Initiation - 03 (connivence mère-fille)

« J'ai eu honte d'avoir frustré mon papa si gentil, alors j'ai voulu lui donner 'un baiser du soir' amélioré. Ne portant que ma nuisette, j'ai emprunté tes très hauts talons, pour faire remonter le vêtement et tout dévoiler. Papa s'est serré nu contre moi pendant nos baisers, mais c'est moi qui me suis placée juste au-dessus de son sexe et m'y suis empalée. Ça l'a fait jouir tout au fond de moi. Papa doit penser qu'il risque de m'avoir mise enceinte et c'est sûrement pour ça qu'il reste cloîtré dans sa chambre depuis ce matin. »

« Là, tu as pris beaucoup de risques, ma fille », lui dit sa mère.

« Oui », répond Manon, « d'autant plus que, sur le moment, je ne me suis même pas demandée si la période était dangereuse ou non. »

« Finalement, tu as eu de la chance, ma fille », conclut Nathalie, « mais il n'est pas question de recommencer », qui ajoute pour changer de sujet :

« Parlons un peu de ton nouveau copain. »

La discussion tourne autour de l'âge vraiment trop élevé, mais, toujours très pragmatique, sa mère lui dit que ce sera peut-être bien pour un 'premier' mari. Nathalie aimerait connaître les capacités sexuelles de ce vieil homme, mais les relations ne sont pas assez avancées. Elle finit pas conseiller à sa fille de se renseigner sur ce plan comme sur celui des moyens financiers du monsieur. Manon convient que les deux sont importants et qu'elle tiendra sa mère au courant. Nathalie conclut la discussion en disant :

« Si cet homme te plaît bien, il faudra nous le faire rencontrer, à ton père et moi. »

Ce soir, lorsque toute la famille est couchée. Dans la chambre conjugale, Eric a droit à un sermon. Nathalie lui reproche d'être allé bien trop loin avec sa fille, mais elle conclut en lui disant :

« Manon est indisposée depuis ce matin. Tu as eu de la chance de ne pas la mettre enceinte. Ne recommence surtout pas ! »

Après ces paroles, Eric s'attend à rester d'un côté du lit sans aucun espoir. Cependant, la main de Nathalie vient se glisser sous le pantalon, pour faire bander un sexe qui réagit tout de suite. Sa femme lui dit :

« Tu devrais mettre cette chose toute dure en moi et tout me raconter, dans le détail. Notre fille ne m'a dit que les grandes lignes. Allez, raconte-moi tout, mon cochon de mari. »

Ils parlent ainsi à haute voix, sans penser le moins du monde que leur fille, dans sa chambre, les écoute, l'oreille collée à la cloison. Elle n'en perdra pas un mot, alors qu'elle va se caresser lentement, pour s'offrir un mini-orgasme silencieux à chaque phrase excitante ou lorsqu'elle entendra leurs râles de plaisir.

Manon entend sa mère dire :

« Lorsque tu lui as demandé ce 'baiser du soir' pour faire de beaux rêves, t'attendais-tu à ce qu'elle a fait? »

« Non », répond son père, « j'espérais un baiser sur les lèvres, un peu plus long, mais en me fouillant de sa langue, elle m'a surpris, cette cochonne. »

Après des minutes de baise intense, ponctuées de cris de plaisir, Manon capte encore des propos de sa mère :

« Quand tu as choisi le film porno, j'ai été étonnée que tu ne choisisses pas celui de l'inceste père-fille organisée par la mère. C'était tellement proche de ce que j'essayais de provoquer. »

« Je n'ai pas osé », répond son père, « ah, ah, arrête, tu vas me faire jouir ! »

Après encore un bon moment des ébats de ses parents, Manon entend sa mère dire :

« Ta fille t'a fait jouir en te branlant et ça t'as excité de la voir sucer ses doigts, n'est-ce pas? »

« C'est vrai », répond son père, « pendant qu'elle m'astiquait, je pensais que j'aurais aimé qu'elle me suce à fond et que je puisse gicler dans sa gorge, pour qu'elle avale tout, comme une bonne pute. »

En entendant cela, c'est encore une brève jouissance pour Manon,.

Derrière la cloison, le rythme du coït des parents de Manon, augmente. Cela devient presque violent, tant ils sont excités. Tout à coup, c'est son père qui s'exprime :

« Hier soir, quand je l'ai vue dans sa nuisette et perchée sur ses hauts talons, elle était belle, d'une beauté à la fois complètement pure et totalement obscène. Quand elle s'est empalée sur moi, je n'ai pas pu ou pas voulu me retenir. Mais, aujourd'hui, cela a été très dur. Enfermé dans ma chambre, j'avais honte. Je n'arrêtais pas de penser à ce que j'avais fait, mais, en plus de la honte, il y avait autre chose, car, à chaque fois, je recommençais à me masturber. Et puis, ce soir, j'ai été déçu ... »

« Comment ça, déçu? », questionne Nathalie, très surprise.

« Quand tu m'as dit que Manon avait eu ses règles ! J'aurais tellement voulu l'engrosser, cette salope ! »

Cette dernière phrase provoque les orgasmes simultanés des deux parents et de leur fille.

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... à suivre ...