trempés. Ce n'était pas l'odeur des vêtements humides qui chatouillait les narines de Sandra. C'était l'odeur épicée et masculine de l'africain. Des odeurs puissantes qui chatouillaient sa libido. Une brassée de papillons s'envolait dans son ventre, l'arôme emplissait ses narines et envoyait des pulsions de désir au creux de ses reins ! La femme blanche paraissait minuscule à côté du grand gaillard noir tandis qu'elle luttait pour l'aider à se déshabiller. Le gars n'en perdait pas une miette.

Il voyait les narines de la jeune femme se dilater. Son négligé de soie était très court, montrant ses jambes dorées. Ses mamelons durs pointaient sous le mince tissu. Sandra tremblait d'émotion. De près, la beauté de ce gaillard était quelque peu écrasante. En faisant glisser sa salopette de ses épaules, ses mains se posèrent sur ses bras musclés. Ses muscles puissants ondulaient sous sa peau.

Sandra a eut une faiblesse au niveau des genoux. Elle s'éloigna rapidement, mais l'électricité crépitait entre eux. Il portait un maillot sans manches, lâchement noué sur le devant. Ses muscles abdominaux saillaient sous sa peau sombre. Sandra recula prudemment en essayant de masquer son émoi.

- S'il vous plaît, venez à la cuisine, nous allons les faire sécher. Sandra ouvrit le chemin jusqu'à la cuisine. Elle prit brusquement conscience du manque de dignité de sa nuisette. Bien que parfaitement normal sous le climat tropical du Zimbabwe, elle était beaucoup trop courte pour accueillir un homme chez elle. Indécemment trop courte, elle gloussa, et augmenta le balancement de ses hanches. Elle se sentait étrange. Exaltée. Gênée. Coupable. Excitée. Mouillée d'émotion. Derrière elle, le garde souriait en regardant ses fesses osciller. Cela valait le coup d'attendre. Il n'avait aucun doute sur l'issue de cette soirée.

Dans la cuisine, Sandra drapa la salopette trempée sur la cuisinière à bois encore tiède de la cuisine du soir. Elle se retourna vers le gars et son cœur chancela. Ici, dans sa propre cuisine, la présence de ce géant l'impressionnait. Il était énorme, au moins deux têtes de plus qu'elle ! Elle tremblait d'émoi.

- Voulez-vous un thé ou un café pour vous réchauffer?

- Un café, s'il vous plaît, madame.

- Oh, soyez gentil, appelez-moi Sandra, pas madame. Elle se tourna vers la cafetière.

- Sandra ! dit-il de sa voix caverneuse. Sandra sentit ses tripes frissonner au son de sa voix.

- Et toi? Je ne connais toujours pas ton nom?

- Katona, Sandra. Katona !

Sandra s'affairait dans sa cuisine pendant que la cafetière chauffait. Elle était consciente de son regard sur elle tandis qu'elle préparait des tasses, du lait et du sucre. Cela semblait si étrange de faire ces préparatifs pour un Africain, alors qu'elle était tellement habituée à ce que se soit ses serviteurs qui fassent ces travaux pour elle. D'une certaine manière, il lui semblait approprié de faire tout ça pour Katona. Katona, quel nom étrange ! C'était excitant de savoir qu'il la regardait en observant son corps ! Pourrait-elle le faire? Aurait-elle les tripes d'aller jusqu'au bout?

Le cœur au bord des lèvres, elle se tourna vers l'évier. Tournant le dos au gars, elle se mordit la lèvre. Elle réprima son envie de rouler des hanches. Si elle allait jusqu'au bout, elle ne pourrait jamais le raconter à son mari ! Imaginant, cependant, comment elle pourrait le taquiner avec des histoires salaces, une fois qu'elle aurait découvert par elle-même ce que c'était vraiment la baise avec un africain. La vraie question, c'était de savoir comment faire? Elle toucha la ceinture de soie. Avec ses doigts tremblants, elle desserra légèrement le nœud. Le défaire. L'écarter suffisamment pour que ses seins pleins soient visibles, tout en gardant les tétons cachés. La nuisette ouverte en vé jusqu'à la taille, elle déglutit, incertaine et nerveuse. Elle resserra un peu la ceinture à sa taille. Ne pas montrer ce qu'il y avait sous la taille ! Finalement, elle se retourna vers le gars avec son café.

Elle sirota la sienne en regardant son invité. Ses yeux balayèrent le torse exposé, et ses tétons pointèrent immédiatement comme de petits pics sous le tissu de son déshabillé. Sandra sentit son cœur s'arrêter de battre. Le nœud de la ceinture qui retenait la nuisette fermée sur son ventre s'est relâché. Elle a lutté pour garder son calme tandis que la ceinture se délaçait et que sa nuisette s'ouvrait. Sandra ferma ses jolis yeux, luttant contre son trouble. Combattre l'envie de refermer précipitamment la ceinture. Appuyée contre le bloc cuisine, elle sirotait son café. Les yeux de gars s'écarquillèrent en voyant le vêtement s'ouvrir. Elle regarda la réaction soudaine sur son visage, pendant qu'elle ne faisait rien pour refermer sa nuisette. Il la dévisagea, les yeux dans les yeux. Elle détourna son regard en sirotant son café.

Lorsqu'elle le regarda encore une fois, l'expression sur son visage avait changé. Finie la surprise. Il y avait de la luxure dans ses yeux. Des frissons d'émotion, à la fois de peur et d'anticipation, couraient le long de la colonne vertébrale de Sandra. Leurs regards se croisèrent de nouveau. Il y avait de la confiance dans son regard maintenant, et ses yeux examinaient la peau exposée de ses cuisses jusqu'à ses seins. Son regard plongea dans celui de Sandra, qui rougit en sirotant son café. Le gars sourit et sirota son café. Le contrat était clair, il allait la baiser.

Sandra a bu la dernière goutte de son café, puis elle a posé sa tasse derrière elle dans l'évier de la cuisine. Elle fit face au gars, appuyée contre le lavabo. Ses mains de chaque côté d'elle posées sur le bord du comptoir. Avec d'énormes difficultés, elle s'arma de courage pour ne pas refermer sa nuisette. Elle leva les yeux vers le gars, en essayant de sourire d'un air décontracté. Le garde lui rendit son sourire. Un sourire carnassier du chasseur qui a acculé sa proie pour l'hallali. Il a fini son café, puis il a reposé sa tasse sur la table. Ses yeux capturèrent les yeux de la femme. Elle était perdue. Hypnotisée par le regard ténébreux. Sandra déglutit douloureusement. Katona regardait Sandra. Elle semblait si douce, si sage et si petite. Presqu'une enfant. Mais son corps la trahissait.

Ses tétons durs pointaient sous la soie fine, ses seins ronds se soulevaient lourdement. Les sens de Katona s'enflammèrent en mesurant son excitation. Cette jolie femme blanche, à l'air si sage et réservée, était une chienne en chaleur. Une chienne blanche excitée par sa bite, sa grosse bite noire! Il sourit, et ses larges mains attrapèrent les pans de sa nuisette. Sandra ne put s'empêcher de vibrer lorsque les doigts du mâle écartèrent son vêtement. Elle frissonnait d'émotion. Malgré la moiteur, sa peau était couverte par la chair de poule. Ses tétons étaient durs et saillants. Sa chatte gourmande coulait d'excitation. Cela allait arriver. Elle allait se faire baiser par un homme noir ! Si seulement sa sœur pouvait la voir maintenant !

Le déshabillé ouvert, les grandes mains du gars se posèrent sur sa taille fine. Il tira Sandra vers lui. Elle se cambra et pencha sa tête en arrière, pour que sa bouche puisse accueillir avec passion la bouche de l'homme affamé. Ses lèvres s'ouvrirent dans une acceptation docile de sa langue effrontée. Elle miaulait de plaisir. Toute arrogance abandonnée devant la puissance du mâle. Sa nuisette glissa de ses épaules et se bloqua sur ses bras, derrière elle. L'action combinée des mains et du vêtement entrava ses mains derrière elle, tandis que la bouche vorace tourmentait la sienne. Elle était coincée, comme prisonnière, tandis que le sauvage guerrier noir préparait le pillage de son jeune corps délicat. Sandra perdait le contrôle, désireuse d'être prise, clouée sur le lit et sauvagement baisée par ce colosse.

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