Château Ragia Chapitre 01

Informations sur Récit
Rose ce réveille attaché au château Ragia.
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Partie 1 de la série de 34 pièces

Actualisé 03/26/2024
Créé 09/03/2020
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Château Ragia

Par koik

Chapitre 1

Rose ouvrit difficilement les yeux, elle se sentait encore fatiguée, comme si elle avait été levée trop tôt après une nuit de fête. Son corps était chaud et elle sentait un doux oreiller sous sa tête, des draps délicats couvrait son corps nu, lui offrant une douce sensation de confort. Seul son cou lui envoyait une étrange sensation.

Ses souvenirs lui revinrent petit à petit alors qu'elle savourait la douceur qui parcourait son corps. Elle se souvenait qu'elle était venue dans ce pays pour les vacances. Elle avait enfin pus partir de l'horrible foyer où l'état l'avait collée à la mort de ses parents, son héritage en poche elle voulait se prendre une année tranquille loin de ce lieu habité par tant de mauvais souvenirs. Elle avait largement de quoi se payer une place dans une bonne fac, après ça elle pourrait vivre la vie qu'elle voudrait.

Elle avait fait presque toute l'Europe, contrairement au jeune de son âge elle profitait d'être si loin de chez elle pour réellement visiter le pays qui l'accueillait. Elle avait découvert ainsi les grandes randonnées en Irlande, savourant le vent dans ses cheveux noirs et l'ambiance unique des pubs du pays. En Italie elle avait fait tant de musées qu'elle en avait perdu le compte. Elle avait même découvert la Croatie et la Grèce, visitant les ruines antiques comme les forteresses médiévales.

Actuellement elle était en France, elle avait entendu parler des châteaux qui parsemaient le pays et elle voulait absolument les visiter. Louant une petite voiture les édifices avaient défilé devant ses yeux, tous plus beau et plus somptueux les uns que les autres. Durant ses visites elle s'était souvent demandé ce que cela faisait de vivre dans l'un d'eux.

Soudain le souvenir la frappa avec violence. Elle avait eu un accident! C'était la nuit, au milieu de la forêt entre deux villages, un cerf a surgi de nulle part, était-ce un cerf d'ailleurs? C'était encore flou dans sa tête, elle se souvint avoir été aveuglée en tentant de l'éviter, puis un grand choc et les ténèbres.

La panique et l'adrénaline suffirent à chasser complètement la fatigue qui ankylosait son corps et elle ouvrit les yeux d'un coup sec, ce faisant aveuglée par la chaude lumière du jour.

Étrangement ce ne fut pas le mur blanc d'un hôpital qui se présentât à ses yeux, mais un véritable mur de vitrail. Une immense baie vitrée aux moulures en bois délicat laissait entrer le soleil dans la grande chambre qui l'accueillait, dehors un grand parc parfaitement entretenu accueillait un grand jardin à la française, parsemé de banc de pierre et de petites fontaines. La chambre en elle-même ressemblait aux grandes chambres des palais qu'elle avait visité ses dernières semaines, la seule chose plus richement décorée que le mobilier était le grand lit à baldaquin dans lequel elle reposait.

Ce décor enchanteur aurait pus lui faire croire à un rêve s'il n'était pas gâché par un petit détail d'importance : elle était totalement attachée! Des sortes de menottes rembourrées reliées a d'épaisses cordes entravaient ses bras, les maintenant écartée dans une position christique, tout comme ses jambes totalement écartées également, son intimité uniquement cachée par le drap de soie blanc qui recouvrait sa peau matte.

Qu'est-ce que c'était que cet endroit! La peur monta encore plus vite que la surprise et elle mit toute la force contenue dans ses bras pour tenter de se libérer. C'est ainsi qu'elle remarqua la petite cloche reliée au bout de liens, celle-ci se mit à sonner dès l'instant ou elle tenta de se libérer. Rapidement suivi par des bruits de pas qui se rapprochèrent de plus en plus.

Elle devait vite se sortir de là! quel que soit la personne qui venait elle ne pouvait lui faire confiance! Pas après s'être réveillée en une telle position! La cloche sonnait de plus en plus fort à mesure qu'elle se débattait. Une voix féminine finit par percer au travers des cloisons de bois gravé.

-J'arrive! J'arrive!

Rose exploitait tout ce que la vie au foyer lui avait donné comme force. Des années dans un environnement difficile lui avaient appris que de bons muscles peuvent souvent sortir de bien des situations. Elle n'était pas une de ses filles qui se laissait faire, elle avait déjà cogné sur des garçons bien plus imposants qu'elle. Mais malgré tous les liens ne bougèrent pas d'un poil.

La porte blanche s'ouvrit finalement alors qu'elle tirait sur son bras droit au point de manquer de se déboîter l'épaule.

-Voilà, désolé pour le retard je réglais une affaire.

Rose se pétrifia, comme si on venait de la surprendre dans son intimité ou pendant qu'elle commettait un larcin. Devant elle une jeune femme d'une trentaine d'années se rapprochait du lit. Elle était grande, une peau aussi blanche que le marbre et de longs cheveux noirs qui glissait sur de fines épaules. De petits yeux verts brillaient sur son visage délicat, tout son corps dégageait une noblesse naturelle. Elle était habillée d'une simple robe noire moulante qui épousait parfaitement un corps parfaitement taillé.

D'un geste délicat, elle retira la cloche qui avait cessé de sonner.

-Voilà, on s'entendra mieux.

Reprenant ses esprits Rose ouvrit enfin la bouche.

-Qui êtes-vous?! Et pour quoi je suis attachée! Laissez-moi partir!

Elle eut un sourire et s'assit sur le coté du lit, obligeant rose a torde son cou pour la garder en visuel, accentuant la sensation désagréable qui ne l'avait pas quitté depuis son réveil.

-Partir? Mais c'est chez toi ici.

-Quoi?! mais qu'est-ce que vous racontez! laisser moi partir espèce de tarée!

La femme prit une moue faussement outragée.

-Oh! Est une façon de parler à celle qui t'a sauvé de la mort? Regarde c'est marqué ici.

Elle se pencha et sortit un journal local. Une image de voiture carbonisée contre un arbre occupait un coin de page, le titre disait « Encore un accident sur la route communale, une jeune touriste victime du mauvais entretien des voiries?» La page suivante était ornée en bas à droite également d'une photo de la jeune fille. Elle était matte de peau, sa mère était inuit, elle et son père un Anglais travaillant comme chercheur, ils c'étaient rencontré lors d'une expédition. Elle tirait d'eux un teint matte et des traits légèrement asiatiques associés a une carrure occidentale.

La réalité vint frapper Rose comme un coup de poing au visage. La femme devant elle avait maquillé sa mort et probablement provoqué son accident. Elle était totalement à sa merci.

-Qu'est-ce que vous me voulez, s'il vous plaît laisser moi partir.

Sa voix ne parvenait pas à cacher sa peur.

-Vous allez me tuer?! Pitié!

Elle de débâtit de nouveau avec hardeur, mais en vain. Soudain une sensation de picotement se répandit depuis son aisselle, la sensation devenant de plus en plus présente dans son esprit, sa peau sensible lui envoyant des messages contradictoires.

-Hey!

Dit-elle en tentant de soustraire sa peau au contact du doigt de la femme.

-T-t-t-t-t

Dis celle-ci en la chatouillant de plus belle.

Finalement un gloussement finit par sortir des lèvres de Rose ce qui semblât ravir sa tortionnaire.

-Qu-q-qu'est ce que vous faite? Stop! ça chatouille! pfhfhfhf!

Le drap avait glissé à côté d'elle exposant complètement son corps tordu par la gêne des chatouilles. La femme baladait tranquillement le bout de son doigt sur sa peau exposé, s'amusant de chaque frémissement et gloussement de la jeune fille.

-Arrêter! Ahahah! S'il vous plaît!

-Une vilaine fille doit apprendre ce qu'elle risque à dire de vilains mots.

Elle n'utilisait qu'un seul doigt, mais Rose se tordait comme si elle était attaquée par des milliers de plumes caressant ses zones les plus sensibles. Depuis quand était-elle aussi chatouilleuse?!

Continuant de tracer des petites formes du bout de son ongle sur la peau de la malheureuse. La femme observait avec grand intérêt le corps tanné de la jeune fille se tordre sans tous les sens . Ses seins parfaitement formés gigotait alors qu'elle se tortillait sous ses caresses, les petits tétons roses dressés et durs comme la pierre trahissaient l'effet que les chatouilles avaient sur le corps de la captive.

Bientôt elle en saisit un de sa main libre.

-Excitée?

Dit-elle en sentant les petits cailloux entre ses doigts.

-Ahahha! Non! A-a-arrêter, s'il vous plaît!

-Seulement quand tu auras compris ta leçon.

-J-J-je suis désolée! S'il vous plaît!

Un gloussement l'empêcha de continuer sa phrase.

Finalement les chatouilles cessèrent et elle retomba dans les draps désormais humides en soufflant.

Sa kidnappeuse attrapa une corde hors de la vue de Rose et tira un coup sec dessus. Rose fut projetée en avant sans qu'elle puisse résister. Les cordes qui attachaient ses bras étaient reliées à un système de poulie qui l'avait mise à genoux sur le lit. Elle tenta de se débattre, mais la machinerie la maintenait fermement, elle pouvait à peine bouger les bras et sa poitrine complètement exposée pointait droit vers la grande baie vitrée.

Elle entendit un petit bruit d'interrupteur et les vitres changèrent devant elle, se transformant en miroir, comme les vitres sans teint qu'elle avait vu dans les films.

Rose ne pouvait détourner les yeux du spectacle que lui renvoyait le miroir. Ses deux bras attachés au pilier du lit laissaient totalement voir sa poitrine généreuse alors que son vagin avait été complètement rasé. Elle était tellement absorbée par la situation, son cerveau étant trop occupé a tenté de trouver une explication logique pour ce qu'elle vivait qu'elle ne remarqua pas que la femme c'était déplacé derrière elle, elle finit par voir avec horreur les deux mains dans le miroir se rapprocher doucement de ses aisselles.

-Non! Non! Non! Non! S'il vous plaît!

Le simple déplacement de l'air commençait déjà à agresser son épiderme.

-Tu vas être bien sage maintenant, n'est-ce pas?

Elle n'avait été chatouillée que par un doigt, elle n'imaginait même pas ce que cela ne serait pas les deux mains de cette femme. Elle supplia immédiatement

-Oui! Oui! Oui! Désolé! Je , ahahahahahah!

Les doigts venait de rapidement se poser sur sa peau, lui arrachant un rire puis disparurent tout aussi rapidement.

-Bien.

La femme se releva et vint se poser devant elle.

-Pourquoi vous me faites ça? S'il vous plaît, laissez-moi partir ; ahahahahahahah!

De nouveau elle la chatouilla, plongeant ses doigts sur la peau tendre de ses aisselles pendant de longues secondes, alors que Rose tentait vainement de s'y soustraire. La sensation était horrible, elle se sentait complètement sans défense alors que la femme profitait de ses gloussements et de son corps tendu.

Elle s'arrêta au bout d'une trentaine de secondes qui parurent des années à la jeune fille. La laissant essoufflé et le corps luisant de sueur.

-À partir de maintenant tu ne parleras que quand je t'en donnerai l'autorisation. Compris?

Rose acquiesça immédiatement.

-Très bien.

Dit-elle en pinceau un de ses tétons, lui tirant un petit grognement de plaisir que Rose ne parvint pas à cacher.

-Maintenant je vais t'expliquer ce qui va se passer.

Elle sortit une cravache d'un porte-parapluie que Rose n'avait pas remarquée. La longue tige de cuir venant se balader sur le corps de la jeune fille.

-Tu m'appartiens, personne ne sait que tu es ici et avec ton récent décès je suis au regret de te dire que la famille que tu n'as pas ne va pas venir te chercher.

Rose garda le silence, mais ses yeux ne mentaient pas. Comment cette femme pouvait connaître sa situation familiale?!

Remarquant son air la femme lui répondit tout en donnant de petits coups à ses tétons.

- Tu crois que je t'ai pris au hasard? Personne ne s'inquiétera pour toi et de toute façon j'ai fait vider tes comptes, Tu as fait une grosse donation quelques jours avant de mourir. C'est beau une jeune fille si généreuse.

-Quoi!?

Rose cria sous la surprise et la colère. Immédiatement la cravache vint frapper son sein pour la faire taire.

-Tu n'en avais pas besoin de toute façon, maintenant que je suis là pour m'occuper de toi.

La cravache se fraya doucement un chemin vers son entrejambe, le contact froid du cuir faisait trembler sa peau.

-Je vais faire en sorte que tu ne manques plus jamais de rien, tu vivras avec moi et je prendrais bien soin de toi. Tu vas voir tu seras très bien içi.

Quelques coups vinrent frapper son clitoris. Rose sentit le sang lui monter et ses lèvres s'humidifier.

Elle devait absolument le cacher à cette perverse.

-Vous ne pourrez pas me garder ici. Je finirais par partir et je dirais à tout le monde ce que vous m'avez fait.

La cravache revint vers son visage, lui relevant la tête et a forçant a regarder directement dans les yeux verts de la femme.

-Qu'est ce que j'ai dit sur le fait de parler sans autorisation? Est-ce que je dois te bâillonner pour te faire taire?

Rose ne pouvait pas soutenir le regard de la femme est baissa les yeux en silence de peur que les chatouilles ne reprennent.

-Et il serait dommage de perdre la tête en s'enfuyant.

Rose ne comprenait pas.

-Regarde.

Elle ne l'avait remarqué, mais un petit collier de cuir ornait son cou, il était tant proche de sa peau qu'elle avait l'impression qu'il avait fusionnée avec elle, un petit anneau laissait présager l'apparition prochaine d'une laisse.

La femme glissa son doigt sur la surface noir de l'objet.

-C'est beau hein, je trouve que ça rend ton visage tellement mignon. Et le mieux c'est que si je veux je peux le faire détonner quand je veux.

« Mon Dieu! » se dit Rose en commençant à paniquer. Elle avait une bombe autour du cou! cette cinglée lui avait collé une bombe!

-Enlever moi ça! Enlever moi ça! Pitié!

Elle secouait la tête de toutes ses forces dans l'espoir que le collier tomberait comme par magie, mais comme ses liens l'objet ne bougea pas.

-Espèce de tarée! Laisser moi partir! Retirer moi ce truc! vous n'avez pas le droit! cinglée de perverse!

La jeune fille hurlait de toute la force de ses poumons.

-Au secours! A l'aide! Quelqu'un! Aidez ghhhhh!

Alors qu'elle hurlait un bâillon apparu et s'enfonça dans sa bouche sans qu'elle puisse y résister. La boulle de caoutchouc avait un goût sucré et maintenait sa bouche ouverte, provoquant une accumulation de salive.

-Mhh!!!!!!!!

Elle hurlait au travers de son bâillon alors que la cravache s'écrasait sur ses fesses. Sur le miroir en face d'elle elle pouvait voir son corps réagir à chaque coup de que la femme lui donnait.

-Phtop!

Tenta-t-elle de supplier alors que le dernier des vingt coups s'écrasât sur ses fesses désormais rouges.

-Je crois que tu as besoin d'une explication plus concrète.

Rose fit non de la tête alors que la femme se replaçait devant elle.

La salive commençait à déborder de la bouche de Rose et coulait entre ses seins, se frayant doucement un chemin vers son entrejambe.

-Tu ne risques rien tant que tu restes une bonne fille obéissante. Si tu fais tout ce que je te demande, tu pourrais même apprécier ta vie ici. Compris?

Rose fit un oui de la tête.

-Je vais t'expliquer tes tâches et les règles que tu devra suivre. Mais avant ça tu as besoin de comprendre ce que tu encoures à parler ainsi à ta maîtresse.

Avant que Rose ait eu le temps de paniquer les doigts commencèrent leur travail, grattant et effleurant chaque centimètre sensible de sa peau, la faisant rentrer dans un enfer de sensations. Tout son corps la chatouillait alors que la femme attaquait sans relâche le moindre de ses points faibles.

-Phtop!!!!! Phitier!!!

Tentait-elle de hurler dans son bâillon, provoquant l'hilarité de sa tortionnaire.

-Non, non , non ma petite. Tu été très vilaine de parler comme ça à ta gentille maîtresse.

Le corps de Rose tentait par tous les moyens d'échapper à la torture, mais aucune de ses contorsions ne parvenait a lui faire éviter la moindre chatouille. Le bâillon la faisait baver de de plus en plus et à force de secouer la tête frénétiquement sous la torture elle était maintenant couverte de salive et de sueur.

Ses gloussements remplirent la pièce pendant dix minutes qui manquèrent de la rendre folle. Quand finalement elle la femme cessa son œuvre elle était vidée de toute force et chacun de ses nerfs semblait en feu.

-Voilà qui t'apprendra à rester silencieuse. Maintenant.

Elle se dirigea vers un paravent qui cachait un coin de la pièce. Rose ne l'avait même pas remarqué. Elle en ressortit en poussant chariot de bois qui semblait assez lourd.

-II est temps de t'apprendre la politesse. Mais avant je veux voir s'il te va.

Rose ne tenta même pas de répondre tant son corps récupérait à peine des chatouilles.

-Regarde comme c'est beau, ça t'ira parfaitement!

Rose vit de quoi elle parlait. Elle avait dans les mains un costume qu'elle ne pensait que voir dans les magazines que les garçons du foyer tentaient de cacher sous leur matelas.

Un corset noir complété d'une jupe blanche trop courte pour cacher son intimité, un tissu blanc pour cacher ses seins, mais qui avait l'air de pouvoir se détacher, une paire de bas résille aux extrémités décorés de frou-frou blanc et un serre-tête orné d'une collerette blanche qui ressortait fortement sur ses cheveux noirs.

La femme l'habilla en quelques minutes, elle tenta de se débattre, mais quelques fessée et coups de cravache sur son clitoris recouvert de salive la firent renoncer.

La tortionnaire admira son œuvre une fois finie

-Magnifique. Ça te va très bien.

Rose bouillait de honte, elle se trouvait ridicule dans cet accoutrement. Elle bavait abondamment sur le tissu alors que la femme prenait des photos d'elle à l'aide d'un gros appareil.

-Pour les copines. Elles vont adorer.

Rose tentait d'éviter l'appareil comme si détourner le regard cacherait son accoutrement.

-Regarde par ici petite soubrette, fais-moi un beau sourire sinon...

Elle agita les doigts.

-guili-guili.

Rose obtempéra à contrecœur ne voulant pas retourner en enfer. Sourire avec le bâillon lui donnait un air encore plus ridicule.

L'appareil claqua une paire de fois, capturant sa gêne dans toute sa splendeur.

Finalement la femme se rapprocha et glissa sa main sous la jupe blanche de la jeune fille. Caressant doucement son clitoris.

-Ta maîtresse va t'apprendre les bonnes manières, une bonne servante se doit d'être irréprochable.

Un doigt rentra, arrachant un souffle de plaisir à Rose. Toutes ces tortures l'avaient excitée au-delà du raisonnable et son entrejambe était tout aussi sensible que le reste de son corps. Mais elle devait résister, ne pas offrir le ce plaisir a cette femme.

Elle sentit la langue de la femme frotter son vagin, goûter chaque atome de son liquide. Le plaisir irradiait à chaque coup de langue, les grognements de gênes se transformèrent en râle de plaisir derrière le bâillon de Rose. La tension s'accumulait à mesure que la femme enfonçait sa langue dans son intimité.

Dans un long gémissement étouffé par la boule dans sa bouche Rose s'apprêta à jouir.

La langue se retira à cet instant précis, ne laissant que l'air au contact des muqueuses excité de la jeune servante.

Avant même qu'elle puisse se demander pourquoi le plaisir lui était refusé, l'enfer recommença et les doigts de la femme se mirent de nouveau à chatouiller côtes, pieds et aisselles.

-Phnnnnnnnoooooooo!

Hurlât elle en gloussant, tortillant de nouveau son corps, mais elle manquait d'énergie et ne pouvait que subir la torture.

-Phitiééééé!

-Pas d'orgasme pour toi ma petite.

-Phahahahahaha! Phtoooop!

-Encore un petit peu, après tout je suis une « cinglée de perverse »

-Phe phui depholééé! Phihihihi!

-Tu est désolée?

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