Initiation - 05 (les préparatifs)

« J'ai grand plaisir à répondre à votre demande », dit Adrien, sans la moindre gêne.

Il ouvre alors sa braguette et découvre un membre assez long et bien tendu. La main de Nathalie s'y pose instantanément et en entretient l'érection d'un mouvement régulier, tout en disant :

« Regarde, chéri, le futur mari de ta fille a un sexe assez long qui ressemble assez au tien », ajoutant après un instant :

« Manon ne sera pas dépaysée, n'est-ce pas? »

Cette phrase déclenche un « Oh ! » de désapprobation d'Eric, qui se sent gêné comme jamais.

« Il faudrait aussi savoir si notre futur gendre sait bien s'en servir », ajoute Nathalie.

« Je suis prêt à en faire la démonstration à ma future belle-mère, si cela ne vous contrarie pas, Eric. »

Sans répondre, le futur beau-père, tremblant d'excitation, s'approche, passe ses mains sous la jupe de sa femme et lui enlève sa petite culotte. Puis, il vient s'asseoir de nouveau dans son fauteuil et sort son sexe, qu'il commence à masturber lentement. Ses yeux sont rivés sur sa femme, qui relève sa jupe longue et, faisant face à son mari, vient se placer au-dessus du sexe d'Adrien, sur lequel elle s'enfile lentement, doucement, laissant le temps à son mari de bien voir cette pénétration qui ravit ce cocu volontaire. Au début, elle fléchit puis se redresse, puis fléchit encore, à la force de ses jambes. C'est enfin Adrien qui la tient par les hanches et se charge du mouvement. Tous deux ont visiblement envie de faire durer ce moment le plus longtemps possible.

« Son gland me touche bien au fond, comme tu sais le faire, mon chéri », dit Nathalie à son mari.

Puis, sans interrompre ce coït tout en force et en profondeur, elle continue de questionner Adrien :

« Seriez-vous prêt à laisser ma fille faire ça avec un autre homme, comme le ferait un vrai 'cocu volontaire'? »

« Oui et j'aurais même plaisir à les regarder faire ! », répond Adrien.

« Et si votre femme ne pouvait se contenter d'un seul amant? », questionne encore Nathalie.

« Manon pourra en avoir autant qu'elle le souhaitera, les uns après les autres ... ou tous en même temps », abonde Adrien.

Cette pensée excite tant Nathalie qu'elle reprend le contrôle pour accélérer leurs mouvements. Elle se sent si proche de la jouissance avec ses idées interdites ! Eric sort un mouchoir qu'il place au bout de son gland, sentant l'éjaculation imminente.

« Et si Nathalie souhaitait un enfant, la laisseriez-vous ...? »

Adrien l'interrompt :

« Oui, évidemment. Mais je suis encore capable de faire ça moi-même ! »

« Voyons si c'est vrai ! », dit Nathalie.

Instantanément, elle sent alors le sperme d'Adrien gicler sur le col de son utérus, alors que celui de son mari se répand dans le mouchoir.

Quelques secondes plus tard un bruit de pas dans l'escalier provoque un instant de panique. Chacun rectifie sa tenue au plus vite et tout paraît en ordre lorsque Manon arrive dans la pièce, disant :

« C'est super, Clara veut bien être mon témoin et elle m'a suggéré d'inviter au mariage quelques copains étudiants. Je lui fais confiance pour bien les choisir », puis elle poursuit :

« Mon futur mari a-t-il bien passé son examen? », ce qui fait dire à Nathalie :

« Il est parfait. Avec lui, je suis certaine que tu seras la plus heureuse des femmes. »

Les futurs mariés prennent congés et, à peine sont-ils partis qu'Eric, hyper excité, se jette sur sa femme, qui lui rappelle son obligation :

« Avec un préservatif, ne l'oublie pas ! »

Eric s'insurge :

« Mais, tu viens de te faire prendre sans protection et il a même éjaculé en toi ... alors? »

Nathalie lui rappelle un règle évidente pour elle :

« Une femme volage se fait prendre à nu par ses amants et impose toujours un préservatif à son mari cocu. »

Eric obéit puis pénètre immédiatement sa femme avec une fougue dont il ne se serait pas cru encore capable, tant il est excité. Tout en baisant, il dit à Nathalie :

« Tu viens vraiment de me faire cocu, ma chérie. J'espérais ce moment depuis si longtemps. Tu es une femme merveilleuse ! »

« Peut-être », rétorque Nathalie, « mais tout cela est très dangereux. Je suis juste au milieu de mon cycle et, de plus, tu pousses en moi la semence du futur mari de notre fille. Tu ferais mieux d'arrêter et de me laisser faire un peu de toilette. Qu'en penses-tu? »

Eric ne peut se résoudre à interrompre cet instant magique, aussi dit-il :

« Non, c'est trop bon ! J'en ai honte mais ce risque m'excite encore plus. Je vais presser mon gland tout au fond de toi ... si ... si ... tu ne me repousses pas ! »

« Pourquoi le ferai-je? », lui répond sa femme, ajoutant :

« Cela m'excite autant que toi et c'est ta décision ... pas la mienne ! Tu en assumeras les conséquences possibles. »

C'est à cet instant que des orgasmes simultanés les traversent.

Lorsqu'ils reprennent leur calme, Eric dit à Nathalie :

« Tu es vraiment la reine de salopes et je t'aime comme ça. »

« J'adore que tu me pousses aux pires perversions », lui répond-elle, comme si elle ne s'était comportée qu'en femme soumise.

Trois semaines plus tard, Nathalie n'est toujours pas indisposée. Un test de grossesse positif lui fait consulter et le médecin confirme. Elle en informe évidemment son mari :

« Je suis enceinte, mon chéri. Quel effet ça te fait d'être de nouveau papa, même si tu ne l'es qu'à moitié? »

Eric se dit le plus heureux des hommes et profite de l'occasion pour dire :

« Maintenant que le mal est fait, je vais pouvoir te prendre à nu, n'est-ce pas? »

« Tu rêves, mon chéri », lui répond Nathalie, « tu restes un mari cocu, donc le préservatif s'impose ... pour toujours. »

Eric, vaincu, ne cherche pas à discuter et prend même bien les choses, en disant :

« Il y a un point très positif : l'enfant d'Adrien me ressemblera certainement. Cela évitera tout soupçon. »

« Peut-être oui, peut-être non », dit Nathalie.

« C'est quoi, ce 'peut-être'? », interroge Eric.

« Ne te souviens-tu pas de ce que tu as fait hier? », répond sa femme, « J'étais déjà dans ma période féconde et tu m'as prise de la même façon, poussant en moi le sperme du noir avec ton sexe encapuchonné. Donc, il y a une chance sur deux qu'il soit noir. C'est même plus que ça, car c'est souvent le premier arrivé qui gagne et certains disent que les Africains produiraient plus de spermatozoïdes que les autres. »

Le sexe d'Eric se tend alors de nouveau dans le préservatif et un nouveau coït s'engage, encore plus violent que le précédent. C'est comme si il voulait punir sa femme de cette situation qu'il a pourtant créée. La seconde éjaculation, à laquelle il ne croyait pas, arrive lorsqu'il entend sa femme dire :

« Mon chéri, tu risques de passer d'un cocu volontaire à un cocu humilié. »

Lorsque cette grossesse est annoncée à Manon, celle-ci fait part de sa joie d'avoir un petit frère ou une petite sœur et félicite même son père, ce qui fait bien sourire Nathalie.

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... à suivre ...