Le Mauvais Chemin 09

BÊTA PUBLIQUE

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- J'ai dit descendez.

Aucune ne répondit. Alors, Igor les tira par les pieds, les deux en même temps, les faisant descendre du van. Avec stupéfaction, elles découvrirent qu'ils venaient de les ramener chez elle. Les deux femmes étaient allongée sur la pelouse de leurs immense parc. Ils les entraînèrent devant l'immense porte de leurs maison, qui était un ancien château du dix-neuvième. Igor s'agenouilla près d'elles. Il attrapa les cheveux de Nathalie pour la forcer à regarder :

- Ton pédé de mari à payer la rançon pour te récupérer, sinon vous restiez avec nous... J'aime pas les meufs comme vous, si j'apprends que vous retournez à un meeting de votre parti de merde, et croyez moi, je le saurais, je reviens vous voir. Cette fois, je vous garde, je vous fais baiser à mort et croyez-moi, ce sera long. Compris?

- Oui. Répondit Nathalie.

- Et toi la petite putain?

- Oui,maître.

- Bien, si vous allez porter plainte, je vous retrouverais, croyez-moi, ce que vous avez vécu jusque à présent vous paraîtra bien doux.

- On portera pas plainte, je vous le jure maître.

Igor était fier de lui, ces deux salopes étaient complètement brisée.

- Pour info votre mari à donné congé au personnel. Il arrive d'ici quelques heures, il a pris l'avion. Nous on va vous laisser. Mais avant ça...

Une dernière fois, les deux femmes durent subir ces hommes. Stéphanie fut la plus chanceuse, seul Igor la sodomisa. Deux fois. Tandis que Nathalie fut violée par les quatre autres.

Nathalie et sa fille, avait de nouveau était violée pendant plus d'une heure. Elles gisaient, inerte sur l'immense perron de leur habitation. Le sperme suintait de leurs orifices, leurs corps en était couvert, du petit orteil aux cheveux. Du fond de leurs enfer, les deux femelles entendent le van partir. Enfin, leurs bourreaux sont parti, elles sont libre. Les deux femmes se collent l'une contre l'autre, pour se rassurer. Les deux putes à voyous des cités, sombrent peu à peu dans une inconscience salvatrice.

- Nathalie... Nathalie...

La femme est secouée, peu à peu elle sort de sa torpeur. La femme à du mal à ouvrir les yeux, collé par le sperme. Elle reconnaît son mari. Il est agenouillé prés d'elle, le regard inquiet. Il lui fait un petit sourire.

- Mon dieu, mon amour, tu es encore vivante.

- Stéphanie...

- Je m'en occupe.

Nathalie, à eut sa première pensée pour son enfant, qu'elle a vu violée et torturée comme la dernière des catins. La jeune femme gît encore inconsciente.

La peur qu'elle soit morte étreint le cœur de la quinqua. Elle voit son mari s'approcher de leurs fille, il la secoue doucement, l'appelle.

- Stéphanie... Stéphanie...

Pendant cinq minutes, elle ne répond pas. La terreur envahit la bourgeoise. Puis, la jeune fille bouge. Henri, le père, voit sa fille ouvrir son seul œil valide. L'ex-vierge tente de se relever. Malgré ses cordes vocales atrophiées, une longue et horrible plainte sort de son corps. Alors, Henri, sert sa fille dans ses bras, arrachant un gémissement de douleur à sa progéniture, dont le corps torturé est en lambeau. Puis, une fois leur étreinte fini, il sort son téléphone. Stéphanie ne réagit pas. C'est Nathalie qui parle.

- Tu fais quoi Henri?

- J'appelle la police, les pompiers.

- Non, ne fait pas ça...

- Nooooooooon, papa, je t'en supplie, n'appelle personne.

Le cri de sa fille, à la voix si rauque, le tétanise. Il s'immobilise.

- Pourquoi?

Aucune des deux ne réponds. Mais à voir leurs regards emplis de terreur, Henri comprend qu'il vaut mieux les écouter. Il verra plus tard pour la plainte.

- D'accord, mais je préviens le professeur Durand.

Claude Durand est un chirurgien gynécologique de niveau mondial, un des trois meilleurs au monde. Un ami proche de la famille.

- D'accord... Papa... Mais on rentre... D'abord...

Henri aide les deux femmes à se relever. Il les aident à marcher, à rentrer. L'homme met sa femme et sa fille dans des chambres d'amis du rez-de-chaussée. Nathalie n'aura jamais la force de rejoindre la chambre conjugale au premier, Stéphanie, encore moins, sa chambre se trouvant au deuxième. Aussi bien la fille que la mère, se précipite alors sous la douche. Enfin précipiter est un bien grand mot, tant leurs difficulté à marcher est considérable. Henri prend son téléphone, mais avant de prévenir son vieil ami le professeur Durand, il envoi un long SMS.

Stéphanie est sous la douche chaude, mais pour la première fois de sa vie, l'eau ne lui apporte aucun réconfort. Tout son corps profané est une plaie, il y a en plus plusieurs épicentre. D'abord les phrases marqués au fer rouge sur son ventre et son dos. Tatouage indélébile, qui lui rappellera chaque jour l'enfer qu'elle vient de vivre. Sa main au doigts brisé ensuite qui la lance si horriblement. Mais le pire, c'est son clito, que ses monstres ont tranché. La jeune femme commence à se laver, elle grimace de souffrance, quand la savonnette touche ses seins. Elle s'écroule au sol, a genoux, l'eau chaude enveloppant son corps. Une longue plainte sort de sa gorge, du plus profond de son âme.

Le professeur Durand arrive une heure plus tard. C'est un bel homme de cinquante ans. Il ausculte Nathalie en premier. Henri fait les cents pas derrière la porte. Au bout de trente minutes, le médecin ressort. Au bout d'une demi-heure il ressort, la mine grave.

- Je lui ai fait une piqûre de calmant. Elle va dormir pendant vingt-quatre heures. Nathalie est dans un sale état. Je n'ai vu une femme dans un tel état qu'en Bosnie, quand je suis parti avec une O.N.G pour soigner les femmes victimes des viols serbes. Ça va être très dur pour elle.

- Elle... Elle s'en remettra?

- Physiquement oui, son vagin est à peine déchiré, son anus fissuré légèrement. Par contre moralement, ça va être long, très long. Après c'est une femme très forte, même si elle est mentalement brisée, elle survivra.

Le professeur sort deux boites de sa sacoche, les tends à Henri.

- C'est des somnifères puissant. Elle dormira douze heures, d'un sommeil très profond avec ça. Tu peux lui faire prendre une douche, elle ne se réveillera pas, c'est un top produit. On l'utilise surtout pour les cures de sommeil, alors fais gaffe, ne dépasse pas la dose prescrite, c'est inutile. Quand elle se réveillera, il faudra qu'elle mange, pas plus d'une heure d'éveil après chaque comprimé. Tu lui en donne un après chaque réveil. Il y en a pour deux semaines, je reviendrais deux jours avant la fin du traitement. Pour voir si on continue. Sinon je la mettrais sous effets de divers psychotropes et anti-dépresseurs.

- Merci Claude, tu es un frère.

- Bien, on va voir ta fille. J'espère qu'elle n'est pas dans le même état que ta femme.

Durand emboîte le pas à Henry, jusque à ce qu'ils arrivent devant la porte de la chambre d'amis où se trouve Stéphanie.

- Attends moi dans le salon, je l'ausculte et j'arrive.

Le professeur resta une heure et demi dans la chambre de Stéphanie. Quand il revint dans le salon, Henri vit de suite que son ami avait une tête d'enterrement.

Qu'est-ce qu'il y a?

- Ta fille est dans un état très grave, d'abord physiquement, puis surtout mentalement. Je préconise un enfermement de quelques mois en unités psychiatrique.

- Jamais, elle ne le supportera pas.

- Je sais, elle me l'a dit. Si toi aussi tu es contre, je ne peux rien y faire. Par contre une ambulance arrive, c'est des gens de confiance, il faut l'opérer en urgence.

- Elle est d'accord?

- Non, mais il n'y a pas le choix, elle ne survivra pas sinon. Je l'hospitalise dans ma clinique, sous un faux nom, personne ne saura que c'est elle. Je l'ai endormi, ta fille n'en saura rien.

Le téléphone du professeur sonna, il décrocha, regardant son ami.

- Ouvre le portail c'est l'ambulance, viens avec moi, je t'expliquerais tout sur le chemin.

- Nathalie, elle ne peut pas rester seule!

- Mon adjointe est là aussi, elle s'occupera d'elle, crois moi, ta fille à plus besoin de toi que ta femme...

Alors Henri alla ouvrir la portail, en appuyant sur le bouton de commande d'ouverture qui se trouvait dans l'entrée. Un quart d'heure plus tard, il se trouvait dans l'ambulance, à coté du professeur Durand. Sa fille chérie, la prunelle de ses yeux, allongée, inconsciente sur un brancard. Le véhicule roulait à vive allure, toute sirène hurlante.

Durand regarda son ami, l'air grave.

- Même en Bosnie, je n'ai jamais vue une femme dans un tel état. Pourtant tu sais que j'en ai vu.

Henri ne répondit pas, il était choqué, perdu, par le sort monstrueux de ses deux femmes adorées. Il se demandait comment des humains pouvaient faire ça à d'autres humains.

- Moralement, elle est complètement détruite, anéantie. Je ne sais pas si elle s'en remettra un jour.

- Mon dieu...

- Quand au physique, ce n'est pas mieux.

- C'est à dire?

- Que si je l'opère pas d'ici huit heures, ses jours seront en dangers. Tu as bien fait de m'appeler, sans ça, ta fille ne passait pas la nuit.

- Mon dieu, dans quel état ces pourritures l'ont mise...

- Je pense que tu ne préfères pas la savoir.

- Si, dis-moi.

- Tu es sur?

- Oui, certain.

- Bon, d'abord tu as vue ce qu'ils ont gravé sur le ventre et les reins de ta fille?

- Oui, mais je n'ai pas put lire, j'étais occupée avec Nathalie et elle.

- C'est très dur, surtout que l'on ne peut rien y faire. Même si on cache, cela restera lisible. Ce sera des souffrances inutiles pour elle.

- Merde. Il... Il y a écrit quoi?

- C'est écris en anglais, il est marqué, sur le ventre de ta fille : « Ma chatte. A baisée gratuitement ». une flèche indique la direction de son vagin.

- C'est atroce.

- Mais ce n'est pas le pire, le pire c'est sur les reins : « Mon cul. A baiser gratuitement. Avec violence s'il vous plaît. »

- Les salauds...

- Elle a tout les doigts de la main gauche brisé. Ils les lui ont cassé en tellement de morceau, que ça mettra des mois pour se ressouder. Elle ne retrouvera jamais l'usage totale de sa main.

- Ce n'est pas possible...

- Hélas, en plus ils l'ont excisé.

Henri qui était en larmes, laissa échappé un gémissement.

- Je vais arrêter là, c'est trop dur pour toi.

- Non, continue, je veux savoir.

- Ses cordes vocales ont pétées. C'est très rare, hyper-douloureux, mais ça repousse.

- Comment... Comment c'est possible?

- Elle à hurlée trop fort, trop longtemps...

- Mon dieu, ma pauvre fille, son calvaire à dut être horrible...

- Oui. Sa mâchoire à été déboîtée, plusieurs fois.

- Les enculés...

- Ta fille à en plus été violée et sodomisée plusieurs fois.

- Beaucoup de fois?

- Je ne sais pas, mais je dirais plus de mille pénétration vaginal, autant d'anal.

- C'est terrible...

- Surtout qu'elle était vierge...

- Comment tu sais ça?

- J'étais son gynéco, n'oublie pas.

- C'est vrai. Dans quel... Dans quel état son ses orifices?

- Dévasté. Ses parties génitales et anales sont incroyablement ouvertes. Je n'ai jamais vu ça. Même des vieilles putes centenaires, des filles pratiquant le fist-fucking ou des femmes s'adonnant à la zoophilie avec des chevaux, ne sont pas aussi larges, aussi ouvertes.

- Merde, c'est monstrueux.

- C'est là le gros problème. Son vagin et son appareil anal sont endommagé. Son vagin est tellement déchiré que l'on dirait qu'il est lacéré. Son anus reste ouvert, sans opération il ne se refermera pas. Son colon, son rectum sont atrocement fissuré. Il va lui falloir une grosse opération pour arranger tout ça. Une reconstruction vaginale et anale.

- C'est obligatoire?

- Oui, pour le vagin, elle pourrait faire une hémorragie fatale. Quand à son anus, il ne se refermera jamais, si je n'opère pas. Ce seras pour elle une poche à vie. En plus on l'a déjà recousu plusieurs fois. Mais ça n'a pas tenu. Un truc juste pour la faire tenir sûrement.

- Sauve-là, je t'en prie, sauve-là.

- Ne t'en fais pas, elle est prise à temps. Mais comment cela à put arriver, elles ont au moins quatre garde du corps chaque fois qu'elles sortent.

- Tu connais les ambitions politique de ma femme, tu connais leurs idées nauséabondes, le parti xénophobe qu'elles soutiennent.

- Oui, je sais, mais je comprends quand même pas.

- Elles ont voulut aller à un meeting. Comme ce serait désastreux pour l'image de ma société, elles y sont aller incognito. Sans protection, pas même le chauffeur.

- Merde, tu as laissé faire?

- J'étais contre. Mais je n'étais pas là, j'étais en voyage d'affaire en Russie. De toutes façon elles ne m'écoutent pas, aucune des deux. C'était le cadeau d'anniversaire de Nathalie...

- Sacré cadeau en effet...

La conversation s'arrêta, ils venaient d'arriver à la clinique du professeur Durand.

L'opération dura quatorze heures. Le professeur Durand, qui était épuisé alla voir Henri.

- L'opération à été un succès. Le vagin et l'appareil anal de ta fille sont comme neuf. Une vraie vierge, enfin l'hymen en moins.

- Merci, vraiment merci.

- Henri serra son ami dans ses bras.

- Par contre elle va rester deux semaines ici, sous surveillance.

- D'accord, je viendrais la voir.

- Pas la peine, je vais la plonger dans un coma artificiel pendant une semaine. Reviens la semaine prochaine quand elle se réveillera. Pour l'instant occupe toi plutôt de Nathalie.

- D'accord, merci, merci pour tout.

Hervé rentra chez lui en taxi. Quand il arriva, l'adjointe du professeur Durand rentra chez elle. La jeune femme venait de donner un nouveau somnifère à la femme d'Henri. Ce dernier, exténué, alla se coucher prés d'elle. Il sombra rapidement dans un profond sommeil, dormant sept heures d'affilées. Quand il se réveilla sa femme dormait d'un sommeil profond. La chaleur étant étouffante, Nathalie dormait nue, sur le ventre. Son corps portait les horribles stigmates de ses multiples viols. Il voyait son cul, qu'il n'avait jamais eut, mais que ces voyous ont pris tant et tant de fois. Il admira de longs instants le cul encore splendide de sa femme. Il sortit de sa contemplation, alla prendre une douche. Il se fit un café, mais la vision du cul de sa femme n'arrivait pas a sortir de son cerveau. Hervé se rendit compte qu'il bandait dur. Trois semaines qu'il n'avait pas baiser. Pas avec sa femme, cela fait bien plus longtemps avec elle. Non, il couchait avec son assistante personnelle. Une splendide jeune femme de trente ans. Mais c'est vrai, le cul de sa femme l'attirait, il était vraiment splendide. Dans sa tête, tournait la phrase du professeur Durand « Même une douche ne pourra pas la réveiller. ». Une idée germa dans sa tête.

Après avoir déposé Moussa et le toubib, Igor était parti. Sa destination était mystérieuse, mais il leurs avait demandé de l'attendre dans la vieille usine, là où avait eut lieu les viols de Nathalie et Stéphanie. Comme on ne discute pas un ordre d'Igor, les deux homme l'attendaient depuis deux bonnes heures, somnolant. Ils se reposaient dans la salle des gardes, prés des cellules. Le géant revint à ce moment, portant deux immense sac de sport. Il les lança au pieds de Moussa et du toubib.

- Ouvrez.

Les deux hommes se regardèrent surpris, et obéirent. Les sacs étaient remplis de billets de cinq cents euros, de bons aux porteurs. Ils regardèrent Igor. Moussa resta sans voix, jamais il n'avait vu autant d'argent. Seul le toubib put parler.

- Putain, Igor, il y a combien?

- Dix millions.

- Merde, tu les as eus comment?

- C'est la rançon des deux petites bourges.

Il regarda Moussa en souriant.

- Pourquoi tu crois que je t'ai demandé de faire cloné leurs puces de téléphones, à ces deux chiennes?

- Ben, je ne savais pas, mais sûrement pour avoir le numéro qui t'a permis de gagner tout ça!

- Exact, personne ne les a reconnu, car personne ne lit complètement la presse financière ici. Je suis le seul, normal, c'est moi qui ai le plus d'argent à placer.

Igor rigola de sa blague. Les deux voyous le regardait interloqué.

- C'est la fille et la femme d'Henri De La Tour Dorée que l'on c'est faites, une des trois plus grosses fortune française et l'un des dix hommes les plus puissant du monde.

- Quoi? Ces deux chiennes? Je pensais que des meufs comme elles, roulaient en limousine, avec des gardes du corps. Pas dans une voiture de pétasse, cher, mais une voiture banale.

-Tu as raison, mais la vieille et sa pute de fille, sont allé à un meeting de ce parti de connards.

- Oui, je sais.

- C'est mauvais pour la pub de leur entreprise. Ils vendent de partout, ont des tas d'affaire avec des pays riche extrême-orient. Imagine la perte de chiffre d'affaire si l'on apprenait qu'ils votent pour des nazis, des xénophobes?

- Non, je comprends pas.

Moussa, réfléchis. Ils seraient boycotté par tout ceux qui n'est pas blanc. Ce serais normal, en plus certains pays blancs les boycotteraient sûrement aussi. Leur belle société s'écroulerait. La faillite assurer rapidement.

- Et toi tu as surfé là-dessus. Merde, Igor, tu es un dieu.

Le compliment du toubib emplit le géant de fierté.

- Exactement. J'ai appelé le père et mari, avec la vidéo d'abord de la voiture des deux putes emplit de tract, puis celle de leurs petit strip. Il a accepté de payer de suite.

- Merde, tu es doué, plaisir financier et sexuel grâce à ses deux pétasse.

- C'est ça Moussa, mais tu ne connais pas la meilleure.

Quand Igor leur raconta toute l'histoire, un grand sourire apparu sur les visages de Moussa et du bon docteur.

Hervé était remonté dans la chambre conjugale. Il c'était mit nu, il regardait sa femme, toujours couché sur le ventre, depuis cinq bonnes minutes. Il se mit à la secoué comme un fou. Nathalie ne broncha pas. Hervé regard l'heure, il resté encore quatre heures d'effet au somnifère. Il caressa le corps de sa femme. Quand il lui enfonça deux doigts dans le cul, ils rentrèrent tout seul. Nathalie resta impassible. Hervé pensa que la dernière fois qu'il avait essayé la sodomie avec sa femme, il n'avait pas put aller loin. Il se coucha sur elle, enfonçant son sexe dans les reins encore ouvert de son épouse. Cette dernière ne poussa qu'un petit gémissement quand il rentra en elle. Hervé savait que si elle se réveillée, c'était fini pour lui. Néanmoins, il se mit à la prendre comme un fou. Malgré les nombreux viols qu'il avait subit, son cul était encore serré. Les couilles pleine, il ne fut pas long à jouir en elle. Mais encore dur, il ne ressortit pas, recommençant son viol. Cette fois, il la prit pendant une bonne demi-heure avant de jouir de nouveau en elle. Cette fois rassasié, il se retira. Il essuya le sperme coulant de l'anus de nouveau forcé. Il s'endormit, reput de sexe, le sourire aux lèvres.

Quand Nathalie se réveilla, Henri était allongé à ses cotés, lisant un bouquin. Il avait peur qu'elle ne se rende compte de quoique ce soit. Il n'en fut rien. Sa femme, toujours dans son enfer, ne dit pas un mot. Ils se levèrent. Déjeunèrent. Henri redonna un somnifère à sa femme, qui remonta se coucher. La chaleur était telle, que cette fois encore la femme se déshabilla pour dormir. Hervé, quand à lui, sortit, entouré de ses gardes du corps, pour faire une course. Il ne s'absenta qu'une heure. Quand il revint, il remonta immédiatement voir sa femme. Elle dormait de nouveau, grâce à sa camisole chimique. Il se déshabilla, refit son test en la secouant. Une fois encore elle ne se réveilla pas. Alors, l'homme d'affaire sortit de la poche de son manteau, posé sur le fauteuil en face du lit, une petite boite. Il prit un des fameux comprimé bleu, il alla se coucher au coté de son épouse. Grâce aux pilules magique, il la prit quatre fois en douze heurs. Dans la chatte, le cul ou même la bouche. Jamais il ne l'avait baisé autant.

Deux mois avait passé depuis le retour de Nathalie et Stéphanie de leurs purgatoire sexuel. Les deux femmes ne s'en remettaient pas. Nathalie était sous psychotrope la journée, et puissant somnifère le soir. Ce qui permettait à Henri de jouir du corps de sa femme à loisirs. Ce dernier ne travaillait plus beaucoup, laissant à ses adjoints le soin de diriger sa puissante société. Enfin, la puissante société de sa femme, lui même n'étant après tout qu'un employé.