Le Mauvais Chemin 09

BÊTA PUBLIQUE

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Henri ne prenait plus que les décisions majeures, déléguant au maximum à ses subalternes. Il se contentait de donner la marche à suivre, d'approuver ou réprouver ce qu'ils lui proposaient. Jusque à présent cela marchait parfaitement, les bénéfices déjà faramineux de la multinationale, augmentant encore de près de huit pour cent, un record au niveau mondial. Nathalie traînait comme une âme en peine. Regardant la télévision à longueur de journée, ne sortant presque plus, ou très peu, mais seulement accompagnée d'une meute de garde du corps. La femme était au bord de l'agoraphobie, même le contact de son mari la répugnée. D'ailleurs elle songeait au divorce, la femme en avait d'ailleurs parlé à leurs avocat, lui demandant la plus parfaite discrétion. Rien que de savoir qu'un homme, fut-ce son mari, partagé son lit, lui donnait la nausée. Même si il ne la touche pas, juste le savoir à ses coté, était une torture.

Pour Stéphanie, c'est encore pire. L'opération à été un succès, ses orifices sont neuf. Mais physiquement elle porte toujours les traces de ses multiples viols. Les cicatrices ne disparaîtrons jamais, aussi bien physiquement que moralement. La jeune femme pleure toute la journée, prend une douzaine de douche par jour. Elle ne veut plus jamais voir un homme, ne sort plus de sa chambre. C'est une femme qui doit lui monter ses repas, lui donner ses médicaments. Mais elle ne les prends plus. Chaque fois qu'elle dort, elle revoit sans cesse les viols monstrueux qu'elle a subit. La jeune femme à changer de chambre. Choisissant la pièce la plus haute du château. Loin de tout, elle ne veut plus rien entendre, ni voir personne. La servante étant la seule personne qui peut la voir. Et encore, par obligation. Son père aussi la visite quotidiennement, mais il ne reste pas longtemps, elle ne le supporte pas, même si la fille sait qu'elle ne risque rien avec lui, c'est un homme. Sa seule présence la répugne, la révulse, la terrorise. Stéphanie vit un enfer quotidien, qu'elle sait sans fin.

Une semaine passe encore. Quand Nathalie se réveille, machinalement, elle regarde l'heure. Il est neuf heures du matin. Elle ne prends même pas la peine de s'habiller, la femme met juste un peignoir. Elle enfile ses chaussons. Descend à la cuisine. Son mari est en train de prendre un café. Il est seul. D'un ton neutre, la femme engage la conversation. Sans dire bonjour.

- La cuisinière n'est pas là?

- Non, ma chérie. Il n'y a que nous.

- Mais le majordome, les femmes de chambres???

- Je leurs ais donné congé.

- Pourquoi?

- On est le quinze août. C'est férié.

- Je ne savais pas la date. Mais d'habitude, le personnel est là, même les jours fériés.

Son mari lui sert un café, lui donne des tartines, à la confiture de fraise, ses préférés.

- Avec tout ce qu'ils ont donné ces derniers temps, ils ont tous mérité un jour de repos.

- C'est vrai. Mais pour manger? Pour Stéphanie?

- La cuisinière à tout préparé hier, il n'y a plus qu'a faire chauffer. Pour Stéphanie, pour une fois, c'est moi qui lui monterais son repas, ses médicaments.

- D'accord.

Le reste du petit déjeuner se passe dans le silence le plus complet. Quand elle a fini, Nathalie se lève, regarde à peine son mari.

- Je vais regarder la télé.

- D'accord.

A onze heures, on sonne à la porte. Nathalie ne réagit même pas. A peine entend-elle son mari.

- Je vais répondre chérie, ne bouge pas.

Elle ne lui répond pas. La cinquantenaire entend le bruit d'une conversation. Elle ne comprend pas ce qu'il se dit.

- Chéri, ce sont des vieux amis à toi.

Nathalie ne se lève pas, se demandant qui cela peut-il bien être. Quand elle entend un « bonjour », Nathalie se retourne, alors son sang se glace dans ses veines.

Quand on frappe à la porte de sa chambre, Stéphanie répond d'une toute petite voix.

- C'est qui?

- C'est papa.

- Attends.

Comme d'habitude, avec cette canicule, la jeune femme est nue. Elle n'a pas la force de s'habiller, elle met juste le drap sur elle, pour couvrir son corps. Stéphanie n'a fait que pleurer depuis son réveil, ses yeux son rougis.

- C'est bon, entre.

Son père pénètre dans la chambre, s'assoit au bord du lit. Sa fille frissonne malgré elle quand en posant ses fesses sur le matelas, il la frôle.

- ça va mon cœur?

- Non, papa, c'est horrible.

- Je sais...

- Pourquoi moi? Hein papa, pourquoi moi? J'ai fais quoi pour mériter ça?

- Rien ma fille, tu n'as rien fait.

- Alors pourquoi? Pourquoi j'ai été punie?

- Tu n'as pas été punie, c'est des monstres.

- Comme j'ai mal papa, tu ne peux pas savoir comme j'ai mal.

A ce moment, la jeune femme à besoin de réconfort. Elle s'assoit dans son lit, passe ses bras autour du cou de son père. Comme quand elle était petite, elle en as tant besoin. Stéphanie ne se rend pas compte que son drap est descendu, dévoilant ses seins magnifique. Son père lui rend son étreinte, la serre contre lui. Il sentait les seins ferme de sa fille contre son torse.

- ça va aller ma fille, ça va être dur, mais ça va aller.

Il lui caresse le dos, l'embrasse sur la joue. Les larmes de la jeune fille coulent a flots. Il reste cinq bonne minutes à se serrer. Puis Stéphanie se raidit.

- Papa, c'est pas tout... Il y a autre chose... Il va falloir que tu m'aides papa...

- Je ferais tout pour toi.

- Je... Je suis enceinte...

- Tu es sur?

- Je n'ai pas eus mes règles depuis plus de deux mois. Depuis qu'ils... qu'ils m'ont violée. J'ai demandé à la bonne de me prendre un test de grossesse. Il est positif.

- Merde...

- Je... Je veux avorter, papa.

Stéphanie éclata en gros sanglots. La jeune fille se mit à trembler de tout son corps. Ces salauds l'avaient mis en ceinte. Elle attendait un enfant d'eux. Un monstre issu du viol poussait dans son ventre. D'un seul coup la terreur l'envahit.

- Papa! Papa, tu fais quoi?

Quelques instant plus tôt. Nathalie regarde son mari entrer, accompagné de leur avocat. Le sang de la belle quinqua se glace dans ses veines. Pourvu qu'il n'ai rien dit de ses intentions de divorce.

- Maître Lucas, bonjour.

- Bonjour Nathalie. Des amis à vous sont venus a mon cabinet pour vous retrouver. Vous vous êtes perdus de vu, mais j'ai l'impression que vous le regrettez.

La bourgeoise était interrogative. Elle se demandait qui cela pouvait bien être. Puis pourquoi être allez trouver son avocat, plutôt que de venir directement chez elle. La femme serra complètement la ceinture de son peignoir. Elle était mal à l'aise, presque nue devant son avocat, l'horreur remontait en elle. La femme se leva, mais a cause des médocs, ses jambes étaient fragile. Elle fit quelques pas, fut obligée de s'appuyer sur le dos du canapé. Son mari et l'avocat sont souriant.

- Ils sont un peu timide. Commenta l'avocat.

Ce fut son mari qui les appela :

- Messieurs, je vous en prie! Venez, ma femme vous attends avec impatience.

Quand un petit groupe de six personnes rentre dans la pièce, Nathalie les reconnaît de suite. Une plainte sort de sa gauche. C'est Igor, accompagné de Moussa, du toubib et de trois des voyous de la cité. Ceux là, c'était les plus méchant avec elle, les plus violents, ceux qui l'ont prise le plus de fois.

- Chéri, maître, c'est eux! C'est nos violeurs!

Son mari la regarde en souriant :

- Je sais chéri, je sais.

Nathalie est tétanisé. La réponse de son mari l'empêche de faire quoique ce soit. Son monde s'écroule. Ce n'est pas possible, elle doit faire un cauchemar. Sans bouger, elle les voit s'approcher d'elle. Moussa et le Toubib lui saisisse les bras, bien que ce soit inutile, tant la peur la glace, ils l'immobilise. Igor s'approche d'elle, lui sent le cou.

- Tu sens bon petite bourgeoise. Tu as manquée à ma queue, j'espère qu'elle aussi elle t'a manquée.

Nathalie, en larmes, n'a pas la force de lui répondre.

- Je vois que tu nous attendaient, tu t'es habillée sexy pour nous.

Il défait la ceinture du peignoir, en écarte les pans. Il siffle entre ses dents quand il la voit complètement nue en dessous.

- Toute nue, comme une pute. Par contre je vois que les poils de ta chatte ont poussé. Heureusement que tu es blonde, c'est pas trop touffu.

Nathalie n'en peut plus, elle s'urine dessus. C'est impossible, ça ne va pas recommencer. - Tous, y comprit Hervé et l'avocat rigole. Igor regarde l'avocat :

- Maître, avez vous goûtez aux appâts généreux de cette déesse faites pour le sexe?

- Non, pas encore.

- Alors je vous en offre la primeur. Vous préférez sa chatte ou son cul? Moi je vous conseillerais d'abord son cul, il est vraiment délicieux. Puis d'une étroitesse rare, bien qu'on l'ait considérablement agrandi.

- D'accord, je vais suivre vos conseils.

Igor fait un signe de tête à ses hommes, ils entraînes Nathalie vers la grande table du salon. L'arc-boute dessus, fesses offerte et tendue. Elle entend un bruit de braguette que l'on descend. Alors la femme se met à hurler. Hurlement qui décuple quand son avocat lui pénètre les reins d'un seul coup, de toute sa longueur. Hervé regarde le viol de sa femme. Il admire quelques secondes la bite qui lui défonce le cul. Il s'approche alors d'Igor.

- Vu que ma femme va être occupé, je vais monter voir ma fille.

- Bien, amusez vous bien.

Hervé sait que de la chambre où elle se trouve, Stéphanie ne peut entendre sa mère gueuler.

De retour au présent.

- Papa! Papa, tu fais quoi?

Son père lui caresse les cheveux de la main droite. Mais ce n'ai pas ça qui dérange la future maman. C'est la main gauche de son géniteur, celle dont il se sert pour lui malaxer les fesses.

- Laisse-toi faire.

Il lui immobilise la tête, l'embrasse, faisant pénétrer sa langue dans la cavité buccale de sa fille. Il est beaucoup trop fort pour elle, la jeune femme ne peut éviter le baiser volé. Sa terreur des hommes la paralyse, Stéphanie n'a pas la force de se débattre, de tenter de s'échapper. La main de son père quitte sa fesse, lui saisit un de ses seins ferme. Il le malaxe sans aucune douceur, arrachant de petits gémissements de douleur à la malheureuse. Il cesse son baiser, se contenant de regarder le visage horrifiée de sa fille, ses larmes coulées. La main de l'homme quitte la poitrine féminine, descend, il lui enfonce brutalement deux doigts dans le vagin. Stéphanie pousse un nouveau crie de douleur. Hervé pense que le professeur Durand est très fort, la chatte de sa fille est vraiment serrée. Se lassant de ses caresses brutales, le père allonge son enfant de vingt ans sur le lit. Avec son genou, il lui écarte les jambes, se glisse entre elle sans se déshabiller. Une fois qu'il est couché sur elle, il descend juste le zip de sa braguette, laissant sortir son engin bien dur. Quand Stéphanie sent le gland du sexe de son paternel contre l'entrée de sa vulve, elle se met à hurler.

Une fois que l'avocat à pris son plaisir dans les entrailles de Nathalie, deux voyous la saisissent. Moussa s'allonge à même le sol. Nathalie, hurlante, est soulevée de terre, empalée sur le sexe dressé du jeune black. Quand Igor, nu' s'agenouille derrière elle, la femme comprend immédiatement ce qui l'attend. La bourge se met à hurler encore plus fort, tente de se débattre. En vain, Moussa est bien trop fort pour elle. Quand Igor lui viole l'anus, son hurlement devient tellement assourdissant, que pour la faire taire, l'avocat plonge sa bite de nouveau dure dans la bouche de la belle quinqua. Alors, a la place des hurlements, ce sont de vilains gargouillis qui sortent de la gorge de la violée.

Hervé savoure le corps de sa fille. Depuis le temps qu'il en rêvé, depuis que cette dernière à un corps de femme. Son fourreau est étroit comme celui d'une pucelle. Trop étroit même, cela en est même presque douloureux pour le violeur. Les cris de sa fille le rende fou de lubricité. Il la viole comme un sauvage, cherchant à lui faire le plus mal possible. A lui arracher les hurlements les plus puissant. C'est la première fois fois, que Hervé viole une femme, sa propre fille qui plus est. Il est au paradis des violeurs. Il savoure cet acte monstrueux, cet accouplement incestueux. Stéphanie, vaincu, abattue par cet acte monstrueux, se laisse faire, se contentant de hurler encore et encore. Hervé est envahit par tant d'émotion, qu'il jouit torrentiellement dans le vagin de sa fille, lui inondant l'utérus. L'orgasme le plus puissant qu'il n'est jamais ressenti. Quand il a fini, il reste dans le corps d'une Stéphanie sanglotante, anéantie. Au bout de quelques minutes, la jeune femme a juste la force de murmurer :

- Papa, sort. Pitié sort de mon corps...

Son père affalé sur elle, relève la tête, la regarde. Doucement il se retire d'elle, se lève. Stéphanie pense qu'il va partir, elle se roule en boule, en position fœtale. Mais il n'en ai rien. Hervé, toujours la bite à l'air, à demi dur, sort de sa poche un tablette de pilule bleu. Il gobe un de ses bonbons magique. Il se déshabille lentement, en silence. Sa fille, qui lui tourne le dos, se demande ce qu'il fait. Quand il est nu, il se masturbe doucement, regardant le corps magnifique de sa fille. Un filet de sperme coulant entre ses fesses. Quand il bande à nouveau, il se couche de nouveau près d'elle. Stéphanie sursaute quand le poids du corps de son paternel s'enfonce dans son matelas. Elle sursaute et gémit, quand la main du mâle se pose sur son épaule, qu'il lui caresse le bras. Quand il force pour la faire se mettre sur le ventre, elle comprend qu'il va recommencer. Mais, une fois de plus, elle n'a pas la force de résister, la jeunette se laisse faire. Quand son père se couche sur elle, son engin se plantant entre ses fesses, le gland contre l'entrée resserrée de ses reins, elle a, une nouvelle fois, seulement la force de murmurer :

- Pas encore papa, pitié, pas encore.

- Chut, laisse toi faire, ce sera plus simple.

Quand elle sent le sexe commencer à forcer, Stéphanie se laisse faire, se contentant de se remettre à hurler.

Pour Nathalie, en bas, l'enfer continue. Ils sont tous vider en elle, sur elle. Dans sa bouche, ses reins, son ventre. Ils ont jouit sur son visage, ses fesses, ses cheveux. Maintenant elle doit les sucer un par un pour les faire rebander. Pendant ce temps Igor s'amuse à la violer méchamment avec une bouteille de vin dans la chatte, et une autre dans le cul. Heureusement, ses hurlements sont absorbés par les divers baillons de chair enfoncé dans sa gorge. Sinon ils s'entendraient à des kilomètres à la ronde. Quand tous rebande, le géant retire les bouteilles des orifices de la magnifique bourgeoise. Aussitôt c'est des bites qui les remplacent. Tous repartent pour un second round, tous sauf Igor, qui se réserve pour plus tard.

Stéphanie n'en peut plus, trois-quart d'heures que son père lui viole sauvagement les reins. Il est serré par ce rectum tout neuf. Il est allongé sur elle, les mais sur les seins de sa fille, qu'il broie avec sadisme et délectation. Quand à la jeune Stéphanie, elle subit cette nouvelle bite qui lui viole l'anus avec effroi et panique. Panique de redevenir une esclave sexuelle, de son père cette fois. Panique de devenir un sex-toy, un garage à bites, une éponge à sperme. A la chatte si accueillante, au trou du cul si onctueux, à la bouche ouverte pour pompier minute. De n'être que la poupée gonflable de son père, qui la prendra encore et encore. La jeune femme sait qu'elle n'aura pas la force de se battre, de résister, ni même de se suicider. Au fond d'elle même Stéphanie sait qu'elle subira toutes les lubies perverse de son père. Lui la défonce de plus en plus vite. A ses gémissements, Stéphanie comprend qu'il ne va pas tarder à jouir en elle. On va une nouvelle fois la remplir de ce poison malveillant que l'on appelle sperme. Poison qu'elle se sait condamner à recevoir jusque à la fin de ses jours. Quand il se vide en elle, Stéphanie pleure de plus belle. C'est tellement humiliant, difficile, de ce faire remplir les entrailles suite à un viol. Un viol incestueux pour en rajouter dans l'horreur. Quand il décule, il arrache un ultime hurlement à la fille, quand le gland repasse de nouveau son sphincter. La jeune et magnifique petite bourgeoise reste immobile, sur le ventre, tandis que son père roule sur le côté.

- Nettoie moi avec la bouche. Va jusque au bout.

- Papa... Pitié.

- Ta gueule obéis.

Alors, elle obtempère. Elle s'agenouille, ouvre la bouche, gobant la bite encore bandée de son géniteur. A gros sanglot, elle entame une fellation qu'elle veut la plus douce possible. Le faire jouir le plus rapidement, afin qu'il se barre, qu'il la laisse enfin tranquille.

Nathalie gît sur le dos, jambes écartées. Un geyser de sperme coulant de sa chatte et de son cul. Les hommes nus, enfin rassasié, fument ou boivent un verre. Quand elle entend des bruits de pas dans l'escalier, la quinqua tourne la tête vers l'entrée du salon. Quand elle voit son mari en caleçon accompagné de leurs fille nue entrée, Nathalie ne peut s'empêcher de gémir d'effroi. Un filet de sperme orne le menton de la jeune femme. Un filet, enfin plutôt un torrent de sperme, coule de vagin et de l'anus de leurs progéniture. Stéphanie se pétrifie, s'immobilisant sur le pas de la porte, quand elle voit Igor et les autres. La jeune femme ne peut se retenir, elle s'urine dessus.

- Non, pas eux, pas eux.

Son père se contente de la pousser pour qu'elle rentre dans la pièce. Comme un robot Stéphanie voit sa mère allongée sur le sol, elle comprend immédiatement qu'elle vient de subir le même sort qu'elle. La jeune femme se précipite sur sa mère, s'allonge contre elle. Nathalie sert son enfant contre elle, sachant que leur enfer est loin d'être fini. La quinqua regarde son mari.

- Pourquoi Hervé? Pourquoi?

Son mari lui sourit, le regard emplit de haine. Jamais Nathalie n'aurait penser qu'il lui en voulait pour quoique ce soit.

- Tu ose demander pourquoi? Tu ne sais vraiment pas?

- Non, je... Je ne t'ai rien fait.

- Dix ans que l'on a pas baisé, dix ans que tu te refuses à moi. Si il n'y avait que ça, ça aurait passé. Mais ton comportement envers moi, ta façon de me rabaisser, de me rappeler que tout t'appartient, que je ne suis rien. Alors que quand j'ai pris la société elle était au bord de la faillite, j'en ai fait un des fleurons de l'économie mondiale. Mais ce n'était pas suffisant pour toi.

- Pardon chéri, je ne m'en rendais pas compte.

- Tu parles, tu es mauvaises, méchante. Ton racisme, ta xénophobie, ça me sort par les yeux aussi. Toujours à gueuler après les étrangers, les différents sexuellement, les pauvres. Puis tes menaces, dés qu'un truc qui te plaît pas, c'est toujours la même rengaine : « Je vais te virer, je vais divorcer, tu vas tout perdre, devenir un moins que rien. ».

- Je suis désolé, pardon.

- Pardon? Après plus de trente ans d'enfer? Tu crois que c'est suffisant?

- Non. Mais pourquoi Stéphanie, elle n'y est pour rien. C'est ta fille!

- Oui c'est ma fille, c'est une pute. Depuis qu'elle a seize ans, elle me fait bander. Cette pute se promène quasi à poils dans la maison, fait seins nus à la plage. En plus elle suis le même chemin que toi. J'avais envie de cette pute, je dois te dire que la savoir vierge m'a bien surpris, je pensais qu'elle c'était faites baiser depuis longtemps. Toi, tu la savais vierge?

- Non, c'est... C'est toi qui a organisé tout ça?

- Non, c'est l'occasion qui a fait le larron. Tout était accidentel. Mais Igor t'as reconnu, il a fait cloner ton téléphone, celui de ta pute de fille aussi. Il m'a appelé, demandé une rançon pour vous libérer. Un million d'euros. J'ai eu même droit à une petite vidéo de votre strip, de vos premier viols. Bandant je dois dire. Alors je lui ai fait une contre proposition.

Nathalie et Stéphanie, regardaient leurs mari et père horrifiée. Voyant qu'elles ne le questionne pas, Hervé reprit son quasi-monologue.

- Je lui ai proposé dix millions d'euros pour qu'ils vous gardent, vous violent, vous brisent.