Le Mauvais Chemin 09

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Quoi???

- Mais oui ma chérie, tu as bien compris.

- Mais... Mais ils nous a relâchées! Murmura Stéphanie.

- Oui et non. C'était mon plan, pour vous briser. Vous faire sortir de là-bas, avant de vous y renvoyer. C'est pour ça qu'il est là.

- Nooooooooon!!! Les deux filles avaient hurlé toutes deux en cœur. Stéphanie fut trop choquée pour dire quoique ce soit d'autres. Nathalie reprit.

- Pitié chéri, je ferais ce que tu voudras, mais pas ça, pitié, pas ça.

- Tu me demandes pitié, tu ne demandes plus le divorce?

La quinqua fut choqué que son mari soit au courant. Elle regarda l'avocat.

- Maître, pourquoi?

C'est Hervé qui répondit à sa place.

- Tu te souviens de Naïma.

- Oui, celle qui m'a volé mon collier. Celui qui appartenait à ma grand-mère.

- Que tu avais accusé de l'avoir volé. On le voit parfaitement sur la vidéo de ton strip. Tu le portais, Stéphanie était au courant, tu ne l'aurais pas mis sinon. Pourquoi tu as fais ça?

- C'était une étrangère, elle nous aurait volé un jour ou l'autre. Avec Stéphanie on a décidé de la faire partir. Mais tu n'aurais jamais accepté de la licencier pour rien.

- Elle était française, comme nous. Mais le pire, c'est que tu as porté plainte. Ton putain de collier valait cent mille euros! Pourquoi tu as fais ça Nathalie? Elle a fait de la prison! On l'a condamné à trois ans de prison pour vol aggravé! Tu as pesé de tout ton poids pour qu'elle soit condamné sévèrement, alors qu'elle était innocente. Ta haine, ta xénophobie va trop loin. Ta chienne de fille est comme toi, je ne peux pas permettre qu'un jour elle prenne la tête de ma société...

- C'était ma copine. Je l'aimais. Elle n'a pas supporté la prison. Elle s'est suicidé là-bas... C'était l'avocat qui avait prit la parole, coupant Hervé.

Nathalie comprit pourquoi il était complice de son mari.

- Pardon, maître, pardon.

Le silence régna dans la pièce quelques secondes. Nathalie se jeta au pieds de son mari, Stéphanie, tétanisée, restait aussi immobile qu'une statue. La belle quinqua s'agrippa au jambes de son époux.

- Pitié, de nous renvois pas là-bas. Je t'en supplie. Tout sauf ça.

- Il y a bien une solution. Maître expliquez-lui.

- Dans sa grande bonté, votre mari vous offre une porte de sortie. Toutes les deux vous acceptez de partir en Afrique, au couvent, mais vous vous devrez de ne jamais revenir en Europe. Stéphanie, tu dois renoncé à tout héritage. Nathalie, tu as déjà demander le divorce, mais il y a un petit changement. Tu laisse tout tes bien à ton mari. Il devient le propriétaire de tout, comptes en banque, château, les divers villas, ainsi que de la multinationale. Si tu refuses, tout lui reviendra de toutes façons, vu que l'on ne te retrouvera jamais ta fille et toi. Par contre vous serez baiser sans fin, toutes les deux, vous dormirez et mangerais un minimum, juste de quoi survivre. Le reste du temps vous aurez une queue ou plusieurs dans le corps. Donc soit vous acceptez de signer et partez en Afrique, en Anglefrique plus précisément, en renonçant toutes les deux à tout. Soit vous refusez, et c'est Igor qui hérite de tout. Attention, l'offre doit être acceptée par les deux, sinon elle est caduc. Alors votre décision?

- J'accepte! Annonça immédiatement Nathalie, tout plutôt que de subir encore de nouveau viol.

Stéphanie sortit alors légèrement de sa torpeur.

- D'accord.

Hervé reprend la parole.

- C'est parfait tout ça. Mon cher maître, sortez donc les papiers que ces dames signent ça de suite.

L'avocat sortit, il alla à son véhicule, revint avec sa mallette. Il en sortit une immense pile de dossier. Hervé fit s'asseoir sa femme et sa fille à la grande table du salon.

- Bon, normalement il y aurait du avoir un exemplaire pour chacun des partis, mais je ne pense pas que ces dames en auront besoin.

Hervé leur mit à chacune, un stylo dans les mains. Pendant presque une heure, elles ne firent que signer des documents.

Stéphanie renonça à tout héritage, à toutes demande futur de ses droits sur le dit héritage. Nathalie signa les papiers du divorce, renonçant à tout. Les 51% de parts de sa multinationale passe dans les mains de son mari, se rajoutant aux 5% que Hervé détient. Le château, leurs quinze villas à travers le monde, leurs voitures, leurs jet privé sont désormais propriété du mari de Nathalie. Les comptes en commun, mais également les comptes off-shore change de mains. Le compte secret avec lequel Nathalie devait soutenir le parti de ses rêves est aussi de la partie. Les actions, les parts dans divers autres société, les bijoux, tout est mit au noms de Hervé. Nathalie et Stéphanie, remplissent également une lettre manuscrite, dictée par l'avocat, dans laquelle elles déclare vouloir quitter le monde froid du capitalisme à outrance. Elles disent partir aider les pauvres en Afrique et en Asie, en demandant que l'on ne les recherchent pas. Une fois tout signé, elles n'ont officiellement plus rien. Nathalie n'a pas de famille, elle n'a que deux amies, sa disparition passera largement inaperçu. C'est encore plus facile pour Stéphanie, c'est une fille solitaire, qui voue une admiration sans noms à sa mère, elle n'a aucune amie, et les quelques garçon qui sont sortie avec elle, n'ont plus de contact. A quoi bon en garder avec une fille qui ne couche pas, voulant de plus rester vierge jusque au mariage.

L'avocat regarde Hervé.

- Je vais aller enregistrer tout ça. Mais avant on pourrait fêter ça avec une petite pipe!

- Très bonne idée mon cher.

Agenouillée, les deux femelles doivent les sucer l'un après l'autre. Une fois encore, seul Igor ne participe pas à la fête. Une fois sa pipe faites, l'avocat est parti. Hervé regarde les deux femelles, le visage, les cheveux recouvert de sperme.

- Bon mesdames, je vais vous expliquez maintenant votre futur. Au départ vous deviez partir ensemble. Mais la grossesse de Stéphanie change la donne. Elle restera le temps de la mener à terme. Officiellement c'est mon assistante, qui est accessoirement ma maîtresse, qui en sera la mère. Cet enfant sera mon héritier, mais je l'élèverais à ma façon. Dans le respect des gens, sans aucune haine.

Stéphanie fut horrifiée à l'idée de devoir porter ce monstre, fruit des viols atroces qu'elle avait subit.

- Pas ça! Papa, je t'en supplie, pas ça! Ne me force pas à le porter.

- Ta gueule, tu n'as pas le choix. Si tu n'es pas d'accord, un petit séjour chez Igor te fera vite changer d'avis. Alors?

L'horreur de subir une nouvelle tournante fut la plus forte.

- D'accord, pardon papa.

- Bien, je préfère.

Il s'approcha de sa femme, s'agenouilla pour être à sa hauteur. Il la regarda droit dans les yeux.

- Ta putain de fille va rester neuf mois avec moi et Igor. Elle nous tiendra compagnie. Si elle est bien sage, nous serons les seuls à l'avoir, sinon ce sera une tournante sans fin jusque à son accouchement.

Stéphanie fut mortifié par le programme qui l'attendait, elle n'eut pas la force de réagir.

- Pitié chéri, c'est notre fille.

- Ce n'est plus la mienne. C'est ma pute maintenant. Quand à toi, tu parts ce soir. Moussa et ses amis vont te conduire à destination.

Nathalie regarda son mari, résignée.

- Pour le couvent?

- Oui, c'est ça. Tu as dix heures de routes avant, nos amis passeront le temps en te baisant.

- Mon dieu...

- Il ne peut rien pour toi. Tu as fauté, tu es punie. Le voyage pour l'Afrique se fera à bord d'un vieux cargo. Tu sais un des vieux trucs hyper-polluants qui appartenait à une de tes compagnies maritimes. Il mettra trois mois pour arriver à destination.

- S'il te plaît...

- Ta gueule. Il y a cinquante hommes d'équipage à bord. Tu leurs serviras de vide couille.

- Nooooooooon! Pas des viols, pas encore, j'ai signée les papiers.

- Je sais. Ensuite tu arriveras en Anglefrique, dans la plus vieille mine de diamant du monde.

- Ce... Ce n'est pas un couvent?

- Si, situé juste en bas de la mine. Enfin ça s'appelle "Le couvent", mais ça fait quarante ans qu'il n'y a plus de sœur dedans. Mais le nom est resté.

Nathalie ne comprenait rien, tandis que tel un fantôme, Stéphanie semblait absente.

- Maintenant il sert de lieu où les mineurs viennent se vider les couilles pour pas cher du tout. Mais ces hommes n'ont jamais vu de blanches, justes de vieilles putes black en fin de carrière. Tu vas avoir du succès, tu verras. En plus tu seras gratuite, c'est moi qui paierait directement les tenanciers de ce couvent. Cent fois plus que tout ce que leurs rapporte toutes leurs pute réunit.

- Nooooooooon! Tu m'avais promis, Hervé, tu m'avais promis. Tu m'as promis qu'il n'y aurait plus de viol! Tu étais là quand l'avocat à parlé en ton nom!

- Tu es une menteuse. Je t'ai juste promis de t'envoyer au couvent. C'était mon offre. Je la tiens, le lieu s'appelle vraiment le couvent... Comme je te l'ai dit, en plus, mais comme d'habitude, tu ne m'écoute jamais c'est bien un ancien couvent. Pour le reste tu as extrapolé. L'avocat ne t'a jamais dit qu'il était encore en activité, qu'il y aurait des sœurs. Il ne t'a pas dit non plus que l'on ne te toucherais plus. Au contraire, tu vois, je pense que jamais on ne te baisera autant.

- Tu es un monstre!

Nathalie lui cracha à la figure. Il s'essuya en rigolant.

- C'est de bonne guerre chérie. Mais je ne vais pas te punir pour ça, tu vas assez morfler là-bas. Surtout que au début ce seras dur pour toi, pendant neuf mois tu seras seule, avant que ta chienne de fille ne te rejoigne.

- Salaud, je te tuerais, tu entends je te tuerais!

L'homme rigola.

- Avec se que tu vas prendre, ça m'étonne que tu ais la force de faire quoique ce soit. Encore moins me tuer.

Hervé e releva, il vint s'accroupir prés de sa fille. Elle pleurait, tremblant.

- Quand à toi ma salope, tu vas rester avec Igor, Moussa, leur ami le toubib et moi. On s'occupera bien de toi, de tes trous.

- Tu es horrible papa.

- Je sais. Mais tu verras quand tu nous quittera, tu le regretteras. Pour toi, dans neuf mois le voyage en mer sera plus long. Deux mois de plus, l'océan est dangereux à cet époque. Mais bon, en contrepartie, il y aura aussi le double d'hommes sur le cargo, pour te tenir compagnie.

- Je t'en supplie, pas ça!

- Trop tard, je ne changerais pas d'avis. Puis là-bas, en Afrique tu auras plus de succès que ta mère. Tu es plus jeune, mieux foutu, plus belle. Tu es surtout plus serrée. En plus ta mère auras déjà beaucoup servit, donc je pense que tu seras reçu comme une reine.

- Pitié, papa, pitié. Garde moi. Je serais sage, tu ne le regretteras pas.

- Pourquoi je ferais ça?

- Parce que je serais ta pute, ta chienne. Je t'obéirais au doigts et à l'œil. Je participerais, tu pourras me faire baiser par qui tu veux. Même par des chiens, des chevaux, tout ce que tu as envie.

- Intéressant, mais tu me fera tout ça. Sauf pour les animaux, il faut te garder serrée pour tes futurs amis Africain...

- Pitié, je t'en prie, pitié.

- Aucune pitié. Quand à ta participation quand on te baisera, tu le feras, tu n'auras pas la choix. D'ailleurs notre ami Igor s'est réservé pour ça. Il va te montrer dans ta chambre comment on fait.

Igor n'attendait que ça, il attrapa Stéphanie par le bras, pour l'entraîner hurlante dans sa chambre. Tandis que Moussa entraîner Nathalie pour la conduire au cargo.

Cinq ans plus tard.

Le noir complet règne dans la pièce quand la lumière s'allume. Deux lits, deux personnes dedans. Elles dorment d'un sommeil profond. La chaleur est étouffante, moite, les deux corps se reposent sur lit. On entend juste leurs respiration régulière. La pleine lune ne parvient pas à éclairer la pièce, il est cinq heures moins cinq du matin. Une sirène retentit alors. La lumière s'allume dans la pièce. Les deux femelles se lèvent immédiatement, elles savent qu'elles n'ont pas beaucoup de temps. Encore dans les brumes du sommeil, elles s'accroupissent sur le sceau qui se trouve à coté de leur lit. Elles urinent. Une fois fini, sans s'essuyer, elles remontent sur le lit. Se mettent à quatre pattes, attendent. Moins de une minute plus tard, la porte s'ouvre. Une dizaine d'hommes entrent. Ce sont les gardes du lieu où les deux femmes se trouvent. L'une à cinquante-cinq ans, l'autre vingt-cinq ans.

Deux hommes montent sur chaque lit. La plus âgée est prise par la chatte, en levrette, tandis qu'une bite s'enfonce dans sa bouche. La plus jeune, est pénétrée elle aussi en levrette, mais dans le cul, avec comme l'autre une bite dans la bouche. Ce sont la mère et la fille. Ce sont Nathalie et Stéphanie. Nathalie est plus mince, son cul et ses seins s'en trouvent plus excitant. Stéphanie est enceinte de huit mois, ce seras son cinquième enfant. Les dix gardes vont se vider en elles. Chacune des deux en recevra cinq. Une fois terminé, on leur porte un petit déjeuner infâme, constitué d'un bol d'une soupe dégueulasse, d'un morceau de pain dur. Ensuite, c'est une douche express, au tuyau. A cinq heures trente, les deux ex-bourgeoise entre sur leurs lieu de travail. Une petite chambre avec deux vieux lits. Elles vont s'y faire baiser dessus, toute la journée, jusque à une heure. Stéphanie, sait, en plus, que comme elle donne du lait, elle serait tétée, comme une vache. Juste un repas dégueulasse à midi, pris assise, empalée sur une bite. Quatre heures de repos, et la journée recommence. C'est comme ça depuis cinq ans, ça ne finira jamais. Il y a dix mille employés à la mine, tous leurs passeront dessus en moins de un mois. C'est comme ça depuis cinq ans, ça ne finira jamais. Oubliée de tous, nos deux ancienne bourgeoise ne sont plus que des putes à mineurs. Subissant toute la journée des bites dans leurs corps, souvent plusieurs à la fois, pour satisfaire tout le monde. Longtemps, les deux femelles ont espérée que l'on viendrait les délivrer. Mais il n'en fut rien. Maintenant elles savent, leur enfer sera éternel.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
7 Commentaires
Vanessatv30Vanessatv30il y a 8 mois

Moi ,j ai bien aimé cette fiction ! Dans la réalité ,certains tres riches sont parfois bien plus pourris qu Igor et ce permettent n importe quoi car ils peuvent acheter les Gouvernements qu ils veulent !!!

Croire que la réalité est toute Rose Bonbon , c est vraiement le comble de la stupidité ...

liviolheureliviolheureil y a 12 moisAuteur

Très cher anonyme, c'est une histoire imaginaire, comme tout les textes que tu trouves sur ce site. Les zombies, les super-héros n'existent pas non plus. Bien sur que c'est au-delà de la réalité, heureusement d'ailleurs. J'espère sincèrement que la police n'est pas assez stupide dans la réalité pour ne pas faire comme dans mon texte.

Après non, l'auteur n'a pas mauvais fond, c'est comme dire qu'un gars qui commente en anonyme n'a aucun courage et manque sérieusement de couilles... après il y a un avertissement très clair, au début, du chapitre 1 jusque au dernier, qui t'avertis que c'est noir et que cela ne se termine pas bien. En tout cas tu dois être bien teubé pour ne pas comprendre cet avertissement, puisque tu as lus le texte qui le suit... Bref, rien de ce qui est écrit ici n'est vrai, on est pas sur LCI. Si tu veux la réalité, ce n'est pas dans mes textes que tu la trouveras.

Un conseil, ne lis pas mes autres textes, ils sont de la même veine. Mais ça, faut il encore que tu puisses le comprendre...

AnonymousAnonymeil y a 12 mois

Je pense que l'auteur a un mauvais fond. C'est tellement méchant que même la fin de l'histoire est moche. Aucun méchant ne paie.

Par ailleurs, cette histoire est au delà de la réalité. Le mari serait déjà soupçonné par la police et passé aux aveux. Puis Igor et sa clique serait dans de beaux draps. On parle bien ici de la propriétaire d'une multinationale, et sa disparition passerait sous silence comme ça? Vous rêvez très cher.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Pas de morale dans cette histoire les méchants ne payes pas

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

J'ai beaucoup aimer mais je préfère quand on récompense les gens coopératif, et j'aime pas les peine (le truc en Afrique) à vie il faut leur donner la chance de se racheter donc après 5 ou 10 ans je les aurai ramener, pour ravoir ma femme et ma fille docile 😈

Montre plus
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Le Mauvais Chemin 08 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Château Ragia Chapitre 01 Rose ce réveille attaché au château Ragia.
Les malheurs de Sophie - Chapitre 01 Une jeune employée se retrouve victime d'un odieux chantage.
Chute d'une héritière Ch. 01 Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
L'esclave Mystère Ch. 01 Peter découvre que ses désirs secrets sont connus...
Vulva La Blanche Premiere Sortie vulva mets en pratique son dressage.
Plus d'histoires