Le Mauvais Chemin 08

Informations sur Récit
La suite revisité et édulcoré du chapitre 7.
10.6k mots
4.49
34.3k
1

Partie 8 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon quo-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification à quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui vise certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie. Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire. Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, bonne lecture. Et n'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de quoique ce soit. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Igor prit une pilule dans sa poche. C'était une nouvelle drogue, lui permettant de bander et d'éjaculer à volonté pendant trois bonnes heures. En voyant le spectacle offert par Nathalie, il se dit qu'il en aurait bien besoin. La jeune fille de vingt ans, encore vierge, se laissa tomber à genoux devant le mâle Albanais. De nouveau, d'une main tremblante, elle entreprit de défaire sa ceinture.

Une nouvelle fois le sexe énorme et dressé du géant jaillit de son caleçon. Une nouvelle fois il frappa le front de la jeune femme. Une nouvelle fois, elle ouvrit démesurément la bouche pour gober le gland de l'homme. Il lui caressa les cheveux.

- Si je sens tes dents, je t'enfonce mes mains dans le cul et dans la chatte. Alors fais gaffe!

Stéphanie reçu parfaitement le message de l'homme. Elle avait la moitié du sexe du mâle dans sa bouche, mais n'arrivait pas à aller plus loin. Alors, le géant plaça ses mains sur la nuque de la fille, et d'une poussée brutale s'enfonça en entier dans la bouche qui le suce. Franchissant les amygdale, dévastant la gorge. Il y eut un craquement sinistre, suivit d'un hurlement étouffé par le pieu de chair, quand les mâchoires de la malheureuse se déboîtèrent. La douleur fut infernale, l'étouffement provoqué par le membre masculin aussi. La gorge de Stéphanie doubla de volume lors de la pénétration du braquemart géant. La jeune femme tenta de mordre, mais sa mâchoire ne lui obéit pas. Sadiquement, il appuya sur la tête, ainsi que sur la nuque de sa victime, la forçant à rester la tête complètement empalée sur lui. Elle n'arrivait plus à respirer. Stéphanie tenta de se dégager, posant les mains sur les cuisses de son violeur, elle tenta de se redresser. Mais il était trop fort pour elle. La femme tenta des coups de poings, de plus en plus faible. Ses yeux et son visage deviennent rouge sous le manque d'oxygène. L'air n'arrive plus à ses poumons, son corps se met à trembler, a convulser.

Les mouvement de sa langue pour chercher de l'air, enchante son bourreau. Il a l'impression qu'elle lui caresse le sexe pour lui donner du plaisir. Les yeux de la fille menace de sortir de leurs orbites, elle convulse de plus en plus. Alors, Igor la retire de son sexe, un gros filet de bave la relie encore à lui. Elle respire bruyamment, reprenant son souffle. Elle garde la bouche grande ouverte, n'arrivant pas à la refermée. Son bourreau l'empale de nouveau en entier sur son sexe. Il la tient par la queue de cheval. Enroule les cheveux de sa proie autour de sa main. Il la fait aller et venir le long de son pieu. De plus en plus vite, de plus en plus fort. Les hurlements de la fille sont atténué par le bâillon de chair. La douleur dans sa mâchoire, dans sa gorge, sa bouche est terrible.

Igor, sentant le plaisir monter, s'enfonce de nouveau complètement dans la gorge de sa proie. Le nez de Stéphanie touche son ventre, ses bourses heurte le menton de sa victime. Il se vide torrentiellement en criant. La jeune femme est contrainte d'en avaler une bonne partie. Mais il y en a trop, ça déborde de sa bouche, par ses narines. Quand il est enfin vidé, il retire la jeune femme de son engin. D'une violente gifle, il lui remet la mâchoire en place. Heureusement, si c'est douloureux, ce n'est pas grave, elle n'aura aucune séquelle. Du moins physiquement pour sa mâchoire. Il la pousse enfin, et Stéphanie s'écrase sur le sol, reprenant difficilement haleine, du sperme ornant son menton.

La jeune femme pleure sur le sol, allongée sur le dos. Igor se lève, il se met nu et se recouche sur le canapé. Le sexe toujours dressé. Il regarde la bombasse allongée sur le sol.

- Viens t'empaler sur mon sexe, j'ai envie de ta chatte.

Stéphanie, tremblant de tout son corps, n'a pas la force de répondre, son viol buccale l'a anéantie, dévastée.

- Tu as trois secondes pour m'obéir, si je me lève, tu va vraiment comprendre le sens du mot douleur!

Vaincue, sachant qu'il ne rigole pas, Stéphanie comprend qu'elle ne peut lui résister. Alors avec le plus grand mal, la jeunette se lève et s'approche de son bourreau. Avec délectation Igor sait qu'il a gagné quand elle grimpe sur le canapé. Son futur dépuceleur est trop fort pour elle. Elle l'enjambe, saisit sa pine, et lentement descend sur lui. Elle pousse un cri d'horreur quand le gland de l'homme cogne contre les lèvres de son sexe.

- Descends doucement petite pute, fais le rentrer en toi.

- Pitié, maître.

- Obéis, ou je te dépucelle la chatte comme je l'ai fait avec ta bouche.

Folle de terreur à l'idée de perdre son pucelage avec autant de violence que sa dernière pipe, Stéphanie obéis. En grimaçant et pleurant de plus belle, elle commença à faire rentrer le sexe de son violeur buccale en elle. Quand le gland rencontra son hymen, la jeune femme stoppa sa descende. Igor lui sourit, la tenant par les hanches.

- Allez descend d'un coup sec, c'est ton hymen, tu vas voir, ce truc là ça part tout seul.

Il rigola en lui disant ces mots. Mais la douleur était tel, que la fille n'y arrivait pas. A chaque fois qu'elle forçait, elle remontait. Alors, sadiquement, Igor la tira par les hanches vers le bas, tandis qu'il donnait un violent coup de reins vers le haut. Il arracha son hymen d'un seul coup, la pénétrant de toute sa longueur. Son pieu, trop petit pour le réceptacle humain, lui massacra ses chair tendres et fragiles, franchissant le col utérin, avant de lui défoncer l'utérus. Mais une fois de plus, ce n'est que douloureux, une immonde douleur, certes, mais qui ne lui laissera aucune séquelle. Il est enfin fiché entièrement en elle. Le fourreau est indéniablement un des plus étroits qu'il ait baisé. Tout le corps de la jeune femme se tétanise. Avant que ne sorte de sa gorge, un hurlement d'une puissance telle, que même les violeurs de sa mère se retournèrent pour regarder ce qu'il se passait. Voyant Stéphanie, le visage déformée par la souffrance, empalée complètement sur Igor, ils rigolèrent, avant de retourner au terrible viol de la magnifique Nathalie. Igor sentit un liquide chaud humidifiée le sexe de sa victime, lui coulant le long de sa hampe, avant de ruisseler sur son ventre. C'était le sang du dépucelage de la demoiselle, ainsi que celui d'une petite déchirure vaginal, malheureusement pour elle sans gravité, signifiant que ses tourments vont encore durer longtemps. Ledit vagin palpitait contre le sexe violateur, on aurait dit qu'elle jouissait, alors qu'il ne faisait que se défendre, pour faire sortir cet envahisseur non désiré, bien trop violent pour lui. Igor lâcha les hanches de sa proie. De sa main gauche il lui malaxa ses fesses fermes. Tandis que de la droite, c'est les seins somptueux de la demoiselle qui eurent l'honneur de sa palpation. Il la caresse sans aucune douceur, avec violence. Il savourait les atouts femelle de cette putain. A gros sanglots, tremblant de tout son corps, Stéphanie restait immobile, empalée sur la bite de son suborneur.

- Bouge sale pute, car si c'est moi qui le fait, la chanson sera différente.

La femelle, le cerveau embrumé par la souffrance, l'humiliation et l'horreur, comprit néanmoins qu'il était dans son intérêt de lui obéir. Cherchant la force dans le plus profond de son âme, Stéphanie remonta son corps, en gémissant, le long du mandrin violateur. Jusque à ce qu'il ne reste plus que le gland du monstre dans son sexe. Puis doucement elle redescendit sur la hampe qui l'empalait. Elle répéta le mouvement plusieurs fois, grognant de douleur. Poussant de petit cris. Il n'y avait aucun plaisir dedans, seulement de la souffrance.

- Plus vite sale pute.

Stéphanie lui obéit, augmentant la cadence de ses montées et descentes. Ses grognements se transformèrent en cris, puis en hurlements quand Igor la saisit de nouveau aux hanches. Il la fit monter et descendre de plus en plus vite sur son chibre. La déformation du visage de sa victimes, ses larmes, ses yeux exorbités, laissant voir la plus horrible des souffrance, décuplait son plaisir sadique. L'étroitesse du fourreau, le fait d'être le premier à visiter cette petite oie blanche, rajoute encore aux délices de ce viol lubrique. Maintenant Stéphanie hurle sans discontinuer, tandis que Igor pousse des gémissements de contentement, annonciateur de sa jouissance proche. Il la fat aller de plus en plus vite sur lui. Sans aucun effort, comme si sa victime n'était pas plus lourde qu'un fétu de paille. Il la défonce, la déchire, la massacre de sa pine, mais il connaît les limites du corps humain. Jamais malgré ce qu'il lui fera endurer il ne la blessera durement. Il pousse maintenant des petits cris de plaisir imminent, assourdi par les hurlements de douleurs ignoble lâche par la malheureuse jeune femme.

Finalement il se fiche le plus profondément possible en elle, la tenant contre lui grâce à ses mains, crochées sur les hanches de sa victime. Il crie en jouissant, inondant le ventre violé. L'orgasme de Igor est foudroyant, puissant. Jamais il n'a prit autant de plaisir. Il inonde tellement sa victime que le sperme déborde, coule sur son ventre. La jeunette vient de recevoir son premier sperme, le premier dans son sexe. Quand il a finit de juter dans le corps somptueux, il relâche les hanches de sa victime. Stéphanie tombe sur le coté, s'écroule à terre. Pleurant, gémissant. Elle se met en position fœtale, convulse. Du sperme et du sang s'écoule de son vagin, ruisselle sur ses cuisses. Igor reprend haleine. Il regarde sa victime en souriant, c'est le meilleur coup de sa vie. Et dieu sait qu'il en a eut. Une petite flaque de sperme se forme sous elle. Il se demande si c'est à cause de cette nouvelle molécule qu'il a jouit autant. Ce truc c'est du viagra puissance mille. Il y a un peu de sperme rosé sur son ventre.

- Sale pute, tu m'as dégueulassé. Viens nettoyer!

La jeune femme anéantie, entend bien son ordre. Mais du fond de son enfer, elle n'a pas la force de bouger. Elle se sent sale, elle se sent putain.

- Viens de suite ou je recommence.

Elle lève les yeux vers ce monstre, sa bite est encore dure. Au bord de l'agonie, elle réussit quand même à se mettre à quatre patte. Tant bien que mal, elle réussit quand même à s'approcher du canapé. Quand Igor lui caresse le crane, elle sursaute.

- Nettoie le sperme et le sang sur mon ventre.

- Je n'ai... Je n'ai... Pas de mouchoir... Maître.

- Avec ta langue sale conne.

Alors la malheureuse approche sa tête du ventre de son violeur. Elle sort le bout de sa langue, et avec une grimace de dégoût, se met à lécher le liquide crémeux.

Une fois qu'il fut propre, il repousse la tête de sa victime, qui s'écroule au sol. Igor prends son pantalon, sort son téléphone. Il y a une vingtaine de SMS, il les regarde, sourit. Il envoi ensuite un dernier SMS, au responsable des guetteurs du quartier, décidément cette journée est encore meilleure que prévu. Stéphanie à du mal à penser, elle est au bord de l'évanouissement, tant sa chatte et sa gorge la brûle. Ce monstre vient de la dépuceler de la plus horrible des façons. Elle qui a fait toute sa scolarité dans une école de religieuse. Elle que le sexe dégoûte, elle qui a gardé son pucelage intact pour l'élu de son cœur. Celui qui aurait sut attendre la nuit de noces pour lui prendre sa fleur. Il l'aurait déflorée avec amour, avec douceur, cherchant à lui donner du plaisir.

Hélas, ce bâtard lui a volé son bien le plus précieux, son hymen, sa fleur si fragile. Cueillit par ce monstre, prise de force, arrachée aussi douloureusement. Dire qu'elle n'avait eut qu'un seul petit copain, alors qu'elle avait dix-huit ans. Ils étaient resté un an ensemble. Jusque au jour où elle l'avait trouvée au lit avec sa meilleure amie. Le seul homme avec qui elle se serait vu rester pour le reste de sa vie. Ce jour-là elle avait perdu beaucoup, un mari, et une amie d'enfance. Maintenant elle vivait ce cauchemar, dépucelée aussi douloureusement, par un vulgaire voyou de banlieue, comme la dernière des catins. Le sperme qui coule encore et toujours de son vagin, lui rappelle sans cesse que c'est bien plus qu'un simple viol qu'elle vient de subir, mais la fin d'une innocence, ce bandit viens de faire d'elle une femme...

Les cris de Nathalie qui résonnent toujours dans la pièce, redonne une jolie envie de viol au géant Albanais. Igor toujours nu, s'assoit dans le canapé. Il se lève, s'agenouille près de Stéphanie, qui gît de nouveau en position fœtale. Quand il lui pose la main sur l'épaule, cette dernière sursaute.

- Pitié, pas encore.

- Tu n'as pas le choix, tu es faites pour mon plaisir. Là je veux un met de choix.

- Je peux pas, maître, je n'en peux plus.

- Je vais te montrer si tu ne peux pas!

Il attrape Stéphanie par les cheveux, il la soulève du sol en la faisant hurler. Il la projette sur le canapé, la manipule pour lui faire prendre la positon qu'il veut. Stéphanie se débat, tente de le mordre, le griffer. Il est trop fort pour elle, il est habitué au combat de rue, c'est une fille de bourge. Un caïd des quartiers, contre une petite femelle bien élevée de la haute société. Le combat n'est pas égale. Stéphanie hurle, supplie, en vain. Igor prends sa ceinture, il frappe avec la boucle; surtout dans le dos, entre les cuisses. Stéphanie s'évanouit plusieurs fois, à chaque fois il la réveille en la giflant, puis il reprend ses coups de ceinture. Stéphanie n'est plus qu'une plaie hurlante, encore et encore. Suppliante, au septième cercle de l'enfer. Au bout d'une heure de traitement, il la soulève par les cheveux, la mets à genoux. La regarde dans les yeux. Enfin dans l'œil, car l'autre et fermé et boursouflé. Mais si son corps est marqué de traces épaisse dut à la ceinture, elle ne saigne pas, il s'est arrêté à temps à chaque fois. Juste à la limite de faire éclater la peau.

- Chaque fois que tu refusera, la punition sera pire. Compris?

- Oui, maître.

La pauvresse à chuchotée sa réponse, parlant dans un souffle.

- Je t'ai juré de te punir si tu résistes, maintenant c'est fait. Allez, je t'ai dit autre chose, fais le où je te pète les doigts qu'il te reste, je te bats encore une heure et je te baise avec ma main. Alors fais gaffe.

Stéphanie, ivre de douleur, a moitié dans les vapes, hantée par les hurlements de sa mère, à du mal à réfléchir. Mais elle sait qu'il mettra sa menace à exécution.

- Fais gaffe, je me moque de te tuer... J'ai des tas de meufs, tu en as vu certaine. Et il y en a des centaines, presque aussi jolie que toi, que je peux trouver facilement. Je suis le roi ici, je n'ai qu'a me servir. Alors réfléchis.

- Pi... Pitié... Je ne me... Souviens pas... Ai... Aidez-moi...

La jeune femme pleure à grands sanglots. Igor sourit. Il s'amuse bien avec elle, il va faire durer un peu avant de passer la main.

- D'accord, je te donne cinq mots. Tu auras dix secondes. Si tu ne trouves pas, je passe au menu promis. En commençant par tes doigts. Ceux des deux mains, fais gaffe, l'addition augmente.

Stéphanie vomit de nouveau, il y a du sang cette fois, sûrement quelques dommage interne. Malheureusement pour elle, rien de bien grave. Elle a tant de mal à rester à genoux, qu'elle n'a pas la force de lui répondre.

- Avant ta première fellation. Désir. Voilà cela fait cinq mots.

Stéphanie hésite, son cerveau ne veut pas fonctionner.

- Huit... Sept... Six...

Le décompte la terrorise, pourtant elle n'est pas loin.

- Cinq...

Stéphanie trouve à cet instant.

- Maître, s'il vous plaît, enculez-moi!

Igor est déçu, il aurait tellement aimé que le décompte aille jusque à un, avant qu'elle ne trouve, un peu comme dans les séries américaine. Mais c'était bon, il avait gagné, cette chienne allait pouvoir devenir son souffre-douleur, sa soumise. Enfin à lui et à ses gars.

- Bien, mais mieux que ça, je veux que ça soit sensuelle, que tu me fasse croire que tu en as envie.

- Comment, maître?

En te caressant la chatte par exemple, tu vois des trucs de chienne.

- Mon dieu...

- Maître ça suffira.

Igor rigole de sa blague.

- Allez, une dernière chance, sinon je reviens à la punition promise.

De sa main valide, Stéphanie se caresse la chatte. De l'autre, elle se malaxa les seins, criant quand ses doigts touchèrent sa magnifique poitrine, recouverte des traces de coups de ceinture octroyée par son bourreau. Elle se lécha les lèvre, pris une voix de salope.

- Maître, je vous en supplie, sodomisez-moi. Je veux votre bite dans mon trou du cul. Enculez-moi comme la putain que je suis.

- Bien, voilà. C'est parfait. Tu vas te mettre à genoux devant le canapé, cassé en deux, torse sur les coussin. Tête tourné que je vois ton œil valide et surtout rien devant ta bouche que j'entende la merveilleuse musique que seront tes hurlements.

Stéphanie se pissa dessus à l'énoncé des mots du géant. Elle imaginait très bien ce qu'elle allait endurer. Surtout en repensant à la défloraison bestiale qu'elle avait subie. Cela fit rire Igor.

- Je te fais mouiller, c'est bien. Je te rassure, tu nettoiera tout ça plus tard. Bon allez, maintenant installe-toi que je passe aux choses sérieuses.

Igor se plaça derrière Stéphanie. Il ne prit la peine de lubrifier ni sa bite, ni l'anus de la fille. Il allé l'enculer à sec. Il voulait lui faire le plus de mal possible. Quand elle sentit le braquemart du mâle contre l'entrée resserrée de ses reins, Stéphanie hurla.

- Tu hurle déjà? Alors que je ne t'ai encore rien rentrée? Cela va être quoi quand je vais te défoncer ton cul de sale putain de bourgeoise.

Il saisit sa victime aux hanches. Sa peau chaude, ses tremblements lui promettait une baise aussi monumentale que son viol dépuceleur. Le mâle les mains croché sur les hanches de sa proie savoure ce moment précédent le viol. Igor se mit alors à forcer, voulant vaincre l'anus de la fille qui se défendait. Le gland de l'homme lutta une gros quart d'heure avec le trou du cul de la pute. Stéphanie pleurait, suppliait, en vain. Son cul résistait héroïquement. Mais rien ne peut empêcher une bite qui le veut de rentrer dans un trou femelle. Finalement le sphincter céda, le gland de l'Albanais s'enfonça entre les fesses de la fille. Stéphanie tressauta sur le fauteuil, poussant un cri ignoble. Un véritable hurlement que Igor n'aurait jamais crut pouvoir sortir d'un corps si frêle. Igor sentait son gland serré comme jamais par les fesses de la fille. Son anus palpitait contre le bout du sexe du violeur, pour à la fois, l'empêchait de rentrer, et essayer de faire sortir cet intrus non désiré. Il lâcha un rire sadique.