Le Mauvais Chemin 09

Informations sur Récit
Fin de la série. Texte édulcoré par rapport à l'original.
16.4k mots
4.38
49.5k
5

Partie 9 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon quo-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification à quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui vise certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie. Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire. Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, bonne lecture. Et n'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de quoique ce soit. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Quand ils revinrent dans la grande salle, avec horreur, elles virent que de nouveau, elle était pleine de voyous des cités. Les spectateurs du combat, qui sont remontés eux aussi. Avec horreur, Nathalie et Stéphanie, comprirent que leurs chattes, leurs culs et leurs bouches vont de nouveau être sauvagement prise. Elles se sont débattues, hurlantes, mais Igor et le toubib les tiennent tellement bien, que ce fut vain. Ils fendirent la foule, a l'aide de coups, ils les ont fait s'agenouiller. On les immobilisa à quatre pattes, leurs passant pieds et chevilles dans des fers fixés au sol. On mit un petit banc sous leurs ventres, pour les faire tenir, cul relevé. Le silence régné. La tension était palpable. Stéphanie et Nathalie, au fin fond de l'horreur, se demandait ce qui allait leurs arriver. Les deux femelles, horrifiée, regardaient la foule autour d'elles. Il y avait des hommes, des chiens, même quelques filles.

Quand elles virent avancer vers elles, deux gars, tenant en laisse deux énorme dogues allemand, l'abjection la plus totale envahit leur cerveau. « C'est impossible pensa Stéphanie, pas ça! ». Ils firent avancer les chiens devant les femmes. Ils avaient le museau pratiquement contre le visage des filles. Igor rigola :

Soyez-gentille avec eux, surtout si vous ne voulez pas recevoir un coup de dents. Au fait, la première qui parle sans mon autorisation, sera prise par tout les chiens présent.

Les deux femmes, les yeux révulsés, ne pipèrent mot.

On va faire un jeu. Vous allez sucer les chiens. Si vous le faites bien, on iras pas plus loin. Sinon, après, c'est dans la chatte puis dans le cul que vous aurez une bite de ces très beaux spécimens. C'est vous qui voyez. Si l'une de vous refuse, c'est tout les chiens qui lui passeront dessus, si les deux refusent, c'est pareil, mais avec les gars en plus.

Malgré leurs envie, les deux femelles se retiennent de répondre. Moussa rejoignit Igor et le toubib, pour filer un coup de main.

Ils firent avancer les chiens, les faisant passer sur le corps des filles. Elles sentirent le souffle des chiens sur leurs fesses, qui ne tardèrent pas à être trempée par la bave animale. Elles avaient le sexe des dogues, encore dans leurs étuis, juste devant leurs visage. Stéphanie gémit quand le sien, entreprit de lui lécher les fesses. Igor parla d'une voix forte.

- Vous allez sortir vos langues de chiennes, puis lécher le fourreau de vos futurs amants. Si vous hésitez et n'obéissez pas, c'est d'abord le fouet, puis tout les chiens, pour finir par un double fist, anal et vaginal pour chacune. Alors ne me décevez pas!

Nathalie fut la première à sortir sa langue. Elle titilla du bout, la cache où se trouve le sexe canin. Le sexe de l'animal ne tarda pas sortir, prouvant, à la femme, que ça n'allait pas être le premier accouplement avec une humaine que l'animal ferait. Stéphanie dut surmonter son dégoût et son horreur des chiens. Du bout de la langue, elle se mit, elle aussi à titiller le sexe animal. Quand les deux dogues bandèrent durs, leurs maîtres les firent avancer. Le sexe des animaux, devait mesurer au moins trente centimètres. Il vint buter directement sur les lèvres de chacune de leur future femelle. Synchroniquement, elles ouvrirent la bouche. Sentant leur sexe pénétrait une cavité mouillée, le chien qui surplombait Stéphanie se mit à la monter. Elle hurla quand les pattes se crochèrent sur son vente, le lui griffant méchamment. Nathalie, hurla bientôt en écho de sa fille, quand son amant à quatre pattes fit de même avec elle. Les deux sexe s'enfoncèrent en même temps dans l'orifice visé. Les emplissant totalement, pénétrant la gorge. Stéphanie ne put s'empêcher de vomir, cela ne dérangea pas son violeur. Un liquide tiède, servant d'habitude à lubrifiée l'antre des femelles de leurs espèces, sortait non stop du sexe canin.

Stéphanie a l'impression de boire au goulot, d'être sur le point de se noyer. Il se mit à donner de puissant coups de reins, comme si il baisait la chatte d'une chienne. Les deux femmes, hurlaient, mais cela était étouffés par le bâillon de chaire. Les chiens éjaculaient sans arrêt un liquide censé lubrifié le sexe des femelles. Après quelques instant de cet affreux viols buccale, le bulbe situé à la base des sexes canins gonfla. Ce bulbe sert, en principe, lors d'une copulation animale, d'abord à éviter que le membre ne sorte de la cavité vaginale, puis surtout pour éviter que le sperme déborde lors de l'éjaculation.

Quand il gonfle le bulbe devient plus gros qu'un poing humain, enfin pour des chiens de la taille de ceux qui violent la bouche des deux malheureuses. La mâchoire fragilisé de Stéphanie cède une fois de plus avec le même craquement sinistre. Malgré la bite canine, on entend parfaitement son hurlement, tant la douleur est forte. Par miracle, la mâchoire de Nathalie tient le choc. Même si la douleur est violent et son cri, étouffé lui aussi, puissant. Imperturbable, les chiens continuent leurs besognes, ils leurs semblaient prendre des femelles de leurs espèces. Seulement là, c'était dans des bouches humaines que leurs sexes était enfoncé. Le ventre et les couilles des chiens frappaient leurs fronts, leurs nez, leurs narines. Ils allaient de plus en plus loin en elle. Elles en devenaient rouge, tellement ils étaient difficile pour elle de respirer. Les animaux allaient de plus en plus vite, massacrant les femmes. L'éjaculation canine est impressionnante, trente centilitres de liquide, même si le goût est meilleur que celui des humains. Elles boivent la tasse, semblent se noyer. Quand ils ont finit de jouir, les chiens attendent que leurs bulbes dégonflent.

Mais d'un signe de tête, Igor indique aux maîtres des animaux de les faire se retirer. Celui de Nathalie sort avec difficulté, mais plus facilement que celui de sa fille. Nathalie vomit sur le sol, de la bile, mélangé au sperme. Elle n'ont pas mangé depuis le début de son calvaire. On leurs a donner seulement de l'eau. Pour Stéphanie, c'est atroce. Le bulbe envahit tellement sa bouche, que quand il tire le chien, la tête de la jeune fille vient avec, elle reprend son hurlement. Finalement le chien se retire, dans un plop mouillé bien dégueulasse. Le hurlement de la fille continue. Igor s'approche, il lui remet alors, sa mâchoire en place, en la giflant.

- Bon, les filles, je ne suis pas content de vous. Donc on continue.

Aucune des deux n'a la force de répondre. Igor ne sait même pas si elles ont compris ses paroles. Le géant Albanais désigne Nathalie de la tête.

- Docteur c'est la gagnante, préparez-la.

L'homme obéit à Igor, il fait détacher Nathalie, avant de l'emmener plus loin. Ils ont convenu que la jeune fille, ne doit pas savoir ce que l'on fait à sa mère. Le toubib prend un pot dans sa mallette. Il se met derrière Nathalie. Il ouvre le pot, il est remplie de crème. Il s'en met sur les doigts, masse le vagin de la fille. Cette dernière gémit, puis une chaleur envahit son sexe. Ça la lubrifie, dilate sa chatte, son vagin. Nathalie sent qu'elle s'ouvre, que son clitoris gonfle, elle pense même que de la cyprine coule. Puis le toubib change de pot, il met une autre crème sur l'anus massacré de Nathalie. Ça lui calme la douleur, la dilate, la lubrifie. Igor lui caresse doucement les cheveux.

- Tu verras, ça sera plus facile pour toi, que pour ta putain de fille.

Le toubib fait une piqûre dans la fesse gauche de Nathalie qui gémit de douleur. Il ne lui dit rien, c'est en fait un puissant aphrodisiaque, la femme va totalement perdre le contrôle de son corps. Il sort ensuite une bombe de crème chantilly, il en met sur l'entrée du vagin de Nathalie, elle se demande pourquoi c'est faire. Igor la ramène ensuite aux côtés de sa fille. Quand deux nouveaux chiens arrivent, Nathalie et Stéphanie comprennent ce qui va suivre. Alors de concert, elles se mettent à hurler.

Igor s'occupe personnellement de Stéphanie. Si il adore aussi s'occuper de Nathalie, la plus jeune est sa petite chérie, son souffre douleur, sa poupée gonflable personnel et vivante. Igor remarque que les deux chiens suivant bandent déjà. Une des putes des cellules est chargée de les faire durcir avec la bouche, avant qu'ils ne rejoignent Nathalie et Stéphanie. Les chiens sont habitués à l'accouplement avec des humaines.

Igor s'en sert souvent pour briser des filles trop récalcitrante, ou pour en punir d'autres. Le toubib avance le chien contre Nathalie, l'animal à la gueule contre la chatte de la femelle. Il sent la chantilly, il se met à la laper. La femme gémit quand la langue animale touche son vagin. La langue baveuse est chaude, son vagin est en ébullition, rendu très sensible par la crème mit par le toubib pervers. Bien malgré elle son corps répond. Elle ne tarde pas à respirer plus fort, un bien-être l'envahit. Avec horreur elle se rend compte qu'elle commence à prendre du plaisir, que de la cyprine emplit sa chatte, coule sur ses jambes. Elle n'a jamais mouillée autant. Pourtant son cerveau est révulsé par l'horreur de la situation. Un hurlement retentit. Nathalie regarde sa fille. Le chien qui lui à était donné, vient de la grimper. Plantant ses griffes dans les seins de la malheureuse, la griffant. Il donne des coups de reins rapide, cherchant à pénétrer la femelle, mais il ne trouve pas l'orifice d'entrée. Nathalie se rend compte qu'elle pousse des petits grognements de plaisir. Ne voulant pas qu'elle jouisse comme ça, le toubib fait grimper le chien sur la femme de cinquante ans. Quand les pattes de l'animal lui encercle ses seins volumineux, elle se rend compte qu'elle n'a pas mal. Igor à fait mettre des chaussettes aux pattes avant du dogue. Pour ne pas qu'il la blesse. Malgré la monstruosité dont il fait preuve, Nathalie, se dit, que au moins Igor est de parole. Elle sent le chien derrière elle tenter de la prendre. Le toubib guide alors le chien contre l'entrée du vagin de la femme. Quand il la pénètre, elle pousse un long gémissement de plaisir. Les coups de reins de l'animal la font feuler de plaisir. Quand le bulbe gonfle en elle, emplissant sa chatte, Nathalie pousse un cri puissant.

L'animal sent le sexe de la femelle se contracter contre son pieu. Elle vient d'avoir le plus puissant orgasme qu'elle n'ait jamais eut. Imperturbable, l'animal continue son pilonnage intensif, Nathalie recommence à grogner de plaisir. Des grognements qui deviennent de véritable hurlements orgasmique quand le chien se met à la prendre de plus en plus puissamment. Nathalie à trois autres orgasmes, avant que le chien n'inonde son ventre. Repu, l'animal reste en elle, le temps que son bulbe dégonfle. Nathalie, lentement, reprend son souffle et ses esprits. Quand elle revient tout a fait à elle, la femme comprend l'horreur de la situation. Elle vient d'avoir quatre orgasmes, dans un même accouplement, mais avec un chien. Alors choquée, mais néanmoins heureuse, elle se met à pleurer.

Pour Stéphanie, la situation est tout autre. Les griffes du chien, maintenant enfoncé dans ses seins, la torture, la faisant haleter de douleur. Elle sent la bite canine frapper contre ses fesses, buter contre son anus qu'elle contracte au maximum. Igor fait un signe de tête à Moussa, ce dernier guide le membre du dogue vers l'entrée de la moule humaine. Igor ne se rabaissera pas à toucher une bite de chien. Tout du moins pas en public. Par contre, quand il joue seul, avec une de ses putains, rien ne l'empêche d'enfoncer lui même la pine animale dans le ventre ou le cul de son jouet. Mais là, c'est sa réputation de chef qui est en jeu. Le hurlement de la jeune femme est hallucinant quand le membre du dogue, guidé par Moussa, la viole. Le sexe est énorme, la violence psychologique d'un viol canin rajoute à l'horreur de la malheureuse. Les estafilades sanglantes laissées par les griffes du chien, tombent goutte à goutte sur le sol, quand l'animal lui plante les griffe dans les seins pour assurer sa prise. Son hurlement est incroyable en intensité quand la bite du chien rentre en elle, il est énorme, bien plus gros que tout ce qui l'a violé jusque à présent. La pénétration est brutale, déchirant le vagin aride de la jeune femme. Le sang provoqué par la déchirure, lubrifie son antre d'amour. Le liquide lubrifiant du dogue, qui sort abondamment et non stop de sa bite, lui envahit la chatte. Le chien lui massacre e vagin. Le viol est brutal, horrible. Le chien la pilonne à une vitesse folle, se moquant des dégâts causé par le fourreau trop étroit pour le recevoir. Il la prends longuement, appréciant ce fourreau étroit, qui serre son engin, bien plus que les femelles de son espèce. Quand il sent venir le plaisir, le dogue s'enfonce complètement en elle. Le bulbe gonfle alors dans le vagin humain. Stéphanie hurle à s'en décrocher les mâchoires. La douleur irradie dans tout son corps. Elle a l'impression que son ventre gonfle, envahit par son sang, dut à ses multiples déchirures vaginale, ainsi qu'au liquide pré-éjaculatoire de son violeur animal. Malgré son état de souffrance, malgré son cerveau embrumé par l'horreur de la situation, Stéphanie, entend sa mère gémir de plaisir. Elle est dégoûtée, comment peut-on jouir avec un animal? Du fond de son enfer, la jeune femme, hurlante, se met alors à haïr sa mère, pour ressentir du plaisir, là où elle même ne ressent que de la souffrance la plus absolue.

Le chien la faisait hurler de plus en plus fort, en la violent de plus en plus violemment. Quand il éjacula en elle, son cri atteint des summums, tant le sperme canin, brûla ses chairs massacrée comme de l'acide. Une fois son plaisir pris, le chien la lâcha, tout en restant en elle. Ses seins étaient couverts de nombreuses traces de griffures. On voyait des points sanglants aux endroits où les griffes avaient pénétré la chair fragile du sein. Le chien tente de sortir du corps féminin, mais le vagin contracté de Stéphanie l'en empêche. Igor regarde alors sadiquement Moussa, tout en désignant Stéphanie.

- Fais le sortir.

Le black obéit à son chef, il tire le chien en arrière. Il entraîne en même temps le corps de la jeune et superbe fille avec lui. Le vagin adhère alors au mandrin du dogue. Mais Moussa continue d'obéir à son chef. Finalement le sexe sort dans un plop obscène. Déchirant le minou de la femelle humaine. Son hurlement, est une fois de plus atroce. Un flot de sang et un torrent de sperme coule de son vagin, lui inondant les cuisses. La douleur est cette fois tellement dure, qu'elle tombe dans l'inconscience, faisant rire Igor et Moussa.

Putain, cette chienne est vraiment fragile, que va-- telle dire quand elle endurera la suite.

Igor rigole de sa blague. Il se retourne vers le toubib.

Réveillez-moi cette chienne, il faut que l'on passe à la suite. Après il y a des jeunes qui les attendent pour s'amuser avec.

Le toubib s'approcha de Stéphanie. Il s'immobilisa quand il entendit un véritable rugissement de plaisir. Un nouveau chien venait de prendre Nathalie, par le cul cette fois. Les drogues faisait leurs effets, la femme venait d'avoir son premier orgasme anal. A entendre son barrissement, il était clair qu'il avait été un des plus gros qu'elle n'ai jamais ressentit. Le docteur reporta de nouveau son attention sur la jeune fille. Il était clair que pour elle, ça n'allait pas être la même chanson. Il sortit un flacon de sels qu'il passa sous le nez de Stéphanie. Cette dernière sortie de son évanouissement en gémissant de douleurs. Il lui fallu quelques secondes pour se rendre compte que ce n'était pas un cauchemar. Que l'enfer qu'elle vivait était vraiment réel. Quand il vit un énorme chien, encore plus impressionnant arriver, le toubib caressa le crane de la jeune femme.

- Je crois que celui-ci est encore mieux membré que ton ancien amant canin, il va te défoncer ton cul de chienne!

Stéphanie tourna la tête, avec épouvante, elle vit l'animal. Alors la jeune femme se mit à hurler de terreur.

Nathalie se met à pleurer quand elle voit le chien s'approcher d'elle, la grimpant. Elle est persuadée, que malgré son envie infernale de sexe, cette fois elle va être massacrée. La femme en chaleur, voit que celui-ci porte aussi des chaussettes. Au moins il ne lui massacrera pas le corps de ses griffes. Malgré elle, Nathalie à envie d'avoir une bite en elle, fut-ce celle d'un chien. Mais dans sa chatte, pas dans son cul. Elle regarde Igor et le toubib qui la mate en souriant.

- Dans la chatte, pitié, pas dans le cul...

- Mais quelle salope! Elle veut bien une bite de chien, mais seulement dans le minou. Ben tu l'auras dans le cul, mais tu va voir tu va aimer.

C'est Igor qui a parlé. Néanmoins Nathalie doute de sa phrase. Pourtant quand le chien monte sur elle, la femme, sent la cyprine se mêler au sperme qui inonde sa chatte. Un frison de plaisir la parcoure. Quand l'animal, guidé par Moussa, lui force l'anus, le cri de la femelle humaine, est un véritable hurlement de plaisir, l'orgasme le plus profond qu'elle n'est jamais ressenti.

La chanson est tout autre pour Stéphanie. Elle est toujours hurlante, quand le chien la monte. De nouveau des griffes puissante lui lacère le ventre, avant de se planter dans ses seins lourd. Le toubib guide le membre canin vers l'entrée la plus resserrée du corps de la jeune fille. A tout juste vingt ans, Stéphanie croyait avoir connu le pire, après avoir été violée pendant plusieurs jours, par tout ses trous, par plusieurs bites en même temps. Après avoir sucé et été violée par un chien dans la bouche et la chatte, la malheureuse croit que plus rien ne peut faire augmenter sa douleur. Elle se trompe. Quand la bite du chien écarte son sphincter, pourtant déjà bien ouvert par près d'un millier de pénétration, elle comprend enfin le vrai sens du mot douleur. Le hurlement qui sort de sa bouche est tellement intense, qu'elle s'en pète les cordes vocales. Heureusement pour elle, ça repousse. Un rugissement pire que celui d'une bête blessée à mort. Un hurlement qui devient borborygmes, mais encore plus glaçant, sans ses outils de vocalisation. La douleur envahit tellement son corps, que malgré la brûlure au fer rouge qui sort de sa gorge, elle continue d'essayer de beugler. Dans un grand craquement, que tout le monde entend, quand son cul explose et que le chien rentre en elle, Stéphanie comprend qu'elle vient de subir des dégâts anaux considérable. Pour la première fois de sa vie, une irrésistible envie de mourir l'étreint. De toute son âme, elle espère que la blessure sera fatale. Hélas pour elle, la jeune femme ignore combien le corps humain est résistant. Le chien est enfin rentrer en entier dans son cul, massacrant son rectum, explosant les intestins, broyant ses entrailles. La malheureuse gueule toujours. Son trou du cul en sang n'a pourtant pas tout subit. Quand son violeur animal se met à aller et venir en elle, la douleur est décuplée. Il la viole à grands coups de reins rapide, comme seul les chiens savent le faire. Son calvaire est loin d'être fini. Igor tourne le visage atrocement déformé par la souffrance de la fille, cette dernière voit avec horreur, dans son cerveau embrumé, sa mère au comble du plaisir.