Réticences et Désir

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Rapports incesteux mère-fils. Soumission maternelle.
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RETICENCES ET DESIR

Voir « Complicité muette », dont ce texte est la suite.

Au matin, je fus réveillé par une sensation insolite. Epuisée par ces plaisirs solitaires complices, ma mère s'était endormie la nuisette encore troussée et je m'étais quant à moi assoupi entièrement nu. J'étais exténué autant qu'elle et c'est inconsciemment que j'avais, pendant la nuit, posé ma main sur sa chatte. Ce fut la pression de sa main sur la mienne, pendant un court instant, qui me tira de mon sommeil. Croyant que c'était là une invite à renouveler nos jeux, je m'apprêtais à me tourner vers elle quand elle interrompit son attouchement furtif pour se lever et se diriger vers le cabinet de toilette. J'eus à peine le temps de porter mon regard sur ses fesses plantureuses qui roulaient sous la transparence de sa combinaison que déjà elle refermait la porte.

Je restai un moment allongé, indécis sur la conduite à tenir, puis ne pus y tenir. Je me levai à mon tour et gagnai le cabinet de toilette. J'avais remarqué la veille avant de me coucher qu'aucun loquet n'en fermait la porte et je la poussai résolument. Je ne devais pas regretter mon intrusion... Le spectacle que m'offrait ma mère, assise cuisses écartées sur le bidet où elle se dégorgeait de sa mouille continue de la nuit valait le coup d'œil! Au moment où je la surpris, elle se rinçait la fente en en écartant largement les lèvres vermeilles. Toute à sa toilette intime, elle ne m'avait pas entendu entrer. La pensée que je venais de cette grotte humide me fit triquer instantanément. Lorsqu'elle leva les yeux et me vit, elle resserra brusquement les cuisses dans un réflexe dérisoire de pudeur, une main tentant maladroitement de cacher sa chatte ouverte et l'autre ses nichons opulents. Plus encore que sa gêne, le regard qu'elle me jeta disait assez qu'elle était loin à cet instant d'être disposée aux jeux que j'avais espérés. Je battis en retraite en bredouillant une excuse inaudible. Quand elle eut terminé ses ablutions (je doute qu'elle ait eu alors l'esprit à reprendre le lavage de sa moule), elle regagna la chambre, me laissant prendre ma douche. Lorsque je sortis à mon tour du cabinet de toilette, elle finissait de s'habiller et je me hâtai d'en faire autant. Ni l'un ni l'autre ne prononça le moindre mot.

Nous descendîmes dans la salle à manger, où quelques invités déjà levés achevaient de déjeuner.

« Bien dormi? » s'enquit notre hôtesse. La question était de pure politesse et en d'autres circonstances aurait obtenu une réponse banalement positive, mais ma mère, la gorge nouée, ne put émettre qu'un petit « oh oui » qui détonait. Il n'en fallut pas plus pour qu'un cousin de la mariée, qui s'était fait remarquer la veille par son humour lourdaud, lançât avec un rire salace :

« J'espère que vous avez été sages! »

L'hôtesse lui jeta un regard réprobateur, mais son froncement de sourcils disait assez que la gêne manifeste de ma mère la laissait dubitative. Elle n'insista pas, mais il me parut évident qu'elle se posait des questions... Je ne sais ce qui me prit alors : je lui adressai un sourire ironique, discret mais parlant... Ses traits se figèrent : elle avait compris, non bien sûr ce qui s'était exactement passé, mais qu'il s'était passé... l'impensable...

Notre déjeuner terminé et nos bagages descendus, l'heure du départ arriva. Nous allions nous retrouver seuls dans la voiture pour plusieurs heures... Passée la sortie de l'agglomération, où ma mère se concentra sur la conduite, elle se mit soudain à parler, parler, parler de tout et de rien, de rien surtout en fait en un flot de paroles ininterrompu où se mêlaient remarques insignifiantes sur les invités au mariage (« Tante Josiane a vieilli, tu ne trouves pas? » « Le marié était très sympathique, il m'a fait une très bonne impression.»), importance des courses qu'il allait falloir faire le lendemain (« Ton père n'a sûrement pas eu le temps de les faire et si ce n'est pas le cas, il a sûrement oublié la moitié de ce qu'il nous faut, tu le connais »), nécessité pour elle de prendre rendez-vous chez la coiffeuse (« Pourvu qu'elle puisse me prendre avant vendredi! » et pour moi de me réinscrire aux cours d'auto-école (j'avais lamentablement échoué à la session d'examen précédente), bref autant de propos sans importance, qui sonnaient d'autant plus faux qu'elle passait nerveusement de l'un à l'autre sans souci de continuité et que je me gardais bien d'entrer dans son jeu, ne lui répondant que par monosyllabes. La tension peu à peu montait entre nous dans l'habitacle, d'autant qu'elle sentait sur elle, sans avoir à me dévisager, mon regard qui la déshabillait sans vergogne, passant ouvertement de ses cuisses à ses seins, qui semblaient gonfler de façon saccadée sous l'effet de son oppression. Bientôt son trouble lui fit faire quelques erreurs de conduite et c'est d'une voix altérée qu'elle finit par me dire, trahissant son stress :

« Il faut... il faut que je m'arrête... On va se reposer un peu dès qu'on pourra, tu veux bien? »

J'acquiesçai, me réjouissant intérieurement de la voir aussi crispée. Après quelques kilomètres, nous arrivâmes en vue d'un petit bois traversé par une allée forestière. Nous nous engageâmes dans cette dernière et elle arrêta la voiture au bout d'une vingtaine de mètres. L'endroit était désert. Derrière son volant, elle respirait plus vite, plus fort à présent, en prenant toujours grand soin de ne pas me regarder. Plus je la percevais ainsi gênée et plus je bandais. Elle ne disait plus mot à présent. Elle finit par oser jeter un coup d'œil furtif à mon entrejambes et la bosse significative qui gonflait ma braguette lui fit brusquement piquer un fard. Elle balbutia, éperdue :

« J'ai... j'ai envie... une... une envie pressante... »

Et elle sortit précipitamment de la voiture. Je la vis disparaître dans un fourré, laissai passer une dizaine de secondes et sortis à mon tour. Je n'eus pas à aller bien loin. Elle était là à quelques mètres, accroupie jupe haut relevée, les doigts de sa main droite fourrageant dans sa culotte. Vous pensez si je perdis du temps! Sortant ma queue dressée de mon jean, je me mis à me branler moi aussi, sans quitter des yeux les siens qui restaient rivés à ma bite comme hypnotisés. Je voyais du coin de l'œil sa main qui s'agitait frénétiquement à sa fourche. Je ne pus bientôt plus y tenir.

« Ôte ta culotte! lui ordonné-je, et tu restes comme ça! ».

Jamais, au grand jamais je ne lui avais parlé sur ce ton, et quelques secondes avant, même, je n'aurais jamais osé le faire. Sur quelle impulsion soudaine me suis-je ainsi lancé? C'est là tout le mystère de ces moments décisifs où tout bascule, où l'on prend soudainement conscience que rien ne sera désormais jamais plus comme avant. J'avais instinctivement senti qu'elle m'obéirait... De fait, elle enleva sa culotte en rougissant comme une pivoine tout en restant docilement accroupie.

« Tu me la donnes, tu écartes les cuisses et tu continues à te branler, salope! », lui intimé-je.

Elle frémit en m'entendant mais obtempéra sans un mot, les yeux toujours fixés sur ma queue, que j'astiquai à présent dans la culotte qu'elle venait de me donner.

Pour elle comme pour moi la scène était trop forte en émotion pour que nous puissions la prolonger longtemps. Nous accélérâmes simultanément notre branle et c'est dans un râle que je giclai dans sa culotte cependant qu'elle jouissait en feulant un « Ouiiii!!! » extatique.

Nous avions à présent franchi la limite au-delà de laquelle un retour n'était plus possible, nous en avions tous deux une pleine conscience. Lorsque nous reprîmes notre route, je décidai de l'agrémenter de quelques jeux pervers. Sa jupe relevée jusqu'à la chatte (j'avais gardé sa culotte souillée de ma jute dans la poche de mon jean), elle devait sur mon ordre s'ouvrir au maximum à chaque fois qu'elle doublait un poids lourd. A combien de coups de klaxon enthousiastes avons-nous eu droit! Je me promis intérieurement d'exploiter à l'avenir plus avant cette veine exhibitionniste...

Nous arrivâmes enfin à la maison. La voiture de Papa était là, il était déjà rentré. En nous entendant rentrer la nôtre au garage, il descendit pour nous accueillir et j'eus juste le temps de chuchoter à ma mère en lui tendant sa culotte :

« Remets-là! »

Ce qu'elle fit en tremblant. Trois secondes après qu'elle eut rabattu sa jupe, mon père poussait la porte intérieure du garage. Nous savions elle et moi qu'une nouvelle vie commençait pour nous...

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4 Commentaires
CyrfranCyrfranil y a 8 jours

C'est bâclé. L'excitation monte, et ça tombe à plat.

Silvain004Silvain004il y a 4 mois

Bien, très bien même. Excitant à souhait mais trop court. Une suite s’impose.

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

bonjour

il faut vraiment écrire des textes d'au moins 20000 signes

Je suis désolé mais je ne lis pas de petits textes et pourtant le thème me parait bien, mais le lecteur reste sur sa faim.

AurailiensAurailiensil y a 4 mois

Hmmm... court mais très efficace ! Merci

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