Les Expatriés - Sandra

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- J'ai mal... Se lamenta Sandra, troublée mais de plus en plus consciente des événements de la nuit dernière et de sa propre reddition enthousiaste. Elle contemplait le corps du gars. Le contraste entre sa peau couleur charbon et son propre corps blanc, dégageait un érotisme torride. Mais ses yeux se sont attardés sur sa bite. Il était déjà dressé, prêt à servir ! Il lui était difficile de croire qu'une bite aussi grosse ait pu la pénétrer ! Pas étonnant qu'elle ait mal ! Elle leva les yeux vers lui.

- S'il te plaît, non, pas maintenant, pas encore. J'ai trop mal. En plus, tu dois disparaître avant que les domestiques n'arrivent ! Ils pourraient le dire à mon mari. En outre, comment pourrais-je les diriger s'ils savaient que j'avais couché avec... avec... Elle s'arrêta, bien embarrassée par le choix des termes.

- Je bande, femme! Tu dois me soulager ! Puis il s'allongea sur le dos en la regardant dans les yeux. Sa main caressa sa joue, glissa dans son cou jusqu'à sa nuque, l'agrippa fermement dans le cou. Puis il a commencé à la tirer lentement vers lui. La poussant vers le bas de son ventre. Sandra déglutit difficilement tandis que ses lèvres s'approchaient de la grosse bite. Elle s'humecta les lèvres avec le bout de sa langue. Le gland s'approchait. Elle ouvrait déjà la bouche en signe d'acceptation, mais à sa grande surprise, Katona la poussa plus bas, vers ses bourses pleines. Ses yeux ses fermèrent devant ces deux grosses boules noires pleines de sperme fécond. Puis la main de Katona força son visage dans son entrejambe en sueur et puante. Des effluves âcres assaillirent son odorat.

- Lèche mes couilles ! La voix profonde de Katona commandait et Sandra obéit. Elle se soûlait du goût fort et puissant. Elle n'avait jamais fait cela pour son mari. N'y avait même jamais pensé. Mais maintenant, elle se sentait tellement méprisable qu'elle savourait sa propre déchéance, fière de son comportement de salope, et sa langue léchait les bourses pleines. Sa main enserra la bite dressée. Sa petite main blanche avait des difficultés à faire le tour du poteau noir, mais elle le caressa. Elle léchait et elle lapait lentement et doucement. Son sexe palpitait dans sa main. Sa bouche glissa le long de sa tige, remontant jusqu'au gland. Quelques gouttes s'échappaient du méat. Elle lécha le pré-sperme parfumé. Puis elle ouvrit grand sa bouche, le plus grand qu'elle pouvait, et goba le gland bulbeux.

Sandra suçait le gland avec avidité, et sa langue agaçait le frein qui maintenait le prépuce. Elle était impatiente de recevoir son foutre, impatiente qu'il termine vite pour qu'il parte avant que les larbins n'arrivent. Mais plus que tout, elle découvrait qu'elle aimait ça ! Katona regardait la bouche aux lèvres pulpeuses gober son membre dressé. Elle le pompait avec convoitise, et visiblement, elle adorait cela. Katona aimait sa pâleur, sa petite taille qui pouvait la faire confondre avec une gamine, mais il aimait surtout la docilité de cette femme. Elle gémit de frustration lorsque Katona repoussa sa tête et la fit rouler sur le dos. Il s'allongea entre ses cuisses ouvertes, sa masse la clouant sur le lit.

- S'il te plaît, tu dois partir, maintenant. Les domestiques vont arriver et puis... j'ai trop mal ! Ce soir, je serai toute à toi ! Mais Katona a ignoré ses supplications. Il présenta sa bite à l'entrée de sa chatte et il plongea résolument sa longueur dans son antre serré et humide. Ce fut un grand cri de bête blessée qui résonna dans la chambre. Katona sourit et poussa plus profond. Sandra n'avait même plus la force de le supplier. Son corps musclé, lourd et dominateur, s'installait dans son rythme préféré. Sandra renonça à le chasser. Enroulant ses bras et ses jambes autour de lui, elle le suppliait de la baiser en lui murmurant des mots d'amour. Katona a accepté d'augmenter son rythme, plongeant encore une fois dans le ravissement la jolie jeune femme blanche qui subissait son assaut.

Sandra poussait de petits cris bien féminins, jusqu'à un grand cri de joie !

C'était le début d'une longue journée qui allait compter dans son existence. Elle s'est allongée au soleil, s'est prélassée au bord de la piscine. Apaiser son corps martyrisé sous les chauds rayons du soleil, au bord de sa piscine bleu cristal. Mais Sandra n'en pouvait plus d'attendre la nuit. D'attendre le retour de son amant, le magnifique guerrier noir ! Elle est restée dans le bain longtemps, elle s'est pomponnée et parfumée pour lui plaire. Son comportement langoureux cachait son esprit fiévreux.

Elle n'avait jamais connu un amant aussi dominant ! Jamais personne ne lui avait fait vivre un sexe aussi exigeant ! Des ébats sexuels qui l'ont amenée à des paroxysmes d'excitation. Et une bite! Mon dieu ! Si grande et si épaisse ! Son ventre bruissait d'impatience. Son esprit était en ébullition.

Hier soir, c'était la première fois qu'elle trompait son mari. Mais ce n'était pas la dernière ! Ce soir, elle allait écarter ses jambes pour son amant. Largement et avec avidité. Elle le désirait tellement ! La pensée d'être baisée aussi pleinement par cet énorme membre la rendait folle de frustration dans l'attente de son arrivée. Sandra ramassa un magazine sur la table basse. C'était la feuille de chou locale, la seule du Zimbabwe. En Angleterre, jamais elle n'aurait feuilleté un tel torchon, juste bon à cirer les bottes des politiciens locaux. Pourtant, aujourd'hui, un article avait attiré son attention, et elle voulait relire l'histoire. Comme dans la plupart de ces chiffons, il y avait une page pour le courrier du cœur. Une de ces lettres avait éveillé son intérêt.

Une lettre écrite par une femme, bien évidemment une femme africaine. Son mari la partageait avec ses frères, et maintenant elle était tombée amoureuse d'un des frères. Que devrait-elle faire? Devait-elle divorcer de son mari, et épouser le frère dont elle était tombée amoureuse? Sandra frémit à l'idée d'une femme partagée entre plusieurs hommes d'une même famille. Faire l'amour avec plusieurs hommes à la fois était l'un de ses fantasmes préférés. Bien évidemment, cela restera un fantasme, pas question de se livrer à plusieurs hommes en même temps dans la vraie vie ! La réponse de la conseillère, c'était de rester avec son mari et de profiter du frère chaque fois qu'elle le pouvait ! Si elle divorçait pour épouser le frère, son nouveau mari la prêterait à ses frères, et elle se retrouverait dans les bras de son ex. Il lui ferait payer cher sa trahison, et cela pourrait créer des tensions entre les frères. Elle devrait continuer comme si de rien n'était en profitant du moment.

L'imagination de Sandra bouillonnait. Continuez comme avant, faites l'amour avec plusieurs hommes de la même fratrie ! Aucune critique ou censure, juste une acceptation flexible des coutumes tribales africaines. Elle feuilleta les pages qui contenaient d'autres histoires similaires. Il y avait eu des émeutes dans l'un des villages du sud. Une bagarre s'était développée, mêlant des jeunes de plusieurs familles. Une jeune mariée avait vécu une aventure peu banale. Son mari voulait la partager avec les membres mâles de sa famille. C'était, semble-t-il, la coutume dans cette famille. Pour se venger, elle avait pris un amant. Mais cet amant, originaire de la même communauté, voulait lui aussi la partager avec ses frères.

Sandra jeta un coup d'œil autour d'elle. C'était l'heure du déjeuner et son personnel était absent. Elle se tourna à plat ventre et main glissa sous son corps, fouillant entre ses cuisses. Ses doigts écartèrent sa culotte pour caresser doucement sa chatte fiévreuse. Elle est revenue à l'histoire du journal. Partagée comme esclave sexuelle par les hommes des deux familles! L'excitation que cette histoire lui procurait étonnait Sandra. Ses doigts tournoyaient résolument autour de son clitoris dressé. Elle a pris soin de ne pas raviver la douleur de la nuit dernière. Son esprit s'emplissait de l'image d'être prise par tous ces hommes, et son souffle s'accélérait. Elle reprit sa lecture.

Elle était allée voir son mari pour lui demander pardon. Son mari, aidé de ses frères, avait battu son amant. Naturellement, les frères de son amant avaient exigé leur revanche. Une bagarre importante s'était développée à laquelle s'étaient mêlées les deux familles, puis toute la communauté. La police avait dû intervenir pour ramener le calme. La femme avait été tenue pour responsable de tous les ennuis ! Elle avait été attachée au milieu de la rue, et tout le village avait été invité à s'amuser avec la femme infidèle ! C'était la femme qui était la seule coupable ! Pas les hommes qui l'avaient utilisée ! Elle avait été jugée pour comportement obscène, condamnée, et l'exécution avait été immédiate !

Les doigts de Sandra s'agitaient doucement sur son clitoris pendant qu'elle imaginait les tourments de cette femme.

Pendant ce temps, juste au-dessus d'elle, dans sa propre chambre, les doigts de son domestique s'enroulaient autour de sa bite, avec l'une de ses plus belles culottes en soie. Il se délectait de la douceur de la soie sur sa viande dressée. Son regard était fixé sur sa maîtresse blanche pendant que sa main s'agitait sur sa bite. Il la regardait agiter son joli petit cul, allongée sur la terrasse. C'était tellement frustrant de travailler pour une si jolie femme qui se baladait presqu'à poil depuis si longtemps ! Il avait travaillé pour de nombreuses expatriées au cours de ces dernières années, six en tout. Il en avait baisé quatre, les deux autres étant trop vieilles à son goût ! Il les avait séduites en quelques mois. Une fois qu'elles avaient goûté à sa bite noire, elles en avaient redemandé ! Cinq mois frustrants qu'il travaillait pour Sandra. Et il la regardait se masturber en se masturbant lui-même ! Savoir que la nuit dernière, Katona l'avait séduite, ne faisait qu'ajouter à sa frustration !

La soirée était déjà bien avancée, et Katona n'était toujours pas arrivé. Il devait prendre ses fonctions à 18 heures. Il était maintenant 20 heures et Sandra s'inquiétait. Devait-elle appeler son employeur? Elle ne voulait pas prendre le risque d'attirer des ennuis à son bel amant. Elle ne se faisait aucune illusion sur la brutalité des employeurs africains avec leur personnel. Si Katona perdait son emploi, elle ne le reverrait probablement plus jamais. Après avoir découvert les délices que son énorme bite pouvait lui procurer, elle avait hâte d'être à nouveau au lit avec lui ! Le conflit de la soirée d'hier avec ses pensées sur l'infidélité conjugale semblait si loin. Son mari devait revenir demain, donc il était très important que Katona arrive tôt, afin qu'ils puissent profiter au maximum de leur nuit ensemble.

Sandra arpentait la maison. Il ne serait pas bon que son personnel puisse la voir si énervée. Ils se douteraient. S'ils découvraient qu'elle avait une liaison avec le vigile, elle perdrait leur considération. Elle pourrait même être victime d'un chantage. Et si son mari soupçonnait son infidélité? Katona était l'amant le plus merveilleux qui soit, mais il ne pourrait jamais l'entretenir ! Elle devait rester discrète pour goûter aux délices du sexe avec son amant quand elle le pourrait, mais il n'était pas question pour elle de quitter son mari pour Katona. Si son mari découvrait son infidélité et la chassait, sa vie serait foutue. Elle était en ébullition entre son besoin de confort et sa sexualité nouvellement impétueuse. Un besoin brûlant qui était exacerbé par le retard de Katona.

Un chien aboya au loin. C'était peut-être Sam, le chien de garde, saluant les autres chiens de garde. Elle s'était opposée avec véhémence à l'idée d'avoir son propre chien de garde comme les autres expatriés l'avaient fait. La société de sécurité a donc fourni un chien à Katona. Ils ne voulaient pas placer leur vigile sans qu'il soit accompagné d'un chien. Sandra se précipita à la porte d'entrée, puis se força à se détendre, et à reprendre une certaine nonchalance. Il ne fallait pas montrer trop d'impatience. Elle essayait de paraître calme, mais elle était nerveuse. Son ventre bruissait de papillons, sa gorge se nouait. Ses pensées étaient en feu. Était-ce lui, enfin?

Le grincement du portail, et les plaisanteries habituelles du jardinier qui accueillaient Katona. Leurs rires amicaux dérangeaient Sandra. De quel droit arrivait-il autant en retard? En plus, il abusait en se faisant attendre. Qui croyait-il être? La moutarde lui montait au nez. Ce goujat la faisait attendre. Sam courait dans le jardin avec son enthousiasme habituel. C'était un molosse noir comme la nuit, avec seulement quelques touffes brunes plus claires. Il était amical avec les gens qu'il connaissait, mais c'était un chien de garde parfaitement dressé, pas un animal de compagnie.

La porte s'ouvrit et Katona entra. Sandra leva les yeux, choquée. Il entrait sans frapper, impertinent comme s'il était en terrain conquis ! Elle se dressa pour protester contre cette insolence. D'abord, son retard injustifié, et puis ce mépris de la plus élémentaire politesse, elle allait lui montrer qui était la patronne. Mais elle se retrouva enlacée, prise dans ses bras puissants, pressée contre sa virilité. Sa bouche s'écrasa sur la sienne. Sa langue força l'ouverture de ses lèvres.

Sa volonté de le réprimander fondit comme neige au soleil. Elle s'effondra dans son étreinte. Elle ouvrit la bouche, cédant à son pouvoir de séduction. Elle pouvait déjà sentir son sexe durcir et s'ériger en palpitant contre elle, tandis que sa langue prenait possession de sa bouche. Elle se tortilla en frottant son corps contre lui, contre cette épaisse virilité si clairement impatiente de la pénétrer.

Elle se tortillait contre lui, démontrant son empressement à s'accoupler, à s'offrir au mâle dominant. Lui laissant le choix de la prendre comme il le voulait. Sa résolution de le réprimander pour son retard, pour être entré sans frapper, était emportée par le vent. Maintenant, elle levait vers lui son regard ardent, éprise et soumise. Ses jambes vacillaient, sa chatte picotait, ses mamelons durcissaient, son besoin urgent se lisait dans son attitude, dans ses tremblements.

Sa fine main blanche attrapa la grande main noire pour l'entraîner vers la chambre. Katona sourit. C'était toujours la même chanson. Ces dames blanches, quand elles ont goûté au sexe africain, elles ne peuvent plus s'en passer. Des salopes avides de bite, anxieuses voire désespérées pour la connexion perpétuelle de leurs chattes étroites avec son poteau épais. Bientôt, celle-là sera prête pour toutes les bites de ses frères, plus que prête, avide d'être prise par de grosses bites africaines. Il l'attira contre lui, sans se soucier de son empressement à l'emmener dans sa chambre.

- J'ai soif. Va me chercher une bière.

Sandra a été perplexe, avant de réaliser que Katona avait probablement parcouru des kilomètres pour venir la rejoindre. Comme c'était étourdi de sa part d'oublier d'offrir une boisson à un visiteur, elle s'est précipitée vers la cuisine pour prendre une bière fraîche dans le réfrigérateur. Katona regardait son petit cul s'éloigner. Elle était charmante. Petite mais bien proportionnée. Quand elle revint, son regard se fixa sur sa poitrine pleine. Le chemisier léger ne cachait pas grand-chose. À en juger par les mamelons durs qui tendaient le tissu, ces douces rondeurs avaient hâte d'être palpées.

En revenant, Sandra trouva Katona vautré dans le fauteuil de son mari, les jambes écartées, en toute décontraction. Elle remarqua son regard sur sa poitrine et se redressa instinctivement en bombant le torse. Elle était fière de ses seins. Ils étaient ronds et fermes, sans le moindre début d'affaissement. Elle n'hésita pas à parader devant son regard de mâle. Elle frissonnait d'anticipation en imaginant sa bouche sur ses mamelons.

Katona l'attira sur ses genoux et elle se blottit contre lui tandis qu'il buvait une gorgée de la bouteille de bière. L'énorme dureté chaude palpitait contre sa fesse lorsqu'elle s'est assise sur ses genoux, et elle se tortillait, ravie. Elle n'en pouvait plus d'attendre de se faire baiser par cette énorme bite ! Sa chatte picotait d'anticipation ! Elle l'embrassa dans le cou, léchant et suçant la peau ambrée, tandis que Katona buvait avidement. Il posa sa bière et enlaça Sandra. Elle faillit s'évanouir de bonheur lorsque ses bras puissants l'enveloppèrent, et que ses lèvres cherchèrent les siennes.

Sa main se glissa sous sa jupe légère, cherchant la douce chair de l'intérieur de ses cuisses. Sandra écarta les jambes, invitant la main à explorer plus haut, jusqu'à l'humidité moite et palpitante de sa chatte. Sa main se posa sur sa chatte en émoi, caressa le sous-vêtement doux et soyeux qu'elle avait mis pour lui. Il fronça les sourcils et éloigna sa main. Sandra le regarda avec inquiétude. Qu'avait-elle fait de mal? Elle voulait désespérément plaire à son amant.

- Pourquoi portes-tu une culotte? Tu ne veux plus de moi, ce soir? Sandra était confuse. Elle avait choisi une culotte en soie particulièrement excitante. Elle avait même demandé au domestique de les laver toutes, aujourd'hui même, car certaines étaient inexplicablement tachées. Katona était clairement mécontent et en colère contre elle.

- Je... j'ai pensé que ça te plairait, je l'ai mise spécialement pour toi !

- Les femmes, avec moi, ne portent jamais de culotte ! Garde-ça pour ton mari s'il le souhaite, mais ne porte plus jamais de culotte en ma présence ! C'est bien compris? Katona attrapa la ceinture de son short et dégrafa les boutons. Sandra s'agenouilla.

- Je ne t'ai pas demandé de t'agenouiller, lève-toi ! Sandra sauta sur ses pieds. C'était si nouveau d'être commandée par un homme. Cela faisait ressortir une docilité assoupie en elle. Le membre noir se dressa devant les yeux écarquillés de Sandra. Elle avait déjà oublié à quel point c'était gros et long. Elle saliva en voyant la goutte de liquide pré-éjaculatoire perler à son extrémité. Elle rêvait, impatiente de poser sa bouche là-dessus, pour gober le gland bulbeux et l'agacer avec sa langue. Katona lui ordonna de lui apporter son sac qu'il avait jeté dans l'entrée, et Sandra a sauté sur ses pieds pour courir chercher le fourre-tout, seulement désireuse de plaire et de servir.

- Ouvre-le ! Sandra regarda à l'intérieur et fut surprise de découvrir une caméra. Son cœur manqua un battement. Elle ne s'attendait pas à cela. Elle regarda Katona avec surprise.

- Apporte ! Il a commandé. Silencieusement, elle la lui apporta. Katona a mis la caméra en marche. Il l'a réglée sur sa grosse bite. Bientôt, il aura le visage de Sandra cadré en gros plan ! Il pointa l'objectif vers le visage de Sandra. Elle se mordillait nerveusement la lèvre en regardant la caméra. Il a fait la mise au point. Le joli visage de Sandra était net. Elle avait l'air si frêle, presque irréelle.

- Regarde ma bite ! Les yeux de Sandra glissèrent sur son entrejambe. Elle avait encore du mal à réaliser qu'un homme puisse avoir un membre aussi imposant. Ses yeux s'agrandissaient de désir. Elle l'étudiait tandis qu'il s'érigeait encore plus. Machinalement, la pointe de sa langue est sortie pour s'humecter les lèvres. La caméra a parfaitement capté ce regard et cette langue coquine. Même le soupçon d'attention et d'anxiété que lui procurait la vue de cette bite si convoitée. Et cette bouche qui s'entrouvrait du désir d'aspirer ce pieu de chair.

- Enlève ta culotte ! Le regard étonné de Sandra était délicieux, et voir l'agitation dans ses yeux qui allaient de la caméra au sexe, l'hésitation, la peur et l'excitation. Sandra attrapa sa jupe pour l'ôter.

- Non, pas la jupe. J'ai dit ta culotte, femme ! Sandra sursauta. Ses mains se sont glissées sous la jupe. La caméra a suivi l'opération en gros plan, le travail des doigts, les jambes minces qui se découvraient au fur et à mesure que sa jupe se troussait. Les doigts travaillaient sous la jupe pour libérer la culotte collée à la chatte par la moiteur de l'endroit. Tandis qu'elle faisait glisser le frêle vêtement, elle a regardé la caméra qui suivait l'action. Elle a ralenti le glissement de sa culotte en écartant ses cuisses, parfaitement consciente du spectacle qu'elle offrait. Une jolie jeune femme blanche de bonne famille, obéissant aux ordres d'un africain, quittant sa culotte sur l'ordre de son amant, après s'être léchée les lèvres devant la grosse bite noire exposée.