Le Mauvais Chemin 09

BÊTA PUBLIQUE

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Nathalie, droguée, halète comme une folle. Jamais copulation ne lui a donné autant de plaisir. Ce qu'elle ressent de son anus est divin. Elle a déjà eut trois orgasmes. Le dernier quand le bulbe c'est gonflé en elle. La femme donne des coups de reins pour s'empaler encore plus à fond sur le braquemart énorme du dogue. Elle en bave de plaisir. Son visage est extatique. Ses tétons pointe, son clitoris est sortit. La bourgeoise sent qu'elle mouille comme jamais elle ne l'a fait. Ses cris de plaisir emplissent la salle, faisant rire le public. Quand un nouvel orgasme la saisit, la cinquantenaire en pleure de joie. Le bulbe gonfle alors dans le rectum de l'humaine, cette fois c'est un hurlement que son orgasme déclenche. L'animal sent le fourreau étroit se serré contre son membre. Nathalie en frissonne de plaisir. L'orgasme est absolu quand le chien éjacule dans ses reins. Il part de ses doigts de pieds, avant d'exploser dans son cœur et dans son cerveau en même temps. C'est tellement puissant, que pendant quelques secondes, la femme ne sait plus où elle est . Quand le chien se retire de son corps tremblant de bonheur, elle ne peut prononcer qu'un seul mot :

- Encore.

Malheureusement pour elle, ils n'en feront rien. Le toubib se contente de la piquer avec une produit qui annule les effets des drogues précédentes.

Stéphanie malgré tout ce qu'elle subit, à entendu parfaitement les hurlement extatique de sa mère. Pour elle ce n'est que la plus atroce des souffrances. Les griffes du chien lacèrent son ventre, ses seins. Il lui défonce le cul comme un fou. Ses entrailles en deviennent presque une bouillie. La jeune raciste continue de beugler, beaucoup moins fort certes, mais beaucoup plus douloureusement. Le chien la viole à une vitesse folle. Tout son corps virevolte dans tout les sens. Seul ses gros seins, dans lesquels le chien à de nouveau planter ses griffes, ne bougent pas. Quand le jet torrentiel jaillit dans ses intestins, la jeune femme manque s'évanouir, tant le liquide tiède et crémeux, brûle ses entrailles. Comme pour sa chatte, le chien tente en vain de se retirer. Moussa regarde Igor qui lui fait un signe. Le black s'approche du clebs, il le tire en arrière. Mais le fourreau est tellement étroit, que l'anus de la fille colle au braquemart géant, venant avec lui. Moussa regarde Igor, qui lui fait signe de continuer. Alors le black tire de toutes ses forces. Dans un grand plop, la bite animale au bulbe gonflé et gros comme un poing, sort de l'anus détruit. Le bout de l'intestin vient avec. Cette fois enfin Stéphanie s'évanouit. Ayant prévu le coup, le toubib la fait immédiatement revenir à elle. Il remet l'intestin en place. En profite pour recoudre une nouvelle fois, vagin, anus et rectum de la fille. Il sait que cela ne tiendra pas, vu ce qu'elle va encore subir, mais au moins, elle tiendra le temps des nombreux nouveaux viols qui s'annonce.

Après leurs affreux viols animal, les deux femmes étaient au bords de la rupture totale. Nathalie se remettaient des ses orgasmes successifs et tellement dur moralement. Stéphanie, sa fille, le corps recouverte de griffures sanguinolentes, la chatte déchirée et le cul fissurés, suintant de spermes et de sang, était à la limite de l'évanouissement. Igor s'approcha d'elle, il lui caressa la tête. La jeune femme, sursauta, geignant, se pissant dessus de peur. Ses cordes vocales abîmées, lui donnait la voix de Dark Vador. Mais elle pouvait néanmoins parler.

- Pitié... Pas encore...

Elle avait parlée dans un souffle. A peine un murmure, que même Igor, pourtant tout prés d 'elle entendit à peine. Il la regarda en souriant.

- Tu as une jolie voix dis-moi...

Il détacha lui même Stéphanie, la relevant par les cheveux. La jeune femme s'écroula au sol quand il la lâcha, ses jambes ne la portant plus. Il fit le tour de l'assemblée, ils étaient nombreux. Des filles étaient là aussi.

- Messieurs et mesdames, cette jeune femme ne veut pas se redresser, je pense qu'elle à envie que l'on s'occupe d'elle.

Une acclamation parcourue la foule. La plupart n'avaient pas encore violée la malheureuse Stéphanie.

- Je vous offre cette superbe créature au corps parfait, vous pouvez la prendre par tout ses trous. Un par un ou à plusieurs. Il n'y qu'une seule condition. Je veux que vous la violée, je veux vous voir la défoncée de vos bites, vos godes ou vos mains. Je veux que vous lui fassiez mal, que vous la preniez le plus brutalement, le plus durement possible. Je veux un massacre sexuelle pour cette putain. Je veux qu'elle hurle, qu'elle supplie, qu'elle demande la mort.

Le silence règne, tous écoutent ce puissant caïd avec dévotion, il est presque comme un dieu pour eux. Un véritable messie du mal, du stupre et de la fornication.

- Elle était pucelle de tout ses trous de petite bourgeoise quand elle est arrivée. Quand vous auraient finis, je veux pouvoir rentre ma main, sans forcer, dans son cul et dans sa chatte. Elle est a vous, que la fête commence.

Stéphanie hurla en voyant la horde s'approcher. Déjà on la soulevait pour l'empaler sur une bite. Une seconde, énorme lui défonça l'anus, tandis qu'un troisième s'enfonçait dans sa gorge. On lui fit tendre les bras, et prendre deux bites dans ses mains, qu'elle dut branler, malgré la douleur de sa main aux doigts brisés. Le carnage ne faisait que commencer, Stéphanie allait morfler grave.

Ce furent un vrai défilé de bites qui défila dans le corps de la jeune fille. Ils la violèrent pendant six bonnes heures. Puis une nouvelle surprise arriva pour la femelle. Alors qu'un black au membre d'un calibre vraiment énorme lui prenait le cul en levrette, ce qui était presque du repos pour la jeune qui avait du subir au minimum trois bites en elle, son violeur lui fit relever la tête en la tirant par les cheveux. Cela faisait bien longtemps que la queue de cheval de la jeune femme était tombée. Ses fins cheveux blonds, lui tombaient maintenant en cascade autour de son sublime visage. Ils étaient trempés, recouvert de sperme et de transpiration. Ce qu'elle vit du fond de son enfer sexuelle, rendit la dégoûta. Une jeune fille blanche qui devait avoir vingt ans comme elle. Par contre elle était énorme et surtout entièrement nue. Après tout les sévices qu'elle avait subit depuis son arrivée, Stéphanie comprit de suite qu'une nouvelle infamie sexuelle se préparait pour elle. Même si ce serait moins douloureux, du moins le pensait-elle, une relation lesbienne la dégoûtait. Car bien sur comme tout les fachos de son espèce, Stéphanie détestait au moins autant les gay que les étrangers. Mais les lesbiennes étaient pour elle le summum de l'immoralité et de la débauche. Des idées plus nauséabondes les une que les autres. Son bourreau arrêta ses coups de boutoirs, s'immobilisant en entier dans les entrailles de sa proie. Il se pencha en avant, lui parlant à l'oreille.

- Tu vas la lécher, et un conseil, fais la jouir, sinon tu vas morfler.

Pour la première fois, un semblant de rébellion envahit Stéphanie, tant cette relation avec cette fille dégoûtante la révulsait.

- Non. Pitié, pas ça!

- Tu ne veux pas?

- Non, je ne veux pas.

Le noir rigola. Il se retira lentement du corps qu'il occupait. Une fois de plus, en criant, la fille eut l'impression de chier à l'envers. Le black au sexe énorme fit signe à un gars qui attendait de venir s'allonger à coté de la chienne d'Igor. Le gars était aussi bien membré que lui. Le black souleva Stéphanie, comme si c'était une plume, l'empalant par l'anus, sur le sexe dressé. La jeune femme hurla, tandis qu'il la faisait s'allonger sur le corps de l'homme qui venait de la pénétrer. Elle était dos contre le torse de son nouveau violeur. Quand le black lui écarta les cuisses, puis les lui releva, elle crut qu'elle allait être de nouveau prise en doublette. Quand le gland de l'homme buta contre son trou du cul, elle hurla encore plus fort, tentant de se débattre. Mais sa faiblesse, son épuisement et la force de son violeur fit qu'elle n'arriva pas à grand chose.

Bien sur, elle avait déjà eut deux bites ensemble dans son rectum, mais jamais de ce calibre. Là, en taille, ces membres étaient aussi grosses que quatre bites normales. L'homme força comme un fou, lui éclatant le cul, pourtant visité de très nombreuses fois ces derniers jours. Même par des chiens. Mais là, c'était hors de toute logique. Ça allait lui déchirer complètement le cul, le fendre en deux. L'infernale douleur qui irradie de ses entrailles lui prouve bien qu'elle a raison. Pourtant seul le gland est rentré.

- Stooooooop!

Son hurlement est au moins aussi fort que celui qu'elle a poussée lors de son baptême anal. D'ailleurs c'est l'impression qu'elle a, une deuxième défloration anal.

- Tu as pas voulut lécher salope, alors tu paie!

- Pitiéeeeeeeeee! Je vais le faire, je vous jure je vais le faireeeeeeeeeeee!

La douleur était telle que la chienne parlait en hurlant.

- D'accord, mais d'abord on t'encule. Pour te montrer ce qu'il en coûte de nous dire non.

L'homme s'enfonça alors lentement dans le corps de sa victime. Le sperme et le sang coulant, lubrifié suffisamment l'étroit conduit pour que les deux bites rentre. Mais au prix d'une douleur sans égale et d'une déchirure anal hors du commun. Igor attiré par les hurlements hors norme de la fille, c'était approché. Il souri, bandant au spectacle. C'était vraiment de bon gars, ils écoutaient chacun de ses ordres. Il leur avait dit de la faire morfler, pour le coup, a voir l'état du corps de la malheureuse, ils étaient allé au-delà de ses ordres. Igor venait de passer des heures à regarder les SMS des deux filles. C'étaient vraiment des petites bourges d'un racisme sans nom. D'ailleurs il avait relevé les noms de certains de leurs amies. Il iraient, avec quelques potes leurs rendre visite un peu plus tard, pour s'amuser avec elles.

Surtout que depuis la rencontre de Nathalie et Stéphanie, Igor avait prit goût aux jeunes oies blanches, ainsi qu'au bourgeoise mature et bien serrée de la chatte et du cul. Enfin, bien serrée avec que lui et le reste de la cité ne passent sur elles. Le hurlement encore plus puissant de la femelle, le tira de sa rêverie. Les deux bites étaient enfin en entier dans les intestins de la malheureuse fille. Igor avait sortie une mini caméra, il filmait le viol atroce de Stéphanie, ainsi que celui, ayant lieu un peu plus loin de Nathalie. Au bout de dix minutes, il éteignit la caméra.

Il regarda Moussa.

- Prends les commandes, je vais voir WIFI, j'ai une petite affaire pour lui.

- Bien Igor.

Igor sortit, accompagné par les hurlements de plus en plus atroces des deux malheureuse bourgeoise.

Pendant ce temps, le viol bestial de Stéphanie continuait. Ses deux violeurs, la prenaient à grands coups de reins, y mettant le maximum de force que l'exiguïté du lieu leur donné. Quand elle les entend gémir, Stéphanie sait qu'ils ne vont pas tarder à la remplir. Son corps est secoué, ses seins pourtant ferme virevolte dans tout les sens. Les deux hommes jouissent en criant, la malheureuse sent un véritable geyser de foutre lui remplir les intestins, lui brûlant les entrailles. Une fois retiré, ils se firent nettoyé la bite par Stéphanie, lui enfonçant leurs deux pénis dans la bouche, ensemble. Une fois propre, son premier violeur lui parla de nouveau à l'oreille.

- Alors, tu vas la lécher?

- D'accord...

- Bon choix ma belle.

Il fit un signe de tête, et la grosse s'allongea sur un matelas, à quelques mètre de la jeune bourgeoise. Elle la regarda en souriant.

- Reste à quatre pattes sale chienne, et viens me brouter le minou.

Stéphanie lança à la jeune femme, un regard vide, résigné, où l'on pouvait lire toute la misère du monde. La jeune fille s'approche, avec dégoût elle avance sa tête vers le sexe féminin. L'odeur est terrible, mélange de sueur, de pisse et de sperme. Cette truie ne doit pas se laver souvent. Stéphanie sort le bout de la langue, en pleures, avec une grimace de dégoût, elle s'approche de la vulve malodorante.

Elle remonte sa tête le long des cuisses de sa violeuse, mais seule la pointe de la langue caresse le vagin au goût acre. La grosse la saisit par les cheveux, lui relevant la tête.

- Soit tu me lèche vraiment, soit mes potes vont te violer le cul et la chatte avec leurs mains. Compris?

- Oui.

- Appelle moi madame. Une chienne comme toi doit montrer dévotions envers des gens comme moi et mes amis. Tu es d'accord?

- Oui, madame.

- Alors sale pute, tu vas sortir complètement ta lange, et me lécher franchement. Tu te concentrera beaucoup sur mon clito, tu peux le mordiller. Mais attention, si j'ai mal, c'est mes deux mains dans la chatte que tu auras. Quand tu m'entendra respirer fort, tu pourras mettre doucement trois doigts dans mon vagin. Et j'ai dit doucement. Alors maintenant Robocop, vas-y, fais moi du bien.

Alors, terrifiée par les punitions promise, Stéphanie plongea de nouveau sa tête entre les cuisses grasse. Cette fois c'est avec toute la langue qu'elle lécha la vulve sale. Rapidement elle sent l'effet qu'elle fait à la grosse, cette dernière lui lâche un jet de cyprine dans la bouche. Stéphanie est dégoûtée tant le goût est dégueulasse. Elle continue néanmoins son jeu de langue, appuyant un peu plus sur le clito, le mordillant légèrement. La jeune bourgeoise se dit que c'est toujours mieux qu'un viol sauvage, même si c'est aussi dur psychologiquement, au moins on ne massacre pas ses atouts femelles. La grosse est une femme fontaine, la bouche et le visage de Stéphanie sont inondée par la mouille abondante et odorante. Quand deux bras puissant la saisisse aux hanches, la petite fille riche sait que son calvaire sexuel n'est pas fini. Quand le membre puissant lui viol l'anus, Stéphanie redresse la tête pour crier. Aussitôt la grosse appuie sur le crane de la malheureuse.

- Continue de me lécher sale pute. J'arrive à la jouissance. Avec tout ce que tu as pris, ce n'est pas une bite de plus qui te ramone qui va te faire grand mal.

Méchamment elle plaqua la tête de la pauvre malheureuse contre son bas-ventre, en haletant. Stéphanie n'eut d'autre choix que de faire pénétrer sa langue dans ce vagin trempée. Elle continuée son cuni, quand son violeur éjacula dans ses reins. Aussitôt une autre bite la viole, la faisant grogner de douleur. Cette fois c'est sa chatte que l'on pénètre. La fille qu'elle lèche se met à crier, quand un orgasme puissant la saisit.

Mais une fois son plaisir pris, elle ne lâche pas la tête de sa proie.

- Reste plaquée, ouvre grand la bouche.

Stéphanie vaincue, sodomisée par une nouvelle bite obéit. Quand un liquide chaud envahit sa bouche, elle comprend que la fille lui pisse dans la bouche.

- Avale, avale tout ou je te massacre.

Terrorisée, au bord du gouffre, voulant éviter des douleurs encore pire, Stéphanie obéit. La jeune bourge à l'impression de se noyer. Elle avale le liquide chaud, doré et acre. La malheureuse se retient de vomir. Mais elle avale et avale, jusque à ce que la source se tarisse. Cela donne des idées aux autres, des voyous enfoncent leurs bites au fond de sa gorge, se vidant directement dans on estomac. En plus des viols qu'elle subit, la pauvrette devient un WC vivant.

Igor admire ce que subit Stéphanie et sa mère. Décidément ses gars n'ont aucune limite dans leurs imagination. Si elles n'étaient pas aussi dégueulasse, autant remplie, il les aurait bien baisée de nouveau. Au lieu de ça, il retourne aux cellules, rentre dans celle Judith, l'ancienne policière municipale. Il se met à la violer, de sa façon pleine rage et de violence. Stéphanie s'enfonce de plus en plus loin dans la dépravation. En plus de lécher des chattes, de boire la pisse des filles après leurs orgasmes, voilà que les gars, après avoir éjaculé dans sa chatte ou son cul, lui pisse à l'intérieur. Stéphanie n'arrive pas à tenir le compte des chattes qu'elle lèche, ni le nombre de bites qui la viole et lui pisse dedans. Quand les hommes sont vides, c'est les filles qui la viole, parfois à deux en même temps. Avec d'énorme godes-ceinture. La plupart son moulé sur des avant bras, terminé par des poings fermés. On lui enfonce des bouteilles, des mains aussi, dans la chatte, dans le cul. Igor savoure le spectacle en se faisant sucer par Nathalie, qu'il a récupérer. Le viol atroce de Stéphanie dure des heures et des heures. Le toubib s'arrangeant pour que la jeune femme ne s'évanouisse pas, que son corps tienne le coup, jusque au bout. Enfin près de six heures après la fin du viol de sa mère, Stéphanie fut enfin laissée tranquille. Épuisée, détruite, défoncée, elle aussi ne tarda pas à sombrer dans le néant.

Stéphanie ne sut pas combien de temps elle était restée évanouit. Plusieurs heures sûrement. Quand elle tourna la tête elle vit sa mère, couchée sur le dos, cuisses écartée. Le toubib en train de la violer. Mais rien a voir avec les viols qu'elles avaient subit jusque à présent, c'était presque une scène de sexe entre amant. Sauf que Nathalie, vaincu, n'avait pas la force de se débattre où de hurler sous ce nouvel assaut. Seulement la force de gémir de douleur. Igor vit qu'elle était réveillée.

- Alors la belle au bois dormant, on rejoint les vivant?

La jeune femme n'eut pas la force de répondre.

- ça fait trois heures que ta maman est réveillée. Alors avec Moussa, le toubib et trois autres potes, on lui tient compagnie.

A ces mots, Stéphanie se recroquevilla, ayant peur de subir le même sort. Ce qui fit rire Igor.

- N'aie pas peur, on en a finis avec vous. On va vous ramener chez vous. On s'occupent seulement pour ne pas s'ennuyer, manque de pot pour elle, notre occupation est le cul, la bouche et la chatte à ta mère.

En la tirant par les cheveux, Igor amena Stéphanie au dessus de sa mère. Honteuse, cette dernière tourna la tête, pour ne pas subir le regard de sa fille alors qu'elle se faisait violer une énième fois. Quand le docteur eut fini, Igor fit relever Nathalie. Les deux femelles tenaient difficilement debout. Jambes écartées, tant leurs orifices douloureux, suintant de sperme, les empêchaient de fermer le cuisses. Igor arracha la jupe enroulée autour du ventre de Nathalie.

- C'était amusant de te baiser avec, mais tu es plus belle complètement nue.

La femme ne dit rien, surtout ne pas énervé son bourreau. Le petit groupe d'hommes fit reprendre, en sens inverse, le même chemin que celui parcouru une semaine plus tôt. Seulement cette fois elles étaient nue, le corps recouvert de sperme et de bleus. Mais le sperme partirait avec de l'eau. Les traces de morsures, de brûlures de cigarettes, de fouets, elles ne partiraient jamais. Tout comme toutes les cicatrices morales du à l'enfer qu'elles venaient de subir. Stéphanie ne retrouverait jamais son clito, son marquage aux fer rouge ne partirait pas non plus.

Sa main aux doigts cassés mettrait elle aussi de long mois pour revenir à peu prés à la normale. Leurs déchirure vaginale et anal, mettrait aussi très longtemps pour cicatriser. Quand elles se retrouvèrent à l'air libre, le soleil leurs brûla les yeux. Les deux violées, n'étant plus qu'habituées à la semi pénombre du hangar où elle venait de vivre l'enfer. On les fit monter dans un van noir. Les femmes apeurées, sentirent le véhicule démarrer, les emmenant pour elles ne savaient quelle destination. Le trajet dura longtemps, cette fois c'est Stéphanie et ses trous qui servirent de passe-temps. Chacun, à tour de rôle, alternant entre la conduite du camion, et le nouveau viol horrible, de l'ex-vierge.

Au bout de quatre heures de route, le van ralentit enfin. Il stoppa quelques secondes. Un grand bruit de portail qui s'ouvre retentit dan le véhicule. Puis le van redémarra quelques secondes avant de s'immobiliser de nouveau. Igor ouvrit la porte latérale, il descendit du véhicule.

- Allez les putains, descendez.

Synchroniquement, les deux filles secouèrent la tête. Chacune étant persuadée qu'elle allait encore subir un enfer sexuel.