Tendre Adeline Chapitre 01

Informations sur Récit
inspirée de mon amour pour ma douce cousine.
4.9k mots
4.55
3.2k
1

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 01/03/2024
Créé 12/27/2023
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Adeline

Mon enfance fut très heureuse. J'étais fils unique mais rarement seul. J'ai toujours eu beaucoup d'amis qui venaient à la maison ou chez qui j'allais le mercredi ou le samedi.

Les weekends et les vacances étaient consacrés à la famille. Mes parents avaient beaucoup de frères et sœurs et j'avais donc beaucoup de cousins et cousines vivant tous dans la même région.

Adeline était la fille de ma tante. Elle avait trois ans de moins que moi. Elle avait une sœur de mon âge avec qui je m'entendais très bien mais qui ne m'a jamais attiré physiquement. Adeline, en revanche, dès la petite enfance me troublait énormément.

Il faut dire qu'elle était extrêmement jolie

Cheveux blonds, yeux bleus, ... un visage d'ange. J'adorais sa façon de s'habiller, toujours très féminine en jupe ou robe colorée, fleurie, blanche, à dentelles, transparente, etc... Oui, un ange.

J'aimais aussi et surtout son sourire. Elle souriait (et sourit toujours) tout le temps. C'était une enfant calme, studieuse, rêveuse mais très enjouée, rieuse, blagueuse, ... Et surtout elle a toujours été très sensuelle.

A partir de mes quinze ans, je commençais à avoir des aventures avec des filles de mon âge. Elle connut pratiquement toutes mes petites amies car même en dehors des réunions de famille, nous nous retrouvions très souvent le weekend avec nos amis respectifs et souvent communs. Nous formions une sorte de grande bande où les cousins se confondaient avec les copains. Elle eut aussi rapidement des petits copains mais il arrivait que nous nous retrouvions célibataires en même temps et invariablement on se rapprochait l'un de l'autre dans ces moments-là.

Je me souviens d'un de ces bals du samedi soir où on allait souvent l'été. Elle venait d'avoir seize ans. Notre plaisir était surtout de se retrouver, toute la bande, autour d'un verre à écouter la musique, discuter, flirter, se déhancher sur les derniers airs disco en rigolant beaucoup...

Ce soir-là, nous étions toute une bande de copains et ni elle ni moi n'avions de petit(e) ami(e). Ce fut le quart d'heure des slows. Ceux qui n'étaient pas en couple se regroupèrent autour de la piste, juste histoire de regarder...

Elle était à côté de moi et d'un coup, à ma grande surprise, elle m'attrapa par la main « Et puis zut avec un grand sourire ». Agréablement surpris par cette proposition je me fis une joie de l'accompagner.

C'était « les yeux revolver » de Marc Lavoine. Je vécus ces minutes comme les plus belles du début de ma vie. Quelle douceur que d'être dans les bras d'Adeline. Je me sentais comme un privilégié. Je dansais avec la plus belle fille de la place. J'imaginais la jalousie de ceux qui ne savaient pas que nous étions cousins. J'avais contre mon cœur la douce Adeline. Je le serrais fort contre moi. Je sentais son odeur. Je tenais mon visage contre ses cheveux. J'avais envie de l'embrasser. Mes mains sur le haut de ses fesses. Je la caressais discrètement, sentant sous mes doigts l'élastique de sa culotte sous sa robe légère. Nos sexes étaient quasiment en contact. C'était bon...

Mais déjà la chanson se terminait et elle commençait à se détacher. La chanson suivante débutait et je repris ma cousine contre moi « Ah bon, tu aimes bien Eddy Mitchell? » ''Non Adeline, ce n'est pas Eddy Mitchell que j'aime...'' Néanmoins sa remarque me troubla. N'avait-elle dansé avec moi que parce qu'elle adorait « les yeux revolver » ou pour les mêmes raisons que moi? ...

A 20 ans, BTS en poche, je décrochais mon premier CDI dans la grande ville à 50 kms de chez mes parents. Rapidement je trouvais un studio puis quelques mois plus tard je m'installais avec une copine dans un appartement plus grand et laissais mon studio. Mais bientôt notre liaison s'étiola et cette dernière décida de rentrer chez ses parents et je repris l'appartement à mon nom. Plusieurs filles passèrent quelques nuits, semaines avec moi mais aucune histoire vraiment sérieuse.

Je n'arrivais pas à trouver une fille qui me satisfasse totalement. Il me manquait toujours quelque chose sans savoir vraiment quoi....

Ce fut peu avant ses 19 ans qu'Adeline décrocha après une année préparatoire une place dans l'école d'infirmière qui se trouvait dans la ville où je résidais à 100 kms de chez elle. Ce fut tout naturellement que nos mères respectives me demandèrent si je ne voulais pas l'accueillir quelques semaines chez moi, le temps qu'elle s'organise sachant que j'avais une chambre que je louais parfois en colocation.

J'étais ravi. Je promis de bien m'occuper d'elle, de lui faire visiter la ville et de bien la surveiller. Ma mère et ma tante étaient rassurées et enchantées. Si elles avaient su, les pauvres...

Adeline était aussi heureuse que moi de la tournure que prenaient les évènements. Avait-elle tout calculé? Ses études d'infirmière? Le lieu de son école?... Peut-être bien, en fait.

Les premières semaines se passèrent sans équivoque. J'avais une copine qui passait régulièrement sans pour autant vivre avec moi.

Néanmoins, les petits jeux de l'enfance reprirent rapidement. Adeline avait, par exemple, la fâcheuse habitude d'oublier de fermer la porte des toilettes à clé et plusieurs fois (involontairement?) j'ouvrais la porte et la surprenais, assise, culotte sur les genoux. Ce n'était pas sans me rappeler quelques souvenirs agréables... Je la grondais à chaque fois mais plus tard, j'en vins à la surprendre ainsi volontairement.

Adeline trouva vite des occasions de me dévoiler ses dessous, notamment en se plaçant en face de moi à table quand j'étais sur le canapé pour faire ses devoirs.

Dès la première fois, je compris ce qui se passait et mon cœur se remit à battre comme quand j'avais dix ans. Elle garda les jambes serrées longtemps, très longtemps. Je n'en pouvais plus d'attendre. Puis sans en avoir l'air, tout doucement elle commença à bouger sur sa chaise, faisant semblant d'être plongée dans ses exercices. J'aperçus bientôt le blanc de son entrecuisse. Image électrisante. Je savais que c'était mal mais je ne pouvais pas détourner les yeux.

Cette soirée m'avait ramené à mes vieux démons... Cette culotte (blanche et rose), je la voulais. Coûte que coûte...

Souvenirs...

Je pense que c'est elle qui avait commencé à me chercher dès notre plus jeune âge. Je me souvenais des premières fois où j'avais aperçu sa petite culotte sous sa robe. C'était à chaque fois un sentiment très fort pour moi, sans pareil avec les autres filles (cousines ou copines d'école). A 8 ou 10 ans, on ne comprend pas encore les raisons de ces émotions. J'ignorais à ce moment-là qu'elle avait compris mon émoi et en jouait déjà à merveille.

Rapidement, je compris que c'était elle qui déciderait ce qu'elle me laisserait voir ou pas. Les jeux de billes, les balades à vélo ou la balançoire étaient à ce moment-là ses situations idéales de me laisser découvrir ses dessous. Les occasions de s'accroupir ou s'asseoir par terre sont nombreuses dans une journée et elle sut très vite user de chaque situation. Nous jouions également beaucoup dans les escaliers de sa maison et il me suffisait alors d'être assis quelques marches en dessous d'elle pour jouir d'un spectacle sans pareil.

C'est un peu plus tard que les premiers effleurements avaient commencé. Elle faisait souvent en sorte que ses doigts me touchent un peu ou que je la prenne dans mes bras pour l'aider dans différentes situations comme descendre d'un muret et moi, galant, je ne m'en privais jamais mais c'était avant tout pour mon plaisir à moi.

J'adorais cela et faisais tout pour me retrouver le plus près possible d'elle. Son odeur, également, me hantait déjà. Aucune autre fille n'avait le même parfum naturel et la sentir déclenchait immédiatement en moi des sensations très fortes.

En voiture, on était bien évidemment toujours côte à côte et l'idéal était quand on était nombreux sur le siège arrière, nous nous retrouvions forcément (innocemment) très serrés l'un contre l'autre. J'ai ainsi passé des heures et des heures de bonheur intense.

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Adeline rentrait tous les weekends chez ses parents et y ramenait donc son linge à laver. Dès le lendemain, ne pensant plus qu'à ça, je me débrouillai pour sortir plus tôt du travail. Après m'être bien assuré qu'elle n'était pas là, j'entrai dans sa chambre et repérai rapidement son sac à linge. Encore un peu hésitant malgré tout, je l'ouvris à la recherche du trésor qui trônait (hasard?) au-dessus du reste. Je dépliai prestement la culotte pour y glisser mon nez dedans. Quel bonheur! Je fonçais aux toilettes avec l'objet que je respirai avidement, retrouvant partiellement les odeurs du passé. C'était plus salé, plus mur qu'à l'époque, plus chargé aussi. Les secrétions étaient importantes et gluantes avec des petits poils blonds collés. Ma langue vint rapidement se poser sur ce délice. Je ne dus pas lécher très longtemps avant de parvenir à l'orgasme espéré.

Avant de ranger le doux tissu dans le sac, je me permis de regarder le reste du contenu. Principalement les culottes bien sûr mais aussi ses soutiens gorges adorables.

Je rangeai tout avant le retour de ma cousine chérie.

Il ne fut pas aisé ce soir-là de rester égal devant elle. Je me sentais gêné par ce que j'avais fait. C'était honteux. Sentait-elle mon trouble?

Je pense qu'elle avait déjà deviné mes bêtises car, après le repas, lorsque nous nous vautrâmes sur le canapé, pour la première fois depuis des années, elle vint se blottir contre moi. Elle avait toujours une liberté de gestes que, moi, je n'avais pas. Sentir à nouveau son corps contre moi était un plaisir inégalé. « T'as plus de copine? Ça fait longtemps que t'es pas sorti le soir. J'aime bien quand tu es là. » Elle était adorable. « Non. Marielle ne veut plus me voir et ça tombe bien car moi j'en avais un peu assez. »

Une question me brulait. « Et toi, t'as eu des copains récemment? » « Oui. L'été dernier j'avais quelqu'un. On a promis de se revoir. Il m'a jamais rappelé. C'est un con. » « Mais... c'était un copain juste comme ça ou...» « Oui on a couché. C'était pas le premier si tu veux savoir. Mais ça m'a jamais fait grand-chose. C'est des gamins. Ils savent pas faire. » Ces confidences étaient inespérées.

Elle avait le don de deviner ce que je voulais savoir. J'avais toujours eu l'impression qu'elle savait ce que je pensais... « Et toi t'aimes bien être avec moi? Je suis plus une petite fille. Je suis une femme maintenant. » Et voilà, à nouveau, elle suivait mes pensées. « Oui, Adèle, j'aime bien être avec toi. Tu sais bien que t'es ma chouchoute. Depuis toujours. Ma cousine préférée. » Elle me fit un gros bisou sur la joue et reprit sa place blottie contre mon épaule.

J'avais envie de caresser son bras mais je me retenais. Il ne fallait pas tenter le diable. Je n'avais pas le droit de toucher ma cousine.

Le lendemain, nouvelle leçon à apprendre. Elle s'installa à la table comme le jour précédent alors que je préparai le repas. Je savais qu'il suffisait que je me mette sur le canapé pour voir sous sa jupe. Je n'osai pas. Elle comprendrait pourquoi je le faisais. D'un autre côté, je me disais que si elle s'était assise là c'était pour la même raison. Je n'avais pas son aisance.

Je finis par prendre un livre et m'asseoir bien en face d'elle. Elle me lança un petit sourire innocent. Faisant semblant de lire, je regarderai par-dessus mon livre. Ses jambes étaient serrées. Rien à voir. Et comme la fois précédente, elle commença à bouger et s'ouvrir.

Puis juste quand je commençai à apercevoir le triangle blanc, elle se leva. Zut... Je l'entendis aller aux toilettes, la chasse tirée, elle revint prendre sa place et doucement ouvrit les jambes, posant ses pieds sur les barreaux de la chaise, faisant semblant de réfléchir sur un sujet difficile.

Sa culotte était mal remise et semblait humide. Impossible que ce soit le fait du hasard. Elle m'aguichait en découvrant le bord de sa minette et un peu de foison dorée. Et sans doute a-t-elle volontairement oublié de s'essuyer pour m'offrir un petit cadeau mouillé. J'étais comme un fou. Tétanisé.

« Ça brule, non? » Je sortis de ma torpeur. J'avais oublié mon plat sur le gaz. Holalala. Elle se précipita avec moi dans la cuisine pour voir les dégâts et pendant que je touillais le plat pour tenter de sauver quelque chose, elle se colla à moi en riant. « C'est pas grave. Je t'aime quand même. Même si tu cuisines pas bien... » Et elle me fit de nouveau un énorme bisou sur la joue, collant son bas ventre contre ma hanche. Ce bas-ventre qu'elle savait que je venais de lorgner comme un gros vicieux.

Le lendemain, Adeline avait changé son sac de linge de place. Elle l'avait mis à côté de ma panière dans la salle de bain. De nouveau, cela ne pouvait pas être le fait du hasard. Désormais, à chaque fois que j'irai à la salle de bain, j'aurai accès à son linge. Elle savait. C'était son choix de me laisser accéder à ces petites merveilles.

Dès ce jour-là, je changeai mes horaires. Au lieu de prendre ma douche au réveil, je la pris le soir juste après elle. Elle ne pouvait que remarquer ce changement. Mais après tout, elle aussi jouait ce petit jeu. Nous étions complices. Et elle prit soin de me faire des petits cadeaux chaque jour plus odorants les uns que les autres. Oubli d'essuyage, caresses coquines la nuit et/ou le jour,...

Une nuit, je surpris des petits gémissements dans sa chambre. Pas de doute, la belle se donnait du plaisir. Et j'attendis la journée entière pour découvrir le résultat qui fut à la hauteur de mes espérances. Je finis par m'enhardir et ramener ses culottes dans ma chambre pour en profiter plus longtemps que dans la salle de bain où j'étais malgré tout obligé de me chronométrer...

Un weekend, nous décidâmes qu'elle ne rentrerait pas chez elle et qu'on sorte ensemble. Cinéma, restaurant, balade en forêt, ... Nous étions tellement bien. Presque comme un couple. Il était difficile de voir les autres couples enlacés, s'embrassant, etc. alors que nous ne pouvions pas. J'avais tellement envie de la prendre dans mes bras, de la câliner, ... Elle avait à nouveau une très belle robe et j'essayais d'imaginer ce qu'elle avait mis en dessous.

Pendant une promenade, c'est elle qui me prit la main. J'étais ému. Elle repéra un tronc d'arbre coupé et dit « asseyons-nous un moment » « On ne tiendra pas à deux » « Pas grave, je me mettrai sur tes genoux ». Décidemment elle osait tout ce que dont je rêvais. Comme avant.

Elle prit place sur mes genoux puis très vite se recula. Je sentais ses fesses juste au-dessus de mon bas-ventre. C'était si bon. Evidemment elle ne pouvait que sentir physiquement mon émotion. Elle bougea doucement prétextant me montrer un canard dans la mare. Puis elle s'arrêta de parler et je l'entendis souffler doucement. J'avais mes bras autour de son ventre. Elle me caressa le bras du bout des doigts. Une vague de bonheur immense m'envahit. Il n'y avait qu'elle qui me donnait ce bonheur-là. Ce bonheur tout simple. Elle remuait imperceptiblement ses fesses. C'était bon, c'était chaud. Je sentais nettement la fente entre ses fesses posée directement sur mon sexe désormais dressé dans sa direction. Elle le sentait obligatoirement. J'avais honte mais c'était si bon. Elle soupira très fort. « Qu'on est bien... On est bien, hein? » Ma bouche était pâteuse et j'eu beaucoup de mal à répondre « Oui, on est bien. »

A nouveau, les souvenirs remontaient à ma mémoire...

Bien des années avant il lui arrivait déjà de venir s'assoir sur mes genoux quand j'étais tranquillement dans un fauteuil. Comprenant le petit jeu, le fauteuil du salon était devenu familier. Moi, assis normalement sur le fauteuil, elle sur les accoudoirs en travers de mes genoux. J'aimais énormément sentir ses petites fesses contre mon petit sexe. J'étais persuadé qu'elle ne pouvait pas se rendre compte que le volume augmentait dans mon pantalon. Maintenant je sais qu'elle avait tout compris. D'ailleurs elle bougeait relativement plus que la normale dans ces moments là en riant trop fort....

Elle aimait aussi me laisser la regarder de loin quand elle devait faire un petit pipi dehors. Souvent toutes les cousines y allaient en même temps mais elle n'allait pas dans la même direction et surveillait du coin de l'œil que je restais dans son champ de vision. Je faisais semblant de ne pas regarder mais à chaque fois le spectacle était éloquent. Elle glissait tout doucement ses mains sous sa robe et je voyais sa culotte blanche ou rose glisser sur ses genoux avant qu'elle ne s'accroupisse quelques longues secondes que je trouvais pourtant terriblement courtes. J'étais trop loin pour entendre le petit jet mais je l'imaginais. Puis sans me regarder, sans s'essuyer, elle se relevait et remontait sa petite culotte et rabattait sa jupe avec un grand sourire. Quel bonheur!...

Nous avons passé ainsi de longues années à jouer au chat et à la souris sans se le dire.

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De retour à l'appartement, elle me proposa de nous préparer un thé, de m'installer dans le canapé et de me détendre. Après m'avoir servi mon thé elle me proposa un petit massage. Elle avait suivi un cours sur les vertus du massage de la voute plantaire. Elle s'installa sur une chaise en face de moi et me prit le pied, le déposant d'abord sur ses genoux, commençant le doux massage. « C'est bon? » « Excellent ». Elle posa mon pied entre ses jambes et petit à petit se rapprocha du bord de la chaise jusqu'à ce que mon pied soit en contact avec son entrejambe. Il n 'y avait aucun doute sur sa volonté. Tout en continuant de me masser elle faisait bouger mon pied sur son entrejambe.

Rapidement je la sentis soupirer comme cet après-midi et ne plus parler. Elle se caressait doucement avec mon pied. Quelle imagination pour prendre son pied en plus du mien... J'étais en extase. Je caressais son sexe. A travers sa robe et sa culotte certes, mais quand même. Je lui faisais du bien. Si on continuait ainsi, peut-être jouirait-elle de cette façon, là, devant moi. Au bout d'un moment elle retira mon pied avec un sourire entendu. « Tu veux me le faire aussi? » Certes je devais quitter cette position confortable mais je ne pouvais pas lui refuser. Nous échangeâmes nos places et je pris son pied pour commencer à la caresser (ce n'était plus du massage).

Elle déposa sans vergogne son pied sur mon sexe et le bougea nonchalamment. Je bandais comme jamais. D'autant qu'elle en profita pour ouvrir ses cuisses et me laisser voir quelle culotte elle portait depuis ce matin. Elle était évidemment déjà très humide. Comme si cela ne suffisait pas, au bout d'un moment elle passa carrément la main sous sa robe pour remettre sa culotte en place. Le jeu devenait trop dangereux. Il fallait y mettre un terme avant que n'arrive l'irréparable.

Mais, au fond de moi, je savais que nous étions inexorablement partis pour faire des bêtises. Il aurait fallu que je la fasse partir de chez moi sous le prétexte d'un nouveau colocataire ou plutôt que je déménage tout de suite, très loin d'elle, ... Mais je savais que je ne le voulais pas et ne pourrai pas le faire. Ce n'était plus qu'une question de jour, d'heures, de minutes,... Je considérai déjà ma cousine comme ma maitresse. Dans ma tête, nous étions déjà amants. Heureusement elle était désormais majeure. Mais pour l'entourage et surtout la famille, c'était moi le plus âgé, donc le responsable.

Et ce qui devait arriver arriva... Une nuit d'orage. Un orage terrible. J'entendis frapper à ma porte. « Oui Adèle » « Je peux venir avec toi? J'ai trop peur ». Comme il y a dix ans, elle souhaitait me rejoindre dans mon lit. Là je savais. Cette nuit marquerait le début d'une nouvelle aventure. Je pouvais encore dire non. Je pouvais? Non, je ne pouvais pas. Mon cœur battait à tout rompre. Le sien aussi j'imagine. « Viens ma belle. N'aie pas peur ». Officiellement je parlai de l'orage mais je pensais à autre chose.

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