Les malheurs de Sophie - Chapitre 01

Informations sur Récit
Une jeune employée se retrouve victime d'un odieux chantage.
2.5k mots
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8
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS AU BUREAU

A l'âge de vingt-quatre ans, Sophie, ses études terminées (elle est universitaire, diplômée en communication et animation culturelle, et a ensuite suivi une année de spécialisation en ressources humaines), vient d'intégrer le monde professionnel.

Dans le cadre d'un contrat intérimaire de trois mois, elle a été engagée comme adjointe du Directeur des Ressources humaines d'une multinationale spécialisée dans la fabrication du chocolat. Elle travaille dans l'une des filiales européennes. Son supérieur direct, Roger Christophe, la cinquantaine, est un homme charmant, aux petits soins pour elle. Celle-ci l'appelle respectueusement M. Christophe, en souvenir, sans doute, de l'éducation que lui ont inculquée ses parents.

Ce matin-là, la jeune femme se contemple dans la glace de sa salle de bains. Petite (1m58), fine (51 kilos), elle est bien proportionnée : des mollets galbés, des fesses fermes, une poitrine opulente (qui la complexe, car elle doit porter un soutien-gorge de taille C pour masquer ses beaux appas ronds). Elle décide de porter une robe printanière, avec des boutons sur le devant et sur les côtés. De quoi lui permettre de dévoiler, mais pas trop, l'échancrure de ses seins, via un léger décolleté, et ses jolies jambes, via quelques boutons enlevés jusqu'au-dessus du genou.

Elle est heureuse : son premier job lui plait énormément et elle se sent valorisée, son patron n'hésitant pas à lui confier de plus en plus de responsabilités. Elle s'occupe notamment des fiches de paie des employés et des ouvriers.

Au niveau privé, l'assistante vient d'emménager avec son compagnon de toujours, qu'elle connait depuis 7 ans. C'est son premier amant, celui-là même qui l'a dépucelée.

Sympa, promis à une belle carrière internationale, il sait être un amant tendre, bien qu'exigeant : fellation et sodomie font partie des pratiques qu'il adore et que Sophie, par amour, ne peut pas lui refuser. Au fil des années, elle est devenue une bonne suceuse.

Bien qu'elle n'aime guère, elle accepte en effet d'être enculée de temps à autre. Récemment, son ami a exigé d'elle qu'elle s'exhibe sur des aires d'autoroute, où elle doit dévoiler l'intégralité de ses charmes à des routiers qui n'en demandent pas tant. Elle a même dû lui faire une pipe pendant qu'un camionneur jouait les voyeurs.

A peine arrivée au boulot, Sophie, en ce lundi matin, est de suite convoquée dans le bureau de son employeur, qui jouxte le sien. Son supérieur affiche un visage maussade.

Il est très en colère :

- Vous avez fait des erreurs sur le calcul de nombreux salaires. Près de 50.000 euros de pertes pour notre entreprise! Comment vais-je justifier cela auprès de la Direction générale? Vous allez être licenciée sur le champ pour faute grave et nous exigerons évidemment le remboursement! Quelle stupide fille vous faites!

Le monde semble se dérober sous les pieds de la subordonnée. Ce n'est pas possible! Elle se défend, mais l'aplomb avec lequel son chef l'accuse la trouble au plus haut point.

Elle fond en larmes, le suppliant :

- S'il vous plaît, ne faites pas cela! J'ai besoin de travailler et je n'ai pas l'argent pour m'acquitter de ce montant. Je promets que je ferai le maximum pour ne pas vous décevoir!

Mais ne me virez pas!

Son Directeur lui laisse alors sous-entendre qu'il peut éventuellement trouver une solution, si toutefois elle est prête à faire exactement ce qu'il lui demande :

- Oui, n'importe quoi! répond son adjointe avec empressement, ne sachant pas ce que sa promesse signifie réellement.

- Pour commencer, signez ces documents où vous reconnaissez votre erreur!

Et il lui tend une dizaine de pages comprenant des noms et des numéros de comptes indiquant les inexactitudes commises. Elle paraphe chacune d'entre elles, sans même les lire. Quand elle a fini, son chef reprend les documents avec un air satisfait :

- Merci! J'ai désormais toutes les preuves qu'il me faut, puisque vous avez tout signé. Au fait, à partir de maintenant, vous ferez exactement ce que je vous dis, sinon, ce sera la porte et la justice! Première règle : à partir de demain matin, à 8h30 précises et très exactement, vous me servirez mon café dans mon bureau. Si vous êtes en retard, vous le paierez très cher. Je prends un sucre et une larme de lait.

- Oui, Monsieur, se contente-t-elle de marmonner, les yeux brouillés de larmes.

- Dernier détail : vous me servirez mon café en sous-vêtements sexy.

- Pardon? Vous plaisantez? s'étouffe l'employée.

- Je suis très sérieux, au contraire. Et si vous voulez éviter les ennuis, vous avez intérêt à ne pas me décevoir. Maintenant, allez faire votre boulot et à demain : rendez-vous à 8h30 et dans la tenue exigée!

Durant toute la journée, au boulot, et la nuit, chez elle, Sophie est perdue dans ses pensées, ne parvenant pas à ôter de son esprit ce que lui a demandé son patron. Jamais elle ne pourra faire cela. Et pourtant, elle n'a pas d'autre choix. Aller à la police? Démissionner de sa fonction? Aucune des possibilités imaginées ne lui permettrait d'échapper à une action en justice. Et surtout, comment rembourser la somme due?

Elle masque tant qu'elle peut la sordide réalité à son petit copain, feignant simplement d'être fatiguée et, le lendemain matin, opte pour une robe des plus classiques. Elle a également choisi des dessous discrets : une culotte et un soutien-gorge masquant au maximum ses charmes intimes.

A 8h30, après avoir fermé son bureau à clé, elle enlève ses habits et pénètre, comme demandé, dans l'office de son boss, via une porte mitoyenne. En petite tenue, son corps plantureux masqué uniquement par de la lingerie, elle amène le café demandé sur un petit plateau. Elle croit un instant défaillir, mais surmontant sa crainte, elle finit par faire ce que son chef a exigé d'elle! Celui-ci est assis à sa table de travail et, avec un large sourire, la détaille des pieds à la tête lorsqu'elle s'approche de lui.

- Votre café, Monsieur!

- Merci, c'est bien! Dites donc, je n'avais jamais remarqué que vous aviez d'aussi gros seins! Et de bien jolies jambes. Par contre, je n'aime pas du tout vos sous-vêtements.

On dirait une collégienne de pensionnat! Il va falloir que cela change. Et vite! D'ailleurs, ce soir, vous m'attendrez à 17 heures. Il est temps de renouveler votre garde-robe : si vous devez vous montrer comme cela chaque jour, autant faire preuve de bon goût dans le choix de vos dessous! A présent, laissez-moi. Et n'oubliez pas : 17 heures!

En pleurs, elle quitte le bureau de son Directeur, non sans deviner le regard que celui-ci pose sur ses fesses lorsqu'elle se retourne pour regagner son office. D'autant que celui-ci lui adresse une dernière phrase assassine au moment où elle referme la porte :

- Très joli petit cul!

Toute la journée, la jeune fille est prise de nausées, incapable de se concentrer sur son travail. Elle a dû téléphoner à son compagnon pour justifier son probable retard en fin de journée par un surcroît de dossiers à régler. A 17h, elle frappe à la porte de son patron.

Celui-ci, sans un regard, lui aboie quelques ordres :

- Allez aux toilettes et enlevez-y votre lingerie ridicule. Apportez-la-moi ensuite. Nous allons faire du shopping et changer entièrement votre garde-robe.

La subordonnée file aux toilettes et fait ce que son boss lui a ordonné. Elle prend soin de vérifier que tous les boutons de sa robe sont fermés. Elle se sent si vulnérable. Sans soutien-gorge, elle a peur que sa forte poitrine ballotte à chaque pas.

Elle retourne ensuite près de M. Christophe, ses seins se balançant sous le tissu. Ses tétons, qui frottent contre la robe, pointent fièrement. Elle n'en est que plus mal à l'aise.

Le Directeur, un sourire ironique aux lèvres, met les sous-vêtements dans la poche de son costume. Il se tient devant son employée, la toise avec mépris et comme un vulgaire objet :

- Vous avez un corps très sexy, Sophie! Il faut le montrer! Déboutonnez le devant de votre robe. Soyez à l'aise!

A contrecœur, les larmes aux yeux, elle enlève la première attache de sa tenue.

- Plus!

Elle défait le bouton suivant.

- Plus encore!

- S'il vous plaît, Monsieur, c'est trop embarrassant. S'il vous plaît, larmoie-t-elle...

Son supérieur hurle :

- Embarrassant? Vous serez autrement perturbée quand vous serez licenciée et demanderez à votre famille de rembourser 50.000 euros! Maintenant, enlevez ce bouton et fermez-la!

La secrétaire, les doigts tremblants, défait une autre attache. Heureusement, pense-t-elle, il n'y a plus personne à l'usine.

Son supérieur se tient en face d'elle, mais n'est toujours pas satisfait :

- Encore, je vous dis!

Finalement, l'assistante est contrainte d'enlever 4 boutons. Les bords de la tenue, largement ouverts, exposent désormais la moitié de ses seins.

Son chef reprend son monologue :

- Et maintenant, que diriez-vous de vous mettre plus à l'aise au niveau des jambes?

L'adjointe serre les mâchoires, anéantie, mais au moins est-elle encore couverte. Elle se penche et déboutonne la première attache en bas de sa toilette, qui arrive jusqu'aux chevilles. Ainsi courbée, elle offre à son Directeur une vue magnifique sur ses seins, seuls les mamelons restant cachés.

- Encore!

L'employée défait un nouveau bouton, puis encore un, et enfin un cinquième. Ce dernier est situé à mi-cuisses. Enlevé, il découvre près des 3/4 des jambes de l'intéressée.

- N'est-ce pas mieux, Sophie? C'est bien d'être sexy pour moi! N'est-ce pas ton désir le plus profond?

- Oui, répond timidement la subalterne.

- Oui, quoi? Je n'ai pas entendu! Répète!

- Oui, je veux être sexy pour vous, Monsieur! réplique, désespérée, la subalterne.

Jamais elle ne s'est sentie aussi dégradée. Durant tout le trajet, M. Christophe mate ouvertement les cuisses largement exhibées de son assistante, ainsi que ses seins à moitié découverts.

En arrivant au centre commercial, il ordonne à sa subordonnée : - Refermez vos boutons à présent, Sophie. Je ne voudrais pas être vu en compagnie d'une salope!

Les mots prononcés percutent la jeune femme tels un coup de poing. En suivant son chef, elle pénètre avec celui-ci dans un magasin de vêtements plutôt osés. La présentant comme sa nouvelle secrétaire, le boss discute avec la vendeuse, comme si son adjointe n'existait pas. Il souhaite, dit-il haut et fort, que les charmes de son « aidante » soient mis en valeur. Tête baissée, gênée au dernier degré, la fille n'ose pas broncher. Elle est contrainte d'enfiler de nombreuses tenues dans l'une des cabines d'essayage, le rideau suffisamment entrouvert pour que son patron, qui s'est installé à proximité, ne perde pas une miette du spectacle ainsi offert. Il ne manque pas d'étudier le moindre détail du corps de son assistante qui, cette fois, n'est pas caché par des dessous : les seins sont beaux, ronds et fermes ; la toison beige clair est finement taillée et met en exergue un sexe en forme d'abricot ; les jambes sont bien proportionnées et les fesses toniques. Après une heure, Sophie ressort avec plusieurs paquets contenant cinq minijupes très courtes, qui font ressortir ses globes fessiers parfaitement moulés dans celles-ci ; cinq « tops », qui sont en fait des chemisiers très légers, échancrés et assortis aux jupettes ; trois débardeurs ouverts sur les côtés et qui dévoilent, en cas d'absence de soutien-gorge, sa magnifique poitrine ; deux shorts en jeans tellement courts qu'en cas d'oubli d'une culotte, le postérieur devient scandaleusement apparent. La fille est effondrée par les habits achetés, qu'elle a dû en plus payer avec sa propre carte de crédit. Le magasin suivant est une enseigne de chaussures, dont elle ressort avec cinq paires d'escarpins à talons hauts, là encore assorties aux différents tops et minijupes.

Une fois dans la voiture, elle observe un silence de mort, que rompt son Directeur :

- Et bien voilà, ma chère, des tenues enfin adaptées à ton rôle de secrétaire particulière. Voici quelques consignes que tu devras désormais respecter à la lettre, sauf si tu veux avoir de graves ennuis. Un : tu t'adresseras uniquement à moi en me vouvoyant et en m'appelant Monsieur. Ce qui est déjà le cas, j'en conviens. Deux : je t'apostropherai uniquement par ton prénom en te tutoyant. Trois : le port de tout sous-vêtement, pour ce qui te concerne, est strictement interdit sur le lieu de travail. Tu viendras donc me servir, dès demain matin, et chaque jour où tu viendras bosser, mon café à 8h30, et ce, en étant totalement nue, au cas où ne l'aurais pas compris, espèce d'idiote! Quatre : tu vas me donner immédiatement ton numéro de GSM privé, qui devra toujours être allumé, car tu seras désormais joignable 24h sur 24. Tu as compris ou bien dois-je tout répéter?

- J'ai parfaitement compris, répond-elle, d'une toute petite voix.

Après l'avoir déposée près de sa voiture, garée sur le parking de l'usine quittée plus d'une heure auparavant, M. Christophe donne à son adjointe une dernière instruction :

- Ah! J'oubliais! Règle n°5 : chaque matin, après m'avoir servi mon café, tu passeras sous la table et tu me suceras pendant que je bois celui-ci. Bien évidemment, tu avaleras ma semence. Si je ne suis pas satisfait de toi, tu sais ce qui t'attend.

A demain, salope!

Tel un zombie, la jeune femme rentre chez elle. Elle n'ose rien avouer à son compagnon. Après une nuit blanche, incapable de dormir, elle se rend sur son lieu de travail dans une tenue qu'elle a toujours jugée des plus vulgaires : minijupe, chemisier trop échancré, hauts talons et pas le moindre sous-vêtement. Après avoir fermé à clef son office, elle se déshabille et, totalement nue, pénètre lentement par la porte mitoyenne desservant les 2 bureaux dans le cabinet de son chef. Après avoir déposé le café de ce dernier, elle glisse sous le bureau, ouvre la braguette de son patron et, son slip abaissé, commence à lui prodiguer une fellation, malgré le dégoût absolu qu'elle ressent.

Après une vingtaine de minutes, celui-ci, dans un grand râle, se vide longuement dans sa bouche.

- Pas mal pour une première! commente-t-il, avant d'ajouter : - Tu lèches plutôt bien! Combien de bites avalées?

- Une seule, celle de mon ami! réplique-t-elle.

- Il t'a déjà enculée? Réponds quand je parle! Sinon, tu ne peux imaginer à quel point ta vie sera détruite!

- Oui.

- Bien! Tu vois que ce n'est pas si difficile! Tu suces correctement, mais tu as besoin d'un entraînement régulier pour t'améliorer et devenir une véritable experte!

Par ailleurs, à notre époque, il est inconcevable qu'une femme de ton âge n'ait jamais connu qu'une seule queue! Rassure-toi, je vais remédier à cela! Enfin, dès demain, tu partageras ton agenda électronique avec moi! Je veux savoir où tu es, à quelle heure, et avec qui. Et surtout, si ton compagnon est présent! Tu as compris?

- Oui.

- Tu peux retourner à ton travail. A demain, 8h30, pour ta pipe matinale. Pour le reste, je te contacterai plus tard dans la semaine. Tu verras, tu ne le regretteras pas!

Et c'est sur les propos pleins de sous-entendus de son supérieur que Sophie, défaite, réintègre son poste. Cherchant à dissiper ses craintes, elle se plonge dans ses dossiers.

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9 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a environ 1 an

C'est un bon début, classique mais bien mené.

alexandredelafressangealexandredelafressangeil y a plus de 3 ansAuteur

Cher OlivX,

Merci pour ton post.

Réponse : c'est du vol : je n'ai pas été contacté pour une quelconque autorisation. Au fond, je plains cette personne et son manque total de respect et d'imagination...

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Tu te fais pirater ton histoire

Pour info une personne (dont le pseudo est Elimae) est en train de publier cette histoire sur Xhamster en ayant juste remplacé Sophie par Marion

OlivX

chdecrivainchdecrivainil y a plus de 3 ans
Très excitant

Bravo, c'est écrit de façon dynamique et la victime, pour une fois, ne semble pas être une nymphomane que ne demande que ça. Merci.

alexandredelafressangealexandredelafressangeil y a plus de 3 ansAuteur

Merci pour vos encouragements !

La suite est effectivement bien perverse et l'histoire se compose au total de 13 chapitres (déjà rédigés depuis quelques semaines et transmis récemment à Litterotica).

Les publications devraient donc être régulières.

Bonne lecture !

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